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Histoire de sexe Le destin de Morgane 4

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Début du dressage et martyr
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Morgane suit Régine, elles traversent des couloirs et descendent l’escalier menant au sous-sol puis s’arrêtent devant la porte du cagibi qui et le lieu de vie de la captive.
– tu veux manger?
– oui tu sais que j’ai faim! mes intestins gargouillent et sont douloureux!
– je t’ai déjà dit et je te le répète pour la dernière fois, tu dois me respecter en me vouvoyant et en m’appelant “madame Régine!” ! est ce que tu as compris?
Ne voulant pas recevoir une raclée et être de nouveau enfermée sans avoir mangé la captive décide de se montrer docile en attendant que se présente une bonne occasion de s’enfuir.
– j’ai compris! excusez moi madame Régine!
– c’est mieux ainsi connasse! saches qu’ici tu n’es plus rien et cela jusqu’à ce que soumise tu travailles pour maîtresse! je vais aller te chercher de quoi te remplir le ventre!
Morgane compte bien s’enfuir et ne pas être un objet sexuel pour la femme qui l’a enlevée après l’avoir appâtée en lui proposant un emploi au salaire attrayant, mais pour le moment et en attendant qu’une bonne occasion se présente elle préfère se montrer coopérative.
– merci madame Régine!
– tu vas m’attendre ici! tu te mets à genoux les mains sur la tête et tu vas rester dans cette position jusqu’à ce que je revienne!
– et si je bouge ou que je tente encore de m’enfuir?
– je le verrais avec la caméra discrète qui filme en permanence cet endroit! pour commencer tu auras droit à une bonne raclée puis 8 jours de jeûne accompagné de tortures quotidiennes qui laisseront des traces sur ton corps!
Sans dire un mot de plus Morgane fait ce que sa tortionnaire lui demande.
– je reviens! restes tranquille car en cas de désobéissance tu sais ce qui t’attend!
– oui madame Régine!
Pendant qu’elle reste seule ne sachant pas si l’histoire de la caméra est vraie ou fausse, la fille se dit qu’il vaut mieux ne pas tenter le diable et se tenir tranquille.
L’attente est longue, ses genoux deviennent douloureux mais Morgane évite de bouger.
Quand Régine revient elle tient dans ses mains deux gamelles en métal comportant des anses qu’elle pose sur le sol à côté de la captive.
– manges et bois!
– ce n’est pas possible madame Régine, il n’y a pas de fourchette!
– soit avec tes mains, soit en te penchant en avant et en mettant le nez dans la gamelle! pour l’eau fait comme les chiens, lapes! tu n’as pas le choix si tu veux manger et boire!
Morgane a compris que se rebeller se retournera contre elle, toujours à genoux elle se penche en avant et tente d’avaler de la nourriture comme le ferait un animal. Ce n’est pas facile, son visage et surtout son nez sont maculés par la sauce contenue dans les aliments qui ne sont qu’un mélange de restes de repas ordinairement destinés à un chien.
Pour boire en lapant dans la gamelle qui contient de l’eau ce n’est pas mieux.
– c’est bon tu t’es assez goinfrée! entres dans ton logement et allonges toi sur le ventre! mets tes mains dans le dos et replies tes jambes!
Morgane, qui se sait ridicule à cause de son visage maculé de sauce, se retrouve avec les poignets et les chevilles attachés ensemble, une position très inconfortable pour dormir jusqu’au lendemain matin.
– je te bâillonne ou bien tu seras calme et surtout silencieuse?
– vous ne m’entendrez pas madame Régine!
– c’est bien de te montrer raisonnable! à demain car ton dressage va commencer!
– quel dressage madame Régine?
– celui qui fera de toi une bête soumise!
Morgane se retrouve de nouveau enfermée dans le noir pour la nuit, en plus de l’inconfort du au fait qu’elle est couchée dans une position inconfortable qui la fait souffrir car ses membres sont entravés, elle est souvent dérangée soit par une lumière crue ou par de la musique criarde.

Le lendemain matin la porte du cagibi s’ouvre, Régine libère les membres de la captive.
– sors de là et suis moi!
Dans la position où elle a passé la nuit étant attachée avec en plus des nuisances sonores Morgane a mal dormi, elle est ankylosée et grimace ayant des difficultés à se tenir debout.
– arrêtes de faire ta chochotte, tu en verras d’autres! avant toute chose je vais te mettre ça!
Morgane regarde ce que Morgane tient dans une main, elle est horrifiée, c’est un gros collier en cuir avec une laisse.
– vous n’allez pas me mettre ça? je ne suis pas un chien!
– si! pendant ton dressage tu seras considéré comme un animal! et ce collier te rappellera à chaque instant quel est ton statut dans cette maison!
La captive se rebelle devenant véhémente, une paire de gifles puis des coups de laisse la calment.
Régine profite d’un moment où elle reste tranquille pour lui mettre le collier autour du cou, Morgane en pleurs doit supporter la honte d’être ainsi affublée.
– allez! suis moi! on y va!
Tenue en laisse la dominée suit la dominante, les deux femmes montent les escaliers et arrivent dans un grenier poussiéreux qui paraît immense à la prisonnière.
– c’est ici que tu vas passer tes journées pendant une longue période! jusqu’à ce que tu sois parfaitement dressée et soumise!
Morgane se demande en quoi cela pourrait la faire changer de mentalité d’être enfermée dans le grenier, elle se trompe et le constate rapidement.
– mets toi là, sous cette poutre!
Pendant que la captive, qui se demande pourquoi elle doit se placer ainsi, fait ce qui lui a été demandé Régine fouille dans un vieux meuble poussiéreux.
Elle en sort plusieurs objets et revient près de la captive. Elle pose sur les poignets et les chevilles des larges et épais bracelets en cuir dont l’intérieur est doublé de mousse, ils sont aussi munis d’anneaux.
– ces choses tu vas maintenant les porter presque en permanence pendant ta période de dressage!
– pourquoi faire madame Régine?
– tu vas rapidement comprendre leur utilité! je vais te mettre cette muselière car tu vas bientôt souffrir et ne pouvant pas te retenir tu vas beaucoup geindre et crier!
– non! je vous en supplie! pas ça!
Voulant se faire respecter la tortionnaire hausse le ton.
– si! baisses toi et laisses toi faire si tu ne veux pas prendre une raclée!
La perspective d’être battue n’enchante pas la fille qui fait ce que son bourreau lui demande, celle-ci lui enfonce sur la tête ce qui ressemble à un casque ajouré car il est fait de larges lanières en cuir.
A l’intérieur l’objet comporte une grosse boule et c’est celle-ci que Régine lui enfonce de force dans la bouche la bâillonnant.
La muselière recouvre et épouse la tête, le visage et la nuque de la fille. Muni de lacets qu’avant de serrer et nouer la tortionnaire tend, l’engin s’est resserré sur le cou et ne peut plus bouger.
Régine manœuvre un palan qui est fixé sous une poutre pour faire descendre la chaîne munie d’un crochet qu’elle passe dans les anneaux des bracelets qui emprisonnent les poignets de Morgane.
De nouveau la femme manœuvre le palan faisant remonter la chaîne, la prisonnière se retrouve bras tendus vers le haut et rapidement ses pieds ne touchent plus le sol.
– tu vas rester ainsi jusqu’à ce que n’ayant plus rien à faire je vienne te libérer! être martyrisée sera ton lot quotidien, les différentes façons de t’attacher et celles de te faire souffrir seront fonction de mon humeur du jour et de ton degré d’obéissance!

Morgane qui est condamnée au silence pleure, elle comprend que madame Armelle de Montagnan et Régine vont la conditionner en la maltraitant jusqu’à ce qu’elle soit entièrement soumise ce qui va prendre un bon bout de temps.
Si elle espère pouvoir s’échapper en profitant d’un moment d’inattention de ses ravisseuses elle a bien compris que jusqu’à ce qu’une opportunité se présente elle va devoir faire avec la cruauté de Régine et supporter beaucoup de souffrance.
Elle passe la journée ainsi pendue avec le poids de son corps qui étire ses bras et sollicite les articulations de ses poignets, de ses coudes et de ses épaules.
Si au début et avant que Régine ne la laisse seule elle gigote pour montrer qu’elle n’est pas d’accord et veut être libérée, ensuite comprenant que ses gestes désordonnés ne font qu’accentuer les douleurs ressenties elle évite de bouger.
Elle reste ainsi trouvant le temps très long et n’en pouvant plus de souffrir, ses intestins gargouillent car elle n’a pas mangé depuis la veille.
Plusieurs fois elle se laisse aller et se soulage, inondant et souillant la bâche que sa tortionnaire a étalée sur le sol par précaution.

Ce n’est que le soir que sa tortionnaire réapparait. Enfin libérée elle ne sait plus comment positionner ses bras pour que la douleur disparaisse.
Ensemble elles regagnent le cagibi et de nouveau après avoir attendu à genoux les mains sur la tête Morgane peut boire de l’eau et manger des restes de repas au goût indéfinissable dans les mêmes gamelles que la veille.
La prisonnière est surprise car c’est sans être attachée ni bâillonnée qu’elle passe la nuit couchée sur le matelas.
Elle attend en écoutant les bruits de pas et quand elle pense que Régine est partie elle tente d’ouvrir la porte du cagibi mais sans succès car elle est verrouillée de l’extérieur.
Déçue Morgane comprend que pour le moment s’évader est impossible et c’est dépitée qu’elle s’allonge sur le matelas et tente de dormir.

Le quotidien de la captive est réglé, en dehors d’être enfermée dans un cagibi c’est donc dans le grenier que tous les jours elle suit Régine.
Là afin d’annihiler en elle toute volonté et la soumettre les tortures de nature différentes s’enchaînent.

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Les horaires varient et sont fonction de l’emploi du temps de Régine qui en priorité est là pour satisfaire sexuellement les hommes et femmes désignés par Armelle De Montagnan.
Donc Morgane peut être torturée de jour comme de nuit, si entre-temps Régine doit s’absenter la suppliciée ne peut que subir et souffrir dans la position inconfortable où elle a été mise en espérant que la prostituée/bourreau revienne vite ce qui est rarement le cas car souvent elle est absente pendant des heures surtout si pour ses rendez-vous sexuels elle doit se déplacer à l’extérieur.

La chaîne du palan fixé sous une poutre du toit sert à pendre Morgane, sans qu’elle ne touche le sol et cela pendant des heures, dans des positions différentes.
Cela peut-être les poignets et chevilles attachés ensemble ou bien juste les poignets attachés et les bras sollicités car ils doivent supporter le poids de son corps.
Mais la position la plus difficile à tenir à cause des étourdissements et des vomissements c’est quand elle doit tenir assez longtemps les chevilles attachées, avec la tête en bas et le corps qui pend dans le vide.

Il y a aussi la torture qu’elle redoute le plus, celle pendant laquelle Régine fait passer du courant électrique dans son corps.
Une fois attachée sur une grande table en bois sur laquelle sont fixées des sangles en cuir et qu’en son for intérieur elle qualifie de table de torture, Régine pose des électrodes sur différentes parties du corps de la captive.
Elle approche un gros boîtier muni de fils qu’elle branche sur les électrodes, ensuite elle manœuvre des interrupteurs et tourne des molettes faisant passer du courant électrique dans le corps de Morgane.
Elle augmente progressivement l’intensité du courant, le corps de la fille s’agite et tremble de plus en plus et la torture va jusqu’à être pratiquement insupportable.
le visage de la suppliciée avec ses rictus fait peine à voir pendant qu’elle hurle et que son côté sadique prenant le dessus Régine se délecte de la souffrance qu’elle inflige à sa proie, elle en arrive même au plaisir suprême: son corps se raidit et elle jouit, la cyprine qui jaillit de son vagin coule sur ses cuisses et sur le sol.
La tortionnaire s’amuse pendant un très long moment en faisant varier l’intensité du courant électrique qui traverse le corps de Morgane qui donc connait des périodes de calme et d’autres de grande souffrance.

Parfois, quand elle est de mauvaise humeur ou bien que la prisonnière tente de se rebeller ne supportant plus le traitement cruel qui lui est infligé, Régine allonge Morgane sur la table en bois qui se révèle être articulée car faite de plusieurs pièces, elle immobilise les membres et le ventre de la captive à l’aide de sangles en cuir fixées dans le bois.
En manœuvrant des manivelles la table s’allonge, les planches qui composent le plateau se séparent, ce qui a pour résultat que le corps, les bras et les jambes de la suppliciée soient étirés ce qui la fait hurler de douleur.
Cruelle Régine pousse le vice à son maximum, n’arrêtant la torture que quand les membres et les articulations sont très sollicités et elle laisse la suppliciée dans cette position pendant un long moment sans être affectée par les hurlements.
Les cris et supplications de la suppliciée excitent encore plus Régine et la font presque jouir cela se voit à la mouillure qui coule de son sexe puisque elle n’a pas droit de mettre de culotte, c’est surtout pour profiter des réactions de sa victime devant d’atroces souffrances qu’elle ne bâillonne pas sa victime.
Une autre torture consiste à manœuvrer la table pour la plier et en faire remonter vers le haut la partie centrale, le corps de la fille se cintre pendant que ses jambes et ses bras sont tendus vers le bas.
Son corps forme un arc de plus en plus prononcé pendant que Régine insiste sur les manivelles et sa colonne vertébrale est très sollicitée et cela dans de mauvaises conditions, Morgane n’est pas à la fête et ça s’entend tellement elle pleure, crie et supplie.
Plusieurs fois Régine cesse de torturer sa victime uniquement car celle-ci s’est évanouie et qu’en cas de pépin elle ne veut pas subir les foudres de Armelle de Montagnan, la femme qui a fait d’elle son esclave sexuelle.

Les jours et les semaines passent, Morgane s’étiole et maigrit.
Régine informe Armelle De Montagnan que la captive n’est pas au mieux de sa forme et qu’il faut qu’elle prenne l’air et surtout se remplume.
Armelle dit à Régine qu’elle pende la captive à une branche du gros chêne qui trône derrière le manoir dans le milieu du parc quelque soit le temps et la température ainsi elle sera à l’air et reprendra des couleurs.
Elle lui ordonne aussi de lui donner des repas plus consistants et équilibrés mais cesse de la gaver avec des restes de repas justes bons pour un chien.

Bien que la prisonnière n’en puisse plus des tortures quotidiennes il lui faut encore subir de la maltraitance pendant une longue période avant qu’elle ne commence à dire que l’on peut faire d’elle ce que l’on veut car elle n’en peut plus de souffrir.
Maintenant quand elle est extraite du cagibi dans lequel elle est enfermée c’est docilement qu’elle se met à genoux devant Régine et baissant les yeux la supplie de cesser les tortures.
Informée Armelle décide de supprimer les tortures les plus dures à supporter et de les remplacer par des corvées, elle fait amener Morgane dans un salon où elle attend assise sur un canapé.
Régine escorte la prisonnière après lui avoir attaché les mains dans le dos à l’aide d’un collier rilsan, la fait entrer dans le salon.
– tu te mets à genoux devant maîtresse!
Avec ses mains elle force la fille à prendre la position souhaitée.
– baisses toi et embrasses les chaussures de maîtresse!
Morgane hésite, une paire de gifles l’aide à obéir.
– maintenant tiens toi bien, restes toujours à genoux et baisses les yeux devant la personne à qui tu appartiens! maîtresse votre future esclave est prête à vous écouter!

Régine se recule, son rôle en tant que dominatrice est terminé pour l’instant, elle reprend celui d’esclave dévouée corps et âme à sa maîtresse.
Armelle s’adresse à Morgane.
– j’espère que tu as compris que tu m’appartiens et que tu me dois une obéissance totale?
– oui!
Une gifle claque sur une de ses joues.
– je constate que ton éducation laisse à désirer! en toutes circonstances tu m’appelleras maîtresse comme le fait Régine! tu as compris?
Morgane sait qu’elle est à la merci de cette femme qui ne donne pas dans le sentimental, elle juge que faire le dos rond est la meilleure solution.
– oui maîtresse! je vous demande pardon!
– tous les employés et employées que tu vas côtoyer sont tes supérieurs! tu t’adresseras à eux en les appelant par leurs prénom précédé de monsieur ou madame!
– oui maîtresse!
– concernant Régine ce sera madame Régine tant que ta période de dressage ne sera pas terminée, ensuite vous serez de niveau égal mais inférieur à celui de mes employés et vous vous parlerez comme vous voudrez!
– oui maîtresse!
– il faut que tu reprennes du poids et des couleurs, tu mangeras à l’office avec les autres et régulièrement Régine ou un employé te promèneront à l’extérieur.
– d’accord maîtresse!
– une dernière chose! quand tu viendras me voir ou que tu me rencontreras dans la propriété obligatoirement tu te prosterneras devant moi en gardant les yeux baissés et tu embrasseras mes pieds! compris?
– oui maîtresse!
– Régine débarrasses moi de cette chose!
– bien maîtresse!
Morgane ne veut pas montrer de signes de rébellion pour éviter de subir des tortures supplémentaires, elle fait profil bas et prend une initiative qui ne peut que plaire à la femme à qui elle appartient.
Elle se penche en avant et en soumise embrasse les chaussures de Armelle puis se lève difficilement en se tortillant ayant toujours les bras dans le dos et les poignets entravés ensemble.
Gardant la tête baissée elle recule vers la porte et sort dés que Régine l’a ouverte.

– Régine! j’ai failli oublier, avant que tu ne sortes je t’informe qu’une punition t’attend!
– pourquoi maîtresse? je n’ai rien fait de mal!
– tu m’as amené “cette chose” pas coiffée et certainement pas lavée et en plus nue! tu sais que j’ai horreur de la négligence!
– excusez moi maîtresse j’ai manqué à mes devoirs! je ne le referai plus à l’avenir!
– tu n’as qu’un duo de clients à satisfaire sexuellement cet après-midi donc! ce soir tu ne dîneras pas et dés ton retour tu demanderas à Gabin le jardinier ou à Lucas mon homme à tout faire qu’il te pende à une branche du gros chêne!
– bien maîtresse!
Retour dans le cagibi pour Morgane, Régine lui apporte une jupe courte qui cachera à peine ses fesses et son sexe ainsi qu’un corsage et des escarpins plats.
– tu ne dois pas te balader dans la maison nue! dés que tu sors de ton palace tu t’habilles!
Appeler un cagibi situé sous un escalier un palace quelle ironie, la captive évite de répondre concernant ce sujet.
– j’ai bien compris madame Régine!

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