Après ce fist-fucking auquel je ne m’attendais pas Je suis donc remonté chez moi reprendre une douche plus prolongée et suis allé voir Éric qui écartelé et nu dormait. Je lui ai donné une pichenette sur le sexe qui l’a à demi réveillé. Tout à l’heure le réveil va sonner et tu iras faire du café, beaucoup de café. J’ai peu dormi et j’aurais des courses à faire dans journée. N’en profites pas je te détache une main pour que tu ôtes le reste et fasse le café et vienne m’en servir.
-Bien monsieur.
J’ai éteint et il replongé dans son sommeil.
Je suis descendu et allumant mon PC j’ai vu en premier l’état des bourses. Tout allait bien de côté et j’ai cherché par l’autre écran des sites de magasin vendant du matos SM et de tenues cuir et latex. J’ai fait une liste d’achat en souriant sur l’effet que ça produira.
La note a vite montée et ils ont contacté la banque. La banque a été assez rapide pour me donner l’aval et le site m’a envoyé un mail disant que ce serait préparé dès l’ouverture.
Sur ce je suis allé me coucher il n’était pas tard mais tôt et je suis allé dormir un peu.
Habitué à ne pas avoir d’horaire, je me suis éveillé en peine forme. Éric tenait une grande tasse à la main.
Accroupi toi et pose là sur le sol. Tu as gouté ce café ?
Non as encore.
Alors tu vas recevoir le thé qui va sortir de mon gland et bien tout avaler.
Bandé comme j’étais à peine sa bouche ouverte j’ai enfoncé ma queue et après deux ou trois va et vient j’ai giclé, le tenant derrière la tête. J’ai attendu que tout soit avalé.
C’est chaud et bon ?
-Euh, oui monsieur.
Je vais boire le café et j’arrive. Réveille Antoine je serais dans la cuisine.
Tu n’es pas allé chercher des croissants ?
-Pardon je m’habille et je reviens.
J’ai profité de son départ pour dire à Antoine de ne pas être fier de qu’il avait programmé et que cela se réglerait demain samedi soir.
-Je m’attendais à cette riposte Stephen. Je savais tes gouts et j’ai voulu les réveiller sans doute trop vite
Et quand tu viens déjeuner, c’est nu !
-Ok je ne l’oublierais pas.
Bois ton café et va au taf. Tu es déjà en retard.
-Et les croissants ?
Tu les mangeras ce midi. Il avait compris ma colère mais pas à quel point. Il était l’heure d’ouverture et cette fois j’ai pris le break de chasse pour y mettre le matériel. J’ai été fort bien reçu mais tout n’était pas prêt et j’ai eu le temps de faire un tour et j’ai fait rajouter un gode en forme de cône de sapin avec les écailles à l’envers. Une fois le tout réglé ils ont été assez aimable pour m’aider à tout porter à la voiture et je leur ai laissé un bon pourboire.
J’ai mis la voiture coffre en arrière et suis monté à l’appartement voire les marchés boursiers de la bourse de Paris et Londres. Presque toutes mes opérations étaient positives malgré le prédateur Poutine. Bizarrement le marché du luxe se portait plutôt bien. J’ai fini allonger et endormi. C’est une caresse sur la braguette qui m’a réveillé.
Hé bien Éric, que se passe-t-il ?
-Pardon de vous déranger mais un homme de votre âge demande à vous voir, il dit que c’était prévu.
Ho merde, Bruno ! Fait le entrer.
-La vache tu as des yeux à ne pas avoir dormi de la nuit !
On s’est serré la main, Bruno était comme moi un trader et ses affaires marchaient bien.
J’ai un service à te demander mais avant que bois tu ?
-Je sais que tu as du vieux malt et une goutte ne fait pas mal.
Une fois servi dans les règles je lui ai dit souhaiter prendre quelques jours de repos au Maroc. Je sais que je peux avoir accès à la bourse là-bas mais je serais rassuré si tu pouvais suivre un peu pour moi, agir au besoin. Je pourrais le faire mais je veux décompresser.
-Tu pars quand ?
Encore des détails à régler mais j’ai prévu de passer chez toi te donner un code invité le temps que je revienne. Tu es réglo comme moi. Et avoir la vie pépère un moment me fera du bien.
-Tu pars avec ton nouveau ?
Et je reviens sans théoriquement.
-Vous êtes tous pareil les homos. Tu as trouvé mieux ?
Je saurais ça dimanche soir au retour de Fontainebleau.
-Il serait temps que tu te classes non ?
J’y pense. Bruno, j’y pense.
-Bon fameux ton Islay mais tu sais qu’il faut que je bouge. Il s’était levé, Erice est apparu pour lui ouvrir la porte. Avec le sourire il lui a donné une petite tape sur les fesses en passant. Tu es tout mignon toi. Salut !
L’ascenseur était là et il m’a fait un clin d’œil quand les portes se refermaient.
Habille-toi et va chercher Antoine qu’il s’habille aussi on va au centre commercial et à la mairie pour les passeports. Pensez à votre carte d’identité. Je les ai attendu et on est allé au garage. Antoine sans problème bien sapé, Éric en short mais il avait mis une cravate et une chemise sous le blouson.
Bon espérons que ça passe. On est monté dans ma tire et au service passeport de la mairie. Pas grand monde le jeudi, la journée. Éric est passé comme une fleur et pour Antoine ça a été plus long. La fille m’a demandé si je me portais garant de lui. Il avait fait un petit vol à l’étalage.
Bien sûr il est embauché chez moi.
A mon tour j’ai été rephotographié à leur format, le reste a été une formalité et on a attendu. Pas très longtemps. Une signature tamponnée par-dessus et ce fut tout. A la voiture j’ai récupéré leurs passeports et on est rentré.
Maintenant il me fallait choisir une date qui allait avec mon job et avec Bruno. Bon en rentrant vous vous remettez au taf ce et ce soir on va à Fontainebleau. Le mec en remplacement est déjà prévenu et sait ce qu’il a à faire. Éric tu montes te changer et reste à poil. Antoine tu te mets en tenue de travail et tu vérifies que tout fonctionne. J’ai garé la voiture et ils sont partis se changer. Je suis monté au RDC m’assoir sur un banc un moment pour réfléchir et suis rentré voir les résultats de la bourse.
Le CAC40 avait baissé mais ce que j’avais acheté au Nikkei montai plus haut que mes pertes. Éric rodait et m’a demandé la place pour nettoyer le bureau.
Je suis donc monté m’allonger un moment, j’aurais besoin d’être en forme cette fin de semaine. J’ai dû somnoler un moment car Éric était dans remonté et bossait dans la cuisine au réveil. Il était mignon sans ses poils et chaque fois qu’il se penchait il ouvrait involontairement les fesses et sa rondelle même fripée laissait voir sa petite fente au centre.
J’ai dû bouger involontairement, il a regardé vers moi et a souri.
-C’est mon cul qui te fait bander ?
Non, enfin oui. Tu étais dans mon rêve.
Ne prépare rien pour demain. L’avion part dans l’après-midi.
Conteur 60
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