Séjour chez Henry Boissy 3/3
———————————-
Morgane a été louée à un client pour un long Week end par la femme à qui elle appartient et en a fait son esclave sexuelle.
Elle joue le rôle dégradant et humiliant d’animal de compagnie, elle doit accepter toutes les exigences et accéder aux caprices quels qu’ils soient de l’homme qui l’a louée mais aussi de ses amis.
Bien que pour le moment elle se tienne couchée et recroquevillée aux pieds du propriétaire des lieux elle constate que les hommes passent beaucoup de temps à boire et manger.
La laisse fixée à son collier pour chien est attachée à un pied de table n’est détaché que quand un des mâles a des envies et veut qu’elle passe sous la table pour lui faire une pipe, ce qu’elle fait sans rechigner allant jusqu’à ingurgiter le sperme lors de l’éjaculation.
Pendant qu’ils se baffrent la prostituée ne voulant pas mourir de faim avale comme elle peut ce qu’on veut bien mettre dans une gamelle posée sur le sol ou ce qu’on lui introduit dans sa bouche, elle boit en mettant le nez dedans l’eau qu’on a versée dans une écuelle.
A la fin du repas c’est la curée, elle n’est plus qu’un objet sexuel pour les 6 hommes et se retrouve vite allongée sur la moquette avec en même temps une verge dans la bouche, la vulve et l’anus.
Pendant que son orifice vaginal et son orifice anal se font défoncer et arroser de sperme, elle suce comme elle peut les pénis qu’on introduit dans sa bouche et caresse ou masturbe ceux qu’on met dans ses mains.
A cause des pénétrations incessantes et qui durent pendant un moment, surtout vers la fin, elle aussi prend du plaisir et n’échappe pas à l’orgasme ce qui se produit plusieurs fois et la fatigue.
Les mâles sont contents et cela les amuse quand ils voient son corps trembler, sa vulve s’ouvrir et se fermer plusieurs fois pendant que du liquide s’échappe en jets de son vagin.
Plus le temps passe et plus Morgane sollicitée doit se donner du mal avec sa bouche et ses mains pour remettre en forme les mâles surtout que l’absorption d’alcool n’arrange pas leur état.
En plus d’avoir de plus en plus de mal à bander les assaillants parviennent de de plus en plus difficilement à éjaculer et lui défoncent les orifices beaucoup plus longtemps et violemment, surtout son cul qui ne doit plus être qu’un trou béant vu comment les pénis y évoluent librement.
Elle est soulagée quand enfin les hommes vidés de leur sperme et n’ayant plus d’envie n’en peuvent plus et la laisse fatiguée, inerte et le cerveau embrumé.
Après tirage au sort c’est à quatre pattes et tenue en laisse qu’elle suit l’homme qui l’a en garde pour la nuit, couchée sur le parquet et la laisse attachée à un pied de lit elle ne dort évidemment pas bien surtout qu’elle est affublée d’une muselière bâillon qui la gêne pour respirer.
Miracle l’homme ne se réveille pas pendant la nuit et donc elle n’a pas à subir une relation sexuelle nocturne.
Il fait jour quand il se réveille, se rend dans une salle de bain puis la tenant en laisse emmène Morgane dans la salle où il doit déjeuner avec ses compères.
Pour elle monter les escaliers en se tenant comme un chien ça va encore les descendre est plus difficile, l’homme qui la tient en laisse n’étant pas patient la frappe avec celle ci pour qu’elle descende plus vite les marches.
Pendant que les hommes déjeunent et après que Morgane ait du ingurgiter un croissant et bu un peu de café dans des conditions humiliante, la jeune bonne l’emmène tenue en laisse dans une salle de bain.
De nouveau tenue en laisse, toujours nue et marchant à quatre pattes les 6 hommes la traînent à l’extérieur de l’habitation, arrivés dans une partie herbeuse la laisse est attachée à un tronc d’arbre, elle se couche recroquevillée et frigorifiée car il fait frais, l’herbe est mouillée et il pleuvine.
Dérangés dans leur plans les mâles discutent entre eux puis la pluie s’accélère jusqu’à tomber à verse, les hommes courent se mettre à l’abri laissant la prostituée sur place.
Elle n’ose pas se détacher ni se lever et aller s’abriter. Complètement trempée elle a la chair de poule et claque des dents, elle désespère car la pluie ne semble pas vouloir diminuer ni s’arrêter.
Il pleut trop pour que les mâles aient envie de retourner à l’extérieur, ils cherchent des idées et échangent tentant de trouver comment s’occuper tout en utilisant efficacement leur esclave sexuelle.
Pour commencer des jeux de cartes sont sortis et posés sur une table sous une véranda, un tournoi avec élimination de concurrents est organisé.
Après avoir revêtu un imperméable et obéissant au propriétaire des lieux la bonne sort et va dans le parc chercher Morgane qu’ensuite elle doit éponger et sécher avant de l’amener là où les hommes ont décidé de passer le temps avant le repas du midi.
La prostituée ne cherche pas à savoir à quoi ils jouent, à chaque fois qu’un homme a gagné une partie elle le rejoins sur su canapé et suivant ce qu’il demande suce sa verge une fois placée à genoux entre ses jambes ou à califourchon sur lui s’enfonce le pénis dans la vulve et bouge le faisant aller et venir dans son ventre jusqu’à ce qu’il y éjacule.
Le repas du midi arrive pendant lequel Morgane passe sous la table pour faire des fellations à ceux qu’elle n’a pas encore fait jouir, comme d’habitude et bien que cela ne l’enchante pas elle avale le sperme.
Repus mais surtout bien avinés et donc euphoriques les 6 hommes qui sont toujours contrariés dans leurs projets à cause de la pluie incessante, ils cherchent comment s’amuser aux dépends de Morgane.
Après avoir bien discutés entre eux ils se sont mis d’accord.
Claudine la bonne arrive dans la pièce tenant une mallette dans une main, elle est à peine partie qu’un homme l’ouvre et en sort des godemichets, des vibromasseurs et autres objets érotiques.
Dans le courant de l’après midi le temps s’améliore, la pluie cesse, les quidams décident que la place de Morgane en tant que chienne est à l’extérieur.
Tenue en laisse et marchant à quatre pattes elle est emmenée jusque dans l’herbe mouillée dans laquelle elle doit se recroqueviller, le sol est détrempé mais la prostituée doit se satisfaire des conditions qui lui sont imposées.
Les hommes qui veulent encore se divertir à ses dépends pensent de nouveau aux chiens, rapidement ils vont en chercher deux qu’ils amènent en les tenant en laisse jusqu’à la jeune fille.
– on va t’expliquer ce qu’on attend de la chienne que tu es!
Morgane attend qu’ils parlent en les regardant mais en restant silencieuse.
– les 6 chiens d’hier vont encore te sauter et pour qu’ils profitent mieux de ton cul ce sera deux par deux! pour les premiers ce sera l’un dans ta bouche et l’autre dans ta chatte!
Les canidés sont lâchés et se précipitent sur la prostituée la léchant et grimpant sur elle.
Elle fait l’effort de les caresser partout où elle le peut car ils bougent beaucoup, l’un des deux se calme quand elle s’en prend à son sexe, le pénis avait commencé à sortir du fourreau.
Elle caresse et pelote le membre qui rapidement grossit et s’allonge, ensuite elle bouge essayant de positionner sa tête sous le ventre de l’animal.
Une fois qu’elle a réussi dans son entreprise et en le tenant avec une main elle commence par embrasser et lécher partout le pénis peu ragoûtant avant de le prendre dans sa bouche et de commencer une fellation avec des aller retour de ses lèvres d’abord lents puis de plus en plus rapides.
Morgane a bien écarté et replié ses jambes pour donner le meilleur accès possible à son sexe au deuxième animal qui a posé les pattes avant sur son ventre et la griffe cherchant à la pénétrer mais son pénis glisse entre les cuisses et sur le ventre, Morgane arrêtant un court instant la fellation, le saisit avec une main et le présente à l’entrée de sa vulve dans laquelle elle le fait pénétrer.
Le chien commence à remuer rapidement et son pénis s’enfonce de plus en plus dans le sexe aidé par le liquide de lubrification qui s’en échappe.
Pendant qu’elle lèche et surtout suce le pénis du premier chien elle ressent du plaisir avec le membre du deuxième qui bouge en elle surtout une fois que le nœud s’est formé.
Un peu après sa bouche se trouve elle aussi bien remplie car là aussi le nœud s’est formé, elle n’a plus besoin de donner de sa personne car comme dans sa chatte là aussi c’est le chien qui remue frénétiquement et lui baise la cavité buccale.
Elle subit jusqu’à ce que les deux chiens aient jouis en elle et si celui qui a éjaculé dans sa bouche parvient à en faire sortir son pénis gonflé elle doit attendre pendant un bon moment que le nœud du pénis qui est dans sa vulve perde suffisamment de volume pour que cet orifice se retrouve libre lui aussi.
Elle a eu largement le temps d’ingurgiter une bonne partie du sperme qui avait envahi sa gorge, le reste ayant coulé sur sn menton et ses joues avant qu’avec un bruit de succion le pénis bloqué dans sa chatte n’en sorte et que le sperme s’échappe de son vagin et coule dans la raie de ses fesses.
Elle reste dans la position où les deux canidés l’ont sautée pendant qu’eux se désintéressent d’elle et se couchent sur le sol voulant se remettre et se reposer.
Les deux premiers chiens sont ramenés dans le chenil et aussitôt Morgane en voit arriver deux autres.
– pour ceux ci ce sera un dans ta bouche et un dans ton cul!
Puisque les hommes le veulent Morgane ne peut que leur donner satisfaction, pendant que les chiens s’attaquent à elle la léchant partout mais surtout récupérant avec leur grande langue râpeuse le perme sur ses fesses et sur son sexe.
Ils se bousculent voulant tous les deux la saillir, c’est avec difficultés qu’après les avoir caressés elle se positionne à genoux.
Ce n’est pas plus facile pour elle d’attirer un des canidés et de le coucher sur le dos mais elle réussit à le faire avant de caresser le ventre puis le membre pas totalement sorti de son fourreau avant de le masturber doucement jusqu’à ce qu’il ait bien grossi.
Elle réussit à prendre dans une main la verge du chien, qui impatient est grimpé sur elle et frotte son membre contre ses fesses, puis elle se l’introduit dans l’anus.
Pendant que cet animal a ensuite en bougeant réussi à bien enfoncer son pénis dans le cul et qu’il est maintenant couché sur elle les pattes avant pendant de chaque côté d’elle, Morgane s’occupe du canidé qui est devant elle couché sur le dos.
Le tenant dans une main elle masturbe puis lèche le pénis avant de le prendre dans sa bouche et pendant que le membre du deuxième canidé s’agite dans son cul elle fait une fellation au premier.
Sur les verges d’où s’échappe en permanence du liquide les nœuds ne tardent pas à prendre du volume lui remplissant la bouche et le fondement.
Tout en ressentant bien dans son cul les mouvements du pénis qui la sodomise elle s’active suçant avec conviction le membre qui est dans sa bouche.
Comme elle s’y attendait ses intestins se font arroser de sperme en premier puis le chien qui l’enculait se laisse aller pensant sur sa croupe attendant de pouvoir de dégager.
Elle continue patiemment la fellation jusqu’à ce que sa gorge soit envahie de sperme ce qui la fait suffoquer, aussitôt et brusquement le chien se retire ce qui fait qu’une parie de la semence s’échappe de sa bouche, elle avale ce qu’elle peut et attend toujours à genoux que son orifice anal soit libéré ce qui survient après un bout de temps qui lui a semblé interminable.
Le sperme s’échappe de son cul pendant que les deux canidés sont ramenés au chenil.
Deux nouveaux chiens sont amenés et Morgane espère que ce seront les derniers.
– ce que tu va faire sera un peu plus compliqué! avec des hommes il arrive que tu aies en même temps une bite dans la chatte et une dans le cul, pour les deux chiens tu devrais arriver à faire la même chose!
La prostituée n’en revient pas de ce qu’ils lui demandent de faire mais ne se rebelle pas, pendant que les canidés tournent autour d’elle et la lèchent elle les caressent pour les faire se tenir un peu tranquilles, une fois qu’elle promène ses mains sur leurs ventres elle s’en prend là où elle sait trouver leurs sexes.
Elle caresse l’endroit et les pénis qui avaient commencés à un peu sortir du fourreau grossissent et grandissent vite les chiens étant habitués à côtoyer des femmes qui leur servent de femelles.
Elle parvient difficilement à en coucher un sur le dos puis, bien que gênée par le deuxième animal qui veut grimper sur elle, Morgane parvient à se positionner à genoux au dessus de lui.
Tenant le pénis dans un main elle l’approche de l’entrée de sa vulve et en se baissant encore l’introduit à l’intérieur, le chien jappe doucement et se laisse faire.
Le deuxième animal a posé les pattes de devant sur son dos, la griffant au passage, sa verge glisse entre les fesses et ne parvient pas à se positionner contre l’orifice anal, la prostituée place le membre avec une main et se l’introduit partiellement dans l’anus.
C’est en faisant bouger rapidement son corps que chien qui la sodomise enfonce correctement son pénis dans le cul de Morgane qui avec une main fait aller et venir dans sa vulve le membre du chien qui halète la langue bien sortie couché sous elle.
Arrive le moment où l’un après l’autre le nœud se forme et grossit sur les pénis remplissant bien les orifices.
Pour la jeune fille ce sont de drôles et fortes sensations qu’elle ressent pénétrée par les deux verges de chiens qui s’agitent en elle en lui donnant des sensations comme jamais elle n’en avait ressenti, elle ne peut pas échapper à l’orgasme intense qui secoue son corps et elle jouit comme une folle en râlant.
Les hommes se gaussent et rient en constatant ce qui lui arrive.
Heureusement pour elle à peu de temps d’intervalle les deux chiens éjaculent emplissant on vagin et ses intestins de sperme.
Elle ne peut ensuite que rester dans une position très inconfortable en attendant que les canidés parviennent à se décoller ce qui prend un bon moment pendant lequel elle doit faire avec les crampes dues à sa mauvaise position.
Après un bon moment et à environ cinq minutes d’intervalle les deux pénis sortent de ses orifices, le sperme abondant coule sur le sol pendant que les chiens sont ramenés dans le chenil.
Tenue en laisse et se déplaçant à quatre pattes c’est de nouveau à l’endroit où les chevaux sont lavés qu’ils la nettoient à l’aide d’un jet d’eau et d’un balai muni d’une serpillère.
Une fois propre mais transie de froid elle est ramenée dans l’habitation, le soir elle n’a droit qu’à quelques pipes ou pénétrations car les 6 hommes ne sont plus très en forme mais très avinés après le dîner.
Elle passe la nuit couchée et recroquevillée au pied du lit occupé par un des quidams, commençant à s’habituer à la situation elle dort mieux.
Morgane en a marre de subir les traitements qu’on lui inflige mais n’a pas le droit de se plaindre ou de dire « stop je suis un être humain ».
Le week-end se passe donc dans de tristes conditions pour elle, dés qu’un des hommes a une idée débile elle en souffre pas forcément physiquement mais surtout car elle se sent humiliée et pas considérée comme étant un être humain.
Enfin le lundi matin est arrivé, Morgane n’aspire qu’à une chose: quitter les lieux.
Claudine la jeune bonne l’amène, toujours nue, tenue en laisse et marchant à quatre pattes, d’abord dans les cuisines où elle en se comportant comme un animal elle mange comme elle peut les croissants posés à même le sol et bois ou plutôt lape le café servi dans une écuelle en s’en mettant plein les narines.
Ensuite c’est dans le salon qu’elle doit s’accroupir aux pieds du maître de maison.
– je suis satisfait de toi et de ton comportement! tu es une bonne chienne! tu fais honneur à mon amie Armelle qui t’a bien dressée!
La prostituée ne répond pas vu qu’un canidé n’est pas doté de parole.
– mon employée te rendra tes affaires et appellera un taxi mais avant et vu qu’elle s’est bien occupée de toi elle mérite une récompense.
Morgane ne comprend pas où il veut en venir.
– je présume qu’avant de devenir une esclave obéissante et pendant la période où tu as été dressée la partie gouine en a fait partie! et justement mon employée en est une donc tu vas la récompenser en lui donnant le plaisir qu’elle mérite!
La prostituée n’y voit pas d’inconvénient, qu’elle fasse l’amour à un homme ou à une femme quelle importance.
– Claudine tu peux disposer de l’esclave avant qu’elle ne parte! fais en sorte qu’avec elle tu aies le plaisir que tu mérites même si tu dois faire preuve de violence!
– bien monsieur! merci!
La bonne s’empare de la laisse et tire dessus, Morgane se comportant comme un quadrupède ne peut que la suivre, les deux femmes traversent des couloirs et montent des escaliers avant d’arriver dans une petite chambre située sous les toits et à la décoration agréable.
– je vais juste te retirer la laisse car elle va être gênante! maintenant à toi les initiatives en espérant que tu es douée pour le sexe lesbien.
Claudine a sorti un martinet du tiroir du chevet, la prostituée espère que l’objet sera inutile vu qu’elle a l’intention de jouer pleinement le rôle d’une femme gouine entreprenante.
La prostituée reste toujours muette mais passe rapidement à l’action, elle se redresse et passe un bras autour du cou de l’employée puis écrase ses lèvres contre les siennes tout en introduisant la langue dans sa bouche.
Elle s’évertue à rouler des galoches qu’elle veut torrides en faisant virevolter sa langue autour de celle de la femme tout en la caressant partout où elle peut sur les vêtements.
Satisfaite de constater que la respiration de Claudine s’est accélérée et donc qu’elle est émoustillée par ce premier contact elle l’embrasse sur les joues, les lèvres et dans le cou pendant qu’elle déboutonne son chemisier, la bonne se montre coopérative lorsqu’elle la débarrasse du vêtement qu’elle laisse tomber sur le sol parqueté.
Morgane s’attaque au soutien-gorge qu’elle dégrafe, retire et d’un geste envoie rejoindre le chemisier.
Elle s’intéresse à la poitrine menue aux larges aréoles qu’elle caresse puis embrasse et lèche sans oublier la moindre parcelle de peau.
Elle s’en prend aux tétons. Pendant qu’elle en lèche, suce, aspire ou mordille un, elle triture, étire ou fait rouler l’autre entre ses doigts.
Les mamelons sont vite érigés et turgescents, Claudine a tendance à gémir, Morgane en déduit qu’elle est très sensible aux attouchements ce qui va faciliter les choses.
La prostituée tire la jupe vers le bas la faisant tomber aux pieds de l’employée puis s’en prend au string qui rejoint la jupe, Claudine participe en levant un pied puis l’autre quand Morgane la débarrasse des vêtements devenus gênants.
Les mains, les lèvres et la langue de la prostituée se promènent partout sur le ventre de la bonne puis sur ses cuisses et enfin sur le sexe un peu poilu qu’instinctivement celle-ci met à disposition en écartant les jambes.
Morgane caresse d’abord le sexe avant d’en écarter les grandes lèvres avec ses doigts, elle embrasse l’intérieur puis y fourre sa langue qu’elle agite pendant un moment avant de commencer à lécher le clitoris qu’elle trouve gonflé et saillant.
Elle se relève et pousse l’employée jusqu’à ce qu’elle se couche en travers du lit les jambes pendant dans le vide, dans cette position la vulve de l’employée est bien offerte à sa vue, elle se met à embrasser et lécher avec conviction, sa langue s’agite activement.
Quand elle commence à aspirer ou mordiller le clitoris le corps de la femme se tend et elle gémit du coup Morgane insiste et est surprise car sa victime lève les jambes, elle les poses sur ses épaules puis les croise derrière sa nuque lui emprisonnant la tête entre ses cuisses.
La prostituée a du mal à respirer car son nez se retrouve enfui dans la vulve humide et odorante.
Encouragée par les réactions du corps de Claudine elle continue à martyriser le sexe et le bouton avec sa bouche, sa langue et ses dents tout en s’en prenant de nouveau aux seins et aux mamelons avec ses mains et ses doigts.
La femme s’agite et gémit de plus en plus ce qui encourage Morgane à continuer ce qu’elle a entrepris, elle est surprise quand Claudine se raidit et râle, son corps se met à tremble, les grandes lèvres de son sexe s’ouvrent et se ferment plusieurs fois pendant que des giclées de cyprine fusent de son vagin et arrosent le visage de la prostituée.
La bonne a relâchée son étreinte, Morgane dégage sa tête qui était toujours enserrée entre les cuisses de celle ci, elle lui demande de se coucher mieux sur le lit.
Elle passe un bon moment à caresser, embrasser et lécher partout le corps de l’employée côté face et côté dos surtout dans le creux des reins, puis en lui écartant aussi les jambes pour avoir accès à l’anus qu’elle embrasse et lèche longuement pendant que le corps de sa victime ne cesse de tressaillir et qu’elle gémit beaucoup.
Ses mains ne restent pas inactives car pour changer elle caresse le sexe peu pileux ou alors elle enfonce des doigts en même temps dans la vulve et l’anus et les fait aller et venir à l’intérieur, elle alterne en masturbant le clitoris.
Claudine mouille beaucoup, elle est de plus en plus bruyante et agitée, elle se crispe avant qu’un nouvel orgasme ne survienne et qu’une bonne quantité de liquide ne sorte de son vagin et souille les draps.
Morgane, que la sensibilité de la bonne arrange bien, fait en sorte de l’anéantir physiquement.
Si elle continuer à caresser et lécher son corps ou s’en prendre aux seins et aux tétons, qu’elle suce, aspire ou mordille, ce sont surtout ses doigts qui œuvrent frénétiquement s’agitant en même temps dans la vulve et l’anus ou alternativement et sans douceur sur le clitoris.
Ne pensant qu’au but qu’elle s’est fixé la prostituée ne se préoccupe ni des râles ou cris que pousse maintenant et en permanence la bonne, ni du corps de celle ci qui ne cesse pas de s’agiter, elle continue à martyriser frénétiquement avec ses doigts la vulve et surtout le clitoris.
Constatant qu’elle arrive à faire jouir de plus en plus facilement Claudine elle en profite l’amenant encore et encore à l’orgasme, elle n’arrête le martyr que quand elle voit le visage ravagé de sa victime et surtout lorsque celle-ci ouvre les yeux qu’elle gardait clos elle aperçoit leur couleur trouble.
Morgane descend du lit, elle se couche sur le sol le corps ramassé et ne sachant pas quoi faire attend.
Après un long moment Claudine commence à remuer sur le lit mais n’émerge pas tout de suite, il lui faut encore du temps avant d’avoir le courage de se lever.
Elle regarde la prostituée qui telle un chien se tient toujours lovée sur le sol, sans un mot et la démarche mal assurée elle se rend dans la salle de bain.
Longtemps après et très maquillée pour cacher les stigmates des excès sexuels visibles sur son visage elle revient et se rhabille, elle raccroche la laisse à l’anneau du collier pour chien qui entoure le cou de Morgane.
– allez salope! on y va!
Une fois sortis de la chambre et se déplaçant toujours à quatre pattes Morgane suit Claudine empruntant des couloirs et descendant difficilement les escaliers ce qui énerve l’employée qui lui assène des claques sur les fesses pour qu’elle se presse.
Enfin elles arrivent là où la prostituée avait du abandonner ses vêtements lors de son arrivée dans les lieux, débarrassée de son collier elle peut se lever et se rhabiller.
– j’appelle un taxi! tu peux aller l’attendre devant la grille de la propriété!
Pas un mot de plus de la part de l’employée, cela ne gêne pas Morgane qui sait également qu’elle ne reverra pas le propriétaire des lieux.
– au revoir madame!
La prostituée tourne le dos à la bonne qui l’a escortée jusqu’à la porte de service sans qu’elles n’échangent une parole, elle sort et va attendre le taxi à l’extérieur de la propriété.
Louloute
Ajouter un commentaire