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Histoire de sexe Je l’ai surpris en train de se masturber…

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Histoire de sexe La première séance photo que Jonathan m’avait improvisée datait déjà de quelques mois. Bien que mon mari n’en eût rien su, aujourd’hui c’est entendu et nous avons décidé d’un commun accord de ne jamais en reparler avec Jonathan.

C’était une de ces semaines de novembre où Hervé voyageait, Jonathan m’avait envoyé un petit SMS, gentil, attentionné, mais en forme d’invitation. Je trouvais l’idée originale de m’inviter chez nous, pour un dîner que de toute façon nous allions passer ensemble.

C’était prévu pour ce jeudi soir. Hervé était parti depuis la veille, je sentais chez Jonathan une certaine tranquillité, comme plus à son aise, un rien plus dégagé, comme si l’absence provisoire de son père lui procurait une place plus importante dans la maison.

Je suis rentrée vers 19h à la maison qui était très calme ; ce qui me fit dire que Jonathan n’était certainement pas encore de retour. Posant mes affaires, jetant un œil sur le courrier, je mis de côté deux lettres pour Jonathan, et décidais de ne pas regarder davantage les factures, pour monter dans ma chambre, me mettre à l’aise.

Arrivée sur le palier, je me dirigeai vers la chambre de Jonathan pour y déposer son courrier. J’ouvris la porte me dirigea directement vers son bureau, et c’est alors que je le vis sur son lit, allongé,  et surtout très gêné.

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« Bonjour mon chéri, tu es donc rentré ? ».

« Ben oui »

Me répondit-il , hésitant, emprunté. Je réalisai alors qu’il n’avait pas de pantalon, ni de slip, qu’il était à moitié nu, et qu’il gardait ses mains au niveau de son sexe pour se cacher.

« Qu’y a-t-il Jonathan… ?  Que fais-tu ?» « Mais rien… » répondit-il.

L’espace d’une seconde, comme pour m’échapper de cette apparente gêne que  j’attribuais à sa nudité, je fis un pas de recul pour sortir de la pièce. Et c’est alors que je vis son érection, et, son ordinateur portable posé à ses côtés.

Arrivée près de la porte, je ne sais encore pourquoi, peut-être pour m’en assurer, je me retournais et prononça cette phrase étrange :

« Ça va ? ».

« Ben oui… »

Répondit-il. Comme pour éviter les questions les plus dérangeantes, faisant comme si tout cela était banal, je lui demandai, « tu regardes quoi ? »

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« Une vidéo. »

Et plutôt que de m’en aller, revenant vers lui je lui demandai « quelle vidéo ? ». M’approchant, je vis que l’image était sur pause. Sans porter le regard sur son sexe, je lui dis d’un ton assez ferme, comme s’il ne pouvait y avoir de cachotteries.

« Eh bien montre-moi ».

Il remit la vidéo en marche, je vis une femme, assez élégamment habillée, visiblement dans une soirée chic. Il me fallut quelques secondes pour comprendre que cette soirée je l’avais connue, puisque c’était le dîner de mariage d’un neveu, et que cette femme ne m’était pas non plus inconnue, puisque c’était moi !

Cette vidéo me semblait interminable d’autant que je ne me rappelais pas avoir été filmée. Il y avait plusieurs séquences, assises en train d’écouter un discours, applaudissant, puis debout me dirigeant vers où ne sait où, même un gros plan sur mon visage, puis sur mes jambes et sur mes talons en train de danser avec mon mari…Des séquences d’une longueur incroyable. Jonathan était donc en train de se caresser en regardant cette femme en vidéo, en effet très (trop ?) sexy, qui n’était autre que moi !

J’avoue que je me suis sentie soudain bombardée de questions, qu’il interrompit « oui, cela m’excite beaucoup »…

« Mais qui a fait ce film ? »

« Moi », me répondit-il « tu ne te souviens pas ? »

« De la soirée ?, si bien sûr, mais du film, non, du tout, je n’ai rien vu ».

« Tant mieux, c’est très réussi. Tu es naturelle, c’est très bien ».

 J’avais remarqué qu’il avait évité de s’adresser à moi directement, préférant me parler la « qualité » de la vidéo.

J’osais alors la question :

« Mais, peux-tu me dire ce qui est excitant dans cette vidéo ? »

Il me dit «bien, toi… »

Puis il se lança et développa :

« …Cette robe fourreau qui te moule parfaitement, qui fait ressortir tes fesses, ton décolleté splendide, tes jambes… Et tes talons aiguilles, ton attitude,… Tout !…tu es hyperféminine. D’ailleurs, tout le monde te regardait… ».

Devant cette tirade de Jonathan, je restai ébahie.

J’étais là, debout, lui allonger sur son lit à moitié nu, une main pour cacher son sexe  en érection, et à côté, posé, son ordinateur sur lequel défilait cette vidéo…Avec moi dans le premier rôle.

Cette situation surréaliste m’intriguait, tant je réalisais à quel point depuis l’épisode de la première séance photo avec lui inaugurant son appareil photo numérique, il n’y avait plus de gêne, mais une pudeur simple presque agréable.

En même temps, je compris que je ne pouvais plus rester dans sa chambre, au milieu de cette scène d’intimité que j’avais rompue allègrement.

« Bon, je te laisse tranquille, à tout à l’heure »…

« Euh…Oui, c’est cela, à tout à l’heure… » me répondit-il, alors que je refermais la porte derrière moi.

Regagnant ma chambre, un certain malaise me gagnait ; je me sentais de plus en plus pétrifiée à l’idée que Jonathan fut là dans sa chambre en train de se satisfaire…En me regardant en vidéo !

Je ne savais plus si je devais faire attention à ne pas faire de bruit,…C’était étrange.

D’autant plus étrange que cette conversation m’avait finalement chamboulée.

Passant devant le vaste miroir de l’armoire dressing, je surpris mon image un peu défaite. Je décidais d’y remédier.

Après m’être recoiffée, j’eus envie de  me remaquiller, d’être jolie, belle, comme je me vis dans ce film. Je refis mes yeux charbonneux en noir, repris mes eye-liners, et ma bouche, par un trait de contour de lèvres et la pose d’un rouge vif.

Je décidai de me mettre à l’aise, ouvris la penderie faisant glisser la lourde porte.

Je saisis le long peignoir de satin noir que j’allongeai sur le lit.

J’avais retiré ma veste, mon top, et ma jupe.. J’étais en soutien-gorge, culotte, bas et porte-jarretelles. Je défis mon soutien-gorge j’étais enfin à l’aise, libérant mes seins totalement.

Après une petite toilette intime rafraîchissante je ne remis pas de culotte estimant que ce n’était pas nécessaire pour la maison. Après avoir enfilé mon peignoir de satin, je glissais mes pieds dans une paire de mule à talon aiguille dotée d’un pompon de fourrure sur le devant.

J’apercevais le vernis rouge de mes ongles à travers le voile de mes bas.

Ceinturant mon peignoir, je sortis de ma chambre, je m’apprêtais à prendre l’escalier quand j’entendis Jonathan m’appeler depuis la sienne.

Je m’approchai donc de sa porte fermée « qu’y a-t-il ? »

Un silence et puis, « Entre ! »

J’ouvris la porte et entrai dans sa chambre. C’est alors que je vis Jonathan dans la même position que lorsque je l’y avais laissé., à ce détail près qu’il tenait son sexe à pleine main sans tenter de se cacher.

Il me dit « je n’y arrive pas »

« Tu n’arrives pas à quoi ? «

« À jouir !. »

Je restais à nouveau médusée par ses mots, tout en essayant de garder une sorte de distante pudeur.

« Bon, et alors, je n’y peux rien, c’est ton problème. »

« Si ! Prends le fauteuil du bureau et assieds-toi ».

Je déplaçai le confortable fauteuil en cuir du bureau, puis pris place.

Nous nous sommes regardés quelques secondes qui me parurent une éternité, et, voyant son regard se posant sur mes seins, et l’encolure de mon déshabillé, je compris.

Je ne dis rien, d’une main fis glisser la ceinture de mon peignoir et en ouvrit les deux pans face à lui. Je mis une cuisse sur l’accoudoir, pour m’ouvrir davantage à son regard, ce qu’’il attendait.

Il reprit alors son mouvement des va-et-vient au début assez souple et doux ; je voyais son regard très brut se poser sur mon visage, mes seins lourdement exposés, ma toison fournie encadrée par ce porte-jarretelles de satin noir.

Puis, accélérant le mouvement pendant quelques instants, dans un râle profond, je vis soudain jaillir plusieurs jets blanchâtres et puissants se rependant sur lui, sa main et les draps de son lit.

Je le vis alors se détendre, posant sa tête en arrière sur sa tête de lit, le regard dans le vague.

Refermant mon peignoir, je descendis à la cuisine me servir un verre de vin blanc frais.

Véronique

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