Extraite de son cagibi Morgane revêt sa tenue habituelle (chemisier blanc et jupe noire courte) car même les esclaves sexuelles doivent paraître à peu près décentes quand elle circulent dans l’immense demeure.
Escortée par Régine elle va s’assoir et déjeuner sur la grande table en bois à l’office.
– quand tu auras terminé de te gaver tu iras te laver, ensuite viens me rejoindre dans ma chambre!
– on va faire comme hier?
– non! aujourd’hui le thème est l’amour entre bisexuelles, en plus d’avoir le même genre de rapport sexuel qu’hier nous allons aussi utiliser des gadgets érotiques.
– bien madame Régine! je termine mon déjeuner puis je me douche et surtout je lave bien mon sexe et mes fesses pour ne pas vous importuner avec des odeurs désagréables!
– à la bonne heure! c’est un plaisir de constater qu’une truie comme toi se préoccupe du bien être des autres!
Morgane voudrait répondre avec un ton sarcastique mais elle sait qu’être arrogante se retournera contre elle, lui vaudra punition et souffrances.
Arrivée dans la chambre de Régine qui a revêtu une tenue vestimentaire complète et voyant les vêtements posés sur le lit elle les enfile sans dire un mot.
Ensuite se plantant devant Régine elle passe les bras autour de son cou, embrasse ses joues avant de poser ses lèvres contre les siennes et d’enfoncer la langue dans sa bouche en la sortant au maximum.
Elle agite et fait tourner sa langue dans la cavité buccale et surtout contre celle de sa professeure en y mettant de l’ardeur.
Régine ne tarde pas à participer et ce sont des longs baisers torrides que les deux femmes échangent, si l’une fait parler son expérience l’autre en temps qu’élève y met de la conviction voulant montrer ses capacités.
Pour finir c’est Morgane qui caresse sa partenaire sur les vêtements faisant glisser ses mains sur la poitrine, le ventre et entre les cuisses puis elle se recule.
En souriant et fixant Régine elle se déshabille lentement essayant de montrer de la sensualité dans ses gestes, elle commence par retirer son blouson puis les autres vêtements se retrouvent sur le sol, assise au bord du lit elle retire avec grâce ses bas avant d’enlever son soutien-gorge et enfin son string.
Toujours placée face à Régine elle exhibe son corps sous toutes les coutures à sa vue ne recevant en contrepartie que de faibles remarques.
Morgane entreprend de dévêtir Régine avec douceur tout en l’embrassant d’abord sur le visage puis en embrassant, léchant et caressant les parties du corps qu’elle met à nu.
Quand il ne lui reste plus que les sous-vêtements à enlever la jeune femme ne se préoccupe plus que du corps de sa professeure qu’elle caresse, embrasse et lèche pendant un bon moment n’oubliant pas un morceau de peau.
– allez la truie vient sur le lit! on va commencer par la partie gouine! tu va me faire les mêmes choses qu’hier mais en t’appliquant pour que ce soit mieux!
Allongées sur le lit c’est Morgane qui fait tout le travail, elle embrasse Régine en veillant que sa langue soit très active dans la bouche de celle-ci puis elle la lèche, l’embrasse et la caresse partout et longuement tout le corps côté face et côté dos sans oublier de bien promener sa langue entre les fesses en insistant sur l’anus.
Ensuite elle embrasse et lèche le sexe de la femme fourrant sa langue dans la vulve après avoir écarté les grandes lèvres avec des mains, respectant les ordres qu’elle reçoit en permanence Morgane lèche, suce, aspire et mordille le clitoris qui s’érige et devient turgescent et plus sensible.
Elle doit se servir de ses doigts pour fouiller la chatte et surtout masturber de plus en plus vigoureusement le clitoris.
Elle ne s’attendait pas à ce qu’après un moment le corps de Régine se cambre et se mette à trembler, ni à ce que de la cyprine jaillisse du vagin pendant que la vulve s’ouvre et se ferme plusieurs fois.
Régine reste un instant immobile les yeux fermés récupérant de sa jouissance.
Elle a repris le contrôle et redevient directive.
– regardes dans le tiroir du meuble là! sors l’attirail qu’il contient!
Morgane ouvre le tiroir et en sort tout ce qu’il contient puis pose sur le lit les godemichets, vibromasseurs et autres objets.
– pour te montrer l’utilité de ces objets je vais d’abord m’en servir sur toi! ensuite tu les utiliseras sur moi afin de te familiariser à leur usage! allonges toi!
Morgane subit quand Régine pose des pompes suceuses de mamelons sur les tétons et les actionne, elle trouve ça agréable et excitant sans bien voir l’effet produit.
gode pour vagin
C’est ensuite un vibromasseur qui se promène sur sa vulve et surtout sur son clitoris, son corps frémit et sursaute beaucoup, Régine veille à ne pas amener Morgane jusqu’à la jouissance.
La professeure s’amuse ensuite avec une pompe suceuse de clitoris et étant allongée les jambes écartées Morgane ne voit pas visuellement les réactions de son bouton qui est étiré et turgescent.
Régine utilise de nouveau le vibromasseur qu’elle promène sur l’anus, elle est satisfaite de voir que le corps de la fille tressaille.
Ensuite elle saisit un godemichet et l’enfonce sans trop de difficultés dans le cul de Morgane après l’avoir mis en marche, celle-ci apprécie vite l’effet des vibrations accompagnées de va et vient de l’objet dans son fondement.
Régine s’équipe d’un godemichet avec ceinture et défonce la vulve ou l’anus de Morgane en variant les positions, celle ci subit allongée sur le dos jambes bien écartées ou bien jambes repliées les genoux écrasant ses seins, à genoux le gode passe plusieurs fois de la vulve au fondement, elle se fait aussi sodomisée couchée sur le côté faisant face ou tournant le dos à Régine.
Quand elles se font face Morgane doit obéir aux ordres de Régine, être active et faire comme ci elle était amoureuse en se montrant câline, en embrassant et caressant sa partenaire qui lui défonce la vulve ou l’anus avec le gode.
C’est ensuite Morgane qui s’équipe du gode/ceinture et le fait aller et venir pendant un moment dans le vagin ou le cul de Régine tout en respectant les consignes que celle ci lui donne en permanence.
Le résultat est que les deux femmes sont bien échauffées, leurs vulves et leurs culs sont bien humides quand la professeure décide que cette partie de l’exercice est terminée.
Régine décide ensuite que chacune d’elle et doit maintenant donner du plaisir à l’autre, positionnées tête bêche elles se retrouvent d’abord et pendant un moment chacune avec dans la vulve un gode qui vibre et fait des mouvements de va et vient en même temps.
C’est ensuite dans l’anus que réciproquement elle s’en introduisent un et le font fonctionner jusqu’à humidifier encore plus et élargir l’orifice anal.
L’engin qui à pénétré le cul reste en place pendant que chacune leur tour les deux femmes s’en introduisent aussi un autre dans la vulve, Morgane doit suivre le rythme imposé par Régine, faire aller et venir les godes en même temps et avec une cadence soutenue dans l’orifice vaginal et le fondement.
A l’instigation de Régine les deux femelles utilisent ensuite des godes à double tête, chacune l’enfonce en même temps dans le vagin et l’anus de l’autre avant de le faire aller et venir dans les orifices, elles sont toutes les deux bien échauffées alors plus l’une ressent du plaisir pendant que l’engin la défonce doublement et plus elle s’active ardemment.
Après un moment et à cause du plaisir croissant qu’elles ressentent il n’est plus question de hiérarchie, ni d’élève et de professeur, elles se comportent comme deux amantes pendant que chacune cherche à donner de plus en plus de plaisir à sa partenaire.
C’est d’abord Morgane qui ne pouvant plus se contrôler atteint l’orgasme avant qu’un peu plus tard Régine ne jouisse elle aussi.
Telles des femelles en rut et emportées par le plaisir elles ne se contrôlent plus et se montrent plus virulentes pendant que chacune fait aller et venir le double gode dans les orifices de l’autre.
C’est encore Morgane qui jouit la première, elle n’a pas le temps de profiter de ce qui lui arrive car elle doit cependant amener Régine jusqu’à l’orgasme, elle doit encore s’activer pendant un petit moment avant que le corps de la professeure se mette à trembler et que des jets de cyprine ne s’échappent de son vagin.
Comme ensuite Régine reste sans bouger, Morgane se demande quelle attitude adopter et choisit de ne plus rien faire.
Calmée Régine reprend le rôle qui est le sien.
– je pense que tu as compris comment agir avec une bisexuelle quand il faut lui faire l’amour!
– oui madame Régine!
– c’est fini pour aujourd’hui! on va passer à la suite! remets tes frusques!
Les deux femmes se rhabillent enfilant leurs vêtements habituels, donc juste un corsage blanc et une jupe noire courte.
– il y a encore beaucoup de travail avant que tu sois au point!
– je sais madame! je fais le maximum pour combler mon manque d’expérience!
– nous ferons autant de séances qu’il le faudra pour faire de toi une professionnelle du sexe aguerrie car maîtresse veut que tu sois sans limite concernant le sexe!
– je vous remercie pour votre patience madame Régine! je vais m’appliquer encore plus!
– cela ne m’enchante pas de te former! c’est du travail en plus pour moi! je ne fais qu’exécuter les ordres donnés par maîtresse!
Morgane attend debout les bras ballants que Régine lui dise ce qu’elle doit faire ensuite.
– bon maintenant au tour de Brutus d’avoir du plaisir!
– oui madame Régine! je vous suis!
– aujourd’hui il va t’enculer!
– je sais madame!
– avec les instruments que je t’ai enfoncés dans le cul ton trou est prêt pour la pénétration!
– oui madame! c’est une bonne chose que vous ayez agrandi mon orifice anal! Brutus va pouvoir y enfoncer son pénis facilement et y prendre du plaisir!
Régine est un peu dépitée car elle aurait préféré que son élève se montre rétive afin d’avoir une excuse pour la frapper, elle sait que si Morgane se montre meilleurs qu’elle leur maîtresse en tirera la conclusion qui s’impose et évidement à son détriment.
– salope tu aimes ça baiser avec un animal, à croire que tu en es un aussi! allons y!
Une fois à l’extérieur de la grande demeure c’est en traversant la partie en herbe que les deux femmes sont surprises de voir le chien arriver derrière elles.
– pas besoin d’aller plus loin! Brutus va t’enculer ici! déshabilles toi et commences les préliminaires!
Morgane est gênée pendant qu’elle retire ses vêtements car l’animal qui la reconnait comme sa femelle n’a pas attendu, il la harcèle sortant sa grande langue, mettant son museau sous la jupe, reniflant l’endroit et léchant.
Enfin elle est nue, à genoux elle embrasse le chien sur la gueule puis le corps tout en le caressant partout en évitant l’endroit où elle sait trouver le sexe.
Brutus veut lui aussi participer, elle s’assoit et écarte les jambes et pendant qu’elle continue à le caresser lui fourre sa truffe entre les cuisses et lèche, Morgane apprécie ce qu’elle ressent mais doit rester concentrée sur le plaisir qu’elle doit donner à son partenaire.
Elle passe la main sur le ventre de l’animal et constate qu’évidemment son pénis est sorti de son fourreau et est bien érigé.
Sans trop de difficultés elle le couche sur le dos, caresse et masturbe doucement le membre avant de se pencher en avant puis de le lécher partout avant de le prendre dans sa bouche sans se soucier du liquide qu’il perd en permanence.
– c’est bon! maintenant mets toi la bite dans le cul!
Morgane obéit, elle se positionne à genoux et attend que le chien vienne se coller contre ses fesses, ayant envie de copuler c’est ce qu’il fait posant ses pattes avant sur le dos de sa femelle.
Evidemment il n’arrive pas à placer son son pénis dans l’orifice anal car ce n’est pas celui-ci qu’il cherche, il le fait glisser entre les fesses.
La jeune fille prend le membre dans une main et le place contre son anus avant de l’enfoncer à l’intérieur en s’y prenant en plusieurs fois bien que l’orifice soit agrandi par le godemichet que Régine y a introduit et fait aller et venir lorsqu’elles ont fait l’amour.
Elle peut lâcher le pénis car Brutus s’est mis à bouger et en faisant ça sa verge s’enfonce dans l’orifice anal de sa femelle, elle sent bien l’objet bouger rapidement en elle.
Elle patiente laissant le chien se donner du plaisir et trouvant les sensations ressenties pendant le coït très agréables.
Comme ça se passe à chaque fois qu’elle a un rapport sexuel avec l’animal arrive le moment où le nœud grossit et le pénis se retrouve de ce fait bien enserré dans le cul.
Pendant que Brutus continue à le faire bouger rapidement en elle les sensations ressenties augmentent, Morgane a presque envie qu’il l’encule longtemps.
Soudain le corps du chien se raidit et ses griffes ont tendance à s’incruster dans la peau du dos de sa femelle pendant que le sperme s’écoule en quantité dans les intestins.
L’animal tente de se dégager mais en pure perte, tout ce qu’il réussit à faire c’est changer de position sans que son pénis ne sorte du cul de Morgane.
Le couple ne peut qu’attendre que le nœud se résorbe pour que le chien puisse se dégager et libérer l’orifice. Morgane patiente pendant un moment à genoux en évitant de bouger par peur de provoquer de la douleur.
Régine qui reste là à regarder bien que le spectacle soit terminé ne peut pas s’empêcher de vanner Morgane.
– tu as l’air maligne à rester comme ça à genoux avec le chien collé à toi! quel tableau vous faites tous les deux!
Morgane trouve le temps bien long, enfin Brutus fait l’effort, le nœud a bien dégonflé, il parvient a faire sortir son pénis de l’anus de sa femelle.
La fille reste à genoux laissant le sperme sortir de son cul et couler entre ses fesses puis s’étaler sur le sol.
– cesses de traîner! rhabilles toi vite j’ai autre chose à faire que de m’occuper de toi!
– oui madame Régine! je me dépêche! il va se passer quoi maintenant pour moi?
– comme j’ai un rendez vous avec un client de maîtresse qui adore faire souffrir les femmes car il n’y a que comme ça qu’il prend son pied, je me dis qu’il n’y a pas de raison pour que toi tu passes un après midi tranquille!
– vous allez me faire souffrir?
– oui!
– ce n’est pas de ma faute si vous allez servir de souffre-douleur à un homme! vous ne devez pas vous en prendre à moi!
– si! je sais que ce sera une maigre consolation pour moi de penser à ce que tu endureras pendant que moi aussi je souffrirais mais j’ai envie que ce soit ainsi! allez viens!
Morgane suit Régine tout en comprenant qu’elle l’emmène ans un coin du parc, là où se trouvent les engins qui servent régulièrement pour la torturer et la conditionner.
Arrivées sur place les ordres fusent.
– allonges toi sur le ventre entre les 4 poteaux!
Morgane obéit, elle sait qu’elle va se retrouver ne touchant plus le sol avec les membres étirés et écartelés, donc elle va bien souffrir.
Elle est surprise quand son bourreau pose un sac qui semble lourd sur son dos et l’attache à l’aide de sangles autour de son buste veillant à ce qu’il tienne bien en place.
Régine fait fonctionner les palans qui sont fixés en haut des 4 poteux métalliques, elle déroule les câbles puis en attache les crochets qui se trouvent à leurs extrémités dans les anneaux des bracelets qui enserrent les poignets et les chevilles de la victime.
Chacun leur tour elle manœuvre les palans, Un membre de Morgane est sollicité et tendu puis un autre, les câbles se tendent, le corps de la prisonnière finit par quitter le sol et ses membres écartés et tendus qui doivent supporter le poids de son corps et en plus le poids du sac qui est fixé sur son dos.
– bon je pense que tu es positionnée assez haut! les employés vont pouvoir aisément te baiser! arrêtes de geindre et de crier, je sais que tu as mal mais tu es là pour supporter la douleur!
Dire ça à Morgane c’est facile pour Régine mais ce n’est pas elle qui souffre et souffrira longtemps.
– tu vas ameuter tout le monde à hurler comme ça en permanence! je vais te bâillonner!
Régine retourne dans le manoir et en revient avec une boule/bâillon, elle enfonce la boule dans la bouche de la suppliciée et la fait tenir bien en place en attachant à l’aide d’un lacet les lanières de cuir côté nuque.
– maintenant tu peux crier tant que tu peux, personne ne t’entendra! allez à ce soir!
Régine part indifférente au sort de Morgane qui souffre le martyr.
Le temps passe lentement, les douleurs intenses font oublier à le fille qu’elle n’a pas pris le repas de midi.
Heureusement pour elle que ce soit Joseph le chauffeur, Gabin le jardinier ou Lucas l’employé multi service, quand ils voient ce que subit Morgane cela leur pose un cas de conscience.
Si de loin on ne l’entend pas, de près ses gémissements, râles et cris sont bien audibles malgré le bâillon.
Ils entendent nettement qu’elle les supplie de la libérer, son visage déformé par les atroces douleurs est ravagé, elle bave beaucoup.
Ils sont atterrés et ne veulent pas la faire souffrir plus, surtout que la voir ainsi leur a coupé l’envie de la sauter, ils repartent sans s’en servir comme vide-couilles.
Lucas revient sur les lieux une deuxième fois, il libère la jeune fille de sa position plus qu’inconfortable, elle reste allongée sur le sol bras et jambes écartés pendant un long moment.
– j’ai plaidé ta cause auprès de madame Armelle lui disant que ce n’était pas humain ce que tu subissais actuellement et que tu risquais d’être démembrée et au minimum d’avoir des articulations démises! elle m’a autorisé à te libérer et à faire de toi ce que je veux!
– merci monsieur Lucas! je suis à vos ordres pour tout ce que vous voudrez faire de moi! mais laissez moi un peu de temps pour que je me remette car j’ai trop mal!
– je vais te laisser ici libre et vaquer à mes occupations habituelles! promets moi de ne pas tenter de t’enfuir!
– je ne tenterai rien monsieur! je vais attendre ici que vous reveniez!
– je te laisse et te fais confiance! pour ce coup là c’est ma crédibilité qui est en jeu auprès de madame Armelle!
– je l’avais compris! je ne vous ferai pas d’entourloupe monsieur Lucas surtout que vous êtes bon avec moi!
– d’accord! à plus tard!
Morgane patiente longtemps seule allongée dans l’herbe, elle ne songe même pas à remettre sa jupe courte et son chemisier.
Le plus gros des douleurs s’est estompé mais les ressent encore quand elle fait des gestes, après un bon moment à rester immobile elle fait cependant l’effort de faire bouger ses membres, de se lever et de marcher.
Enfin Lucas est de retour.
– Tu peux bouger et marcher!
– oui monsieur même si ce n’est pas facile!
– remets tes vêtements! je vais te ramener jusqu’au manoir!
– je veux vous remercier avant monsieur Lucas!
– pour aujourd’hui je préfère te laisser tranquille! tu en as assez bavé!
– j’insiste monsieur!
– tu penses me faire quoi!
– rien de spécial monsieur! juste avoir avec vous une relation sexuelle simple! je m’allonge et vous me pénétrez!
– d’accord puisque tu insistes!
Morgane qui était assise dans l’herbe s’allonge et écarte les cuisses pendant que l’homme sort la verge de son pantalon, il est en érection ce qui satisfait la fille qui pourra assurer le service minimum.
Lucas se met sur elle et veut la pénétrer mais éprouve des difficultés car avec ce qu’elle a subi la vulve est refermée et plutôt sèche.
Néanmoins elle se laisse faire n’étant pas à une douleur près, le pénis pénètre petit à petit dans son ventre pendant que l’home lui caresse la poitrine.
Enfin le membre est bien enfoncé dans la vulve, Lucas reste un peu immobile avant de donner des coups de reins lents jusqu’à ce qu’il sente que le pénis coulisse plus librement.
Il accélère la cadence des va et vient et ne cherche pas à se contrôler quand assez rapidement la jouissance arrive, il éjacule arrosant le vagin de sperme.
Il se retire, se lève et remet dans son caleçon sa queue gluante de sperme.
Morgane se lève en grimaçant le corps et les membres toujours douloureux, elle reste les jambes écartées laissant la semence sortir de son sexe puis elle remet sa jupe et son corsage.
– viens! je te ramène dans le manoir!
– je vous suis monsieur Lucas!
Arrivés sur place l’homme s’adresse de nouveau à la captive:
– pour te détendre tu vas prendre un long bain avant le dîner! je vais t’apporter des comprimés pour soulager tes douleurs!
– vous êtes gentil avec moi monsieur Lucas!
– vas dans la salle de bain là-bas, j’arrive!
Effectivement alors que la fille vient de pénétrer dans la baignoire, après l’avoir remplie, Lucas entre dans la pièce et pose une boîte sur l’étagère du lavabo.
– je repasse dans une demi heure! avales deux comprimés puis caches la boîte sous le matelas dans ton cagibi, ça pourra te servir à l’avenir!
– merci monsieur!
Quand séchée et rhabillée, toujours accompagnée de Lucas, Morgane gagne l’office elle constate que son corps se décontracte et qu’elle souffre moins.
Son repas expédié et sans rien demander ou dire elle se dirige vers le cagibi qui lui sert de logis et s’allonge sur le matelas, elle a besoin de dormir pour récupérer.
Louloute
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