Dans la même série
————-
Armelle de Montagnan a convoqué Régine la femme de 38 ans qu’elle a asservie il y a plus d’une vingtaine d’année et qu’elle utilise comme prostituée.
Elle l’utilise en priorité son esclave sexuelle pour influencer ses clients et acheteurs lors de discussions concernant des contrats d’achat ou de vente, après des relations intimes avec elle les hommes et parfois les femmes sont plus malléables.
Mais elle en a fait également un objet sexuel payant pour des clients dénichés sur plusieurs sites internet où elle a crée un blog au nom de Régine en la présentant plus ou moins dénudée comme prostituée et escorte girl, le tarif de ses prestations sexuelles qui vont d’une heure à un weekend et éventuellement plus est clairement affiché.
Après que celle-ci se soit prosternée devant Armelle et ait embrassé ses chaussures, c’est à genoux devant celle à qui elle appartient et le tête baissée qu’elle attend de savoir pourquoi elle a été convoquée.
– vous m’avez demandée maîtresse?
– oui! comment se passe le dressage de la recrue?
– très bien maîtresse! elle semble accepter son sort!
– parfait! tu vas maintenant lui montrer ce qu’est le plaisir pour une femme!
– je dois procéder comment! je dois la faire coucher avec des hommes ou la faire jouir avec des instruments?
– avec des instruments mais sans la déflorer donc pas de pénétration de son vagin car pour le moment je veux qu’elle conserve son pucelage! concernant son cul tu peux enfoncer ce que tu veux dedans sans la défoncer ni l’abimer!
– bien maîtresse! je vais me servir d’une partie de l’attirail utilisé par les hommes et femmes qui pour satisfaire leur côté pervers s’en servent pour me torturer et me faire beaucoup jouir!
– c’est ce à quoi je pensais! commence cette nouvelle étape dés demain tout en continuant la mise en condition par la torture!
– bien maîtresse!
– maintenant vas t’en! je t’ai assez vue! la compagnie de femmes dépravées dans ton genre m’horripile!
– mais maîtresse c’est vous qui avez fait de moi ce que je suis maintenant! votre esclave sexuelle!
– oui et alors! cela ne m’empêche pas de haïr le genre de femelle que tu es devenue! tu fais partie de la lie de la société et tu me dégoûtes à un point que tu ne peux pas imaginer!
Régine interloquée ne répond pas, elle se penche en avant, embrasse les chaussures de Armelle puis se lève et recule se dirigeant tête baissée vers la porte, sans dire un mot elle sort sans un regard vers sa maîtresse.
Le lendemain dans le grenier, allongée et sanglée sur la table de torture, Morgane est surprise de voir que Régine a sorti des instruments autres que ceux qu’en général elle utilise pour la faire souffrir.
Son bourreau s’affaire, elle introduit d’abord un plug électrique dans l’anus après l’avoir enduit d’un produit de lubrification pour favoriser la pénétration.
Elle pose sur les mamelons des pinces à tétons électro stimulantes.
Avec des sangles entourant les cuisses et le ventre elle met en place et fait tenir un stimulateur clitoridien air pulsé et liquid air.
Elle pose près du corps de sa victime un boîtier de commande pour électrostimulation qui comporte des électrodes qu’elle place et colle en différents endroits sur le corps de la fille.
Quand elle commence à manipuler des touches et boutons ce sont d’abord des sensations douces et agréables que ressent La victime.
L’intensité du courant augmente progressivement et le ressenti devient de plus en plus important.
Les yeux fixés sur le visage de la suppliciée Régine augmente de plus en plus l’intensité du courant électrique n’étant satisfaite qu’une fois que le visage de Morgane est déformé par des rictus et que son corps bien que parfaitement maintenu par les sangles commence à se soulever et à beaucoup tressaillir.
– maintenant je vais te laisser seule! tu vas bientôt jouir une première fois et ensuite les orgasmes vont se succéder! réjouis toi car tu vas prendre beaucoup de plaisir!
Morgane est surprise par les sensations qu’elle ressent elle qui ne connaissait pas ce que voulait dire le mot plaisir des sens.
La torture qu’elle subit est faite pour que les sensations montent vite dans son ventre et deviennent incontrôlable et c’est ce qui se passe.
Elle se trémousse de plus en plus et si elle avait rapidement commencé pas gémir, la bouche ouverte elle geint maintenant de plus en plus fort. Régine sait qu’elle ne va pas tarder à crier et qu’ensuite ça ne s’arrêtera plus.
Elle reste à regarder le temps d’assister au premier orgasme qui est violent, le corps de la suppliciée tremble, un flot de cyprine s’échappe de son vagin et s’étale formant une mare sur la table.
Régine est maintenant partie laissant la prisonnière à son calvaire du moment fait de plaisir intense et d’orgasmes multiples.
Si au début et lors des premières jouissances Morgane appréciait ce qui lui arrivait, maintenant avec le plaisir qui reste en permanence à son maximum et les orgasmes qui se succèdent elle n’en peut plus.
Pendant qu’elle a encore conscience de ce qui se passe elle voudrait que la torture cesse mais étant entravée elle ne peut rien faire, elle craint que son cœur qui s’emballe ne tienne pas.
Petit à petit elle perd conscience fatiguée pas les orgasmes à répétition, elle n’arrête plus de râler et crier, le liquide qui fuse de son vagin à chaque jouissance semble inépuisable.
Les muscles de son corps n’arrêtent pas de se contracter et quand ses paupières sont ouvertes il est visible que ses yeux sont révulsés.
Arrive le moment où Morgane sombre dans l’inconscience sans que les jouissances ne cessent.
Régine, qui avait subi le même traitement 20 ans plus tôt et qui sait que le corps a ses limites, est de retour.
Elle met fin au fonctionnement des instruments de torture et libère le corps de Morgane des sangles sui l’entravaient.
La suppliciée le teint pale, le visage aux traits déformés et fatigués, reste immobile allongée sur la table de torture.
Ayant apporté un seau rempli d’eau froide et une éponge Régine passe celle-ci sur le corps et surtout le visage de Morgane.
Elle doit faire des efforts pour réussir à descendre la fille de la table et l’allonger sur une vieille couverture à même le sol.
Elle débouchonne une petite bouteille qu’elle avait amenée puis en introduit le goulot entre les lèvres de Morgane et laisse couler lentement le liquide qu’elle contient dans la bouche de celle-ci qui inconsciemment avale.
Régine s’en va abandonnant la jeune fille toujours inconsciente.
Ce n’est qu’après un très long moment que Régine revient dans le grenier, si Morgane a repris conscience elle n’est pas très vaillante.
Elle fait peine à voir avec sa figure blême et fripée ainsi que les cernes conséquentes sous ses yeux qui semblent être rentrés dans leur orbite, son état reflète une grande fatigue.
Ses tétons tuméfiés sont encore érigés et gonflés, son sexe encore bien humide aux grandes lèvres ouvertes et surtout son clitoris sont douloureux d’avoir été beaucoup trop sollicités.
– alors la truie tu as quand même fini ta sieste?
– vous y avez été trop fort madame Régine! c’est douloureux, je suis complètement épuisée et je n’ai pas la force de bouger!
– tu devrais être contente de ce qui t’es arrivé! il n’est pas donné à toutes les femmes de jouir autant!
– c’était beaucoup trop madame! j’ai eu peur pour mon cœur! j’espère que cela ne se reproduira pas?
– si! tu as encore avoir droit aux orgasmes multiples et incontrôlables une fois par semaine! cela fait partie de ta formation et te sera utile quand une meute de mâles te sauteront en même temps!
– ce que vous voulez faire de moi est inhumain!
– peut-être! mais qu’elles que soit les circonstances et le nombre d’hommes ce sera ton rôle de supporter ça!
– ce n’est pas réjouissant!
– tiens! voilà tes fringues! mets les et viens manger, cela te fera du bien!
Morgane est toujours vaseuse pendant qu’elle enfile son corsage puis elle tente de se lever pour revêtir sa jupe et là elle chancelle.
Régine doit la tenir pour qu’elle puisse finir à s’habiller et la soutient également pendant qu’elles quittent le grenier et descendent les étages pour se rendre à l’office.
Les employés (ées) qui dînent sont étonnés (ées) en voyant le visage fatigué et le teint terreux de la jeune fille mais personne ne pose de questions.
Voyant les interrogations qui se lisent sur les visages et la façon dont ceux qui dînent se regardent entre eux, Régine explique qu’elle a du manger quelque chose de pas frais ce qui l’a rendue malade. Qu’on la croit ou pas ce n’est pas un problème.
Pour une fois Morgane se passerait bien d’un repas, elle n’aspire qu’à une chose: retrouver le cagibi qui lui sert de logement et surtout le matelas posé à même le sol.
Elle appréhende déjà la prochaine séance pendant laquelle se retrouvera encore bien fatiguée et dans un état comateux en devant encore supporter les multiples jouissances sans pouvoir les éviter.
Louloute
Ajouter un commentaire