Histoire de sexe Introduction :
Faire du camping avec mon père était l’une de mes plus grandes joies. Lors d’un voyage, mon père a « oublié » son sac de couchage et nous avons fini par partager le mien. Cette nuit-là, il m’a baisée par derrière, tout en jouant avec mes seins. Le lendemain matin, je me branle sur son bois matinal et nous finissons par baiser tous les jours jusqu’à la fin du voyage en camping.
J’ai toujours été une fille à papa en grandissant. Quoi qu’il fasse, je voulais le faire aussi. Peu importe ce que c’était…. travailler sur la voiture, taper dans des ballons de foot, tondre le gazon…. J’adorais participer à tous ses centres d’intérêt et à toutes ses activités.
Mon père adorait faire du camping. Ma mère n’était pas une grande adepte du camping, alors elle se faisait souvent prier et il n’y avait plus que mon père et moi…., ce qui me convenait. J’adorais être en plein air, faire du canoë, de la randonnée, nager, monter une tente, cuisiner sur un feu de camp…. tout ce qui a trait au camping…. et le faire avec mon père rendait les choses encore meilleures.
C’est ainsi qu’en grandissant, mon père et moi chargions le camion et partions camper pendant plusieurs jours, environ six ou sept fois par an. Nous emportions toujours une petite tente pour deux personnes, deux sacs de couchage, des ustensiles de cuisine de plein air, notre canoë et un tas de matériel de randonnée.
Mon Dieu, nous nous amusions comme des fous. J’avais du mal à effacer le sourire de mon visage à chaque fois que nous partions.
À l’adolescence, mes seins ont commencé à pousser et, lorsque j’étais en première année de lycée, j’avais déjà de gros seins de 34D, qui avaient une sorte d’esprit propre. Ils semblaient bouger et rebondir beaucoup, et mes tétons semblaient toujours dépasser du haut que je portais. Et comme je portais rarement un soutien-gorge, les rebonds et les bosses des mamelons étaient assez évidents.
Une fois que mes seins sont apparus, j’ai remarqué deux choses lors de nos séjours en camping : mon père ne pouvait s’empêcher de les regarder…. surtout lorsque nous nagions ensemble ou que nous pagayions dans notre canoë ; et il trouvait toujours des excuses pour les heurter, les frotter ou les presser lorsque nous étions proches les uns des autres en camping ou en randonnée.
Mon père apportait toujours deux sacs de couchage lors de nos séjours en camping, mais lors d’un séjour que nous avons fait pendant l’été qui a suivi ma première année de lycée, mon père a lâché un juron alors que nous étions en train de décharger le camion et d’installer notre campement de base.
« Merde, Melissa, on dirait qu’on a oublié un des sacs de couchage ».
J’ai regardé vers le camion où il empilait notre matériel et j’ai dit : « Quoi ? Comment cela a-t-il pu arriver ?
Il a secoué la tête et a dit : « Je ne sais pas, mais je pense que nous allons pouvoir partager pour ce voyage. C’est un sac de couchage de bonne taille. »
J’ai haussé les épaules et j’ai dit : « Bien sûr… pourquoi pas. Tout ira bien. »
Après avoir monté notre tente, nous avons rangé notre matériel et étendu le seul sac de couchage… puis nous avons allumé un feu de camp, trouvé des jeunes arbres de 3 pieds de long et les avons utilisés pour faire cuire des hot-dogs sur les flammes… suivis de guimauves et de s’mores.
J’adorais ça…. c’était ma façon préférée de passer du temps avec mon père.
Lorsqu’il fut temps d’en finir, je me déshabillai jusqu’à la culotte et enfilai un mince débardeur en coton. C’était toujours ainsi que je m’habillais pour dormir, alors je n’y ai pas vraiment réfléchi.
Mon père faisait la même chose…. il se déshabillait jusqu’à son caleçon, sans rien par-dessus.
Lorsque je me suis glissée dans le sac de couchage, je me suis tournée sur le côté gauche pour laisser à mon père la place de grimper derrière moi. Une fois dans le sac, il s’est couché sur le côté gauche, trop…. pour que sa poitrine et ses hanches se frottent à mon dos et à mes fesses. Je pouvais sentir son pénis frotter contre le bas de mon dos lorsque nous nous sommes installés dans nos positions de sommeil, et j’ai souri en moi-même lorsque j’ai remarqué qu’il commençait à se raidir.
Ce qui s’est passé ensuite m’a un peu surprise, mais cela semblait presque naturel dans la position où nous étions…. il s’est approché de moi par derrière et a attrapé mes seins avec l’une de ses mains, massant doucement la chair et tirant doucement sur mes mamelons à travers mon mince débardeur.
Mes sourcils se sont légèrement levés…. surtout lorsque j’ai senti ses hanches se déplacer vers l’avant, pressant sa bite grandissante contre mes fesses. Mon premier réflexe a été de dire « C’est quoi ce bordel ? »…. mais je me suis sentie vraiment bien…. Je veux dire, vraiment bon…. donc, je suis restée allongée pendant quelques secondes, le laissant se frotter contre moi tout en profitant de mes seins doux et de mes mamelons raides.
Puis j’ai tourné un peu la tête, j’ai souri et j’ai dit par-dessus mon épaule droite : « Wow, ça fait du bien, papa…. ». Je suppose que j’aurais dû le voir venir. »
Il a gloussé et m’a dit : « Je voulais mettre la main sur ces seins magnifiques depuis que tu es entrée au lycée. Ils sont beaux…. encore plus beaux que ceux de ta mère…. et les siens sont assez impressionnants. »
J’ai repoussé mes hanches dans son aine, sentant sa bite engorgée commencer à me bousculer par derrière, puis j’ai laissé échapper un doux gémissement et j’ai dit : « Je suis heureux que tu l’aies remarqué…. tu les as frappés et tripotés chaque fois que tu en as eu l’occasion depuis qu’ils ont commencé à pousser…. ». Je me suis toujours demandé si nous en arriverions un jour à ce stade. »
Tandis qu’il continuait à caresser mes seins et à tirer sur mes mamelons, j’ai tendu la main derrière moi et j’ai trouvé son sexe en pleine érection….. Il sortait déjà de la braguette de son caleçon et laissait couler du pré-cum sur l’arrière de ma culotte. J’ai caressé sa tige d’acier pendant un moment, passant un peu plus de temps à frotter la tête en forme de champignon, tandis que je glissais mon autre main à l’intérieur de ma propre culotte et que je trouvais mon clitoris palpitant.
D’une main, je continuais à secouer sa tige rigide derrière mon dos, tandis que de l’autre, je frottais de petits cercles autour de mon clou engorgé (….) J’ai été un peu surprise par la rapidité avec laquelle je me suis lancée dans une jouissance intense et délicieuse qui a secoué tout mon corps. J’ai fermé les yeux et gémi, j’ai ramené mes doigts contre mon clitoris et je me suis délectée des sensations de chaleur et de picotement qui m’envahissaient.
« Oh, mon Dieu, papa…. putain de merde, ça fait du bien…. oh, yeah…. yeah…. Je suis cuuuuummmmiiiiiinnnngggg…. aaaaahhhhhh…. aaaahhhhhh…. niiiiiiiiiice….wow, c’est arrivé si vite…. hmmmmmm…. »
Je sentais la bite de mon père commencer à se presser plus fort contre le bas de mon dos, et une fois que mon orgasme s’était un peu calmé, j’ai utilisé ma main libre pour tirer ma culotte jusqu’à mes genoux, tout en continuant à faire glisser mon autre main le long de la tige de sa bite. J’ai légèrement levé une jambe, puis j’ai guidé le bout de son érection dans l’ouverture de ma chatte ruisselante, et j’ai retenu ma respiration pendant quelques secondes en poussant mes hanches vers l’arrière pour qu’il avance.
J’ai laissé échapper un souffle lorsqu’il est entré en moi…. mon Dieu, c’était incroyable !
« Euh…. euh…. aaahhh…. hmmmm…. mon Dieu, papa…. c’est incroyable…. «
Son érection était énorme…. au moins 9″…. et plus épaisse que toutes les bites de mes petits amis du lycée. Elle remplissait complètement ma chatte, atteignant tous les bons endroits, alors qu’il commençait à balancer ses hanches et à faire entrer et sortir son érection rigide de mon vagin. Je pouvais sentir l’urgence de cette poussée…. il me faisait grogner à cause de la force de ses coups, tout en pressant mes seins doux et en tirant sur mes mamelons fermes.
« Uhn…. uhn…. fuck, yeah…. uhn…. yeah…. slam it in there, dad…. uhn…. uhn…. holy shit that feels good…. »
Presque immédiatement, j’ai senti un autre orgasme commencer à monter entre mes jambes et, entre deux grognements, j’ai haleté…. « Putain de merde…. uhn…. uhn…. Je jouis à nouveau…. uhn…. uhn….. ooooooohhhhhhhh…. putain, yeeeaaaaahhhhhh…. aaaaaahhhhhhh…. merde, c’est irréel…. uhn…. uhn…. hmmmmm… »
Je ne pouvais pas m’arrêter de jouir…. c’était mieux que n’importe quel orgasme que j’avais eu avec n’importe lequel de mes petits amis du lycée…. Je ne voulais pas que ça s’arrête.
« Putain de merde, papa…. continue…. ouais, juste comme ça…. un peu plus fort…. ouais…. mon Dieu c’est fantastique…. »
Juste à ce moment-là, mon père a relâché mes seins et a saisi mes hanches, enfonçant sa bite raide aussi loin que possible dans moi, puis a gémi et marmonné avant d’envoyer plusieurs jets de sperme chaud et crémeux partout à l’intérieur de ma chatte.
« Putain, Melissa…. uhn…. uhn…. putain, ta chatte est géniale…. si serrée…. uhn…. uhn…. Mon Dieu, je vais jouir…. ah…. ah…. aaaaaahhhhhhh…. yeeeeaaahhhhh…. putain de merde, Mel…. aaaaaahhhhhhhh…. aaaaaahhhhhh…. hmmmmmmm…. si…. putain…. nice…. hmmmmmm… »
Mes propres murmures de plaisir se sont joints à ses grognements et à ses exclamations, tandis qu’il continuait à faire glisser sa tige luisante dans et hors de ma chatte, vidant son sac à couilles à l’intérieur de moi. Après avoir fini de jouir, il a cessé de balancer ses hanches contre mon cul et s’est allongé derrière moi…. sa bite, toujours dure et palpitante, enfoncée profondément dans mon vagin trempé.
Nous sommes restés ainsi pendant une dizaine de minutes avant que sa queue rigide ne commence à s’assouplir. J’ai avancé un peu mes hanches, retirant sa bite encore à moitié raide de ma chatte, puis je me suis retournée pour lui faire face. Je me suis assise, j’ai poussé le sac de couchage jusqu’à ses genoux et je me suis penchée en avant, aspirant sa bite luisante dans ma bouche pour la nettoyer.
Quand j’ai eu fini d’utiliser ma bouche et mes lèvres pour nettoyer sa tige visqueuse, j’ai extrait les dernières gouttes de sperme avec ma main et j’ai utilisé ma langue pour les lécher sur le bout de sa bite. J’ai ensuite laissé son pénis flasque dépasser de la braguette de son caleçon et j’ai pris une serviette à proximité pour me nettoyer l’entrejambe.
J’ai enlevé toute ma culotte et l’ai jetée dans un coin de la tente, avec mon débardeur, puis je me suis allongée sur le côté pour essayer de dormir un peu. Mon père a enlevé son caleçon et l’a jeté à côté de ma culotte, puis il s’est allongé contre mon dos….. Son membre maintenant mou s’est appuyé contre mes fesses, tandis qu’il s’est approché de moi par derrière pour me caresser doucement les seins, pendant que nous nous endormions tous les deux.
Le lendemain matin, je me suis réveillée dans la même position, la main de mon père reposant sur mes seins et son bois du matin se logeant contre le bas de mon dos. J’ai souri, je me suis retournée pour lui faire face dans le sac de couchage et j’ai réalisé qu’il dormait encore. J’ai tendu la main entre nous, j’ai trouvé son pénis engorgé, puis j’ai posé ma tête sur sa poitrine et j’ai caressé doucement son raideur matinale sous la couverture du sac de couchage.
Finalement, il a commencé à s’agiter et, après quelques bâillements et étirements, il a lentement ouvert ses yeux bleus et a dit : « Mmmm… bonjour, mon chou ».
À mesure qu’il se réveillait, j’ai progressivement augmenté le mouvement de ma main, tirant sur son bois du matin avec un peu plus d’ardeur. Il a commencé à balancer ses hanches dans ma paume pétrissante, gémissant son plaisir et marmonnant : « Aaaahhh…. ça fait du bien, chérie…. hmmmmm…. ouais, continue…. comme ça…. hmmmmm…. ».
Il s’est allongé sur le dos…. les yeux fermés et les mains jointes derrière la tête…. et, avec un sourire euphorique, a savouré ma branlette matinale.
J’ai poussé le sac de couchage jusqu’à ses genoux, de sorte que ma main était découverte, et j’ai joyeusement continué à branler l’érection rigide de mon père. Après quelques coups supplémentaires, il laissa échapper un grognement, poussa ses hanches dans mon poing et projeta plusieurs jets d’eau chaude et crémeuse sur son ventre et sur les doigts de ma main caressante.
« Oh ouais…. ouais…. merde, je vais jouir, Mel…. ah…. ah…. aaaaaahhhhh…. yeeeaaahhhhhh…. oui…. hmmmmm…. mon Dieu, ça fait du bien…. hmmmmm…. ».
J’ai gloussé en regardant le sperme jaillir de la pointe de l’épaisse bite de mon père, puis éclabousser son ventre et suinter sur la paume de mon poing en train de pomper. J’ai progressivement ralenti le rythme de mes caresses, tandis qu’il gémissait et marmonnait à quel point c’était bon. J’ai continué à faire glisser mes doigts le long de son pôle luisant et gluant…. en prenant soin d’éviter le bout trop sensible de sa bite…. alors qu’il jouissait des affres de son premier orgasme de la journée.
Alors qu’il restait allongé sur le dos, les yeux fermés et les mains derrière la tête, j’ai pris une serviette et j’ai essuyé son ventre éclaboussé et mes doigts dégoulinants. Je me suis ensuite penchée et j’ai aspiré la tête de son pénis ramolli dans ma bouche pour finir de le nettoyer.
J’ai reposé ma tête sur son torse et nous sommes restés ainsi pendant un moment…. ma main caressant doucement sa bite maintenant flasque…. alors que nous finissions tous les deux de nous réveiller pour le premier jour du plus beau voyage en camping…. de tous les temps.
C’était un magnifique matin d’été dans le sud-est de l’Arkansas. Comme la plupart des matins d’été dans cette partie du pays, il s’est réchauffé très rapidement…. et, lorsque nous avons été prêts à commencer la journée, il faisait déjà assez chaud pour faire trempette dans la rivière pour se nettoyer.
Au fil des ans, mon père et moi avons découvert plusieurs sites de camping très intéressants, et celui de la rivière Cossatot est devenu l’un de nos préférés. L’un des avantages de ce camping était qu’il se trouvait au fond des bois et qu’il était complètement isolé….. C’était la nature à l’état brut, plutôt qu’un camping public, et personne d’autre ne venait jamais sur cette section de la rivière. Un autre avantage est que la rivière s’élargit à cet endroit…. presque en un lac…. avec très peu de courant, de sorte que nous pouvions faire du canoë ou nager juste à côté de notre campement, sans être poussés en aval par l’eau courante de la rivière.
Nous avons donc marché tous les deux… nus… jusqu’au bord de la rivière, juste à côté de l’endroit où se trouvait notre canoë, et nous sommes entrés dans l’eau fraîche et vivifiante pour nous laver. J’ai remarqué que mon père ne pouvait pas détacher son regard de mes seins qui se balançaient sur ma poitrine pendant que nous marchions jusqu’à la rivière, que nous nous lavions et que nous retournions à notre tente. J’aimais voir le regard qu’il portait sur mes seins qui se balançaient et sur mes tétons raides…. surtout quand je me penchais, ce qui les faisait se balancer librement sous moi. Et je ne pouvais pas m’empêcher d’apprécier la vue de sa bite pendante…. parfois flasque, parfois semi-dure…. qui rebondissait de haut en bas et se cognait contre ses cuisses pendant que nous nous déplacions dans le camping.
Nous avons enfilé des maillots de bain…. moi, dans un bikini deux pièces ; lui, dans un maillot de bain ample…. et pris un petit déjeuner léger tout en discutant de ce que nous ferions le reste de la journée.
Nous avons décidé de commencer la journée en faisant du canoë. Nous nous sommes donc rapidement nettoyés après le petit-déjeuner, puis nous avons marché jusqu’au bord de l’eau et nous avons poussé notre canoë dans l’eau lisse et vitreuse de la rivière. Sans le courant, nous avons pu pagayer jusqu’au milieu de l’eau calme et nous asseoir presque sans bouger, tout en profitant de la chaleur du matin et en regardant le soleil se lever lentement au-dessus de la cime des arbres à l’est.
Mon père était à l’arrière du canoë, pagayant et tenant la barre…. et j’étais sur le siège avant, pagayant quand l’envie m’en prenait…. mon père n’avait pas vraiment besoin de mon aide pour pagayer. Une fois au milieu du bassin d’eau, mon père m’a dit : « Hé, Mel…. pourquoi n’enlèves-tu pas ton bikini pour que je puisse voir tes seins se trémousser ?
Je me suis retournée sur mon siège pour lui faire face, j’ai ri et j’ai dit : « Bien sûr…. si tu enlèves ton maillot de bain ».
Sans hésiter, il a rapidement enlevé son maillot et l’a jeté derrière son siège. J’ai regardé sa bite flasque, qui pendait entre ses jambes écartées et dépassait le bord de son siège. Je l’ai remercié d’un signe de tête, puis…. avec un sourire narquois sur le visage…. ai enlevé mon haut de bikini et l’ai laissé tomber derrière mon siège à l’avant du canoë. Mon sourire s’est accentué lorsque j’ai placé mes doigts à l’intérieur de ma ceinture et que j’ai enlevé mon bas de bikini.
Les yeux de mon père se sont agrandis et sont devenus totalement concentrés sur ma nudité…. passant entre mes seins ondulants et ma chatte nue. J’ai glissé de mon siège et me suis assise au fond du canoë, face à lui, et j’ai écarté les jambes pour qu’il puisse voir mon vagin…. totalement exposé et scintillant dans la lumière du soleil du matin.
Je pouvais voir à sa bite qui se raidissait qu’il aimait beaucoup ce qu’il voyait…. alors je me suis adossée à mon siège, j’ai écarté les jambes encore plus et je l’ai laissé profiter de la vue.
Je suis restée assise ainsi pendant plusieurs minutes…. à me prélasser dans la chaleur du soleil matinal…. pendant que mon père nous faisait lentement pagayer sur les eaux calmes du bassin de la rivière. J’ai fermé les yeux pendant un moment et, lorsque je les ai rouverts, j’ai vu que la bite de mon père était maintenant à moitié dure….. Elle sortait d’entre ses jambes, sa tige était légèrement courbée et son extrémité bulbeuse pointait vers le fond du canoë.
C’était extrêmement excitant de voir son pénis réagir à ma chatte exposée et à mes tétons durs…. J’ai passé une main entre mes jambes et j’ai commencé à faire glisser mes doigts le long des lèvres humides de ma chatte. Après quelques minutes, j’ai déplacé ma main vers mon clitoris engorgé et j’ai commencé à en frotter le bout et à faire des cercles autour du bouton…., ce qui m’a fait pousser un gémissement et balancer mes hanches dans mes doigts pétris. Je fermai les yeux et massai vigoureusement mon clitoris, laissant échapper un gémissement étouffé alors qu’un orgasme chaud et intense traversait tout mon corps.
« Ah…. ah…. oh, mon Dieu…. ah…. aaaaaahhhhhhh…. aaaaahhhhhhh…. oh, putain…. hmmmm…. oooohhhhhhh…. »
Les yeux toujours fermés, j’ai posé ma tête contre le siège derrière moi et j’ai continué à frotter lentement des cercles doux autour de mon clitoris tendre et sensible. Enfin…. les yeux toujours fermés et la tête toujours en arrière…. J’ai reposé mes deux bras sur le bord du siège contre lequel je m’appuyais…. laissant mes jambes écartées, mes lèvres de chatte légèrement écartées et luisantes…. et le jus de ma chatte coulant le long de ma raie des fesses dans une petite flaque sur le fond du canoë.
Lorsque j’ai ouvert les yeux, j’ai vu un regard euphorique sur le visage de mon père, qui fixait ma chatte humide, mes seins qui se balançaient et mes tétons raides…. sa trique palpitante, maintenant en pleine érection, qui sortait droit devant lui comme une lance au bout de laquelle on aurait collé un casque.
Je lui ai souri et lui ai dit : « Pourquoi tu ne nous ramènes pas sur le rivage, papa…. ta bite a l’air d’être sur le point d’exploser ».
Il a jeté un coup d’œil à sa bite, a ri et a dit : « Ouais…. eh bien, c’était un sacré spectacle que tu as donné…. putain de merde, mais c’était sexy… »
Je suis restée dans la même position…. assise au fond du canoë, les jambes écartées, les seins ballants, les bras posés sur le siège derrière moi…. pendant que mon père nous ramenait rapidement sur la terre ferme, juste à côté de notre campement.
Lorsque nous avons atteint la rive, nous avons jeté nos maillots de bain sur l’herbe, puis nous sommes sortis et avons sorti le canoë de l’eau. Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer que la grosse bite de mon père était encore en pleine érection et qu’elle se balançait sauvagement entre ses jambes, alors que nous finissions de tirer le canoë sur la rive et que nous le renversions pour le stabiliser.
Avant même que je puisse me redresser après nos efforts, mon père est arrivé derrière moi et a attrapé mes seins pendants…. en pressant la chair…. durement…. et en tirant lascivement sur mes tétons fermes…. son bâton rigide frappant contre mes fesses.
Souriant à son empressement, je me suis penchée et j’ai écarté les jambes, posant mes mains sur le canoë renversé pour me soutenir, tandis que mon père lâchait un de mes seins et saisissait la tige de son pénis, alignait la tête avec l’ouverture de ma chatte, puis me l’enfonçait par derrière avec un grognement.
J’ai poussé un grognement sonore sous la force de sa première poussée, puis j’ai fermé les yeux et gémi lorsqu’il a commencé à faire entrer et sortir sa bite engorgée de ma chatte pour de bon.
Mon Dieu, les sensations qui parcouraient mon corps étaient spectaculaires, envoyant des éclairs de plaisir de mon clito à mes mamelons, et vice-versa !
Je suis restée debout comme ça…. penchée sur le canoë, les jambes écartées, mes seins lourds se balançant sauvagement sous moi, et je grognais bruyamment…. pendant que mon père martelait son gros gland dans et hors de ma chatte humide et dégoulinante par derrière.
« Putain de merde, papa…. uhn…. uhn…. ouais…. continue…. un peu plus fort…. putain, ouais…. uhn…. uhn…. merde, tu vas si profond…. »
Mon père est passé sous moi et a de nouveau attrapé mes seins qui s’agitaient, serrant et frappant la chair, et tirant de temps en temps sur mes tétons.
« Oh, merde, ouais…. uhn…. uhn…. tire mes tétons plus fort, papa…. yeah…. uhn…. juste comme ça…. uhn…. encore plus fort…. uhn…. yeah…. yeah…. c’est ça…. uhn…. uhn…. mon Dieu, ça fait un bien fou… »
A ce moment-là, j’ai poussé un gémissement, alors qu’un orgasme intense et picotant me submergeait comme un tsunami, tandis que mon père continuait à faire entrer et sortir sa bite rigide de ma chatte trempée comme un marteau-piqueur.
« Ooooohhhh, putain…. aaaaahhhhhh…. yeah…. yeah…. aaawwwwww…. uhn…. uhn…. aaaahhhhh…. sainte merde, papa…. aaaaahhhhhh…. hmmmmm…. »
Mes jambes tremblaient tellement que mon père a déplacé ses mains sur mes hanches pour me maintenir en l’air, grognant à chacune de ses poussées. Toujours perché entre mes jambes écartées…. son torse frappant contre mes fesses…. il continuait à me râler la chatte par derrière, tandis que je continuais à gémir et à jouir des affres de mon orgasme.
Il ne fallut pas longtemps pour que j’entende mon père reprendre son souffle, puis enfoncer sa bite rigide aussi loin que possible dans mon corps. Avec un grognement fort, il a projeté plusieurs cordes de sperme blanc et crémeux à l’intérieur de ma chatte.
« Uhn…. uhn…. uhn…. putain, Mel…. Je suis cuuuummmmiiiiinnnnggg…. aaaaahhhhhhh…. aaaaahhhhh…. baiser, yeeeeaaaahhhh…. aaaaaahhhhh…. uhn…. uhn…. hmmmmmmm…. niiiiiiiiiice…. ».
Il a continué à pilonner, en grognant et en gémissant, alors qu’il vidait tout son sac de noix dans ma chatte, jusqu’à ce que du sperme s’écoule de sa tige et dégouline sur le sol entre nos pieds.
Il a ralenti ses poussées au bout d’une minute, puis a continué à faire glisser sa bite visqueuse d’avant en arrière dans mon corps tout en massant doucement mes seins, alors que nous savourions tous les deux nos orgasmes et que nous avions du mal à reprendre notre souffle.
Entre deux respirations, il dit : « Putain de merde, Mel…. c’était formidable… juste…. putain…. formidable…. »
Encore étourdie par la force de mon propre orgasme, j’ai marmonné : « C’est vrai ? Je veux dire…. putain de merde…. ça m’a coupé le souffle ».
Lorsque nous avons enfin repris notre souffle, il a lentement retiré son érection ramollie de ma chatte, ce qui a fait couler plus de sperme et de jus de chatte sur le sol sous nos pieds. J’ai tourné sur moi-même et me suis accroupie devant lui, puis j’ai aspiré la tête de sa bite visqueuse dans ma bouche, et j’ai utilisé ma langue et mes lèvres pour nettoyer sa tige, tandis qu’encore plus de sperme s’écoulait de mon vagin béant.
Ensuite, nous avons sauté dans l’eau fraîche pour nous nettoyer, puis nous avons passé le reste de la journée à faire de la randonnée, à ramasser du bois et à cuisiner sur le feu de camp.
Le coucher s’est déroulé à peu près de la même façon que la veille, sauf que mon père m’a baisée à la manière d’un missionnaire…. en faisant entrer et sortir sa bite rigide de ma chatte tout en regardant mes seins s’écraser l’un contre l’autre entre nous. L’expression de son visage alors qu’il regardait mes seins s’agiter sur ma poitrine, les pressant et les frappant de temps en temps pour les faire rebondir encore plus, m’a fait jouir d’autant plus fort lorsque mon orgasme m’a inévitablement submergée.
Finalement, nous nous sommes endormis, mon père couché sur moi…. sa longue et épaisse bite toujours enfoncée dans ma chatte trempée, alors que nous nous écroulions tous les deux d’épuisement.
Le reste de notre séjour en camping s’est déroulé à peu près de la même manière…. chaque jour était une version légèrement différente de la veille…. et j’ai adoré ça.
Le dernier jour, nous avons rangé le camion et commencé à retourner à la civilisation. Presque aussitôt que nous avons pris la route, j’ai eu le pantalon de mon père ouvert et sa bite raidissante dans ma main… puis dans ma bouche…. et je lui ai fait une délicieuse pipe avant même que nous soyons à mi-chemin de la maison.
Ensuite, j’ai fait une sieste, ma tête reposant sur sa cuisse…. juste à côté de son pénis flasque…. pendant qu’il me caressait doucement les seins. Lorsque je me suis réveillée environ une heure plus tard, je l’ai sucé à nouveau…., ce qui l’a fait exploser contre le fond de ma gorge juste au moment où nous avons tourné dans notre lotissement.
Le camping avec mon père est devenu une activité beaucoup plus fréquente après cela…. ma mère n’a pas semblé le remarquer…. et, à partir de ce jour, nous avons toujours réussi à « oublier » le deuxième sac de couchage chaque fois que nous préparions nos affaires.
j’adore, merci pour cette parenthèse chaude