Histoire de sexe Le destin de Morgane 17

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Morgane au tapin
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Un soir avant d’enfermer Morgane dans le cagibi qui lui sert de logement Régine lui dit:
– à partir de demain et pendant au moins une semaine tu vas sortir du domaine pour passer à la pratique sur le tas!
– je vais faire quoi et où madame Régine?
– tu verras bien! tu vas d’abord travailler en profitant de la nature puis pour compléter ton expérience ce sera en ville!
– je ne comprends pas?
– ça je m’en fiche! tu comprendras une fois sur place! crois moi ce que tu vas faire est dégradant mais nécessaire à ta formation!
Ne voulant pas en savoir plus mais troublée Morgane retire ses habits, entre dans le cagibi et s’allonge sur le matelas qui lui sert de lit.
Régine ferme et verrouille la porte puis s’éloigne, une fois allongée et dans l’obscurité la captive trouve difficilement le sommeil car ce que lui a dit Régine l’inquiète.

Le lendemain après le repas du midi Morgane doit revêtir les habits que Régine lui a apportés.
Comme sous-vêtements juste un string et pas de soutien-gorge.
Un maillot jaune à bretelles très ajusté et bien échancré, le but est que l’on devine aisément la forme de sa poitrine, une partie de ses seins est nettement visible, les tétons pointent à travers le tissu car elle a du les enduire d’un produit qui les a fait s’ériger et durcir.
Régine veut qu’elle soit bien visible des futurs clients et pour cela elle lui a préparé une tenue voyante.
Morgane a enfilé une jupe rouge fluo extra courte en skaï et des bas résilles, pour terminer elle a chaussé des bottines rouges à petits talons.
Dans le sac à main de couleur assortie à la jupe la fille trouve des mouchoirs en papier, des préservatifs et un porte monnaie vide.
– c’est pourquoi tout ça madame Régine? je ressemble à une prostituée!
– c’est le but! ce qu’il y a dans le sac est ce qui est nécessaire à une prostituée car c’est ce qu’on va faire de toi dés aujourd’hui! d’ici à peine une heure tu en seras devenue officiellement une!
– comment ça!
– tu vas tapiner et faire des passes en bordure d’une forêt que traverse une route nationale très fréquentée!
– vous pouvez m’expliquer ce que je dois faire?
– vu que t’es conne je vais t’expliquer! enregistres bien tout ce que je vais te dire et j’espère que ton comportement cet après-midi et les jours suivants sera conforme à ce qu’on attend de toi!
Régine détaille en quoi va consister le travail de la fille qui se fera avec utilisation de préservatifs, elle lui explique la façon dont elle devra se conduire en aguichant les hommes puis lui parle des pipes ou pénétrations en levrette soit dans le bois ou soit dans la voiture des clients.
Elle fixe les tarifs des prestations: 30 euros pour une pipe et 50 euros pour une pénétration de la chatte.
– c’est Gabin le jardinier qui va t’emmener sur place, il restera pour te surveiller!
– pourquoi me surveiller?
– des fois que tu en profites pour tenter de t’enfuir! il te rattrapera et crois moi je t’en ferai passer l’envie car je te ferai souffrir beaucoup et longtemps!
– je n’ai pas envie de fuir! ça ne me vient même pas à l’idée!
– alors il n’y aura pas de problème! tu peux sortir monsieur Gabin doit t’attendre à côté du garage!
– bien madame! vous me mettez dans une situation très dégradante mais j’espère me montrer à la hauteur et ne pas vous décevoir!

C’est dans une 208 Peugeot grise et assez ancienne que Gabin emmène Morgane qui a du s’asseoir sur le siège arrière car il dit ne pas vouloir qu’une de ses connaissances le voit en compagnie d’une putain.
Le véhicule ne roule pas longtemps avant de stopper sur le bas côté de la route lors de la traversée d’une forêt de chênes et autres essences pas bien entretenue car il y a beaucoup de petits arbres qui forment des taillis.
Gabin qui en général est silencieux se fend de quelques mots:
– là! en face! j’ai repéré un endroit où tu seras bien! si tu te places correctement tu seras vue des automobilistes qui passent dans les deux sens! tu trouveras facilement un endroit discret pour te faire sauter! allez dégages et mets toi au travail!
Morgane désorientée sort de l’auto, traverse la route, pénètre dans le bois et rapidement trouve un endroit qui lui semble adapté pour ce qu’elle doit faire. Aux traces et préservatifs laissés sur le sol elle sait qu’elle n’est pas la première à venir tapiner à cet endroit.
Elle va se poster sur le bas côté et regarde passer les voitures, elle se conforme à ce qui lui a été demandé et donc sourit aux conducteurs qui évidemment la regardent en ralentissant parfois.
Gabin s’est fait discret, il s’est garé dans un chemin un peu plus loin et assis sur un siège pliant en toile il reste un moment à épier posté derrière des arbustes qui le rendent invisible s’adonnant ensuite à la lecture d’un roman policier sans cesser de jeter des coups d’œil pour surveiller Morgane.

Une première voiture s’arrête devant la tapineuse qui n’en mène pas large à cause de son inexpérience, un homme au physique quelconque en descend et s’approche d’elle.
Après un bref bonjour il demande combien elle prend et après qu’elle le lui ait dit il opte pour une pipe et la suit pendant qu’elle gagne l’endroit choisi pour y passer à l’acte.
Après avoir fouillé dans une de ses poches il tend des billets froissés qu’elle prend et met dans son porte monnaie pendant qu’il sort sa verge qui est loin de bien bander, Morgane enfile dessus un préservatif.
Appliquant la méthode que Régine lui a apprise avant de la confier à Gabin et ne voulant pas risquer qu’il se déchire elle ne l’enfonce pas entièrement laissant un espace pour le sperme.
Après avoir caressé et masturbé le pénis pour qu’il prenne des dimensions plus respectables elle se baisse devant l’homme, enfonce le membre dans sa bouche puis le fait aller et venir dans sa cavité buccale en serrant bien les lèvres.
Il ne lui faut pas œuvrer longtemps avant que la verge ne tressaute et que le sperme coule dans la capote.
La prostituée fait encore aller et venir ses lèvres sur le pénis avant de l’abandonner et de se relever.
Elle tend un mouchoir en papier à l’homme qui s’essuie après avoir jeté le préservatif.
Elle le suit et bien qu’il ne cherche pas à discuter elle lui dit quelques mots gentils pendant que soulagé il retourne à son véhicule. Elle reprend son poste pendant que la voiture s’éloigne.

C’est un poids lourd qui stoppe devant elle, nouveaux palabres, il préfère un coït mais veut faire ça dans la cabine du camion disant qu’il y a une couchette et que ce sera plus confortable.
Il a ouvert la portière côté passager, la prostituée éprouve des difficultés pour accéder à la cabine car le marchepied vertical est raide, il l’aide en la tirant par les bras.
Il sort de son portefeuille des billets qu’elle met dans son sac à main.
Morgane retire son string et s’installe sur la couchette dont les draps et la couverture sont en désordre, le routier qui a mis son sexe à l’air la rejoint, elle enfile un préservatif sur la verge malgré qu’il soit réticent.
Il s’allonge sur elle puis la pénètre avant de commencer à faire bouger son corps, les va et vient de la queue dans le vagin ne durent pas longtemps avant que le corps de l’homme ne se raidisse et qu’elle sente le pénis tressauter.
Elle le laisse se vider dans la capote pendant qu’il reste immobile le membre planté dans son ventre, elle doit ensuite le repousser pour pouvoir se dégager.
Ils descendent de la couchette, lui se débarrasse du préservatif et essuie son sexe pendant qu’elle remet son string.
– tu avais une grosse envie!
– cela faisait un bon moment que je n’avais pas eu de rapports sexuels avec une femme et si j’avais eu plus de temps j’aurai bien continué avec toi!
– cela aurait pu se faire mais te faire jouir une deuxième fois t’aurai coûté quelques billets en plus.
– je sais! ce n’aurait pas été un problème!
– tu m’aides à descendre de ton camion?
– oui! je descends avant toi et je te tiens!
Une fois qu’il est à terre elle tente de poser un pied sur le marche pied en s’agrippant à la portière mais est empruntée, il met les deux mains sur ses fesses pour la retenir.
– je te tiens! laisses toi aller!
Pendant qu’elle descend en s’agrippant à une poignée une des mains du routier a glissée et se retrouve plaquée entre les fesses touchant pratiquement le sexe et la jupe de la prostituée retroussée a remontée presque jusqu’à la taille, de où il est le routier voit entièrement le string et tout ce que celui-ci ne cache pas.
Enfin Morgane touche le sol, elle échange quelques mots avec son client avant qu’il ne remonte dans son camion puis démarre, le véhicule parti la prostituée est de nouveau visible des automobilistes.
Les clients ne manquent pas, si les demandes de pipes sont les plus nombreuses celles concernant les pénétrations en levrette ne sont pas rares elles non plus. La prostituée est bien occupée.
Attirés par le belle jeune femme qui tapine dans un endroit d’ordinaire désert il y a même des mâles qui n’auraient pas pensé le faire qui s’arrêtent et profitent de ses services sexuels.
Ce qui le gêne le plus ce sont les voyeurs qui une fois stationnés rôdent autour de l’endroit ou elle exerce son métier de prostituée, certains se dissimulent derrière des arbres ou des bosquets et mâtent pas toujours discrètement pendant qu’elle suce des queues ou se fait pénétrer penchée en avant pour bien présenter ses fesses tout en se tenant à un tronc d’arbre.

Ce travail répétitif et peu attrayant avec des hommes qui racontent soit leur vie ou le plus souvent des banalités alors que d’autres la questionnent ce qui ne l’enchante pas.
Le temps passe, elle est soulagée quand la voiture de Gabin s’arrête devant elle et qu’il lui fait signe de le rejoindre.
Pendant que le véhicule roule elle compte sa recette, elle est contente de ses gains et espère que Régine et surtout Armelle De Montagnan, la femme à qui elle appartient, seront elles aussi satisfaites.

Pendant son tapin le deuxième jour elle enchaîne de nouveau les passes, elle pense que des personnes ont propagé la rumeur comme quoi une jeune et belle prostituée tapine à un certain l’endroit ou bien des automobilistes ont constaté sa présence la veille et n’ont pas résisté à leurs envies et ont donc décidé de s’arrêter aujourd’hui pour se soulager.
A un moment de l’après-midi, une voiture s’arrête et deux hommes en descendent.
Ils entrent tout de suite dans le vif du sujet:
– tu prends combien?
Maintenant habituée elle répond donnant le tarif pour une pipe et aussi celui pour une pénétration de la vulve.
– on voudrait faire ça avec toi en même temps! un dans ta bouche et un dans ta chatte! tu serais d’accord?
– je ne suis pas chaude pour ce genre de pratique! je préfère un homme à la fois! le premier vient avec moi pendant que l’autre attend dans la voiture puis je fais avec le deuxième une fois que le premier est parti!
– ce qui nous intéresse c’est de te prendre en même temps! nous sommes prêts à te payer plus cher!
Ils baratinent, Morgane ne sait plus où elle en est et finit par accepter avec 20 euros en plus du tarif normal.
Une fois sur place et après avoir reçu l’argent de sa prestation le plus difficile est de mettre une capote sur chaque queue car les deux clients regimbent, comme elle veut annuler les passes et que maintenant leur envie a pris le dessus ils finissent par accepter la présence de préservatifs.
Penchée en avant et les jambes écartées Morgane suce une verge pendant que l’autre va et vient dans sa chatte, les deux hommes ne veulent pas jouir sans avoir utilisé les deux orifices, ils échangent leurs places.
Heureusement pour elle la fellation et le coït ne durent pas longtemps, les deux hommes éjaculent dans les capotes qu’ils jettent avant de s’essuyer avec des mouchoirs en papier que la prostituée leur tend.
Elle remet son string et se dirige tout de suite vers la route voulant se débarrasser au plus vite des deux compères qui n’arrêtent pas de parler et surtout de lui faire des propositions concernant des rendez-vous ailleurs pour des relations sexuelles complètes en trio.
Devant son refus et apparemment vexés ils remontent dans leur véhicule et disparaissent.

Ensuite, comme la veille, elle satisfait les demandes de pipes et de pénétration de sa vulve jusqu’à ce que Gabin mette un stop à son travail.

Le soir pendant que Gabin la ramène au manoir il la sermonne.
– tu as fait une grosse bêtise aujourd’hui!
– de quoi parlez vous monsieur Gabin? j’ai fait comme hier!
– tu as baisé avec deux clients en même temps ce qui ne se fait pas!
– oui! ils le voulaient et m’ont payée plus!
– ce n’est pas la question d’argent, c’est le fait que tu cours un danger avec plusieurs hommes en même temps, ils peuvent s’exciter l’un l’autre et te faire de vilaines choses et même attenter à ton intégrité physique!
– vous pensez ça monsieur?
– oui! avec un homme il y a déjà un risque s’il est mal intentionné alors plusieurs ensemble ils peuvent devenir incontrôlables!
– vous avez raison monsieur Gabin! je ne le referai plus!
– c’est bien! je n’en parlerai pas à madame Armelle et surtout pas à Régine car elle en profiterait pour te punir et te faire souffrir!
– merci monsieur!
En contrepartie de son silence Morgane doit lui faire une pipe et avaler le sperme une fois qu’il a trouvé un chemin où se garer.

Le troisième après midi de turbin qui est un vendredi Morgane ne chôme pas, elle comprend qu’étant en début de mois des gens ont touché leur salaire, les clients affluent et parfois plusieurs véhicules sont garés devant et également en face de l’endroit où elle tapine.
Les préservatifs souillés s’entassent, si les pipes sont nombreuses les pénétrations de sa vulve en levrette ne manquent pas.
A un moment elle a même pensé à ne pas remettre son string mais s’est ravisée car sa jupe rouge en skaï est bien trop courte pour cacher ses parties intimes quand elle fait le moindre mouvement.
Elle n’a pas voulu que des mâles se satisfassent gratuitement et uniquement de la vue de son sexe et de ses fesses.
En fin de journée, pendant le trajet de retour, elle esquisse même un sourire béat fière de ses gains et heureuse car elle sait que celle à qui elle appartient et même Régine, mais c’est secondaire, sera satisfaite en constatant qu’elle peut être une prostituée qui s’applique à bien faire le travail demandé.

Le weekend est calme, le lundi seuls les employés de madame Armelle De Montagnan se soulagent dans le corps de la nouvelle prostituée, à commencer par Joseph le chauffeur suivi de Gabin le jardinier puis de Lucas l’homme multi fonctions.
Les coïts se passent dans le parc à genoux ou allongée dans l’herbe suivant le souhait des mâles.

Si Morgane doit aider en cuisine elle a quand même le temps de se promener dans le parc et a un moment elle est surprise par quelque chose d’humide et froid qui se glisse sous sa jupe et frotte contre ses fesses.
Elle se retourne et voit que c’est Brutus le chien qui garde la propriété, c’est maintenant sur le sexe qu’il frotte son museau et passe sa langue.
La fille ne voit pas comment se débarrasser de lui, il se dresse et brutalement pose les pattes avant sur sa poitrine, elle recule et tombe en arrière.
Tout de suite il s’attaque à elle qui ne pouvant pas s’échapper prend la seule décision qui s’impose, elle retrousse sa courte jupe puis laisse le chien lui lécher l’entre jambes et surtout le sexe.
Elle n’est pas pressée qu’il s’arrête car elle ressent des choses agréables mais au bout d’un moment lui veut autre chose, il se place sur elle les pattes avant reposant sur son corps.
Elle sent le pénis, qui évidemment est en érection, glisser sur son ventre puis sur son sexe sans trouver l’entrée de la vulve, elle le saisit et le place au bon endroit puis l’enfonce à l’intérieur bien aidée par l’animal qui ne demandait que ça.
Il commence à s’agiter rapidement et tout de suite Morgane apprécie les sensations que lui procure le membre gluant qui bouge dans son ventre.
Le plaisir s’accentue, arrive le moment où le nœud se forme sur le pénis et que la vulve est bien remplie, la fille est surprise de ressentir autant de plaisir mais surtout par ce qui imprévu lui arrive.
Son corps est secoué par des spasmes, les grandes lèvres de sa vulve s’ouvrent et se referment plusieurs fois pendant que de la cyprine s’échappe de son vagin.
Brutus imperturbable et qui ne pense qu’à son plaisir personnel a continué à la défoncer, les sensations agréables et fortes ressenties par Morgane ne baissent pas, heureusement le chien ne tarde pas à éjaculer remplissant le vagin de sperme.
Il ne reste plus qu’à patienter jusqu’à ce que le nœud se résorbe et que l’animal réussisse à retirer son pénis de l’orifice vaginal ce qui au bout d’un moment finit par arriver.
Brutus se couche près de la fille qui laisse le sperme couler avant de se lever en gardant les jambes écartées et sans bouger elle attend que son vagin se vide de la semence qui l’a souillé.
Morgane retourne dans le manoir se laver avant de revenir dans le parc s’asseoir dans l’herbe, c’est sa seule distraction.

La semaine suivante, le mardi matin Morgane a du se faire des casse-croûtes et se préparer des boissons, elle est surprise de commencer si tôt mais surtout d’être amenée en ville avec un temps de trajet bien plus long.
Là Gabin la confie à un homme bedonnant aux cheveux rares qui parle avec un fort accent.
– on me surnomme Max l’enjôleur! je vais te montrer tes appartements et l’endroit où tu vas faire le trottoir!
Il lui montre un endroit sur un trottoir qui ne dépasse pas une dizaine de mètres puis une chambre minable dans un vieil immeuble qui dans le passé devait être un hôtel puis il lui explique les règles à respecter.
La jeune prostituée se met donc au travail, le temps passe et d’autres tapineuses font leur apparition, se hèlent tout en arpentant leur partie de trottoir. Les clients se font désirer, souvent les hommes qu’elle agouce ont d’autres choses en tête.
Il y a également des femmes qui passent, elles toisent les prostituées avec des regards méprisants. Morgane ne se sent pas à l’aise dans cet environnement.
Quelques mâles commencent à tourner autour des tapineuses cherchant celle qui leur conviendrait sexuellement (car les femmes ne sont pas avares concernant ce qu’elles peuvent faire aux homme) ou physiquement.
Deux catins sont choisies par des passants avant qu’un client éventuel n’aborde Morgane, elle lui sourit et se montre enjôleuse puis répond quand il lui demande combien elle prend.
Comme en premier lieu il est surtout intéressé par le physique de la jeune tapineuse il n’hésite pas longtemps et la suit pendant qu’elle monte un escalier qui craque et se rend dans la chambre qui lui est attribuée.
Elle récupère l’argent de la passe, quand il l’a sortie du pantalon elle enfile sur la queue de l’homme un préservatif puis retire son string avant de s’allonger sur le lit.
Le quidam se positionne sur elle et tente de la pénétrer, avec une main elle l’aide puis pendant qu’il donne des coups de reins elle fait bouger son bassin en épousant le même rythme, elle ne veut pas que le coït dure.
L’homme s’affale sur elle pendant qu’il éjacule, elle n’attend pas longtemps avant de le repousser. Elle se lève et remet son string.
En même temps elle montre la poubelle et un paquet de mouchoirs en papier à son client, il jette le préservatif et s’essuie avant de rajuster sa tenue puis suit la prostituée qui sort de la chambre, descend l’escalier, arrivés dans la rue ils se séparent après avoir échangé quelques mots.

Pour Morgane le tapin continue, elle reprend sa place sur le bout de trottoir qui lui est attribué et doit faire face à la concurrence agressive des autres prostituées, pour s’en sortir elle se met elle aussi à agoucer verbalement les passants, elle leur sourit et prend des poses subjectives adossée à un mur d’habitation.
Sa beauté la sauve car elle est plus attirante que la plupart des autres tapineuses qui si elles ont du métier sont plus âgées et surtout plus ou moins usées donc ont un physique moins attrayant.
Puisqu’il y a de la demande elle décide d’augmenter ses gains en acceptant certaines choses, moyennant un supplément elle met ses seins à l’air et pour encore un peu plus d’argent elle se met entièrement nue.

Elle arpente le trottoir pendant trois jours avant que Régine lui dise que cette épreuve est terminée et qu’elle est maintenant cataloguée comme prostituée et certainement fichée.
Plus rien n’émeut Morgane qui résignée a compris que pour elle une nouvelle vie vient de commencer et que pendant un bon nombre d’années elle sera “une chose”, un objet sexuel à qui la femme à qui elle appartient fera faire tout ce qu’elle voudra.

Morgane résignée ne pense plus à la vie qu’elle aurait due avoir, bien dressée maintenant elle accepte le destin que lui impose une femme autoritaire et peu scrupuleuse.

Louloute