Alain est un cocu
Le propriétaire est parti.
Sandra et moi nous ne disons pas un mot, assez désemparés, il faut bien le dire. Je comprends qu’il faut que je dise quelque chose pour débloquer la situation. – Je suis confus, tout mon esprit est confus, je ne sais plus quoi penser, tout est allé tellement trop vite. – Oui c’est ça, Trop vite, tout est allé trop vite ! – Sandra ! Je crois que tu devrais m’en parler, m’expliquer ton état, à présent, un peu comme chez le psy, en quelque sorte ? – Non ! Alain, je préfère que tu parles le premier, toi aussi tu dois avoir à dire ? – C’est vrai, mais je suis coincé, comme paralysé. Je ne sais pas par où commencer. Tout est si confus en moi. En fait c’est comme si j’avais rêvé, tu es là devant moi par contre je ne sais plus si c’est réellement arrivé. Que ? J’ai vu ma femme se donner à un autre homme pour résoudre une situation financière difficile, mais j’ai aussi observé qu’elle y a pris beaucoup de plaisir en plus, j’ai été très excité de la voir ainsi prise par cette homme.
– C’est vrai, au début j’étais dégoûté de toi et de moi, puis le sexe à pris le dessus. Je n’ai plus pensé qu’au sexe. Mais je ne savais pas que toi aussi, tu aimais me voir, me donner pour des loyers impayés. – Cependant, tu es allé très loin, tu lui as donné plus que tu ne m’a jamais accordé. – C’est vrai aussi, je ne sais pas pourquoi mais je n’étais plus moi-même, je vivais ces moments de sexe, il faisait de moi ce qu’il voulait. – A quoi bon à présent se poser ce genre de questions, je constate que tu es plus sensuelle qu’on pouvait l’imaginer. – C’est plus que vrai, je me suis révélée être une sacrée salope, que tu devrais dire. – C’est exactement ça, tu t’es comportée comme une pute ! – Tous les hommes, aiment les putes paraît-il ? – Sans doute, mais lorsque, c’est leur femme, dans se cas là. – Eh bien tu as une pute à domicile, de quoi donc te plains tu ? – Que ma pute est aussi celle d’un autre, aussi que c’est cet autre qui l’a faite pute ? – Des mots, des mots tout ça. – Ok ! Et maintenant ?
Dans notre chambre, nous sommes allongés sur le lit, côte à côte, dans la pénombre, sans bouger, sans parler. Je revois ma femme se faisant prendre et surtout se faisant enculer, sur notre lit conjugal. A quoi pensait-elle ? – A quoi penses-tu, me demande Sandra ? – A toi. Et à lui . – Moi aussi.
– Je vous revois, j’ai tout vu, tout ce que vous avez fait, dans le salon, dans le jardin et ici, sur notre lit. – Je me doutais bien que tu nous regardais.
Elle se love contre moi et m’embrasse. Puis elle prend mon sexe et le branle. Il est dur. – C’est vrai qu’il est petit, comparé à celui de Samuel. – Et ça te fait quel effet ? – C’est drôle, cette énorme différence.
Elle se met à me la sucer. Je la bascule sur le lit et n’y tenant plus je la pénètre. C’est inhabituel, elle mouille considérablement enfin j’entre en elle comme dans un gouffre béant. Mon sexe nage dans son vagin. Elle soupire. Je m’efforce de donner de grands coups de reins. Mais excité comme je le suis, je ne tiens pas longtemps, je jouis en elle avec un plaisir comme je n’en ai jamais eu.
Nous ne parlons pas. Elle me caresse les cheveux et murmure : – C’était bon, et pour toi ? – Je n’ai jamais ressenti pareil plaisir. Je pensais à la queue de Samuel. Et aussi, je ne t’ai jamais senti aussi accueillante et douce. – Moi, même si je n’ai pas jouis, c’était très bon, c’était cérébral, je pensais aussi à Samuel et à toi que j’ai fait cocu avec lui, à son sperme et à ton petit sexe. C’est très bizarre ? Nous nous endormons et n’avons plus reparler de ça durant quatre jours.
Alors que nous rentrons d’une promenade, le téléphone sonne. Sandra décroche. C’est Serge. Il lui demande de venir chez lui ce soir. Elle lui dit non. Puis qu’elle le rappellera dans un moment. Elle m’informe de sa demande, elle me demande ce que j’en pense. – Écoute ma chérie ? C’est à toi de décider ? – Non ! Tu as aussi ton mot à dire ? Bon il y a le prochain loyer qui arrive, par contre je suis aussi ta femme ? – Ah ! Oui, le loyer ? Sincèrement, si je fais abstraction de cet avantage financier, je suis tout excité à l’idée que tu te fasses encore prendre par Samuel. – Je dois avouer que j’en ai aussi très envie. – Moi aussi, j’ai très envie que tu ailles avec lui.
Elle se prépare, elle met une de ses nouvelles tenues. Une mini jupe évasé, très courte et un Tee-shirt moulant ses beaux gros seins. Je vois bien qu’elle n’a pas de soutien gorge. Je la regarde en l’admirant. – Je ne mets pas de culotte ? – Non, c’est mieux sans. – Ah ! Mon chéri veut être un bon cocu, alors ? – Je suis très excité, j’ai hâte que tu sois déjà rentrée. – Patience, mon chéri, je ne suis pas encore partie ?
Elle quitte la maison à vers les vingt heures. J’attends jusqu’à trois heures du matin puis je m’endors.
Au matin je me réveille, il est neuf heures. Sandra n’est toujours pas rentrée. Je m’occupe comme je peux mais je suis très énervé. Puis les heures passent, cette situation m’excite, j’imagine Sandra prise par Samuel. Le soir arrive puis la nuit, toujours pas de Sandra.
Le dimanche matin, puis le dimanche soir. Je suis réveillé le lundi matin, par une main sur mon épaule. J’ouvre les yeux. Sandra est allongée, nue, à coté de moi. – Quelle heure est-il ? – Dix heures moins le quart ! – Oh ! Sandra, tu m’as manqué, énormément manqué ? – Mon Alain ! Je t’aime ! – Moi aussi je t’aime ma Sandra.
Elle se met à genoux sur le lit, puis elle passe ses cuisses de chaque côté de ma tête. Elle vient poser sa chatte sur mes lèvres. Je sens une odeur forte de sexe. – Lèche moi, lèche ma chatte pleine de sperme de Samuel, il m’a prise encore ce matin de bonne heure.
Je reçois un choc cependant je sorts ma langue. Je lèche ainsi je goûte à ce mélange de mouille et de sperme. C’est bon, j’en bande. Tout me coule maintenant dans la gorge, comme un cocu heureux, je bois le plaisir de ma femme et de son amant. – Suce mon cocu de mari, suce le sperme de celui qui a pris ta femme, suce mon cocu, aspire, bois, avale ?
– Je ne peux qu’articuler. MMMM ! MMMM ! – Oh ! Si tu savais mon chéri, si tu savais…
Elle me libère de son emprise, se met à genoux pour me dire, viens baise moi. Je me précipite ainsi je la pénètre. – Alors, c’est comment aujourd’hui ? – Large, très large avec une douceur extrême. – C’est normal, il m’a prise une bonne dizaine de fois depuis vendredi soir. – C’est bon de baiser ta chatte dans cet état, j’imagine sa queue dans cette place. – Si tu savais comme j’ai jouis avec lui, qu’est-ce que j’aime sa queue, il m’a rempli de sa queue et de son sperme . – J’imagine, oui, tu es une vraie salope, à présent, j’adore. – Attend, tu n’as pas encore visité mon cul, tu vas voir, viens sodomise moi.
Je me retire, à regret, de sa chatte, je pousse mon sexe à l’entrée de son cul. Je suis surpris j’y entre presque sans forcer. Il est ouvert. Je m’y engouffre en entier. – Voilà ! Mon amour, tu m’encules toi aussi, tu m’encules après mon amant, c’est lui qui m’a dépucelée le cul, avec son énorme bite qui me fait jouir du cul. – Tu m’excites, ma pute chérie, tu m’excites, je vais jouir. – Oh ! Oui, c’est ça jouis. Tu sais mon Alain, je crois que lui aussi ne peux plus se passer de moi, tu sais ce qu’il m’a dit ? – NON ? – Il m’a dit, qu’il n’avait jamais baisée une jeune femme de vingt ans alors dorénavant, si je veux, je deviens aussi sa femme, que je lui appartiens, qu’il me fera découvrir les choses du sexe. – Tu lui as répondu quoi ?
– Je lui ai dit : OUI, OUI, OUI, que je suis à lui, que je me donne à lui et que s’il veut de moi, à présent, je suis sa femme et que je lui appartiens avec plaisir ? – AAAARRR ! Je jouis, mon amour, je décharge dans ton cul. – Joui ! Oui joui, mon bon cocu ?
Je n’en peux plus et je m’écroule sur le lit d’avoir trop eu de plaisir, la tête pleine de ce que viens de me dire Sandra. Nous nous endormons. Dans l’après midi nous reparlons de tout ça. – C’est vrai tout ce que tu m’as dit ce matin ? – Absolument, alors si tu veux, je suis prête à jouer le jeu avec lui et toi. – Comment ça, explique moi ça ? – Je ne te cache pas qu’avec Samuel, je m’éclate dans la jouissance, je n’ai jamais été prise comme il me prend. Il faut dire qu’il a le matériel et qu’il sait y faire. Bien sincèrement, j’ai très envie de vivre autre chose, sexuellement et amoureusement. C’est très excitant cette situation. Je veux la vivre à fond. – La vivre, jusqu’où ? – A fond ! Sans limite. – Tu crois pas que nous risquons de nous perdre ?
– Non, j’en suis certaine, par contre c’est toi qui dois être fort et me faire confiance. – Je te fais confiance. De toute les façons, si je ne suis pas d’accord, je te perds. – Je ne sais pas, mais je t’avoue avoir envie de cette homme en permanence. – Alors, dans ce cas, essayons ? – Il nous invite dans sa maison de près de Marseillan au bord de la mer. – Hein ? Nous ? – Oui, toi et moi. – Oui, mais quand ? – Nous partons ce week-end pour quinze jours , avec où sans toi ! – Tu es d’accord ? – Moi ? Bien sur oui, et toi ? – Oui ! – Alain, tu es sur ? Tu crois que tu es prêt à vivre ça ? – Oui, moi aussi je veux vivre cette aventure .
La semaine passe très vite et nous avons fait et refait l’amour en nous excitant de tout. Samedi matin Samuel est là et nous buvons un café avant de prendre la route. Samuel me précise le contexte de notre séjour. – Sandra sera ma femme, toi Alain, tu seras sera son frère, dès que nous aurons franchis la porte ce sera le deal. Vous êtes d’accord ? – Oui ! Répond, Sandra. – Oui, moi aussi, je d’accord comme ça. Que je marmonne. Nous prenons la route. Je vois le panneau barré, nous sortons de notre petite commune.
Sandra est devant avec Samuel, moi, bien sur je suis à l’arrière. Sandra a un mini robe légère, décolletée, elle lui serre ses seins volumineux et la taille, elle est légèrement évasée à partir de la taille. Ses cuisses sont largement découvertes. Ses seins gonflés sortent à moitié. Je la sais nue en dessous.
Qu’elle est belle légèrement bronzée. Sa jeunesse est resplendissante. Samuel conduit, une main sur la cuisse gauche de Sandra, comme pour marquer sa possession. Nous arrivons enfin, après un voyage très agréable et sympathique.
Nous passons ces quelques jours dans une ambiance amicale et extrêmement érotique.
Samuel et Sandra sont un couple, moi je suis, le frère et beau frère. C’est comme ça qu’il nous présente à sa sœur Léa, qui une petite chèvrerie près de sa maison. Les connaissances de Samuel, admirent la beauté de sa jeune épouse. Ils dorment ensemble, bien sur, et moi dans la chambre d’amis.
Durant tout le séjour, je n’ai eu aucune attention particulière de Sandra. Elle est l’épouse de Samuel. La porte de leurs chambre reste souvent bien entrebâillée. Je me demande si c’est pas intentionnel de la part de Samuel. Cependant, ça me permet d’assouvir mon voyeurisme. Je me masturbe tous les jours en les regardant baiser et en entendant leurs cris de jouissances.
La journée, ils sont toujours nus, ils sont très amoureux.
Au retour, Samuel nous dépose devant notre maison. – Quelles merveilleuses vacances j’ai passé. Dit Sandra. – Ça été une expérience très bizarre et excitante à la fois . – C’est vrai, que je me suis comportée comme si j’étais sa femme en t’abandonnant complètement, tu as dû en souffrir ? – Non, j’en ai profité bien au-delà de ce que je pouvais imaginé, c’était terriblement excitant , de t’entendre jouir encore et encore.
– Tant mieux, je me faisais quelques reproches . – Tu as été sa parfaite épouse, mon amour. – Viens, laissons les bagages, allons dans la chambre. Rétorque Sandra.
Je suis ma femme. Elle s’allonge nue sur le lit. Je la lèche partout, ses seins, sa chatte et son cul, longtemps. Mes doigts pénètrent ses orifices que je constate ouverts. Elle m’attire sur elle, j’entre dans son vagin. Je découvre combien elle est ouverte et humide. – Alain, je ne sens plus ta petite bite ? C’est fou ça ? – Pour moi, c’est toujours aussi bon, tu sais, je suis bien cocu. Je le constate en te voyant si large, si ouverte. Je vois qu’il a formé ton vagin à sa queue et ça, cela m’excite follement. – Tu as raison, j’ai la confirmation de lui appartenir en constatant que tu ne me fais plus aucun effet sexuel, sa queue me manque et ça m’excite de te savoir cocu à ce point. – Et ton cul ? – Il m’a enculée, je crois, autant qu’il m’a baisée, alors maintenant il m’encule facilement.
Je fait pénétrer un doigt dans son cul et constate effectivement qu’il s’ouvre avec souplesse. – Ah oui, tu es bien ouverte. Je la baise avec excitation et amour, aussi avec rage et désespoir. – Tu aimes que je sois une salope infidèle ? – Oui, j’aime ça, ton infidélité. – Tu aimes que je me donne à Samuel ? – Oui, mon amour ! – Tu aimes que je lui appartienne ? – A lui ? Oh oui, ma chérie. – Tu souhaite que je sois sa femme autant que la tienne, où plus ? – Oui, j’aime que tu sois sa femme, rien qu’a lui, du moment que nous divorçons pas. – Nous divorcerons pas tout les deux, par contre je serais sa femme, rien qu’à lui ? – Oui ! Si je peut vous voir baiser, se serais terrible ? – C’est ce que tu veux, vraiment ? – Je le souhaite de tout mon cœur, tant que tu m’aimes toujours autant.
Je suis sur le point d’éclater ma jouissance, mais je me retiens autant que possible. – Alors je vais lui dire que c’est d’accord ? – Que ? Quoi ? – Samuel veut que je vienne chez lui tous les vendredi soir jusqu’au dimanche soir, tous les jours fériés et toutes les vacances ? – Hein ? Mais je ne pourrais plus vous voir faire l’amour, ça c’est pas super ! – Oui je sais, par contre il exige aussi que je ne fasses plus l’amour avec toi . – Oh ! Mais, pourquoi ? C’est pas bon, pour moi, tu es ma femme que j’aime ? – Bon ? C’est parce qu’il veut que je sois enceinte de lui ? – OOOORRR ! Oui, Oui, ma chérie. OORR ! Oui ! Si tu le veux aussi, enceinte, de lui, OOORRH ! OOUUUIII ! AAAAAARRRFFF !
Je jouis, j’inonde son puits d’amour.
Quelques minutes plus tard, elle me dit : – Tu as bien saisi ce que je t’ai dit ? – Oui ! Tu veux dire que Samuel veut que tu sois sa femme, qu’il veut te mettre un polichinelle dans le ventre ? – Oui ! C’est ça. – Oh ! Oui j’ai bien compris, alors si tu le veux, je n’ai pas le choix. – Oui je le veux. Il faut aussi, que tu ne me touches plus ? – Je m’incline devant ta détermination. – Alors soit ! On commence dès aujourd’hui. j’attends mes règles et vendredi je serais avec Samuel. – Bon, c’est d’accord, mais au fait, pourquoi pas en semaine ? – C’est moi qui lui ai dit qu’il fallait que je sois aussi avec toi. – Ah bon ! Tu m’aime encore ?
– Pourquoi, tu voudrais que je vive avec lui, même en semaine ? Donc tout le temps ?
– Au moins, jusqu’à ce que tu sois enceinte.
– Alain ! Tu le supporterais pas ? Aussi, il savoir que ça peut durer longtemps, car il veut aussi me pervertir avant que je sois enceinte et aussi pendant et après.
– Là Sandra ! Je ne comprends pas ? – On va faire une chose : Pendant un certain temps, on va faire comme ça, je serais avec toi en semaine et après on verra. Selon la situation du moment, d’accord ?
– Ouais. D’accord ?
La semaine passe et le vendredi soir, Sandra me dit : – Bon je vais chez ? Mon mari,du week-end : à dimanche ? Elle m’embrasse et part.
Le dimanche soir, elle revient et je veux la prendre. – Non, Alain, pas question, j’ai promis et je respecte la promesse faite à mon Samuel ? – Mais, j’ai envie de toi, chérie. – Non, tu dois l’accepter. J’appartiens dorénavant à Samuel, plus à toi, tu le savais. – C’est vrai mais c’est dur, je bande pour toi ? Je suis dans un état d’excitation en pensant à ce qu’il a pu te faire. – Bon ! Je veux bien te tailler une bonne pipe, ça il ne me l’a pas encore interdit.
Sandra me taille une pipe d’anthologie, elle avale mon jus avec résignation pour combler mon plaisir.
– Merci mon amour, j’espère que tu m’a bu par amour ma chérie. Tu lui fait la même chose ?
– Oh Oui ! Tu ne peux même pas imaginer. Il est infatigable, il me fait l’amour en continue. Je dis bien l’amour. Il me fait voir les étoiles, lui au moins. Il me prend au moins quatre où cinq fois par jour, de tous les cotés. Je suis son vide couilles. Il veut que je sois toujours nue. Je suis à poil, même quand il reçoit, tu te rends compte ! – Hein ? Sandra, même quand il reçoit ? – Oui,quand, il reçoit ses amis, je dois être nue devant eux. Tiens justement, hier, le voisin, d’ailleurs nous le connaissons, il est venue, il a été très surpris, il m’a bien regardé, puis il a souri ? – Oh là là ! – Et encore ce n’est pas tout. Hier il a pris des photos de moi, nue, il les a mises sur Internet dans un site de voyeur amateur. Je ne sais plus l’adresse mais je vais lui demander et je te la donnerais. Ah oui ! Je suis aussi sur Internet. Dans quoi nous nous sommes embarqué ?
Cette semaine je trouve enfin un travail intéressant. Je signe mon contrat. Sandra est heureuse. Donc, je lui dis qu’elle peut tout arrêter et revenir ç la maison. – Ah non ! Ce n’est plus une question d’argent, c’est notre vie maintenant. Moi je veux continuer cette vie là. Toi aussi d’ailleurs ? – Moi je suis obligé d’être d’accord avec toi, pour ne pas te perdre. Je suis toujours amoureux fou de toi, alors ?
Vendredi soir, Sandra quitte la maison avec encore plus de joie. Moi, je vais beaucoup mieux, lundi je vais travailler. Nous voici début septembre. L’automne est là. J’attends patiemment ma Sandra, tout le week-end.
La suite demain
Sam Botte
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