Histoire de sexe L’autre jour, j’ai reçu l’une de ces petites lettres que nous redoutons tous : une convocation pour un putain de devoir de juré ; et bien sûr, il fallait que ce soit le jour où j’allais aller dans la cabine de bronzage. J’aurais voulu m’y soustraire, mais je me suis dit qu’il n’y avait aucune chance que je me soustraie à mon devoir de juré demain et que j’étais foutue !
Le lendemain, je me suis donc levée tôt, j’ai mis ma plus belle mini robe et je me suis rendue au palais de justice. Quinze minutes après avoir franchi la porte, nous avons été escortés tous les douze dans la salle d’audience vide. On nous a donné à chacune un petit questionnaire à remplir sur ces chaises inconfortables. Du coin de l’œil, tous les jurés masculins avaient du mal à garder les yeux sur le papier. Après avoir rendu mon questionnaire, le juge a demandé à l’huissier de me faire entrer dans son bureau. Après que l’huissier a fermé la porte derrière moi, je lui ai demandé si mes réponses posaient problème et, secouant la tête, il a répondu “non”. Il m’a offert un siège et m’a dit qu’il m’avait remarqué lorsque j’étais entré dans la salle d’audience et qu’il voulait juste me parler en privé pendant un moment.
C’est alors que le juge m’a demandé si je voulais vraiment faire partie du jury pour cette affaire à venir, j’ai été franchement honnête en le regardant dans les yeux et j’ai dit “non. Il a gloussé et ses yeux se sont fixés sur mes tétons très durs, me demandant si je voulais partir. “Bien sûr”, ai-je répondu, “j’ai besoin de bronzer”. Se léchant les lèvres, le juge m’a choquée par ce qu’il a dit ensuite. D’accord, Mademoiselle, je vous laisserai partir si vous relevez votre robe et si vous me montrez cette culotte que vous avez mise. Je savais que je ne pouvais pas discuter avec un juge, alors j’ai attrapé l’ourlet de ma robe et je lui ai montré ma culotte en dentelle rose. Ses yeux sont presque sortis de sa tête, il a fait le tour de son bureau et a baissé ma robe, ce qui a fait ressortir mes seins. Le juge a saisi mes tétons avec ses lèvres et a commencé à les faire durcir tout en frottant mon clitoris à travers ma culotte.
Je commençais à mouiller à chaque seconde. En tirant ma culotte sur le côté, le juge de 40 ans s’est mis à genoux et a baisé ma petite fente serrée avec la langue. Je sentais mes genoux faiblir. Je l’ai tiré de ses genoux et je l’ai embrassé profondément en goûtant ma chatte sur sa langue, m’allongeant sur son bureau. J’ai soulevé son peignoir, dézippé son pantalon de costume et j’ai sorti ma bite dure comme un roc de 20 cm. Il s’est enfoncé dans ma petite chatte si fort que son bureau s’est mis à crier sur le sol. Juste au moment où il était sur le point de tirer son épais chargement, il a retiré sa bite de ma chatte et m’a retournée pour me l’enfoncer dans le cul en le remplissant de chaque goutte de son sperme chaud.
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