Histoire de sexe Marie-Claude, la mère de Muriel est allé réveiller son futur gendre mais quand elle le surprend endormi dans son lit, elle ne peut résister à l’appel de la formidable bite couchée sur son ventre et s’empale dessus pendant son sommeil.
Voici le récit que Marie-Claude m’a demandé d’écrire, avec la participation des intéressés, ce récit remonte à 2014, et est édité par Véronique .
La mère de Muriel est une jolie femme de 40 ans, 1,75 avec une belle poitrine de 95 D, qui depuis ce matin-là ne peut plus se passer de l’énorme bite de son futur gendre Damien.
Muriel descend et se dirige vers la cuisine, boit rapidement un verre de lait puis regarde sa mère et lui explique :
« Il faut que je fasse quelques emplettes. Maman j’en profiterai pour faire un jogging, tu pourras aller réveiller Damien pour moi ? Il ne va quand même pas dormir tout le temps qu’il est là. Je reviens dans environ une heure ».
Marie-Claude, pensive se demande pourquoi sa fille n’est pas descendue avec Damien et se rappelle les cris presque ininterrompus de sa fille, la nuit dernière, sous les coups de pine de son fiancé et ce qu’elle a entre-aperçu dans le noir l’intrigue.
Marie-Claude raconte :
Toujours en nuisette, je me dirige vers la chambre de ma fille et frappe doucement à la porte.
Pas de réponse.
Je tourne la poignée, ouvre la porte et entre dans la chambre.
Je m’immobilise complètement estomaquée quand je vois le corps nu de Damien avec sur son ventre un pénis fabuleux en semi-érection.
Je murmure doucement :
« Damien, il est l’heure de se lever ! »
Il ne réagit pas, je m’avance vers le lit et me penche pour le toucher l’épaule et répète :
« Damien, réveille-toi… »
Je l’entends respirer doucement, mes yeux ne peuvent plus se détacher de son sexe, « mon Dieu quel phallus ! » Sa grosseur est incroyable, je n’ai jamais vu ça, même le géniteur de Muriel qui pourtant est bien monté ne rivalise pas avec ce que je vois !
« Mon Dieu,,, à quoi je pense… »
Je caresse sa poitrine en disant doucement :
« Damien il faut se lever… »
Il ne réagit toujours pas et ma main glisse doucement vers son bas-ventre.
« Damien… Debout jeune homme… »
Comme il ne répond pas, ma main s’enhardit pour se retrouver sur son pénis qui l’attire comme un aimant.
« Oh mon Dieu, qu’est-ce que je fais ? »
Je caresse doucement sa bite si douce si chaude et murmure :
« Tu dois être encore fatigué après vos ébats de cette nuit, tu as dû donner tout ce que tu pouvais pour faire jouir ma fille tant de fois ».
Je me comporte comme une salope, merde c’est le fiancé de ma fille ! » « Mais Dieu, il a une telle bite si attirante ! » « Oh mon Dieu, que dirait ma fille si elle savait l’effet qu’il me fait ? »
Ma respiration, s’accélère en regardant cette énorme queue. Fascinée par ce sexe je me penche en avant et gobe délicatement entre mes lèvres son gland violacé dans ma bouche avide.
Il gémit doucement et je n’ose plus bouger de peur de le réveiller avant de reprendre doucement ma fellation. Je titille de ma langue autour de sa pine en insistant sur le prépuce ce qui le fait gémir à nouveau.
J’avale presque entièrement sa bite qui prend une taille fantastique en continuant de grossir et de durcir, j’en ai plein la bouche, j’entends un gémissement plus fort, mon Dieu, qu’il ne se réveille pas maintenant.
Je suis comme folle ne sachant plus ce que je fais.
Je retire ma bouche de cette jeune bite la tenant d’une main, enjambe son corps et me mets à cheval au-dessus de sa queue orgueilleusement dressée et la frotte sur mes grandes lèvres en m’excusant d’avance en pensée à Muriel.
« Pardonne-moi mais je ne peux plus résister à l’appel de ce monstre. Damien, s’il te plaît ne te réveille pas encore ».
Et lentement je me laisse descendre, ma fente s’écarte sous la pression de son pieu, je gémis :
« Oh mon Dieu, ce n’est pas possible d’avoir une si grosse queue, elle est énorme ! » « Oh Muriel pardonne-moi de profiter de ton amoureux ».
Mon bassin s’active sur cette interminable bite en la prenant entièrement dans ma chatte et commence à faire des va-et-vient très lents puis de plus en plus rapides avant de la retirer presque complètement hors de moi quand soudain j’entends :
« Bonjour Marie-Claude ! Vous avez une drôle de façon de me réveiller ! »
Je veux fuir et essaie de m’éjecter de son manche mais ses mains attrapent rapidement mes hanches, m’empêchant de me soulever. Je proteste :
« Lâche-moi ! Tu ne peux pas me forcer à baiser maintenant. Lâche-moi ! »
« Vous êtes un peu, culottés Marie-Claude et vos actes contredisent vos paroles. Je dormais et je me réveille pour vous voir en train de faire du rodéo sur ma bite en gémissant comme une folle et vous avez le culot de dire que je ne peux pas vous forcer ! »
Il me maintient fermement en place jusqu’à ce que je m’avoue vaincue et commence à bouger de nouveau sur cette hampe magnifique.
Je gémis de plaisir quand soudain il me force à quitter sa verge.
« Mais pourquoi ? » Je lui demande.
« Marie-Claude, je ne veux pas de quiproquo entre nous . Si tu continues je veux que ce soit de ton plein gré, Muriel ne t’en voudra pas, je peux te rassurer, elle a tout fait pour que ça se produise ! »
Je regarde sa monstrueuse queue et ma décision est prise en quelques secondes. Je me jette sur lui et m’empale sur son gourdin jusqu’aux couilles.
« Oh Dieu que c’est bon ! Oh Damien, fais-moi jouir je t’en supplie mais ne dis rien à ma fille ! » Ses mains jouent avec mes deux seins et excitent mes tétons. Soudain la porte s’ouvre et ma fille entre dans la chambre.
Damien :
« Oh…Ouiiiii…lààààààà… Oh Muriel, tu es là mon amour, ce n’est pas ce que tu crois, qu’est-ce que j’ai fait ? Je suis désolé ! Je t’aime mais je n’ai pas pu m’en empêcher !…… »
Muriel, les yeux dans ceux de sa mère surprise et effrayée, monte sur le lit à côté d’elle et repousse ses hanches sur mon pieu à moitié sorti de sa chatte baveuse en lui rétorquant :
« Maman, je voulais que cela se produise ! Tu as besoin de sa queue ».
« Je t’ai dit que j’ai trouvé notre étalon est que Damien est très spécial, rappelle-toi et même si c’est mon fiancé , je voulais que toi et Damien fassiez l’amour de la manière dont tu as besoin pour être aimée ».
Mon regard passe de Damien à ma fille plusieurs fois pleine d’incompréhension avant que je recommence à bien enfoncer sa queue dans ma chatte contractée.
« Fais-moi confiance maman, tu ne le regretteras pas et moi non plus ! »
« Mais c’est ton fiancé !… »
« Tais-toi maman ! Ton corps a besoin de queue et la sienne est exceptionnelle et je vois bien que rien ne t’empêche de partir et pourtant tu es complètement empalée sur son énorme sexe ! Alors passe un bon moment et fais-toi plaisir, découvre ce que Damien et son membre de taureau, peu faire pour toi ».
« Allez maman, baise, baise jusqu’à demander grâce à ce bel étalon. Jouis à en mourir de plaisir et puis tu me rends Damien car moi aussi je veux jouir sur sa queue !».
Avec un sourire, elle s’éloigne vers la porte, mais avant de sortir elle se retourne et me prédit :
« Oooohhhh, maman, tu es tellement sexy comme ça mais tu vas souffrir crois, moi, ! Prends tout le plaisir que tu veux ! »
Je la regarde étonnée de ses paroles et m’excuse :
« Je…J’ai….. Je ne comprends pas ce qui vient de se passer et qu’a-t-elle voulu dire ? »
Damien enfonce brusquement sa bite au fond de ma chatte.
« Oh mon Dieu que c’est boooonnnnn ! »
« Eh bien, Marie-Claude, je vais obéir aux vœux de Muriel ! Elle a vite pigé ce dont tu as besoin et je vais te le donner ! Alors…. Profite, en, et prends ton pied ! »
Je retire ma nuisette, apparaissant nue devant lui.
« Mon Dieu, Marie-Claude, ton corps est superbe et tu as une belle et grosse poitrine comme je les aime ! »
Il attrape mon téton gauche dans sa bouche et le suce sauvagement. Je me déchaîne sur son chibre comme une folle.
J’adore sentir sa queue fermement planté au fond de moi et je la comprime de mes muscles intimes, en moins de trois minutes un orgasme me traverse le corps et me secoue toute entière.
« Marie-Claude, je n’ai jamais ressenti une telle contraction sur ma bite, j’ai l’impression qu’un pressoir écrase ma queue pourtant bien dure.
Je lui rétorque avant de me pencher et de l’embrasser :
« Huuuummmm…. Aaaggrrreeeee…Ouuuuhhhh…AAAaaahhhh, mon Dieu… Doux Jésus que c’était bon ! Je n’ai jamais joui comme ça ! Aussi fort et aussi longtemps, merci à toi… Non, à vous deux de m’avoir donné cette jouissance incroyable. Je vous aime ! »
J’essaie de me soulever pour éjecter son obélisque mais il s’y oppose en me retenant serrée contre lui et me bascule pour se mettre au-dessus de moi.
« Tout d’abord, tu es merveilleuse quand tu as un orgasme mais tu n’as pas encore fini de jouir ce matin, c’est loin d’être terminé ! ».
« Mais je vous ai entendu, hier soir et ce matin ! Tu dois être exténué ! Ta bite doit être à sec maintenant et de toute façon aucun homme ne m’a fait l’amour plus d’une quinzaine de minutes, une demi-heure tout au plus ! ».
« Je suis encore loin d’être vidé comme tu le dis ! Tu le sens mon chibre ? Toujours gonflé à bloc ! »
« Ne te soucie pas de savoir si j’ai les couilles vides, cela ne m’est jamais arrivé et je suis sûr que tu vas regretter tes paroles avant que j’en aie fini avec toi ! ».
Et sur ces derniers mots il commence à me baiser lentement en faisant aller sa bite dans ma chatte super humide, je mets mes longues jambes autour de sa taille.
« OK, mon étalon, voyons voir si tu n’es pas un vantard ! Baise-moi comme tu veux mais c’est moi qui vais te faire jouir ! ».
Je le tiens toujours serré contre moi et un long gémissement m’échappe malgré nos bouches toujours collées l’une contre l’autre pendant qu’il me laboure la chatte.
Après environ cinq minutes, je commence à vibrer de plaisir, il pose ses lèvres sur mon sein droit et mon téton et l’aspire pour le téter comme un enfant.
Cette double excitation de mon corps provoque une nouvelle jouissance et je m’empale complètement sur son pieu en criant :
« Oh… Damien, je vais… Je vais jouir encore ! Oh oui mon Dieu, je jouis… Je … Jouiiiiiiiisssss ! »
« Ne te retiens pas, Marie-Claude… Je te l’ai dit ! Ce n’est que le début, je vais te faire demander grâce ! Profites-en pleinement !
Mes hanches viennent frapper son corps, il me baise maintenant à toute vitesse, quel bonheur.
« Oh merde ! Oui, baise-moi ! AAAAhhhh… Ouiiiiiii ! Plus fort ! Putain de salaud, vas-y ! À fond ! Baise-moi plus fort ! Ooooohhhh… Merde, merde, oui, prends-moi encore ! Et fais-moi jouir ! AAAAhhhh, Ouiiiiiii, je jouis ! Non ! Arreeeeete ! Noooooonnnnn….
Il est sourd à ce que je dis et s’active sauvagement en venant frapper mon pubis à chaque coup de queue. Il s’immobilise un instant, sa bite bien au fond de ma chatte et mort doucement un de mes tétons qui me semble encore plus long. Dans le même temps, il glisse sa main entre nous et un de ses doigts titille mon clitoris.
Bien que ma chatte soit encore sous l’effet de mon dernier spasme je me raidis et hurle :
« Oh mon Dieu ! Tu me refais jouir ! Merde, merde, merde, ça repart ! Ouiiiiiii ! C’est bon ! Tellement Bon. Ouuuuiiiiii… AAAAHHHHHH ! Oh Dieu… Oh mon Dieu, J’ai… J’ai… Oh Nooonnn ! Stop ! Ouiiiii ! »
« Mais putain, tu ne jouis donc jamais ???? »
Ma tête roule d’un côté à l’autre et j’essaye d’échapper à sa bite mais il ne me lâche pas. Mes cris de bonheur se transforment en gémissements et grognements inintelligibles, pendant que mon corps tremble violemment sous le sien et que mes jambes verrouillent de nouveau son corps.
J’ouvre lentement mes yeux et le regarde hagarde et incrédule. J’essaye de parler mais rien ne sort, mon corps tremble de nouveau et je peux enfin doucement haleter :
« Putain ! Quel Don Juan ! C’est l’enfer et le paradis en même temps ! Comment tu fais ça ! Oh mon Dieu… J’ai été baisée par beaucoup d’hommes, mais jamais je n’ai ressenti ça ! Comment fais-tu ? Oh mon Dieu… »
Je descends le long de son corps afin de glisser sa queue entre mes seins, pas la peine de les serrer, je comprends qu’il apprécie, mon 95 D.
« Humm, tu es parfaite, suce la en même temps ».
Ce que je fais aussitôt. Son gourdin glisse entre mes seins et son gland s’enfonce dans ma bouche. Ses mains sur mes seins, titillant les pointes.
Il glisse un doigt, puis deux dans ma chatte et me fait grimper encore une fois.
Il me fait comprendre qu’il veut que je m’empale sur sa queue… mmmmm je le chevauche, cette belle bite coulisse en moi, c’est à la fois tendre et puissant.
Ces coups de bélier me font prendre un pied incroyable, la grosseur de son gourdin me lime comme jamais.
« Ne t’inquiète pas, je vais venir doucement… »
Je serre un peu les dents, mais ne peux retenir un cri de plaisir quand sa queue me pénètre.
« HAAAAANNN ! »
Il s’enfonce doucement, puis s’arrête, comme pour me laisser le temps d’apprécier. Puis il reprend le rythme, s’enfonçant et se retirant…
À chaque aller-retour je pousse des cris de plaisir, son sexe me remplissant complètement, Damien est si craquant que je me laisse faire.
« Je suis content que ça t’a plu mais ce n’est que le début ! »
Il se soulève pour se retirer de ma chatte.
« Oh non, ne part pas ! Pas tout de suite… »
Je continue mes supplications mais il retire sa verge du trou béant de ma grotte et me dit de me mettre en levrette pour pousser, de nouveau, sa majestueuse queue entièrement en moi.
« Ooooooohhhhhhhhhh…Ouuuiiiiiiiiiiii…baise-moi comme çaaaaaaa ! Oh Damien, j’adore cette position. »
Il attrape mes hanches et me pistonne en s’enfonçant à fond dans ma chatte.
Sa grosse queue est si épaisse que ma vulve suit ses mouvements comme une ventouse, mes lèvres intimes roulent vers l’intérieur de ma grotte quand il pousse et ressortent quand il se retire.
Nous menons le jeu à tour de rôle, sa bite s’enfonçant à fond. Quand c’est lui qui arrête une fraction de seconde le gland au bord de ma chatte, c’est moi qui m’empale et claque dans un bruit sec mon cul contre ses couilles. Et vice versa…
Après 15 à 20 minutes de baise endiablée je hurle :
« DAMIIIIEN ! OHHHHH MON DIEEEUUU ! JE JOUIIISSSSS ENCORE ! »
Mon cul tressaute. Soudain les couilles de Damien explosent envoyant un torrent de sperme au fond de ma chatte.
La première salve vient frapper mon utérus violemment, je crie :
« Dieu oui, donne-moi tout Damien ! Remplis-moi de ta semence ! Oh mon Dieu, je le sens bien ! Vas-y ! Remplis ma chatte ! Ooooohhhh… Je jouiiiiisssssss encooooore ! Ce n’est pas possible ! AAAAAAAAAHHHHHHHHH… »
Il n’arrête pas de gicler en moi et ma chatte n’arrête pas d’avoir des contractions incroyables qui broient sa queue et pompent sa bite au fur et à mesure qu’il envoie son foutre.
Je m’effondre en avant épuisée mais ma chatte comprime si étroitement sa hampe que je l’entraîne avec moi et tombant et je gémis quand sa bite se renfonce au plus profond de ma chatte en feu.
Ses giclées de sperme dans mon tunnel de velours se terminant enfin, il retire sa pine pour voir ma grotte béante remplie de foutre.
Mais ce n’est pas vrai ! Il est toujours en pleine érection !
Il replonge, son chibre dans ce bain de sperme et de cyprine. Cette crème s’échappe de mon vagin sous la pression exercée par ses puissants coups de bite et je ne tarde pas à gémir de nouveau.
« Oh, Noooonnnn, tu ne vaaaassssss…. Paaassssss… Aaaaaaaaaaaahhhhhh, Ouaiiiiiii… »
Il sort de ma féminité pour ce placer à l’entrée de mes reins. NON ! Impossible, c’est impossible, il va m’exploser, je me débats, me cabre.
Mais il me tient solidement, je pousse un hurlement, il me force l’entrée de son énorme gland, il glisse lentement en moi, sur toute sa longueur, la douleur est intense.
Lui rigole, il me défonce de toute sa monstrueuse queue d’âne, il tape son ventre contre mes fesses, il rentre tout au fond de moi au plus profond de mon corps.
Les larmes coulent sur mes joues mais cette fois-ci ce ne sont plus des larmes de plaisir mais de douleur. Je suis en train de me faire enculer, je suis son pantin désarticulé.
Je suis en train de me faire défoncer comme jamais. Ouuuuuuuhhhh ! Salaud ! AiiiiiIIII… Putain ! Tu m’encules ! Ooooohhhh la vache ! Elle est grosse ta putain de bite !
Je déguste sous la poussée rectiligne de son monstre mais après quelques secondes, d’adaptation à sa grosseur je m’exclame :
« Waoooouuuhhh, c’est gros ! Huuuummmm… ouiiiiii… Vas-y, baise mon cul ! Fais-moi jouir avec ta bite dans mon cul ! Ouuuuuhhhhhh, mon Dieu qu’elle est longue ! Tu remontes dans mon ventre ! AAAAhhhh, la vache ! Allez, baise-moi fort et fais-moi jouir encore… bâtard ! »
Je suis devenue hystérique et m’empale toute seule sur son pieu. Mes fesses viennent claquer son pubis. Après presque 5 minutes je lui demande comme une hystérique :
« Fais quelque chose bon Dieu ! Baise-la, ta salope de belle-mère ! Encule-la à fond cette putain ! » Il me baise à son tour violemment.
« OOUUUUIIII… Comme ça ! Ooooohhhh, mon salaud tu sais y faire : tu vas me péter le cul ! Aaaahhhh, ouiiiii…. Ça vieeeennt ! Je jouiiiiisssss du cuuul ! »
Je crie comme une damnée et un nouvel orgasme entraîne des convulsions et des cris de joie de ma part.
« Damien ! J’aime ta bite ! »
Enfin, j’avance brusquement et libère mon trou du cul de son gourdin et me retourne et le couvre de baisers à l’étouffer en laissant couler des larmes sur mes joues.
« Mon Dieu, j’ai cherché partout mon ‘’Monsieur Pénis’’ sans jamais le trouver. Et te voilà, toi… » S’il te plaît, dis-moi que tu n’arrêteras jamais de me baiser ! S’il te plaît, Damien, dis-moi que tu seras pour toujours mon étalon.
Tout en parlant je tire sa tête entre mes seins et continue :
«Je n’ai jamais joui comme ça auparavant, si fort, si longtemps, autant de fois de suite. C’est merveilleux, je n’ai jamais senti cette sensation avant. Plusieurs fois, j’ai goûté au sperme sur la queue d’un homme avant toi, mais avec le tien je sais maintenant que c’est vraiment bon ! Dans ma chatte, dans mon cul, et dans ma bouche ! »
Mes mains ont commencé à masser son sexe et bientôt je le pousse sur son dos et le prends dans ma bouche pour la deuxième fois aujourd’hui.
J’utilise mes lèvres et ma langue pour enlever toutes les traces de nos aventures dans ma chatte et mon cul. Je continue pour l’amener à la jouissance.
« Doux Jésus, Marie-Claude, tu vas me faire jouir dans ta bouche ! »
Tout ce que je réponds c’est : « Huuuuummmm, muuuuummm ».
Il râle : « Aaaaaaaaaaaahhhhhh », Son premier jet explose dans ma bouche et il continue de se vider dans ma gorge.
Avec courage j’avale rapidement en tentant en vain de prendre sa charge entière dans ma bouche sans en perdre une goutte.
Mes joues se gonflent avec le volume de son sperme puis se creusent quand j’avale pour se remplir à nouveau. J’utilise mes deux mains sur sa queue pour bien la pomper et siphonner goulûment tout son sperme mais ne peux absorber un tel volume et j’en ai plein le menton.
Enfin, je lâche son sexe et le regarde en commentant ses exploits,
« Damien, après tout ce que tu m’as déjà donné ta quantité de sperme est encore incroyablement énorme ! Ce n’est pas possible ! Et ton sperme est fameux pourtant je n’aime pas avaler, mais là, j’avais vraiment envie de ton jus ! Damien, tu m’as rendue heureuse, pleinement comblée par ton énorme bite et je te remercie pour cela. Maintenant Damien, allons voir Muriel ! »
Sans même prendre le soin de s’habiller nous sommes descendus en cuisine ou nous avons surpris Muriel nue allongée sur la table les jambes repliées les cuisses écartées en train d’avoir un violent orgasme, elle se godait avec un concombre. Elle ne nous avait pas entendus arriver.
Avant d’aller prendre chacun une douche nous nous sommes mis d’accord de créer un planning pour nos parties de baises. Après la douche nous avons décidé de rester pour la journée nus et de rester sage.
Voilà, par la suite nous avons invité d’autres membres de la famille, comme Julie, Manon , Brigitte à participer à des journées sexes.
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