Histoire de sexe hardcore
Le patron de Jacques
Aujourd’hui, j’accompagne Jacques prendre son train pour l’Espagne. Il part encore plus d’une semaine pour remettre en état de naviguer un bateau d’un riche industriel. Dès mon retour de la gare je reçois un appel de Marcel, sans me laisser le temps de réfléchir. Marcel me dit qu’il vient me chercher dans une demi- heure à la maison. Ses ordres fusent :
– En jupe et chemisier ! Pas de culotte, pas de sous tif ! Et il raccroche. Comment c’est il que mon mari est parti pour une semaine ?
Marcel me trouve comme prévu devant chez moi, je lui montre ma totale soumission. Je monte dans sa voiture et il démarre sans prononcer une parole. Je ne dis rien non plus attendant son bon vouloir.
Nous parcourons quelques kilomètres puis il s’arrête dans un chemin creux. Je le regarde avec appréhension. Il défait sa ceinture de sécurité et se penche vers moi pour me rouler une pelle d’anthologie.
Nos langues s’enroulent dans une furie qui trahit mon attente du plaisir à venir. Il en profite pour passer sa main gauche sous ma jupe. J’écarte mes jambes pour lui faciliter l’accès à ma moule déjà trempée dans laquelle il n’a aucun mal à faire pénétrer les quatre doigts de sa main. Il libère ma bouche et me lance un ordre :
– Recule ton siège et abaisse le dossier !
Je m’exécute. Dans cette position, il peut alors mieux jouer avec sa main. Son pouce rejoint ses doigts, lentement, tout en effectuant des va-et-vient avec son bras, il fait tourner sa main pour agrandir ma grotte et l’introduire en entier jusqu’au fond de mon puits d’amour.
Je feule de bonheur, je pousse de petits cris, je lui dis des mots insensés :
– Baise-moi bien avec ta main, AARRFFF! J’aime, encore, je suis ta chose AARRF ! Je jouis !
Je tressaille emportée par l’orgasme violent qui m’envahit.
Marcel reprend le volant. Je remets en place mon siège.
Nous reprenons la route, destination un hôtel Formule 1 discret près d’ici. Arrivés sur le parking, il prend son sac de sport dans le coffre de sa voiture et nous montons dans la chambre qu’il a pris la précaution de réserver auparavant.
A peine la porte de la chambre refermée, il me plaque contre celle-ci, il déboutonne mon chemisier, dégrafe ma jupe qui tombe à mes pieds, il me retourne le nez contre la porte, empoigne mes deux seins dans ses mains et commence un malaxage en règle.
Je gémis, Marcel presse son sexe déjà dur contre mes fesses. Il libère l’une de ses mains pour baisser son froc et son caleçon. Son sexe nu revient dans la raie de mon cul. Il me fait reculer, il m’appuie sur la tête pour que je me penche en avant. Il fait glisser sa bite vers ma corolle, il va encore me sodomiser.
Il amorce sa pénétration, il veut me dominer, car il m’encule à sec. Il me claque les fesses pour me détendre et s’enfonce d’une seule poussée dans mes reins. Il remet ses mains sur mes seins et tout en les massacrant, il commence son enculage violent. Je crie, je pleure, puis je gémis et enfin, je hurle ma jouissance. Mes sphincters serrent sa bite qui durcit de plus en plus. C’est incroyable même quand il m’a sodomisé pour la première fois, je n’ai pas ressenti un tel plaisir. Là, j’ai l’impression d’avoir dans le cul une batte de base-ball, à la place d’un sexe.
Marcel me défonce encore et encore, il veut que ça dure le plus longtemps possible. Mais après plus de dix minutes de ce régime il ne peut plus résister et il se répand dans mes entrailles. Que c’est bon ! Je m’écroule épuisée. Un flot de sperme s’écoule le long de mes fesses. Il se baisse et me présente son membre débandé pour que je le nettoie. Je l’empoigne et le lèche avec volupté, semblant ignorer qu’il sort de mon fondement.
Je le regarde, vaincue, domptée définitivement.
Marcel me demande de m’allonger sur le lit, les bras et les jambes en croix. Il prend son sac d’où il sort des godes de différentes tailles, des menottes pour attacher mes poignets et mes chevilles aux montants du lit. Je me laisse faire sans rien dire me demandant bien ce qu’il veut faire ? Il me rehausse les fesses avec un coussin. Il choisit dans la panoplie un phallus artificiel de taille moyenne, trois cm de diamètre pour quinze cm de longueur et il me l’enfile délicatement, celui-ci dans l’anus.
Cette intromission est facilitée par le sperme qui baigne mes parois. Grâce à une télécommande, il met en route le vibrateur que contient ce godemiché. Je commence à gémir ! Il arrête cette action. Dommage, il ne veut pas que je jouisse encore maintenant.
Marcel s’adresse alors à moi en ces termes :
– Dans quelques minutes, un visiteur va arriver. Il a payé cher pour utiliser ton corps sans limites, hormis te sodomiser. Il utilisera ta bouche, ton sexe, tes seins comme il en aura envie. Tu ne devras rien lui refuser. Un simple refus de ta part et tu sais ce qui peut t’arriver. Tu as bien compris ?
Je lui lance un regard terrorisé.
– Oui, j’ai compris, comme je sais que tu me tiens, je ferai tout ce que tu veux.
On frappe à la porte. Je redresse la tête. Marcel va ouvrir et fais entrer Georges. Veuf de 55 ans, au teint rubicond, il ne respire pas la propreté depuis la mort de sa femme il y a un an.
Je lance un regard terrorisé à Marcel.
– Non, pas Georges ! Il est le patron de mon mari ! Il n’est pas très propre et il sent mauvais !
– Et alors ? Justement entre connaissance, on aime faire plaisir. N’est-ce pas Georges ? Quant à sa saleté, il faudra t’y habituer. T’es ma pute et ma pute n’a pas à choisir !
– Oui d’autant qu’elle me chauffe depuis un moment et que j’ai vraiment envie de la sauter. L’autre fois dans le garage, je me la serais bien faite tellement, elle faisait pute. Je ne savais pas qu’en payant je pourrai me la faire pour cinq cents euros, ce n’est pas cher.
– Merci Marcel pour cette belle offre. Je sens que je vais lui faire sa fête pendant un moment. Depuis que je n’ai pas baisé, il faut que je compense…
– Vous aurez tout le temps qu’il faudra et vous pourrez renouveler l’expérience à condition que je sois toujours présent. Seul son cul vous est interdit. D’ailleurs il est déjà rempli par un gode vibrant que j’actionnerais grâce à sa télécommande pour accentuer votre plaisir à tous les deux. Ah ? Une dernière chose Nicole, Georges a une particularité. Vous voulez lui montrer ?
A ces mots, Georges se déshabille complètement, tel un serpent qui jaillit de sa boite, il bande déjà, libère son sexe qui s’avère monstrueux ? Près de trente cm de long pour un diamètre en rapport. Je suis horrifiée à la vue d’un tel engin.
– Alors qu’en penses-tu ma petite Nicole ? Tu vas voir comme je vais te faire du bien. Ma femme, Dieu a son âme, ne pouvait pas s’en passer.
– Jamais, je ne pourrai absorber une telle bite. En plus elle est sale.
– Quand tu m’auras sucé, ça ira mieux. Tu t’y habitueras. Et ne t’avises pas de vomir quand tu avales mon sexe.
Marcel surenchérit en me rappelant tout ce que j’ai promis. J’acquiesce du regard, maté encore une fois.
– Bon dans la position où tu es, on va commencer. Je vais te bouffer la moule et tu vas me lécher le cul pendant que je mettrais ma matraque entre tes seins. T’as compris ?
– Oui.
– On dit ? Oui patron !
– Oui patron.
Georges se met en position. Marcel commence à filmer la scène, car c’est digne d’un grand porno. Il abaisse son cul sur ma bouche, je détourne la tête, vaincue par l’odeur de saleté que dégage son anus.
Marcel filme en gros plan, tel un metteur en scène, il nous donne des indications :
– Allez, Nicole bouffe lui le cul !
– ?
– Bon, je m’en vais, c’est ce que tu veux ?
– Non.
– Alors vas-y !
Ma langue commence mon travail de nettoyage. Je suis au bord du vomissement, mais je résiste d’autant que Georges sait y faire avec sa langue qui me titille le clitoris et avec ses gros doigts qui s’introduisent dans ma grotte, vite remplacés par sa langue. Je gémis et fais pénétrer moi aussi ma langue, mais dans son anus. J’ai vaincu mon dégoût, encore une étape de mon avilissement franchie.
Les mains de Georges étant libres, il en profite pour presser mes seins contre sa grosse bite qu’il fait aller et venir pour se branler entre eux. Ce traitement à cette femme qu’il n’aurait pas, même dans ses rêves, envisagé de baiser, conjugué à une longue période d’abstinence, font que son sexe est vite secoué par une suite d’éjaculations abondantes. C’est à ce moment que Marcel presse la télécommande du godemiché pour la mettre au maximum de vibrations, ce qui m’entraîne un orgasme fulgurant.
Georges se relève, se tourne et va se faire nettoyer, en finale, sa bite malodorante par ma bouche. Je le suce avidement sans aucun dégoût cette fois.
– Merde ! Elle est vraiment bonne. Je sens que je ne vais pas tarder à remettre le couvert. Mais cette fois-ci j’aimerais que ce soit elle qui agisse de son plein gré. Je veux qu’elle me fasse la totale. On va la détacher si tu veux bien.
– OK ?
Ni une, ni deux, il m’enlève les menottes. Je suis désormais libre comme l’air. Mon corps est couvert du sperme de Georges et j’ai toujours le gode dans le cul. Georges pose alors une question :
– Tu m’as dit que tu avais des accessoires ?
– Oui, j’en ai plein dans ce sac que j’utilise avec elle. Tu veux les voir ?
– Oui, je dois reprendre des forces et en attendant, j’aimerais m’amuser avec son corps.
– Tu peux tout lui faire, elle ne dira rien. Y a que son cul qui m’appartient exclusivement.
Marcel étale alors sur la table de la chambre tout un lot de produits divers et variés : des godes de différentes tailles et de différentes formes, des boules de geishas, des plugs, des pinces et des étaux à seins, des pinces à clito, une pompe à vide et même un fouet qu’il n’a jamais utilisé.
– Alors qu’est-ce qui vous ferait plaisir d’utiliser en premier sur elle ?
Son regard de vieux pervers s’anime alors, malgré mon accord, je commence à blêmir, car je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangée vu les outils qu’il a déballés devant mes yeux.
– Je trouve qu’elle a de très beaux seins qui demandent à être un peu travaillés.
– Je pense que c’est une excellente idée. Compressés dans des étaux avec des pinces sur les tétons par exemple, je pense qu’on doit arriver à la faire jouir rapidement vu sa soumission. Elle a déjà un gode vibrant dans le cul, on pourrait en plus la pénétrer doublement dans la chatte avec cette grosse queue qui imite parfaitement le sexe d’un noir. Ça la préparera pour votre gros sexe dès que vous serez en forme à nouveau.
– Allons-y ! J’ai hâte de voir ses réactions.
– Laissez-moi faire Georges, j’ai l’expérience, je sais arrêter quand il faut.
Je n’en mène pas large, car ils vont me faire découvrir d’autres dépravations. Pour être plus à l’aise, Marcel me demande de me mettre en travers du lit, la tête pendante hors de celui-ci.
Marcel prend sur la table un premier étau à seins. Cet instrument est constitué de deux barrettes métalliques, recouvertes de plastique pour ne pas blesser, dans lesquelles sont enfilées deux tiges filetées terminées par des écrous à oreille qui assurent le serrage. Marcel desserre les vis au maximum, il fait glisser mon sein droit entre les deux barrettes, puis il enfonce l’outil en profondeur jusqu’à obtenir une certaine résistance montrant qu’il est au maximum. Il fait de même pour mon sein gauche.
Il demande à Georges de le rejoindre pour commencer à serrer les vis de concert afin que mes deux seins soient comprimés en même temps. Il en profite pour passer son sexe sur mon visage. Ils commencent le serrage régulier des écrous à oreille. Mes seins bleuissent légèrement et ressemblent à des ballons de baudruche mal gonflés. Je leur dis qu’il me fait mal, alors Marcel décide d’arrêter. Il prend des pinces à seins qu’il installe sur chacun de mes tétons étirés par les piercings. A chaque pose, je pousse un cri de douleur, puis je gémis en permanence, je n’y m’habituerais jamais.
Marcel vient glisser deux doigts dans ma grotte qui est trempé. – Elle commence à jouir Georges ! – Alors ?. On peut lui enfoncer le gros gode dans la chatte. Elle est prête ? Il a beaucoup de mal pour le faire entrer, car je suis étroite à cause de celui qui est enfoncé dans mes reins, ça ne facilite pas l’intromission. Il force ce con ? Je crie, il insiste, au fur et à mesure, il gagne du terrain, il arrive à le faire entrer jusqu’à la garde.
C’est fou comme mon vagin peut être élastique. J’ai le visage couvert de sueur.
– Je crois qu’elle est maintenant apte à recevoir ma grosse bite.
– Je crois aussi. Tu en penses quoi ma belle ?
– ?
Ce salaud de Marcel enclenche la télécommande et les deux godes se mettent à vibrer au maximum. Je suis agitée par des soubresauts qui annoncent un orgasme proche.
– Allez Georges, profitez en !! Elle est en bonne position pour lui faire une gorge profonde. Jouissez dans sa bouche, elle n’attend que ça !
Georges bande comme un âne et lui enfourne son énorme sexe dans ma gorge. Il atteint mon larynx alors qu’il reste encore au moins dix centimètres au dehors. J’étouffe, il ressort un peu pour me laisser respirer, il tire sur les deux pinces serrées sur mes tétons. Je pousse un cri, mais c’est de bonheur, car je suis à deux doigts de l’orgasme sous l’action combinée des deux godemichés, de sa bite dans ma bouche et de l’étirement de mes seins. La douleur se transforme en jouissance ?
C’est ce moment que choisit Georges pour expulser sa semence en enfonçant son sexe carrément dans ma gorge, sous ce dernier assaut, je suis agitée par un orgasme si fort que je n’ai jamais eu jusqu’à présent. J’étouffe, mais il a l’élégance de se retirer un peu pour me laisser respirer. J’en profite pour tout avaler.
– Tu as aimé ?
– Patron Georges ? Vous êtes un vieux vicieux ? J’ai aimé tout ce que je viens de subir. Je suis devenue une salope et vous m’avez traitée comme telle. Vous êtes moche, dépravé, mais j’ai apprécié toutes les cochonneries que vous me faites faire et les sévices que vous me faites subir, plus particulièrement ce que vous avez effectué sur mes seins.
– Tu veux que Georges te défonce avec sa matraque ?
– Oui ! Pourquoi pas ?
– Alors, je sens que tu vas déguster, car il est en forme pour son âge et tu n’es pas près de l’oublier !
Marcel me débarrasse de tous les accessoires y compris le gode dans mon cul, il me laisse me réinstaller normalement sur le lit.
Quelques minutes de repos le temps que Georges reprenne de la vigueur. Il s’allonge auprès de moi sur le côté et commence à me caresser les seins.
– Hum, ils sont bien gros, bien fermes comme je les aime. Tes tétons sont durs, je vais te faire jouir uniquement en les étirant et en les pressant. Tu vas voir comme c’est bon.
– Oh oui patron, continue comme ça ! C’est bon ! Encore ! Encore ! OUUIII ! Je jouis !
– Allez ! Embrasse-moi pour me remercier !
Il se penche sur moi et approche sa bouche à l’haleine fétide pour lui rouler une pelle. Je détourne la tête, mais il me la maintient fermement et force mes lèvres pour faire entrer sa langue. J’abdique et répond à son baiser.
– On sent le goût de mon sperme dans ta bouche. J’espère que tu as apprécié ?
– Bon, passons aux choses sérieuses ! Suce-moi pour me faire bander à nouveau !
Je me penche sur lui et entame, pour le plus grand bonheur de Georges, une fellation divine.
Je lui lèche les bourses, la raie du cul, remonte le long de sa tige qui durcit de plus en plus vu le traitement que je lui fais subir, j’avale son gland énorme. Il est désormais raide comme du bois !
Georges me fait basculer, me relève les jambes qu’il écarte au maximum, se met au-dessus de moi et frotte sa bite contre mon clitoris. Puis, s’aidant de sa , il commence son introduction. Je souffle, j’ai un peu peur, mais finalement, je me détends. Sa lente progression continue. Il se retire un peu, puis rentre à nouveau un peu plus loin, gagnant du terrain à chaque poussée.
Il est dur comme du bois, mais après dix minutes d’efforts constants, il crie :
– Ça y est ! tu as tout avalé ! Tu me sens au fond de ta chatte ?
– Oh ! Oui ! Vous me remplissez bien ! Je ne pensais pas pouvoir absorber un tel engin.
– Ce n’est pas fini ! Que la fête commence !
Georges commence alors un pilonnage en règle de mon puits d’amour. Après quelques allers et retours rapides, je commence à jouir, Il fait sortir entièrement sa bite et la replonge brutalement au fond de mon puits d’amour. Ça me déclenche un premier orgasme. Mais il ne s’arrête pas là.
Pendant plus d’une demi-heure, il continue ce processus brutal sans baisser de rythme. Il prend son temps et profite de mon corps, j’en bave de bonheur, je lui crie que je n’en peux plus de jouir, mais que j’en veux encore, je lui hurle mon plaisir…
Il décide alors de changer de position et de me prendre en levrette. Il empoigne mes seins, joue avec les piercings, se lève à moitié et reprend sa copulation. Je n’en peux plus, je m’écroule à plat ventre sur le lit, il continue, il ne débande pas. Il ne veut pas finir, il maîtrise son éjaculation. Il ressort son sexe puis s’allonge sur le dos et me jette un ordre :
– Viens t’empaler sur ma bite salope !
Je m’exécute, je me mets à cheval sur lui, puis fait pénétrer à nouveau l’énorme queue dans mon puits d’amour.
– Allez ! Fais toi jouir toute seule rien qu’en contactant ton vagin.
J’entame le travail demandé, je ne tarde pas à jouir une énième fois, je m’écroule sur sa poitrine, il n’a toujours pas joui ?
Marcel ce met sur le lit, pose son gland à la petite porte de mes reins, et d’un seul coup, d’un seul, il m’encule profondément. J’ai maintenant deux sexes en moi en sandwich. De concert, ils alternent les entrées et sorties de mon anus et de ma grotte, les deux à la fois, puis l’un, puis l’autre. Je gémis, leur dis que c’est trop bon que je n’aurais jamais voulu rater ça. Ils sont inépuisables. Ils accélèrent le rythme, sans nous concerter, nous poussons tous les trois un ultime rugissement qui s’achève dans un orgasme fulgurant pour moi et pour eux par des éjaculations successives dans mon fondement et mon puits d’amour.
Une fois libérée, je dois les nettoyer à tour de rôle.
La séance est terminée. Nous sommes tous épuisés et Georges est heureux d’avoir baisé la femme de son meilleur ouvrier. Il va faire des économies pour pouvoir continuer ce genre de rencontres.
Marcel me ramène chez moi lessivée, il me dit qu’il me prépare à d’autres expériences. Je comprends maintenant comment Marcel connaît les jours d’absence de mon mari.
Il m’embrasse goulûment sur le pas de la porte et me dit:
– Tu es à nous quoi que je te fasse faire !
Sam Botte
Ajouter un commentaire