Sandra encore plus soumise
Le mois passe très vite, chaque jour Sandra a une nouveauté à me raconter.
Un jour s’en est un qui l’appelle sur son portable en disant que Sam lui a donné son n° de téléphone et lui dit de venir à tel endroit. Bien sur il la prend. Elle se fait baiser où enculer où elle doit sucer et avaler le sperme. Elle rentre souvent après vingt deux heures.
Un autre jour, c’est son patron où le comptable qui après l’avoir convoquée la prenne dans leur bureau.
Elle me dit aussi un soir, Kamel l’a emmené dans les bois. Il l’encule lorsque trois de ses copains arabes apparaissent, ensuite elle les a sucer et a bu leur sperme à tour de rôle. Mais la chose la plus terrible pour elle, c’est que tous les week-ends, elle ne les passe de moins en moins avec Samuel, par contre, c’est avec son oncle qui ne se lasse plus de la prendre plusieurs fois par jour.

L’autre jour chez lui, Il invite aussi des copains. Ils étaient quatre.
Ils se sont foutue à poil tout en me pétrissant les seins et en essayant d’insérer les doigts dans ma chatte. Je peux te dire que j’étais déjà un peu excitée. Puis ils m’ont fait m’agenouiller, celui qui s’appelle Phil, m’a fourré sa bite dans la bouche.
Il m’a enserré la tête et m’a défoncée presque à me faire vomir. Les deux autres types, aussi bien membrés, me tripotaient de partout, leurs doigts s’insérant dans la moule et dans le cul.
Le Phil s’était allongé pour que je vienne me planter dessus. J’y allais sans hésitation. J’étais bien dans le bain maintenant, mes dernières inhibitions avaient disparu au contact de ces sexes durs qui me pressaient de partout. Du reste, il faut dire que ce type était un coup merveilleux.
Le Jean-Louis me dilatait la rondelle avec les doigts, a craché sur mon anus, il m’a pénétré doucement et tendrement. Son frère Yves baissa son pantalon et me présenta son anus a lécher. Jean-louis accéléra et me baisa fort et vite. J’enfonçais encore plus ma bouche dans le cul de sont frère pour ne pas crier. Dans un râle de chien en rut, Jean-Louis se déchargea tout dans mon boyau. Son frère ayant retrouvé de la vigueur, passa derrière moi et me pénétra directement sans mal, car le sperme de sont frère coulait de mon cul. Après une dizaine de minute, il lâcha sa purée dans mon boyau qui se mélangea au sperme de son frère.
Il faut te dire que les deux autres Phil et Roger me chauffaient tellement que mon cul débordait de désir. Le gros braquemart avait du mal à s’introduire mais, une fois qu’il y a été, il s’était mis à coulisser presque aussi bien que dans ma chatte luisante. C’était bon de sentir ces deux gros nœuds se heurter, seulement séparés par ma paroi. J’ai joui plusieurs fois, sans me cacher. Le mec qui me bourrait le cul, agrippait mes nichons. Ils ont tous changé de place, chacun passant dans tous mes trous. Ils étaient terriblement endurants. Le premier à craquer a été le Roger. Il était dans ma bouche. Je l’ai senti se cabrer à mesure que la pression de ses mains sur ma tête augmentait. Trop occupée à ressentir les coups de boutoirs des deux autres dans mes deux puits, je n’avais pas réagi et il commença à gicler abondamment jusque dans le fond de ma gorge, presque à me faire vomir. Les couilles bien vides, il s’était assis sur une chaise pour regarder ses deux autres me finir tout en buvant une bière.
Ils ne baissaient pas en rythme. C’était Phil qui me sodomisait à grands coup de bite, qu’il enfonçait jusqu’aux couilles, je sentais ses poils pubiens me caresser les fesses. Je l’ai subi quand il accéléra le mouvement avant de se retirer d’un coup pour venir éjaculer dans la bouche, il me fit nettoyer son gland encore gonflé avec ma langue. Puis il alla rejoindre l’autre pour boire un coup. Le troisième me mit sur le dos, il me fourra en missionnaire pendant un long moment, tout en aspirant ma langue et les lèvres, pleines du jus de ses potes. Il me mordillait les tétons durs comme jamais. Il vint se lâcher entre mes seins, en plusieurs longues giclées de sperme dont certaines se sont écrasées sur mon menton pour ruisseler après dans mon cou.
Abattue mais comblée, je pensais en avoir fini, mais pas du tout. Satisfaits de mes services, ils se lâchaient de plus en plus, ils devenaient canaille et vocabulaire. Tonton Roger me fit mettre à quatre pattes pour que je le suce pendant qu’il buvait sa bière.
Un bruit me fit sursauter, mais ce n’était qu’un chien. Cependant le chien s’approcha de moi pour me renifler. Je le repoussa, il revint pour me lécher les fesses. C’était assez agréable, je me surpris à le laisser faire.

Pendant que j’avais le cul en l’air, Roger m’avait dit : – Laisse toi faire, le clébard a envie de ton cul. Désormais, habituer à obéir, sans broncher, je laissais se clébard me monter, il me griffa les hanches, il donnait des coups de reins dans le vide, Phil, attrapa son sexe et me le fourra dans mon anus ruisselant de leur sperme.
Ouche ! Ça surprend, ça me brûlais un peu, il était brute, il avait un énorme sexe, il allait me déchiré, son sexe ne cesse de grossir, puis une boule est rentré à l’intérieur de mon rectum. J’ai eu peur de rester coincé, tonton Roger me rassura, alors je me détendis tout en suçant mon oncle. Mon plaisir était énorme, j’avais à la fois peur, honte, par contre c’était tellement bon.
Les autres m’observaient tous les trois avec envie. Sur mon dos, le clebs bavait, il me griffait les hanches en s’agitant, je sentais mon ventre grossir sous les giclées de sperme au fond de mon boyau.
Ça a durée au moins une demi heure, je jouissais quatre fois pendant que le clébard me baisait sous le regard de Roger et ses potes, puis son sexe dégonfla, il se retira de mon cul. Une quantité incroyable de sperme s’écoula de mon anus.
La porte d’entrée s’ouvrit et on entendit : – Oh merde ! Un autre chien se précipitait sur moi, très vite, je n’avais pas eu le temps de broncher, je fût surprise par la masse de la bête. Il se précipita sur ma raie. Sa langue chaude s’inséra dans ma fente, comme j’avais l’abricot encore très sensible, j’avais immédiatement montée dans les tours, en quelques secondes sans réaliser. Je hurlais de plaisir, mon sexe s’intéressait vivement à cette nouvelle expérience.
Malgré mon orgasme clitoridien ou à cause de lui, le chien continuait de me lécher. Après un moment de silence, ils se sont rapprochés, ils m’ont aidée à écarter les cuisses. Ils encourageaient le clebs. – Oh putain, regarde comment il trique le clébard Phil. Ce clebs est encore plus chaud que toi.
L’idée d’être encore livrée à cet animal aurait dû me faire horreur, pourtant ses coups de langue me chauffaient de plus en plus. J’avais perdu la tête. Jamais on ne m’avait léchée avec cette fougue, cette force, cette gratuité. Plus longue, plus chaude, plus mobile et plus rêche que celle d’un homme, la langue du chien était un bonheur infinie pour ma raie.
Mon dégoût était immense, cependant les décharges de plaisir qui montaient dans mes reins, démentaient mon aversion intellectuelle. Je tâchais de résister mais bien malgré moi, je cambrais mon corps pour trouver la meilleure position.
Du moins pensais-je que le jeu allait s’arrêter là, qu’il se contenterait de cela. Alors qu’ils continuaient à se marrer tout en se répandant en propos salaces, Jean-Louis fit remarquer. – Elle est chaude ta chienne Roger. Je crois qu’elle veut être baiser ?
Alors Phil, pour toute réponse, aida le clebs à me pénétrer. Mon vagin était tellement dilaté qu’il t entra sans peine. J’en étais déjà à mon troisième orgasme vaginal et la position à quatre pattes commençait à me plaire de plus en plus. J’étais chaude comme de la braise cependant, pas très fière de me donner en spectacle avec un chien devant ces hommes.
Quand la verge démesurée commença à glisser dans mon fourreau. Elle était longue, avec une énorme excroissance qui m’élargit le vagin. Le chien etait entré jusqu’aux couilles. Les mecs l’aidaient à rester bloqué. La sensation, était très différente par rapport à un homme. D’abord, les poils du chien étaient moins doux que la peau lisse et ferme des mecs. Je détestais le contact de cette toison sur mes fesses et mon dos, dans un premier temps.
Je t’explique çà ! Le chien est plus statique dans le vagin. Un homme, ça va et vient, il sort, rentre, change de rythme, joue avec sa bite dans tous les sens et à tous les vitesses. Pas le chien. Il ne cesse de pousser en avant, en lâchant régulièrement des petites giclées de foutre et à chaque fois, on sent son sexe se gonfler par saccades.
C’était fabuleux. Puis tout à coup, il accéléra et expulsa une grosse quantité de semence. Ça pris presque un quart d’heure. La scène avait excité les mecs, ils bandaient tous à nouveau comme des ânes. Je me remis donc à les sucer.
Quand le chien se retira, un flot de liquide s’échappa de mon vagin. Alors qu’il s’était retiré, je sentis une bite d’homme prendre sa place. J’avais reconnu celle de Phil à sa courbure marquée à gauche Il planta son dard dans mon puits d’amour rempli de sperme canin. Ensuite il se mis à me démonter la moule en levrette. – Alors c’est qui le meilleur, pouffiasse, le clebs ou moi ?
J’avais la bouche pleine d’une bite sur le point d’exploser. Je n’avais pas pu répondre. Phil fit comme le chien, il lâcha tout dans ma chatte tandis que les deux autres se finissaient à la main dans ma bouche et sur mon visage.
Ils se sont rhabillé. En passant devant moi, encore à poil, ils m’ont bien recommandé de ne rien dire à personne et cela me rassura. J’avais craint, maintenant qu’ils avaient eu satisfaction, qu’ils ne se foutent de moi, me méprisant, m’invectivant en me jetant la scène au visage comme étant la pire de toutes les traînées, autant d’insultes qui ne m’auraient rien fait pendant l’acte,bien au contraire. Par contre, après, elles m’auraient infiniment blessée. Pour eux, j’avais l’impression que la chose la plus naturelle du monde venait de se produire.
Après cet épisode très troublant où je découvris cette face cachée de ma personnalité, j’étais encore perturbée car je n’avais jamais connu de point de non retour aussi intense de ma vie.
Il était impossible pour moi de garder mes idées vraiment claires ou savoir quoi penser de tout cela, comment pouvais-je ignorer toutes ces perversions enfouies en moi-même ?
En tout cas il était impératif que cela ne se sache en aucun cas, mais hélas, Samuel venait de me découvrir il y a à peine dix minutes en femelle soumise et prise par un chien !
Il fait de moi ce qui lui plaît.
Il m’a même offerte à un gros chien. Le chien me baise devant lui pendant qu’il filme et ce branle. Le chien gicle des quantités impressionnante de sperme dans ma chatte. Il aime m’entendre jouir. Car oui je jouis. A force j’ai appris à aimer ça ! Il m’a fait devenir une chienne dans un bar à chien ou les maîtres amènes leurs chiens pour baiser des femmes. Je me suis fait baiser et aussi enculer par plusieurs chiens dans ce bar et devant plein de monde. Eux buvaient leurs bières tranquillement.
Enfin ses règles arrivèrent et elle pu souffler un peu. Pour moi, c’est dramatique, tant j’aime ma femme. Mais pour elle, c’est le bonheur.
La suite demain
Sam Botte
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