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Histoire de sexe Hardcore Les WC étaient fermés de l’intérieur Saison 1 Chapitre 18

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Histoire de sexe hardcore

Débordement au mariage

Aujourd’hui lundi, une nouvelle semaine de travail débute, le chef me dit que je dois former
une intérimaire à mon poste de travail pour qu’elle m’apporte une aide à la charge de mon travail.
-Bonjour madame ! Monsieur Henry m’a dit que je dois travailler avec vous a ce poste ?
Je me retourne au son de la voie, je suis surprise lorsque je regarde l’intérimaire.
C’est Jeanne que je dois former à mon poste de travail
– C’est Jean qui s’est débrouillé pour que je travaille avec toi, il pense que ça fera moins suspect de voir ta voiture tous les vendredis dans nôtre hameau.

Me voilà avec Jeanne toute la semaine, nous pouvons faire plus ample connaissance. Elle me dit :
-Merci, de partagée ce que je vis, j’aurai moins à servir de femelle aux chiens. De vide couilles à Jean, Marcel et leurs copains chasseurs, même si j’y prends beaucoup de plaisir. Maintenant, nous allons partager. Au début Jean m’a obligé de le faire à coups de cravache ! Puis je me suis habituée à prendre beaucoup de plaisir à me faire baiser par n’importe qui. Quand il s’est mis à filmer, je ne regardais pas le résultat, mais avec le temps, j’ai pris plaisir à me regarder, je filme aussi a présent comme tu as pu le voir.

– Avec toi, il s’est servi du chantage, comme tu t’es soumise tout de suite, il n’a pas pris la cravache.
Je suis abasourdi par les révélations de Jeanne.
– Des chiens ? Plus, leurs copains ? Ils veulent faire de moi une pute ?
– Non pas une pute, il n’y a pas d’argent en jeu, c’est juste un dominateur sexuel qui aime faire
de la pornographie chez lui. OH ! Bien sûr, il doit y avoir des compensations avec leurs copains ?
– Tu as dit des chiens ? Que je redemande à Jeanne.
– Oui ! Il y en a trois, tu connaîtras Gamin, c’est le plus membré des trois. C’est lui qui me donne le plus de plaisir, c’est un véritable amant qui te mène au septième ciel ! Une fois que tu y as goûté, tu ne peux plus t’en passer, c’est bien meilleur qu’un homme !

– Tu subiras aussi Martin, c’est une exception dans la région, il en a une comme un âne ! La première fois j’ai eu peur qu’il me déchire, heureusement, il baise toujours en dernier. Comme ça les autres ont ouvert et bien graissés les trous, avec lui tu es bien remplie.
– Il est doux et fait durer le plaisir, tu finis dans l’extase, c’est divin quand il t’inonde l’intérieur.

Je comprends mieux l’air compatissant qu’elle affichait quand je suis partie vendredi.
– Qu’a dit Jacques lorsqu’il a vu tes piercings et ta boucle d’oreille ?
– Quand il est rentré de Tunisie, il a bien sûr voulu me faire l’amour. Alors, je lui ai dit que je lui avais fait une surprise pour son retour. Je me suis mise nue de dos à lui et en me retournant face à Jacques, j’avais mes seins dans les mains pour qu’il voit les piercings de mes tétons.
Il a écarquillé les yeux, il a pris mes tétons et les a embrassés. Je lui ai demandé si cela lui plaisait.
– Oui, c’est très beau, mais je n’en demandais pas autant, c’est juste le nombril que je souhaitais ?

– Je lui ai raconté qu’un samedi, pleine de mélancolie d’être sans lui, après avoir noyé mon chagrin dans un peu d’alcool, j’ai pris mon courage à deux mains pour aller me faire percer le nombril. Et que c’est le tatoueur qui m’a persuadé que ce serait plus beau sur les tétons que sur le nombril. Donc que j’avais cédé et encore sous l’effet de l’anesthésie, il me proposa d’en mettre sur les lèvres de ma moule pour exciter mon Mari.
– En voyant ma moule annelée ça l’a rendu fou, il ne m’avait jamais fait l’amour avec autant excitation et de force.

Dans l’atelier, lorsque je croise Marcel, il détourne la tête, il n’agite plus son portable discrètement.
Jacques a trouvé un petit bistro pour le déjeuner en semaine, c’est bon et pas cher à mi chemin
entre nos lieux de travail, plus besoin de courir tous les midis pour un déjeuner rapide sur le pouce à la maison.
Jeanne va venir manger avec nous pendant sa mission d’intérim, ça renforcera notre complicité.

Une semaine plus tard, je me rends au mariage d’une très bonne collègue de travail. J’ai pour l’occasion achetée une nouvelle robe boutonnée sur le devant blanche à rayure rouge verticale soutenue par une large ceinture rouge qui me fait ressortir ma poitrine encore plus avantageuse. Anxieuse de me retrouver face à Marcel et Jean, je reste près de mon mari. La cérémonie civile commence et je me place derrière les mariés prés des deux autres témoins.

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Je décide de ne pas répondre aux compliments des deux hommes quand, ils sont venus me dire bonjour, me glissant à l’oreille que je suis très bandante. Un grand nombre d’élus sont présents car le mariage bien que très chic est aussi un rendez vous des politiques de la région. Pendant la cérémonie, je sens mon téléphone en mode vibreur. Marcel me fait un signe pour m’inviter à regarder discrètement. Je profite d’un moment où nous sommes assis pour regarder, j’ai reçu un SMS d’un numéro inconnu avec un message : – Retrouve-nous pendant le vin d’honneur dans les caves du caveau si tu ne veux pas que les photos se retrouve sur le mauvais téléphone.

Sur les photos, on peut me voir chez Jean une semaine plus tôt, me faire chevaucher par Garçon, pendant que je suce le Dédé. Je regarde les deux hommes qui me sourient, Jean me fait un clin d’œil. Je suis une nouvelle fois prise au piège et à la merci de mon maître chanteur.
Après la cérémonie, nous nous rendons ou a lieu le vin d’honneur. La journée est belle, nous prenons le champagne dans les jardins. C’est très chic, et superbement organisé. Avec Jacques nous parlons avec des amis, participons aux photos avec les mariés, et bien sûr la traditionnelle photo avec les témoins. Je suis entre Marcel et Jean qui se collent tous deux à moi, et je peux sentir que l’un des deux en profite pour me peloter les fesses. La séance dure plusieurs minutes, et Jean me glisse à l’oreille :

– Débarrasse toi de ton mari et retrouve nous dans les caves dans cinq minutes. Je rejoins Jacques qui discute avec des chefs d’entreprise, pour lui dire que j’allais me repoudrer le nez. Je me rends ensuite dans les caves pour y retrouver mes deux maîtres chanteurs.
C’est un petit caveau voûté qui pendant la révolution, avait servi de prison et de cachette. On y parvient au moyen d’un étroit escalier tournant fermé par une porte en bois massif. L’ambiance ne se veut pas très chaleureuse voir même froide et humide. La lumière naturelle est très faible. L’humidité, du sol, ainsi que les fûts de vin en chêne, dégagent des odeurs de moisissures. Ils m’attendent entre deux fûts.
– Approche toi ma belle, HUMM ! Tu es délicieuse aujourd’hui, encore plus bandante que la dernière fois !
– Que me voulez vous ? Dites moi ce que vous voulez qu’on en finisse, mon mari m’attend et je pense qu’il ne va pas apprécier votre petit jeu.
– Tu as raison. Allons droit au but.

Jean m’attrape par le bras, et m’attire vers lui d’un mouvement brusque, j’allais protester quand la main de Marcel qui est passé derrière moi me bâillonne. Je suis à nouveau prise au piège entre ces deux hommes qui vont encore m’utiliser comme leur jouet.
– Tu vas nous obéir toute la soirée si tu ne veux pas te retrouver sur internet avec ta face de grosse salope. T’as compris. Hoche la tête si tu as bien compris.

Je hoche la tête en signe de consentement, le ton a changé et je sais qu’ils peuvent causer beaucoup de tort à mon mari et nos vies, je décide donc de me laisser faire. Après tout ce n’est pas la première fois, et peut-être qu’ils me feront jouir qui sait. Marcel enlève sa main, mais aussitôt remplacé par la langue de Jean qui m’embrasse fougueusement. Les mains de Marcel s’emparent de ma poitrine qu’il malaxe avec délectation. Pendant se temps, Jean me tient de sa main droite par les cheveux, passe sa main gauche sous ma robe et en dessous de ma culotte. Il me caresse entre les jambes, ou plutôt me masse, car ses mouvements n’ont rien de caresse. Il introduit un doigt en moi, puis deux, alors que Marcel s’occupe toujours de mes seins.
– HUMMM ! J’adore tes miches de salope, ils sont trop bons, je vais coller ma queue entre eu avant la fin de la soirée, je peux te le garantir.

Ils continuent de jouer avec mon corps pendant quelques minutes, je sens leurs mains sur mon corps et les deux doigts qui jouent entre mes cuisses. J’essaye de me débattre, mais sans trop de conviction, le désir étant plus fort.
– Fais pas ta mijaurée ma belle, on t’a bien vu l’autre fois prendre ton pied, avec Garçon, on sait que tu aimes la bite, ça se voit sur la vidéo, tu es une gourmande, une affamée de la bite, qui aime se faire un peu forcer.

C’est vrai que j’ai joui sous leurs yeux, me faisant prendre par Garçon, soumise et jouissant en public. Ils savent que j’aime cela et en profite. Ils me poussent vers un fût et Jean me tend une ceinture.
– Tu vas enlever ta culotte et mettre ça pétasse, c’est une ceinture que tu vas porter pendant la soirée jusqu’à ce qu’on décide de te l’enlever. Oui tu as bien vu c’est une ceinture avec deux godes. C’est très simple, on peut choisir avec un gode vaginal, où un gode anal, mais aussi les deux. Il y a aussi la version vibrante.

Le harnais est rouge et noir en cuir et réglable, équipé de deux godes mesurant environ neuf et treize centimètres de long pour quatre cm de large chacun. Les godes semblent amovibles à souhait par pression, simplement. Ne répondant pas à Jean, il insiste…
– Apparemment, c’est une timide, enlève lui le vaginal, on va garder le plug anal ce sera plus confortable pour danser.
– Non mais vous êtes totalement fou, je ne vais pas porter ça pendant toute la soirée ! Tout le monde va s’en apercevoir et si mon mari le voit ? Vous êtes complètement taré, je refuse !

Marcel m’attrape par les cheveux et d’un air menaçant me dit :
– Obéis salope sinon tu sais ce qui va se passer. Tout le monde va recevoir sur leur téléphone ce soir ta photo de salope entrain de ce faire saillir.
– Oui et si l’envie prend à ton mari de vouloir te baiser ? Il se contentera d’une bonne pipe. Après tout t’es une bonne suceuse.

Je décide encore une fois obtempéré et enlève mon string sexy. Réalisé sur un tulle très doux avec broderie et dentelle, il révèle parfaitement la magie de mes fesses. Marcel m’arrache le string des mains et me force à le mettre dans ma bouche, sûrement pour me bâillonner pendant qu’il me passe son harnais. Jean badigeonne le plug de vaseline afin de faciliter l’introduction et me le tend. J’enfile le harnais et me place le plug dans mon petit trou tout doucement. Une fois en place, ils me tournent afin de vérifier que tout est bien fixé. Une grande claque sur mon cul marque la fin de notre première séance, tout en me demandant de rester disponible dans la soirée. Je rebaisse ma robe et sort du caveau, le tout n’ayant pas duré plus de quinze minutes.

Je rejoins Jacques, ayant du mal a marcher, j’essaye de trouver la bonne position, ayant à supporter cet appareil toute la soirée. Une fois le vin d’honneur terminé, nous passons à table. Bien évidement, à la table des mariés, le plan de table dessiné par ma collègue m’a placé entre mes deux tortionnaires alors que Jacques est avec Jeanne en face de moi. Une vingtaine de table de seize personnes en moyenne avec la piste de danse au milieu. J’ai bien évidement droit à de multiples caresses, pieds, cuisses, ou même parfois les mains qui remontent mes cuisses en dessous de ma robe. Je profite des moments de danse pour m’extraire, évitant de rentrer dans des rocks endiablés au vue de l’appareil anal qui me contraint un peu. Le moment des slows arrive et je danse avec Jacques qui a l’air de beaucoup s’amuser avec ses voisines. Nous dansons tendrement quand il me dit.
– Apparemment, il y a un feu d’artifice dans trente minutes, et si on faisait une petite pause dans les toilettes, que je m’occupe de tes fesses, ma belle ?

Je repousse ses avances, mais il se montre très insistant.
– Non ? Mon chéri, attendons à la maison, si tu veux, je te fais patienter avec cela.
Tout en lui disant cela, je lui tire la langue la remuant pour l’exciter encore plus.
– HMMM !! J’adore quand tu fais la pute, viens, tu vas me sucer, ton petit coup sera pour plus tard.
Il m’entraîne, avec lui, dans les toilettes. Et j’aperçois Jean et Marcel qui m’observent. Il m’emmène dans les toilettes des hommes et nous nous enfermons dans une cabine. Il me pousse de force à m’asseoir sur la cuvette, et sort son membre encore flasque.
– Fais moi bander ma belle, prends moi dans ta bouche.

Je le prends dans ma bouche entièrement et commence à le pomper, sentant son dard gonfler de désir dans ma bouche. Je suce mon homme, sentant au fond de moi le plug anal qui m’excite de plus en plus. Il faut que je le fasse jouir, car comme je le connais, il va vouloir me prendre si cela dure trop longtemps. Je pompe, suces, lèche le branle. La plus belle pipe de ma vie, titillant son dard, le léchant de ma langue comme une glace. Cela ne vient pas ? Je sens le gode au fond de mon anus, qui m’excite encore d’avantage. Il me tient par les cheveux et va me relever quand on entend deux hommes entrer dans les WC. Je reconnais les voix de mes harceleurs.

Ils m’ont suivie et savent que je suis entrain de sucer mon homme dans une des cabines .
– Quelle belle femme cette Nicole. Elle est vraiment exquise.
– Oui tu as raison, et je peux te dire, elle est quand même superbement gaulée pour son âge. Et puis elle s’habille tellement sexy. J’en banderai presque.
– Oui, y en a un qui a de la chance. Elle doit faire des trucs pas dans le dictionnaire avec sa belle bouche d’épouse fidèle.

Les commentaires fusent ainsi que leur rire gras. Jacques sous l’excitation de cette conversation a remis son sexe dans ma bouche et se branle avec mes lèvres. Il accélère, pendant que je continue à le pomper. En écoutant mes deux maîtres chanteurs parler de moi. Ils ressortent juste à temps pour que Jacques puisse se décharger complètement dans ma bouche, m’obligeant à l’avaler afin, sois disant, de ne pas salir ma robe.
– Et bien, tu as un vrai fan club toi. Bon, je t’accorde que tu fais un peu dans le senior, mais on peut dire que tu leur as tapé dans l’œil. Je devrais peut être leur proposer une passe. Tu pourrais me rapporter gros une pipeuse comme toi.
– OOHH ! Jacques arrête avec tes commentaires et sortons rejoindre les autres, le feu d’artifice va commencer.
– Attends, je sors en premier, tu attends quelques minutes et tu me rejoins au feu d’artifice. Si on croise quelqu’un en sortant tous les deux, ça va pas faire très sérieux.

Il m’embrasse et sort en refermant la porte, me laissant seule dans les toilettes des hommes. J’attends quelques minutes. Au moment de sortir, alors que j’entrouvre la porte, un mouvement brusque, repousse la porte par laquelle Marcel rentre dans le WC, me coince à l’intérieur. Nous sommes tous les deux dans cet endroit exigu, il me repousse vers la cuvette, me force à m’asseoir.
– Alors ma belle, j’espère pour toi que tu n’as pas triché et que tu as respecté les règles et que tu n’as pas touché à ton plug, qu’as tu fais raconte moi ?
– Non, je te promets je n’y ai pas touché. Il a voulu me prendre, mais je l’ai sucé, et il a joui dans ma bouche…
– HUMMM ! Mais t’es vraiment la reine des salopes, mais attends, on va vérifier quand même pour voir l’effet que cela te fait, soulève ta robe que je regarde. Mais avant regarde ce que j’ai retrouvé… Ouvre la bouche !

J’obéis et ouvre la bouche dans laquelle il place mon string qu’il a conservé pour mieux me bâillonner, et ensuite soulève ma robe, laissant apparaître le harnais toujours solidement en place avec le plug qui continue à m’envahir l’anus. De sa main gauche il me prend les poignets, pour les tenir au dessus de ma tête, alors que de l’autre, il desserre le harnais pour passer sa main entre mes cuisses et me caresser la chatte qui dégouline.
– Mais t’es excitée comme une vraie chienne, toi, t’es trempée. Va falloir qu’on calme cette tempête.

Il me tient les bras fermement et continuer à me caresser, la chatte, je suis excitée comme une folle, je ferme les yeux le laissant jouer de moi. Il me fait jouir, et il le sait. Il a réussi à me rendre addictive, il fait de moi ce qu’il veut. Il me lâche enfin, reprend ma culotte, remet mon harnais en place, et sort.
– Prépares toi d’ici à une heure, on va te délivrer.

Je rejoins Jacques pour le début du feu d’artifice. C’est féerique, ils font les choses en grand, comme le bal qui suit avec notamment un orchestre qui va nous faire danser toute la nuit. Je danse avec la mariée et un groupe de copine, bien que les pressions anales que je ressens entre mes fesses m’empêchent de me déhancher. La fête bat son plein quand Jean, me glisse à l’oreille.
– Rendez-vous dans le caveau dans dix minutes, beauté.
– Je ne peux pas m’absenter trop longtemps, Jacques va se douter de quelque chose.
– T’inquiète, on s’occupe de ton mari, rejoins nous c’est tout.
Je continue à danser, avant de rejoindre notre table où Jacques est avec Dédé en grande discussion.

Il ne fait pas attention à moi, j’en profite pour m’éclipser, croisant le regard complice de Dédé qui avec un grand sourire accompagné d’un clin d’œil, qui veut dire. – Amuse toi bien Nicole, profite de la danse, ton mari et moi avons à parler affaire. Je sors discrètement et me rend vers le caveau où m’attendent mes deux maîtres chanteurs. Le caveau est toujours aussi humide et obscur, la lumière du jour ayant disparu. Seule une petite ampoule éclaire la salle voûtée. J’entends la voix de Marcel.
– Approche toi ma belle, viens, ici on t’attend.
Je me rapproche d’eux quand ils m’attrapent vigoureusement et me coincent entre eux, l’un devant, l’autre derrière. Leurs mains se répandent sur mon corps, Marcel me replace ma culotte dans la bouche afin d’atténuer mes gémissements.

paragraphe 2 candy

J’ai quatre mains qui parcourent tout mon corps, écartent ma robe pour laisser apparaître mes seins juste protégés par mon soutien-gorge. L’un derrière moi me malaxe les seins au travers mon soutien-gorge, quand l’autre enfouit sa langue dans ma bouche, tout en relevant ma robe afin de dévoiler mon harnais. Il coince ma robe dans la ceinture, et commence à me palper les fesses. Je suis leur prisonnière, je subis leur assaut sans rien pouvoir faire pour les empêcher. Marcel commence à m’appliquer des claques sur ma croupe.

C’est le plus vicieux des deux, avec des penchants sado maso. Je me souviens de son plus grand fantasme qu’il a raconté, de forcer une belle épouse sans défense. L’épouse ce soir, c’est moi.
– Tu as quand même un sacré cul, ma belle, pour ton âge !
– Oui et ses nichons, c’est du XXL, ils sont faits pour être malaxé dans mes mains.
– Et si on lui enlevait son harnais, son petit trou doit être suffisamment dilaté pour prendre nos deux queues à la fois.
– Oui et vu comment elle réagit à nos préliminaires, elle est chaude comme de la braise.
– Attends, on va l’attacher, on sera plus tranquille.

Ils me traînent au fond du caveau, je suis totalement dépoitraillé, et troussée comme une dinde, toujours avec mon string dans la bouche et juste mon soutien-gorge et mon harnais, mais qu’ont ils encore inventés ? Au fond du caveau, ils ouvrent une petite porte de cachot en bois, et me poussent à l’intérieur. La porte se referme derrière eux, nous sommes encore plus isolés et moi encore plus à leur merci. Je regarde autour de moi, l’endroit est sale et sombre avec plusieurs machines en bois dont je devine soudainement l’utilité. Je comprends en un instant l’usage de cette pièce. Je savais qu’il existait dans le centre ville une salle pour Sado Maso que les libertins, échangistes, dominants, fréquentaient assidûment, je viens de découvrir que j’y suis seule avec mes deux amants. Je suis poussé vers une sorte de pilori moderne en bois.

La partie haute du pilori est composée d’un carcan avec trois trous pour coincer la tête et les deux mains et pendant que Jean me tient par derrière toujours en me pelotant mes seins, Marcel règle l’appareil de le mettre à ma taille. Il semble le manipuler à la perfection et donc ne pas en être à sa première utilisation. La seconde partie se trouve être un banc (similaire à vieux banc de gymnastique pour faire du cheval d’arçon). Composé de fer, bois naturel, vinyle et cuir véritable, le tout est d’un chic élégant de BDSM, merveilleux pour humiliation, parfaite pour les jeux de soumission.

Ils me positionnent à quatre pattes sur le banc en cuir et me poussent de force, la tête dans l’orifice central avec les bras de chaque côté avant de refermer le carcan de bois me rendant définitivement prisonnière. Ils sont tous deux les derrières moi, passant leur main sur tout mon corps, commentant chacun la situation qui ne peut appeler de réponse de ma part, toujours restreinte par mon string.
– Qu’est ce que tu dirais d’une bonne fessée avant d’enlever ta ceinture beauté.
– Oui, c’est vrai tu as été très vilaine tout à l’heure dans les WC, à tailler des pipes.
– Oui, tu te comportes comme une petite traînée, à ton âge tu as pas honte.

La première claque s’abat sur ma croupe, puis la seconde, chacun son tour. Marcel s’est muni d’une cravache, il continue sa tâche comme pour le dressage d’une pouliche sauvage. Je sens mes fesses rougir sur les claques, je continue à supporter leur commentaire Ils se décident enfin de m’enlever mon harnais et avec son plug anal, laissant mon trou béant, suite à plusieurs heures de cette sodomie forcée. Jean plonge son visage entre mes fesses me tenant par les hanches, il plonge sa langue dans mon anus qui vient d’endurer plusieurs heures de pénétration humiliante. Sa langue me fait plonger dans un orgasme torride, je ne sens plus rien que ses coups de langue et ses mains sur mon corps. Il me lèche l’anus tout en pénétrant ses doigts dans ma grotte toute mouillée.

Totalement vaincue, je ne sens même pas la présence de Marcel devant moi, m’enlevant mon string de la bouche pour plonger sa grosse queue au fond de ma gorge. Humiliée, soumise, telle une poupée de chair, il m’utilise comme une vulgaire pute. Je suis leur jouet, il me fait jouir. Jean se relève et me pénètre, me pilonne comme un animal. Aucune douceur, des bêtes, des animaux en rut. L’un devant l’autre derrière, moi au milieu, troussé comme une oie et mes seins se balancent toute fois toujours protégés par mon soutien-gorge.

Ils continuent, échangent leur position, laissant durer mon supplice de jouissance pendant plus de dix minutes avant de me libérer du carcan et de me relever
– Attends, on va la finir debout cette grosse pute, en sandwich, deux queues, il parait que c’est son plus grand fantasme d’après Jeanne.
– Avec toutes les pilules que j’ai prises, je peux la baiser toute la nuit et plusieurs fois. Dit Jean.
– On va faire vite quand même, sinon son homme va s’inquiéter et on ne voudrait pas qu’elle se fasse gronder madame la bonne épouse. N’est-ce pas ?
– Oui, prenez moi tous les deux maintenant et faite moi jouir !
J’ai perdu toute retenue et veux juste leur grosse queue au fond de moi, jusqu’à ce qu’il y jouisse dedans.

Ils me soulèvent, Jean devant, qui me pénètre en premier et Marcel derrière. Je m’accroche au coup de Jean. Marcel qui va m’enculer, mes jambes enserrent les hanches de Jean. Ils sont tous les deux en moi, tellement bestial, si gonflé, si dur, ils me ramonent comme des animaux. Ils ont dû se gaver de Viagra pour bander si fort et si gros à leur âge. Quelle folie, le mariage de ma meilleure amie et je me trouve dans une cave pour sado maso entrain de me faire prendre comme une esclave sexuelle par mes deux maîtres chanteurs dont je suis leur jouet, leur poupée, sans retenue, ils me possèdent par mes deux trous, m’utilisent comme une vulgaire catin juste bonne à prendre leur foutre. Jean me tète une de mes mamelles, alors que Marcel de sa main me pelote l’autre.

Je jouis encore et encore sous leur coup de hanches sans retenue avec des soupirs et gémissements qui les excitent encore plus. – Alors ma petite Nicole, ma salope d’ouvrière, tu fais moins ta fière maintenant !
– AAGGHH ! UMM ! OOH ! OHH ! MMFFF ! AARRGU ! OUUFF. ! GNNGNN !
– Tu sais comment on appelle les épouses dans ton genre ? Des outres à foutre juste bonnes à faire des tournantes dans les caves des cités ! On peut entendre des ? SLOORP ! SLURRP ! SPLISSH !SLUSSH !

Ils ont réussi à me soumettre, ces deux salauds, avec leur arrogance et leur perversité. Cette fois plus besoin de payer une prostituée, ils ont leur pute entre eux, qu’ils utilisent de tous les moyens possibles. Je suis ailleurs perdue, possédée par leur sexe quand soudainement, je me réveille à genoux avec ces deux hommes, qui m’éjacule dessus, visant ma bouche et m’ordonnant de tout avaler.

Perdue de jouissance, la bouche, le visage, mes seins recouverts de sperme, ils me nettoient, me rhabillent et me ramènent à la cérémonie. Une foi dans la salle de réception. Je mets plusieurs minutes pour retrouver mes esprits, quand Jacques s’approche de moi en me disant :
– Ma chérie ! Je pense que je vais décrocher un super boulot avec Dédé, c’est grâce à toi, car tu lui as tapé dans l’œil.

Ce lundi soir, je prépare un sac de voyage, Jacques part demain matin en déplacement sur la côte, pour encore réparer le bateau d’un riche industriel du pays. Il ne rentre que dimanche dans la soirée.

Sam Botte

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