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Histoire de sexe Le destin de Morgane 2

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La vie de Morgane vire au cauchemar
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Le docteur Lévenez dit à Morgane que les examens sont terminés, aucune anomalie n’a été révélée et donc elle peut sortir.
Il l’informe aussi qu’il a fait son rapport à madame Armelle De Montagnan qui est satisfaite de son excellent état de santé et doit venir la chercher.
Morgane retire la chemise appartenant à la clinique et remet ses vêtements qu’elle avait accrochés dans l’armoire.
Elle se rend à la cafétéria de la clinique et assise à une table y attend pendant un moment celle qui va devenir son employeuse.
Bien qu’elle n’ait pas compris le pourquoi de tous ses examens très poussés qui l’ont mis mal à l’aise quand il s’agissait de ses parties intimes, elle est soulagée et heureuse en pensant à l’emploi qu’elle a décroché et au salaire conséquent qu’elle va toucher.

Armelle de Montagnan arrive enfin, commande des boissons et étale des documents sur la table.
– le résultat de tes examens est excellent! j’ai fais le bon choix avec toi!
– je sais le docteur Lévenez m’a informée! mais je n’ai pas compris pourquoi j’ai eu droit à certains examens aussi approfondis et minutieux, comme l’intérieur de mon sexe et de mon rectum!
– c’étaient des examens normaux que j’avais demandés, ceci dans le but de confirmer que tu es saine et qu’il n’y aura pas de problèmes qui viendront perturber ton travail car celui-ci aura une importance capitale pour le bon fonctionnement de mes affaires!
– je ne comprends pas comment l’état de mes parties intimes pourrait influer sur mon travail?
– je sais mais ça tu le comprendras plus tard! le docteur m’a également dit que tu es vierge! que tu ne sois pas polluée est un bon point pour toi! finissons en, si tu veux travailler pour moi lis les documents et signes!
La fille commence à lire mais trouve vite trop long et fastidieux la lecture en détail des textes, sans les lire elle tourne les pages puis se saisit du stylo, met ses initiales au bas des feuilles avant de parapher la dernière en n’oubliant pas d’inscrire les mentions obligatoires.
Troublée et pressée d’en finir elle n’a pas fait attention à certaines contraintes au risque de le regretter par la suite.
– finis ton verre! on va y aller! il y a un bon bout de route à faire!
– je vais tout de suite chez vous? nous allons où madame?
– tu as signé en acceptant d’être immédiatement à mon service! nous allons là où je réside et où sera ton lieu de vie et de travail maintenant!
– c’est où madame!
– c’est un endroit tranquille pas très loin de la banlieue parisienne! tu verras bien une fois sur place! saches que cela te changera de ton quotidien actuel et que c’est dans un vaste domaine qui te plaira j’en suis sure!
La fille n’insiste pas, elle se lève et suit Armelle dans les couloirs puis à l’extérieur de la clinique jusqu’à une imposante limousine noire.
Un homme en costume et cravate en descend et vient ouvrir une portière arrière, Armelle s’installe sur le siège arrière puis s’adresse à la jeune fille qui plantée sur la parking de la clinique n’avait pas bougée.
– montes!
Morgane est surprise par le niveau social élevé de son employeuse, elle obéit et s’installe elle aussi à l’arrière aà côté de celle qui est devenue son employeuse vant que le chauffeur ne referme la portière puis se mette au volant.
Pendant que le véhicule roule la fille se concentre sur les rues qui défilent essayant de deviner l’itinéraire emprunté et la direction prise, ce n’est que quand une aiguille se plante dans le haut de son bras et à cause de la petite douleur ressentie qu’elle réagit.
– c’est quoi cette piqure? qu’avez vous fait madame et pourquoi?
– ne t’inquiètes pas ma petite tu vas dormir! ce sera mieux pour toi!
Si Morgane proteste elle ne le fait pas longtemps car ses paupières s’alourdissent et elle s’endort rapidement.

Arrivé dans un quartier résidentiel d’un gros bourg où l’on ne voit que de grandes et charmantes habitations aux caractères anciens le chauffeur se sert d’une télécommande pour ouvrir un grand portail à double battant en fer forgé.
La propriété est entourée de hauts murs en pierres, de la rue on ne distingue rien concernant l’intérieur, la discrétion et la tranquillité des occupants est assurée.
Le chauffeur engage la limousine dans une allée dont les bordures sont fleuries, traverse d’abord une partie boisée, se dirige vers un manoir imposant.
La façade est réalisée en pierres de couleur et le toits en ardoises, les parties verticales de chaque côté des grandes fenêtres à petits carreaux sont faites de pierres de taille moulurées et les parties supérieures comportent des sculptures représentant des motifs floraux encadrant des motifs animaliers.
La limousine stoppe devant e perron dont le plateau est recouvert de dalles en grés comporte des balustres et lisses en pierres de Bourgogne.

Le chauffeur descend du véhicule et ouvre la portière arrière qu’il referme dés que sa patronne est sortie.
– Joseph avant d’aller remiser le véhicule tu passeras par la porte arrière et tu déposeras le colis sur le matelas qui a été récemment descendu du grenier et mis dans le cagibi sous l’escalier du sous-sol!
– bien madame!
– tu lui enlèveras ses oripeaux! elle n’en aura plus besoin!
– d’accord madame et j’en fais quoi?
– tu brûles tout, même ses sous-vêtements! ce ne sera pas ce genre de fringues qu’elle mettra à l’avenir!
– bien madame!
– une chose importante! tu ne la touches pas! sinon je te licencie!
– pourquoi madame? la précédente je pouvais en faire ce que je voulais et j’ai bien aimé m’en servir!
– là c’est différent!
– ah bon!
– elle est vierge et je veux monnayer son pucelage!
– je comprends madame! dommage je me serais bien tapé une pucelle pour changer!
Armelle laisse le chauffeur s’occuper de la fille, elle pénètre dans la vaste demeure par une double porte en bois épais et de style ancien surmontée d’une marquise vitrée
Dans les couloirs le sol est en marbre, sur les murs tout comme dans les pièces de vie parquetées à l’ancienne il y a des boiseries sur les murs.
L’ameublement opulent, les énormes lustres, la décoration reflètent le niveau social élevé de la propriétaire des lieux et son goût pour l’ancien.

Armelle passe d’abord donner des ordres à la cuisinière et à l’employée chargée de lui servir les repas dans ses appartements.
Dans la cuisine et l’office des tomettes anciennes recouvrent le sol, l’ameublement est fonctionnel.

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Elle se rend ensuite dans un des salons de sa très vaste demeure, celui où elle séjourne la plupart du temps et y reçoit ses employés.
Armelle De Montagnan ouvre le courrier qui s’est accumulé pendant son absence et une fois s’installée sur un canapé, elle appuie sur un bouton, rapidement on frappe à la porte et une femme entre dans la pièce.
Elle est vêtue d’un corsage blanc assez déboutonné à l’avant, une partie de sa poitrine qui est libre de tout soutien-gorge est visible suivant les mouvements qu’elle fait.
Sa jupe noire, agrémentée d’un court tablier brodé à l’avant, est très courte et elle n’a pas besoin de se courber beaucoup pour que son sexe dépourvu de toison et ses fesses soient apparents car elle ne porte pas de culotte.
Elle est assez grande, maquillée, elle a des cheveux noirs qui tombent dans son dos, bien proportionnée son physique est attirant bien que les traits de son visage semblent fatigués à cause de la vie que sa maîtresse lui fait mener quotidiennement.
Elle se met à genoux, s’incline devant Armelle et embrasse ses chaussures.
– maîtresse vous m’avez sonnée! que puis-je faire pour vous?
– Régine je te confie la mission de dresser la jeune fille qui vient d’arriver!
– pourquoi moi!
– tu as subi ce genre de traitement lors de ton dressage donc tu sais quelles méthodes il faut appliquer pour briser une personne et en faire une esclave!
– d’accord maîtresse! vous allez faire quoi d’elle?
– comme je l’ai fait avec toi, une esclave sexuelle très obéissante et rentable!
– elle va faire les mêmes choses que moi?
– oui! sa jeunesse et sa beauté seront des atouts! les hommes ne devraient pas lui résister!
– comment je dois procéder!
– de la même façon que je l’ai fait avec toi et en employant les mêmes méthodes et les mêmes moyens! tu dois la faire souffrir, l’humilier et casser toute volonté en elle!
– bien maîtresse!
– allez! vas! elle doit être réveillée! pour elle l’enfer peut commencer!

Régine quitte le salon, traverse des couloirs, descend au sous-sol empruntant un escalier sous lequel il y a un cagibi d’où s’échappent des cris et des appels au secours.
Elle déverrouille une porte, c’est l’endroit où le chauffeur a enfermé Morgane, celle-ci bondit hors du cagibi, Régine la rattrape par le bras et la maintient fermement.
– tu te calmes et tu ne bouges pas!
– qu’est ce qui se passe! pourquoi je suis enfermée sous l’escalier?
– c’est la décision de maîtresse!
– c’est qui cette maîtresse? où est la femme qui m’a embauchée? j’exige de la voir immédiatement!
– tu n’a rien à exiger! tu l’appelleras maîtresse quand tu auras contact avec elle et moi ce sera madame Régine!
– c’est n’importe quoi! apportez moi mes habits, je vais m’en aller!
– tu n’es pas près de quitter cette maison! ta vie est ici maintenant!
– je ne vais pas vivre ici nue, ni coucher sur un matelas miteux qui sent le renfermé?
– si! c’est ici que tu vas passer tes journées et tes nuits pendant un bon moment!
– tu ne crois pas que je vais rester dans cette maison avec des cinglées!

Morgane tente d’échapper à la main qui tient fermement un de ses bras, quand elle y parvient c’est sans se soucier de sa nudité et en courant qu’elle grimpe l’escalier.
Elle se perd dans les couloirs avant de trouver une porte de sortie et de courir se dirigeant au hasard dans le grand parc qui entoure le manoir.
Elle stoppe nette sa course quand un chien qui montre ses dents et n’a pas l’air commode se dresse devant elle en grognant.
Apeurée et s’attendant à être attaquée elle reste sans bouger pendant que l’animal tourne autour d’elle, la renifle et promène sa truffe froide et humide sur ses cuisses et son-bas ventre.
– assis Brutus!
Morgane tourne la tête et voit un homme s’approcher accompagné de Régine qui apostrophe la fuyarde.
– petite conne! tu crois que tu vas nous fausser compagnie comme ça!
– je ne veux pas rester ici! éloignez le chien!
– plutôt tu te feras à l’idée que ta vie est ici maintenant et que ton destin ne t’appartient plus et plus vite ton éducation commencera!
– quelle éducation?
– tu comprendras quand elle commencera après ton dressage!
– vous êtes cinglée! je ne suis pas un animal! je ne vois pas pourquoi et comment je devrais être dressée vu que j’ai reçu une bonne éducation!
Une paire de gifles lui meurtrit les joues.
– tu vas apprendre à obéir et surtout à respecter les personnes qui vivent ici et moi en particulier.
L’homme qui n’est autre que Gabin le jardinier lui tord les bras côté dos et emprisonne ensemble ses poignets avec un collier rilsan.
– tu vas nous suivre sans te rebeller si tu ne veux pas que je donne l’ordre au chien de se jeter sur toi, c’est ta gorge qu’il attaquera en premier avant de te déchiqueter avec ses crocs!
La peur de l’animal est la plus forte, la fille suit sans résister la femme et l’homme qui la tiennent chacun par un bras, elle grelotte transie par le froid qui règne en cette fin avril.

Le trio retourne sur les lieux d’où Morgane a tentée de s’échapper.
Régine ouvre la porte du cagibi et pousse à l’intérieur la prisonnière dont les poignets sont toujours attachés ensemble.
– allonges toi sur le matelas!
Pas libre de ses mouvement elle se laisse tomber sur le matelas et aussitôt ses chevilles sont attachées ensemble également avec un collier rilsan.
– si je t’entends crier ou appeler tu auras droit à des raclées et cela jusqu’à ce que tu te comportes calmement!
– je ne vais pas me gêner, je vais appeler et hurler jusqu’à ce qu’on me libère! vous n’avez pas le droit de me retenir prisonnière! vous devez me laisser m’en aller!
– ton passé de femme libre tu peux l’oublier! tu as signé un contrat d’embauche qui contient certaines clauses auxquelles tu vas te conformer!
– je n’ai pas lu le contrat! je faisais confiance à la femme qui m’a recrutée!
– cette femme tu l’appelleras “maîtresse” car dorénavant tu lui appartiens et elle va faire de toi une chose dévouée et totalement soumise!
– je ne suis pas et ne serais pas sa chose!
– si! même si tu ne le veux pas! crois moi après un dressage sévère tu seras très obéissante et tu feras tout ce qu’elle te demandera!
– je ne crois pas! allez vous faire foutre elle et toi!
– j’en ai assez de t’entendre! ouvres la bouche!
Comme la prisonnière est rétive c’est en l’étranglant et en forçant que Régine introduit une vieille serviette de table dans la bouche de Morgane qui ne se laisse pas faire mais doit capituler.
– maintenant je ne t’entendrais plus! tu vas rester là pendant un bon moment et cela sans manger! ton dressage commence!
La porte du cagibi refermée Morgane reste dans le noir bâillonnée et les membres entravés.

Le temps s’écoule très lentement, se succèdent de très longues périodes dans le noir et d’autres où la lumière crue d’une ampoule éclaire violemment le cagibi exigu. Le but est de désorienter la captive et de lui faire perdre toute notion du temps.
Au bout de plusieurs jours sans recevoir de visites et sans sortir du cagibi l’odeur qui se dégage du local est pestilentielle car si elle l’a fait au début Morgane ne cherche plus à se retenir, la housse imperméable qui recouvre le matelas protège celui-ci.

Enfin la porte s’ouvre, Régine qui se protège le nez avec un mouchoir plus un masque questionne la captive.
– seras tu plus coopérative si je te détache?
La fille secoue la tête pour dire oui, aussitôt ses liens sont coupés et son bâillon retiré.
– ça fait combien de temps que je suis enfermée!
– pas très longtemps mais tu n’as pas besoin de le savoir! dans l’immédiat et pour un bon moment pour toi le temps ne compte pas!
– j’ai faim et soif!
– on verra plus tard si tu es sage! pour le moment enlèves la housse et met sur le matelas celle que j’ai apportée!
Morgane qui est affaiblie par le jeûne et très incommodée par l’odeur essaie de réprimer les hauts le cœur, elle vomit pendant qu’elle fait ce qui lui a été demandé.
– mets la housse puante dans ce sac poubelle, j’irai la brûler! passes un coup d’aérosol dans ton logement!
La captive préfère faire le dos rond et attendre qu’une occasion se présente pour s’enfuir, si Régine la sent docile elle se méfiera moins.
– suis moi! tu vas aller te laver et bien te savonner!
La captive ne résiste pas elle suit sa garde chiourme qui monte l’escalier puis longe un couloir avant d’ouvrir une porte.
– c’est une salle de bain! il y a ce qu’il faut pour te rendre plus présentable! je vais t’enfermer dedans et je reviendrais te chercher plus tard!
Morgane qui n’aspire qu’à un bon bain ne se fait pas prier et une fois enfermée examine tous les produits pendant que l’eau chaude remplit la baignoire.
Le temps passe, elle est propre et sent bon depuis un moment quand la porte s’ouvre.
– tu sens meilleur espèce de truie!
– vous m’avez laissée enfermée seule trop longtemps sans hygiène! vous êtes responsables!
– on va retourner jusqu’au cagibi et en route tu te serviras de l’aérosol car tu a laissé ton odeur fétide partout où tu es passée!

Louloute

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