La chaleur pénètre partout dans mon corps. On dit que je suis trop axé vers le plaisir. C’est vrai, je ne suis pas comme un moine : j’aime les femmes matures. Surtout si elles sont aussi attirantes que celle de ce matin dans le TER. Elle était assise en face de moi, ses jambes à peine couverte par sa jupe ; cette femme d’une cinquantaine d’années, savait très bien que je la regardais, elle ouvrait ses jambes pour me montrer qu’elle ne portait pas de culotte. Sa chatte lisse attirait mon regard au point de me faire bander.
Comme elle regardait avec insistance ma braguette, elle pouvait bien voir ma bosse dans mon pantalon. Nous étions seuls dans cet angle du wagon, quand soudainement elle se leva pour trousser sa jupe, elle ne portait aucune culotte, et en levant mes yeux vers sa poitrine je me suis aperçu que ses tétons perçaient le fin tissu de son t-shirt. Elle était excitée.
Sa main se posa sur sa chatte et entreprit une masturbation tout en me regardant. Je n’ai pas pu m’empêcher de sortir mon sexe et d’entamer avec elle une lente masturbation. Tellement excité par cette femme mature, qui devant moi se masturbait et qui pouvait être ma mère alors que moi Damien 25 ans, j’ai réussi par miracle à ne pas jouir en voyant sa main s’agiter sur son clitoris. Le comble arriva quand elle s’est masturbée le cul en mettant deux doigts dans l’anus.
La fin était plus spectaculaire, elle avait les yeux fermés, la tête en arrière, la bouche ouverte. Je faisais aller et venir ma main de plus en plus vite pour la rattraper. Nous avons joui ensemble . Je m’essuyais avec un kleenex, elle remettait de l’ordre dans sa toilette.
La journée se passait lentement, je pensais à cette femme brune sans pudeur qui se donnait du plaisir, à tel point que j’ai dû m’arrêter de travailler pour me branler au WC.
Au retour, le soir j’espérais la revoir. Dommage ce n’est que le lendemain que nous nous sommes retrouvés. Notre bonjour se transformait en un simple sourire. Sans l’attendre j’ai sorti ma queue qui commençait à bander. Elle a repris sa masturbation longue pour finir par un orgasme qui devait être particulièrement long.
Je ne l’ai revue que le lendemain ? Notre bonjour devenait un baiser. M’asseyant près d’elle, j’ai posé ma main sur sa cuisse, douceur de la peau, elle se laissait faire quand ma main la masturbait. Alors que je ne lui ai rien demandé, elle dézippait ma braguette, sortie mon sexe qu’elle masturba.
Pour elle comme pour moi c’était bien meilleur que l’exhibition. Après que nous avions joui elle m’adressa enfin la parole
À demain.
J’aurais préféré qu’elle vienne perdre sa journée de travail avec moi, dans je ne sais quel endroit.
J’attendais le lendemain avec impatience, réglée comme une horloge elle est arrivée et s’assied à mes côtés. Elle me dit qu’aujourd’hui elle ne peut pas à cause de ses règles.
Déçu je restais tranquille quand :
– Excuse-moi, je vais me faire pardonner en te suçant la queue.
Je n’ai pas eu le temps de lui répondre qu’elle avalait ma queue profondément dans sa bouche. J’avais affaire à la reine de la fellation. Ne voulant pas jouir en elle je l’avertissais de ma prochaine éjaculation, mais trop tard elle a tout avalé en me disant que c’était très agréable comme goût.
Le samedi et dimanche ainsi que lundi étant jour férié je ne l’ai pas revue. Je profitais pour contacter un de mes amis qui habite à côté de la gare de me prêter son studio en lui donnant les explications. Il accepta, me donnant le code d’accès.
Mardi enfin je la retrouve, toujours aussi aguichante, toujours aussi chaude. Cette fois qu’elle soit d’accord ou pas, je l’emmène dans ce studio que m’a mis à disposition mon ami. Elle ouvre ses jambes pour que je la masturbe. Elle voulait de son côté me sortir ma queue afin de me masturber mais je l’empêchais. Arriver à la gare en descendant du train je l’ai pris par la main et sans dire un mot, je me dirigeais vers le studio, elle devait se douter ce que nous allons faire.
Pour mon travail je n’ai aucun problème travaillant en horaire flexible je me suis donné 2 h que je devais récupérer.
En arrivant dans le studio, mon ami m’a mis à dispo un DVD porno, au cas où nous avions envie de le visionner. Je mis en route le DVD et je le déshabillage ne fut pas long sous sa robe elle était nue. Nous nous allongeons pour regarder ce film d’un couple de lesbienne qui fait l’amour. Elle ne tient pas plus de cinq minutes pour se masturber en regardant la télé. Je ne tiens pas plus longtemps que Christelle en regardant les deux filles se brouter leurs chattes et ma maîtresse qui se masturbe sans s’arrêter.
– Tu aimes beaucoup te masturber ?
– J’adore, c’est vrai, surtout depuis que je suis seule. J’étais avec une autre femme qui a tourné casaque pour s’amouracher d’un homme.
– C’est bien ce que tu fais depuis que nous nous connaissons.
– Ce n’est pas pareil, toi tu me laisses me masturber comme je veux et en plus ton sperme est bon à boire, presque aussi bon que la cyprine. Assez parlé, baise-moi.
Les filles se sucent toujours à l’écran. Je ne regarde plus que le sexe de Christelle. Il me plaît énormément avec ses lèvres pas très proéminentes, son clitoris charmant qui me donne envie de le bouffer. Je le prends dans ma bouche, ma langue le lèche. Je la laisse à peine jouir pour mettre la langue dans son vagin.
Son vagin est rempli de cyprine que je bois. Puis mon sexe prend la place de ma bouche et de ma langue. Pour une lesbienne, elle se laisse bien baiser, elle en rajoute même en faisant les mouvements en même temps que moi. Elle se défoule et gémit pendant que je la lime.
Je change de position en la faisant venir sur moi. À la télé les deux filles se font enculer.
Christelle s’empale sur ma queue se l’enfonce dans son vagin, se caresse le clitoris en même temps. Je cherche un peu pour trouver son entrée secrète. En la trouvant j’introduis immédiatement deux doigts pour bien ouvrir son cul. Elle toujours en train de monter, descendre sur mon sexe. Elle est tellement lubrifiée par sa cyprine que mon sexe coulisse sans difficulté dans son vagin. De sa main libre elle se caresse les seins joue avec ses tétons.
– Dommage que nous ne soyons que deux, je pourrais me mettre deux bites, ou même trois.
– Et si je te proposais une femme ?
– Elle s’assoit sur ma bouche , j’aime la cyprine.
– Tu aimerais que nous soyons trois hommes et une femme ?
– Oui, j’aimerais bien.
– Jouis en attendant.
– J’ai joui sans que tu t’en rendes compte.
– Combien de fois ?
– Je n’en sais rien, entre mes masturbations, les tiennes et ta queue, je ne sais plus.
– Jouis encore.
– Sodomise-moi.
Je ne recule jamais quand une dame me demande gentiment de la sodomiser, j’adore entrer dans un petit trou, le sien est particulièrement serré.
Christelle se met en levrette et avec ses doigts elle prend de la cyprine pour lubrifier son trou de balle. Mon sexe glisse facilement dans son cul, je le mets bien au fond avant d’entamer les allers et retour. Elle ronronne au début puis eut plusieurs orgasmes d’affilée.
Il était temps les deux heures prévus allait se terminer, Christelle, remis sa robe et je me rhabillais. J’ai appelé mon ami pour lui demander si ce soir nous pouvons disposer de son studio pendant une heure en lui indiquant l’horaire. Aucun problème.
Nous sommes sortis du studio et nous nous sommes donné rendez-vous au même endroit. Je partais au bureau et le soir venu, elle m’attendait devant l’entrée de l’immeuble. Nous avons encore baisé pendant une heure puis il était temps de rentrer chez nous.
Dans le TER, pas de chance, se masturber, trop de monde, alors nous avons mieux fait connaissance, elle m’avoua qu’elle a 51 ans quel travail à temps partiel pour une société de nettoyage, qu’elle vivait avec une femme de son âge qui la plaque pour un homme.
Puis elle me demande :
– Et si tu m’emmènes chez toi ?
– Ça dépend pour quoi faire ?
– Pour baiser, idiot.
– D’accord je t’emmène chez moi.
Arrivée à mon domicile, à peine le seuil de la porte d’entrée franchi elle retire sa robe et entièrement nue se promène dans mon appartement avant de s’allonger sur le lit, pour une énième masturbation, suivie par me faire l’amour et pour terminer par la sodomie. Petit à petit ses désirs de se faire prendre par plusieurs reviennent.
Après plusieurs jours passés chez moi, je l’emmène un soir dans un club privé où les libertins se retrouvent. Si elle est un peu impressionnée au début par diverses scènes qui mêlent hommes et femmes, elle se débride quand une belle blonde vient la draguer.
La blonde s’est assise à nos côtés contre Christelle, elle posa sa main sur une cuisse avant de monter vers la chatte. Christelle laisse la blonde la masturber avant de lui rendre les caresses.
Les deux femmes se rendent compte de mon érection et je les accompagne dans une chambre particulière où elles recommencent à se masturber avant de se mettre dans la position du 69. Jouissant à deux sans trop s’occuper de moi, elles réagissent quand deux hommes entrent et leur demandent si elles acceptent une sodomie.
Prises par les sentiments, les deux femmes sont positionnées sur le côté, les jambes tenues en l’air par les amants qui entament la sodomie. Christelle doit se régaler d’être ainsi sodomisée. Les deux femmes subissent les assauts des bites dans leurs culs.
J’ai enfin droit à une bouche autour de ma queue, ce n’est certainement pas celle de Christelle. La langue qui lèche est moins douce, plus rugueuse, elle me fait du bien quand je sens la main de Christelle venir sur mon cul. Je ne dis plus rien quand je jouis. J’envoie mon jet de sperme dans la bouche qui comme Christelle apprécie.
Sortant épuisés de ce club, nous nous promettons de revenir au moins deux fois par mois, mais Christelle me dit qu’elle a rendez-vous avec la blonde. Je ne suis pas jaloux, si elle aime les filles, cela ne nous empêche pas de se masturber chaque matin dans le TER comme avant.
Véronique
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