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Histoire de sexe L’exhibition de Muriel

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MON REVE

Je m’appelle Muriel. J’ai aujourd’hui 30 ans, je me suis mariée voilà quatre ans déjà. Et depuis ce temps, Damien, mon mari, et moi faisons l’amour comme des fous. Tous les jours et le week-end toute la journée. Il m’a tout appris sur les hommes et je lui ai tout appris sur les femmes.
Au début de notre mariage, pendant des mois nous n’avons eu de cesse que de nous caresser mutuellement, nous lécher, nous sucer, de nous masturber l’un l’autre, l’un devant l’autre dans toutes les positions les plus extravagantes. Nous étions comme des enfants découvrant tous les jours des jeux érotiques nouveaux.
C’était extraordinaire, exaltant. J’ai tellement appris que je suis devenue une experte dans l’art de branler avec de suprêmes fantaisies un sexe d’homme, le sucer, malaxer ses couilles, avaler son sperme et m’en régaler. Mon mari est fier de moi. C’est vrai que je suis une très belle femme enfin c’est ce que l’on dit de moi. Une longue chevelure brune qui s’étale sur mes épaules, des seins bien en vue, de longues jambes, un sexe qui s’expose bien aux dires de mon homme.
Un soir de printemps, nous avions des amis à dîner : quatre couples, dix à table. Le repas avait été copieux, bien arrosé, joyeux. C’est alors que mon mari, s’adressant à moi me dit :

— Muriel, tu sais comme mes amis apprécient ta beauté. Montre-leur comme tu es belle, monte sur la table et déshabille-toi. Lentement comme tu sais si bien le faire pour que l’on ait le temps de t’admirer.

Je suis devenue toute rouge, ma pudeur naturelle se révoltait, ma tête disait non mais mon bas-ventre s’est vite enflammé et je me suis même surprise à mouiller d’un plaisir incontrôlé. Et puis comme tous les convives se sont mis à applaudir et à m’encourager je me suis lancée sans plus réfléchir.
Je portais une robe longue, beige clair et boutonnée devant, avec un joli décolleté sans soutien-gorge et je n’avais pas attaché volontairement quelques boutons. Dessous je portais une très jolie culotte blanche dans un tissu fin et légèrement transparent, mon pubis était parfaitement épilé. Je me suis donc déshabillée lentement, langoureusement. Malgré le trac du début, j’adore m’offrir à la vue des autres et les cours de strip-tease que j’ai pris l’année dernière m’ont donné une certaine aisance. Je conviens y avoir pris du plaisir à voir les yeux des hommes et des femmes briller. Et même plus car je pouvais observer que l’entrejambe des hommes se manifestait on ne peut plus nettement et que les gestes des femmes sur leur corps n’étaient pas des plus innocents.
Une fois en string mon mari m’a dit que j’avais été éblouissante, ce qui a entraîné une salve d’applaudissements de tous les invités.
Absorbée que j’étais, je ne m’étais pas aperçue que la table avait été totalement desservie. Il ne restait, en bout de table qu’une grande corbeille remplie de fruits.

C’est alors que mon cher mari m’a demandé de me caresser, debout les jambes bien écartées afin que tous puissent m’admirer et d’inviter un à un, une à une, chaque convive à venir goûter ma chatte en y introduisant le fruit de son choix.

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Pour faciliter l’accès des invités à ma chatte, je me suis allongée sur la nappe, les genoux repliés sur ma poitrine, les jambes bien écartées. Jamais je n’avais éprouvé à ce point la sensation d’être merveilleusement vulnérable et c’est ce qui m’a excitée au plus haut point. Personne ne m’avait encore touchée mais je continuais à mouiller en abondance. Je ne pensais qu’au plaisir qui m’attendait et je peux dire que j’ai vécu avec volupté la situation dans laquelle je me trouvais. J’étais deux personnes à la fois : celle qui jouissait pleinement l’instant présent comme la femme accomplie que je suis devenue, mais aussi la jeune adolescente encore innocente que j’avais été et qui rêvait d’exposer son corps de femme naissant devant une assemblée de gens avides de le contempler.
J’avais craint une ruée des invités sur ma chatte. Il n’en fut rien. Les convives avaient de l’éducation.

C’est Mireille qui, la première s’approcha de moi. Délicatement elle introduisit quelques morceaux de douce papaye dans mon vagin et les dégusta avec gourmandise. Ses lèvres en profitèrent pour s’égarer ensuite sur mon ventre, mes seins et atteignirent mes tétons roses et parfaitement érigés. Mireille prenait manifestement un grand plaisir à les envelopper de sa langue. Quant à moi, j’appréciais cette douceur féminine, cette haleine chaude, ce moment de totale relaxation et ce désir qui envahissait toujours plus intensément mon corps.

L’invitation à s’engouffrer entre mes cuisses était à l’intention de tous les invités. Là encore j’ai pu apprécier la qualité des convives, chacun proposant aux autres de profiter de cette magnifique occasion. Je désignai André en second. Sa bouche fit merveille pour absorber ma chatte presque complètement. Comment exprimer ce que j’ai ressenti ? C’était tout simplement délicieux. Progressivement, d’autres bouches défilèrent sur mon sexe me transformant moi-même en fruit bien mûr offert à tous.
J’ai fermé les yeux et me suis laissée bercer par les mouvements des lèvres et des langues ponctués d’orgasmes qui semblaient pouvoir se renouveler à l’infini.
Je me suis relevée heureuse et fière de l’attention que ce petit groupe de femmes et d’hommes m’avaient portée avec tant de bienveillance. Ma décision était prise. J’exposerai mon corps partout et en toutes occasions à la vue de tous en privé comme en public. Mon rêve de jeune fille serait désormais pleinement vécu.

MA PASSION

C’est à Strasbourg que j’ai eu pour la première fois l’occasion de mettre en pratique ma véritable passion. C’était dans la rue, non loin de la cathédrale. Un photographe (bel homme) s’adressait aux passants, notamment beaucoup de touristes, en leur proposant de les photographier sans engagement et d’acheter ensuite la photo. Il s’est adressé à moi, au même titre qu’aux autres passantes. J’avais d’ailleurs remarqué qu’il s’adressait plutôt aux femmes et avait un certain succès. J’ai accepté à la condition que je puisse exhiber une partie intime de mon corps et qu’il m’offre la photo. Ma proposition lui a plu et l’affaire fut vite conclue sans autres manières.

Ce jour là il faisait chaud. Je portais un chemisier échancré, sans soutien-gorge comme c’est mon habitude ainsi qu’une jupe large assez courte. Dès qu’il fut prêt j’ouvris largement mon chemisier et exposai bien en avant mes deux seins. Cela n’a duré que quelques secondes mais le futé a réussi à prendre plusieurs photos. Puis, j’ai soulevé ma jupe et j’ai montré mon sexe à peine caché par un minuscule string bleu. Je ne sais pas quelle a été l’attitude des passants, tellement j’étais toute à mon plaisir.
Mon mari a bien ri lorsque que je lui ai montré mon premier exploit. J’ai gardé précieusement l’adresse du photographe.

Mais toutes les occasions sont bonnes. Ainsi j’adore être au volant de ma voiture. C’est mon lieu de prédilection pour m’exposer. Toujours vêtue en jupe ou robe suffisamment ample, j’écarte bien les jambes et je me caresse. L’’idée que l’on puisse m’observer ainsi m’excite au plus haut point. J’essaie de longer un autobus ou bien un camion, afin que de haut je puisse être bien observée. Bien entendu les feux rouges et les embouteillages sont des moments de prédilection. Aussitôt arrivée chez moi, il faut alors que je me libère au plus vite de cette folle montée de désir. Je vais dans ma salle de bain et j’introduis un doigt en moi, bien profondément, comme je suis déjà toute mouillée ce n’est généralement pas suffisant et je dois enfoncer plusieurs doigts sans pouvoir m’arrêter avec le besoin de continuer plus vite et plus fort jusqu’à l’explosion.

Dans la journée, lorsque j’ai besoin de me soulager j’entre dans une boutique de lingerie et je me branle dans la cabine d’essayage. Je m’arrange toujours pour laisser le rideau entr’ouvert afin que la vendeuse ou bien qu’une cliente puisse m’apercevoir en pleine action. Très souvent, à ma grande déception, elles font semblant de ne rien voir.
Mais il m’arrive également de réussir à attirer l’attention : un sourire, un clin d’œil , un geste de connivence me ravissent. J’ai tout de même à mon palmarès quelques bons résultats. Ainsi dans une boutique où je me rends souvent, une très jeune vendeuse avait compris mon manège et prenait plaisir à me rejoindre pour m’aider disait-elle, les bras remplis de soutiens-gorge et de culottes de toutes marques. Elle m’aidait effectivement à sa façon et on passait de brefs mais intenses moments à se caresser. Malheureusement elle ne travaille plus dans cette boutique car elle n’était que stagiaire. Une autre fois c’est un homme qui m’a aperçue. Il faisait un achat pour offrir à sa femme. Il s’est introduit dans la cabine alors que le magasin était désert et m’a demandé de le caresser. Je l’ai fait volontiers et avec un grand plaisir d’autant qu’ensuite il m’a offert un délicieux cunnilingus. Nous sommes sortis séparément mais je crois que la vendeuse avait deviné notre manège à voir son sourire malicieux.
En général, comme je ne veux pas quitter une boutique sans rien acheter, je me trouve maintenant avec un stock impressionnant de strings et de soutiens-gorge, tous de grande qualité. Je les offre à mon mari qui y a pris goût et est devenu un grand connaisseur de lingerie féminine.

MA VOCATION

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Toutes les occasions, en tous lieux, à tous moments, sont pour moi prétexte à m’exhiber. Il y a bien sûr les classiques expositions, nue devant ma fenêtre ou encore les jambes écartées à la terrasse d’un café mais ce qui me passionne ce sont les moments uniques tels que ceux que je vous ai contés.
Sauf au bureau où je suis la seule femme parmi le personnel exclusivement masculin. Habillée très sagement je passe pour une grande vertueuse inabordable. Et c’est mieux ainsi.
J’avais conservé à dessein, l’adresse du photographe l’homme par lequel mon destin d’exhibitionniste avait été scellé définitivement. Je voulais lui témoigner ma reconnaissance.

Je l’ai invité chez moi, sans en préciser la raison, simplement qu’une surprise l’attendait.
Toujours aussi à l’aise mais intrigué, John, c’est son nom, est arrivé à 14h. Je lui ai offert un café avec des petits biscuits. Pendant que nous discutions et bavardions, je me suis progressivement et imperceptiblement dénudée comme je sais si bien le faire. Oh, c’est facile. Je portais un chemisier et une jupe et pas de sous-vêtement. Il m’a suffit de détacher un à un les boutons du haut pour exposer la poitrine. Par réflexe professionnel, John a sauté sur son appareil à photo, ce qui m’a donné le temps d’ôter ma jupe. Totalement nue, il m’a demandé de prendre la pose que je voulais. C’est alors que je lui demandé de lâcher son appareil et de rester debout devant moi, les jambes écartées.

J’ai ouvert prestement sa braguette. Comme toutes les femmes j’étais évidemment très curieuse de ce que j’allais découvrir. Mais surtout je voulais lui faire plaisir, lui signifier à ma manière toute ma reconnaissance de ce qu’il avait fait pour moi, ce qu’il avait fait de moi.
Je me suis mise à genoux et j’ai entrepris de dégager son sexe et ses testicules. J’ai déposé ma salive sur son gland et j’ai commencé, de ma main droite, à le branler, tandis que ma main gauche palpait ses boules. J’ai senti en lui un très léger recul d’étonnement suivi immédiatement d’une profonde décontraction en même temps que sa queue se dressait avec une rapidité qui m’a surprise moi-même. Mon brillant photographe se montrait à la hauteur de la situation. Je pris mon temps. Je voulais faire durer la situation, l’entendre frémir et gémir de plaisir tout en le regardant dans les yeux. Et c’est dans une parfaite complicité de nos regards croisés que je me suis entraînée à l’avaler en gorge profonde, à pénétrer doucement son anus et pour finir, à le faire éjaculer dans ma bouche.

Et depuis lors, mon mari, John et moi, formons un trio inséparable. Je m’exhibe tant et plus, John multiplie les prises de vue et Damien classe soigneusement les photos. Pas de triolisme, que non ! mais une petite équipe parfaitement soudée par notre pacte de ne jamais divulguer les images, pas même sur ce site qui ne demanderais, j’en suis sûre, qu’à les accueillir toutes.

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