Nicole découvre le fist
Dimanche Jacques veux faire un balade du côté du hameau de Marcel, je le persuade de faire
Le tour du lac. Je ne veux pas rencontré Marcel dans mon lieu de supplice et de turpitude
nous avons fait l’amour, mais malgré que j’ai pris du plaisir je n’ai pas eu d’orgasme comme ceux que Marcel me donne lors de ses séances.
Je passe une semaine tranquille mon tourmenteur est en congé.
Ce jeudi soir je prépare un sac de voyage Jacques part demain matin en déplacement sur la côte tunisienne, pour réparer un bateau d’un riche du pays, bientôt les croisières vont recommencées.
Il ne doit rentrer qu’a la fin de semaine prochaine.
Aujourd’hui vendredi après midi je me retrouve nue au bord du lit dans l’écurie de Marcel.
Me prenant la main et le sac, il me mène dans la grange à l’échelle qui sert pour l’étage à foin
M’y adosse, sort deux paires de menottes du sac, lève mes bras au-dessus de ma tête, attache mes poignets à un barreau en hauteur ça me tire aux épaules, mes seins remontent.
Mes pieds reposent au sol, un barreau au milieux de mes reins me fait sortir le ventre. Marcel me prend les pieds, les remontent de chaque coté de mon corps, mes genoux plient. Il les pose sur le plus haut barreau possible, je me retrouve les cuisses pliées, écartées dans cette position je ne peux redescendre mes jambes, je suis bloquée.
Mes fesses repose partiellement sur un barreau et un autre me cambre les reins. Mes deux puits d’amour sont livrés à sa vue, à sa merci, ils sont offert avec obscénité.
Il passe son gland sur mon anus, remonte en écartant ma grotte jusqu’au clito, c’est bon.
Par quel trou va t-il me prendre, j’attends dans l’angoisse, mon sexe baille, mon cul ce serre.
Il colle sa bouche à la mienne nos langues ce mélangent, son baisé me fait fondre, il émoustille mes sens.
Mon puits d’amour s’ouvre sous la poussée de sa queue. Je la sens glissée avec douceur tellement je suis humide. IL attrape le bout de mes seins les roulent dans ses doigts, ils bandent de plus en plus. J’aime qu’on triture mes tétons, il donne des coups de reins lent et puissant, il ressort pour mieux replonger au fond en écrasant mon petit bouton, je suis au bord de l’orgasme. Ma grotte enserre cette queue palpitante avec des petits spasmes de plaisir ? Il accélère le mouvement , à grands coups de rein il vient taper au fond de ma grotte d’amour.
Son pubis écrase mon clito, le plaisir monte a chaque de ses reins, du fond de mon ventre.
Sa bouche ce colle à la mienne grande ouverte pour taire le cri de ma jouissance qui explose
de milles feux, je boit son râle de plaisir qu’il déverse à grands coups de rein au fond de moi.
Nous reprenons notre souffle, soudé ensemble, moi toujours prisonnière de cette échelle.
Il se retire de mon antre, masse ma moule, graisse sa main de son sperme et de mouille qui sort de mon puits d’amour.
Il rentre quelques doigts dans ma grotte, il me fouille, pousse ses doigts en cône dans l’entrée de ma moule qui baille du plaisir reçue. Il entreprend un va et vient avec ses quatre doigts en pointes puis y ajoute son pouce qui les colles, ma grotte s’élargit encore.
Sa main recule puis la renfonce toujours un peu plus loin, il pousse encore toujours plus loin sa main dans ma grotte d’amour.
Il est fou !! Il va pas rentré sa main entière dans mon puits d’amour, il va le détruire ?
Je sens la bosse des phalanges sur mon entrée, il pousse d’un seul coup sa main en la tournant. Je sens mes chair s’écarter largement, bien plus qu’avec une grosse bite.
– AAAIE !! Toute sa main est rentrée dans mon puits d’amour, je sens mes grandes lèvres sur son poignet.
C’est pas vrai ! Je regarde ce qu’il a fait ? Sa main est entrée en totalité. Il l’a enfoncée jusqu’au poignet. J’ai mal et je ressent un plaisir étrange. La douleur disparaît pour faire place à un plaisir malsain. Il me semble être prise pas un cheval. Ça passe dans mon inconscient en un éclair, submergé par le plaisir qui arrive.
Maintenant il tourne sa main de droite à gauche, remue un peu ces doigts, il sourit d’un air triomphale.
J’ y crois pas ! Je me sens envahie par cette main, ma grotte va craquée, drôle de sensation.
Il entame un va et vient, son poing fermé vient butter sur le seuil de ma grotte puis repart taper fort
sur mon utérus, petit à petit je m’abandonne à cette douleur qui devient du plaisir.
Mes gémissement s’accélèrent aux rythmes de ses coups de poing dans mon puits d’amour. Marcel profite de mon relâchement musculaire du a la jouissance pour enfoncé un doigt dans mon anus relâché par le plaisir. Je ne suis pas au bout de mes surprises, outre un puis deux puis trois doigts, puis rapidement il en rentre ainsi toute sa main enduite sûrement de son sperme. Il l’a fait si rapidement que je n’ai pas rein faire pour l’empêcher. Maintenant toute sa main est dans mon anus.
Marcel calque ses allers et venue sur ceux de son autre main que est dans mon puits d’amour. J’ai un peu mal au début, le plaisir remonte vite, décuplé par rapport à la dernière sodomie de Marcel. Cette double pénétration est nouvelle pour moi, mais tellement bonne.
Ma tête secouée dans tous les sens, j’atteins mon deuxième orgasmes dans un cri libérateur.
Je deviens son jouet sexuel entièrement soumises a ses fantasmes, mon corps lui est acquis. Je jouis deux ou trois fois, je n’en sais plus rien.
Ma tête repose sur mon avant bras, je redescends sur terre les yeux encore humides de plaisir. Les mains de Marcel sortent de mon ventre lentement dans un bruit de succion, un air frais s’engouffre dans mes puits d’amour. Je ressens une soulagement et un vide. Il m’embrasse sans cesse.
Marcel lèche son poing qui était dans mon puits d’amour d’un air gourmand, ses yeux dans mes yeux, il jubile de triomphe.
Son poing bien léché, il tire sur mes pieds, les descends sur un barreau inférieur, je repose mes fesses sur un barreau de l’échelle mes jambes sont ankylosées, mes bras libérés retombent sur ses épaules.
C’est avec son soutient que je regagne le lit pour m’écrouler complètement vannée.
C’est fini pour aujourd’hui mais je dois m’attendre à d’autre nouveauté les prochaines fois.
Je rentre chez moi et me met sous la douche. Je laisse couler l’eau longtemps sur moi avant de me laver au savon.
Je prend la suite des aventures de Nicole, elle ne veut pas ce confier sur sa masturbation.
Nicole est réveillée dans son lit par la sonnerie de son téléphone. C’est son mari Jacques qui l’appelle de Tunisie. Nicole l’écoute parler pendant trente minutes et elle a du mal à lui répondre. Son esprit se remémore les événements de la veille dans la grange.
Tandis que Jacques va finir son appel, il demande :
– Nicole ? Tout va bien ? Tu sembles lointaine et pas à l’écoute.
Sa femme ment :
– Chéri, j’ai eu une rude journée hier. Je me suis endormie direct en arrivant à la maison. Quand rentres-tu mon chéri ?
– Je suis désolé ma chérie. Mon patron m’a dit que je devais prolonger mon séjour pendant encore deux à trois semaines. Il semble que la panne est plus importante que prévu et il y a un deuxième bateau à réparer. Mon patron n’a pas les moyens d’envoyer quelqu’un d’autre. D’accord ma belle ?
Nicole, presque en colère, dit :
– Est-ce que j’ai le choix Jacques ? Je suis d’accord mais je ne vais pas rester à t’attendre assise à la maison. Je pense que je vais aller voir ma sœur dans sa maison près de la plage pour le week-end. Ça te va?
Jacques détecte tout de suite la colère de sa femme alors il répond :
– Bien sur chérie. Prends le temps d’aller voir Michelle. Je suis sur qu’elle sera contente de te voir.
Ensuite, Nicole dit au revoir à son mari et qu’elle l’aime. Elle sait que ce voyage vers sa sœur n’est pas pratique en ce moment. Étant donné qu’il faut qu’elle se sorte de ce chantage, que son mari soit absent un peu plus lui laisse le temps pour se préparer pour un bon alibi de ses absences répétées.
Elle n’ira pas rendre visite à sa sœur c’était un prétexte pour justifier son absence téléphonique.
Allongée dans son lit, l’esprit de Nicole revient à l’épisode avec Marcel qui l’a attachée sur l’échelle. Elle se souvient, la sensation de ses mains sur ses seins, ses jambes puis sur sa toison pubienne et de ses deux poings qui rentrent dans ses deux puits d’amour. Marcel l’a fait découvrir une autre façon pour jouir Elle n’avait jamais été aussi remplie.
Lentement, les mains de Nicole descendent le long de son corps et de sa nuisette en soie blanche. Quand ses mains trouvent l’ourlet de celle-ci, elle la remonte jusqu’au-dessus de ses seins.
La main droite de Nicole repose sur sa touffe de poils pubiens. Marcel a dit qu’il est dégoûtant d’avoir une telle quantité de poils.
Espiègle, Nicole tire sur ce monticule de poils avant que sa main se pose sur sa chatte déjà humide. Son index trouve son clitoris déjà brûlant et humide de son jus. Elle commence lentement à stimuler son clito avec des mouvements circulaires du doigt.
Sa main gauche monte jusqu’à sa poitrine et trouve ses tétons dressés. Son pouce et son index se ferme sur un mamelon pour le pincer doucement, provoquant encore plus le durcissement du téton.
Tandis que les doigts de Nicole travaillent sur sa chatte poilue, elle tord plus brutalement ses mamelons. Elle tourne la tête sur le côté et se rappelle du petit atomiseur de déodorant dans le tiroir de la table de chevet.
Elle tend la main et attrape l’objet pour placer la tête sur les lèvres de son puits d’amour. Tout en se rappelant le poing d’hier après-midi, elle enfouit la tête de la bombe entre ses lèvres et la fait glisser lentement dans sa bouche afin de l’humidifier pour qu’elle pénètre plus facilement sa grotte.
La main gauche de Nicole retourne sur sa moule afin d’en écarter les petites lèvres. La main droite sort la bombe de sa bouche pour l’abaisser vers sa grotte brûlante. Tandis que la tête de l’objet pénètre lentement son vagin, elle laisse échapper un cri quand elle trouve son point G. Les pensées de notre Nicole reviennent a la grange et aussi a la réserve.
Alors qu’elle baise sa moule avec la bombe de déodorant, son corps commence à trembler et annonce plusieurs orgasmes intenses. Elle accélère le mouvement tout en s’aidant des hanches qu’elle bouge en rythme. Elle crie de la douleur qu’elle inflige à ses mamelons, une douleur qu’elle associe au plaisir infligé par la bombe dans son vagin. Puis, à un moment, la tête du gode improvisé trouve le point qui fait exploser le corps de la femme dans un orgasme qui lui coupe le souffle.
Tandis que ce premier orgasme s’estompe, Nicole continue à baiser de plus en plus vite sa grotte humide avec la bombe.
Puis la dernière poussée du gode improvisé dans son ventre entraîne un nouvel orgasme puissant. Toutefois, le besoin de jouir de la femme lui fait écarter encore plus les jambes afin d’introduire encore plus durement l’objet en elle. Jusqu’au moment où elle crie de bonheur pendant son troisième orgasme.
Quand Nicole est en mesure de reprendre ses esprits après ces trois orgasmes, elle remarque que sa nuisette est complètement trempée de sueur, même si elle est remontée au-dessus de ses seins. Elle pose l’atomiseur sur la table de chevet, elle écarquille les yeux en voyant que l’atomiseur a un bouchon qui aurait pu resté dans son puits d’amour ? Ouf ! Elle doit y pensé la prochaine fois.
Elle saute du lit, enlève la nuisette et va prendre une douche. Tandis que l’eau chaude coule en cascade sur son corps, elle se lave avec un savon parfumé lilas. Elle frotte son corps et commence à se détendre en profitant de la sensation de ses mains sur sa peau. Mais soudain elle se dit : – Arrête donc !!! Pourquoi je me caresse ainsi et pourquoi je n’arrive pas à arrêter ?
Rapidement, Nicole ferme l’eau de la douche et se tamponne la peau avec une serviette éponge. Ensuite elle se masse avec ses lotions et huiles préférées. Elle se tourne pour se regarder dans le miroir. Elle contemple sa toison de poils au-dessus de son sexe. Elle sèche ces poils puis attrape son peignoir en soie qu’elle enfile. Elle met les pieds dans ses pantoufles à talons et descend l’escalier pour rejoindre la cuisine. Elle se verse une tasse de café chaud, met une moitié de sucre et allume la télé pour regarder les nouvelles du matin.
Sam Botte
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