Mon pote Brahim attendait et dès qu’on a récupéré les bagages on est monté dans son 4X4 direction l’Atlas. Pas très loin il a pris un chemin de terre ocre bien entretenu.
Devant l’entrée, un mec en tenue typique d’eunuque n’a pas bougé. Une fois dans la cour on a fait le tour du bâtiment où était garées quelques limousines et on s’est garé derrière. Une fois sorti Brahim a maté mes deux lopettes.
-Baissez vos short et jeans ! Il faut que j’évalue le matériel avant de vous répartir.
Toi avec le slip dentelle rouge dis-moi tes compétences ?
Euh, sexuelles ?
Il s’est ramassé une gifle sèche. Je suppose que tu n’es pas venu cuisiner !
Pardon, je suce et me fait prendre le cul j’adore ça surtout forcé ou entravé.
Parfait et toi avec une couille dehors ?
Antoine a aussitôt mis la main devant le string et c’est aussitôt ramassé lui aussi une baffe.
Tu n’es pas dans un palace ici, écarte les mains. Il a palpé le paquet qui a aussitôt grossit. Il devait serrer car il a grimacé.
Alors, que fais-tu ? Je ne te demande pas si tu aimes mais à quoi tu sers.
Je lèche, je suce, je me fais prendre et suis aussi actif.
Il y a une clientèle pour ça aussi. Il s’est avancé vers Éric, tes tétons sont pas mal en les améliorant tu ferais une shemale parfaite. Il les a pressé et tiré dessus. Pas très sensibles à la douleur mais ça te fait bander cochonne ! Allons au petit salon d’accueil. On sera plus à l’aise.
Le petit salon était couvert de tapis et de poufs, on s’est déchaussé.
Alors, comment vont les affaires Stephan ?
Je savais très bien que les vraies affaires seraient discutées après et on s’est lancé dans une longue discussion. Il les avait fait mettre nu puis remettre leurs sous-vêtements suggestifs.
Après de longs échanges cordiaux il a attaqué, il avait déjà fait un choix et une offre pour Éric qui me paraissait basse et on a marchandé sur lui qui avait tout compris et sans aucune pudeur prenait des poses à faire bander n’importe qui.
On s’est mis d’accord sur un prix et un eunuque est venu le chercher.
Pour Antoine, je souhaite que tu le gardes un moment qu’il se montre plus docile encore qu’il ne soit.
Bien sur je peux le garder un moment au service de la clientèle.
Lui je souhaite que tu gardes une moitié de ses gains et qu’il ait le reste.
On peut en effet faire ça mais tu y perds.
Non, il fera un excellent majordome une fois son séjour passé.
Il a eu un sourire et m’a chuchoté à l’oreille, je crois qu’il t’aime pour ça. Je le vois dans ses yeux.
Je sais mais il faut qu’il passe par ta maison de plaisir, il n’en reviendra que meilleur.
Antoine, tu es d’accord pour rester quelques jours ici et servir qui a besoin de toi ?
-Si c’est pour vous plaire je ferais comme vous voudrez.
Alors c’est entendu je trouverais un concierge de remplacement en attendant. Emmenez-le.
Brahim m’a demandé si pour le cadeau d’Antoine je voulais un garçon à ma convenance.
Si dans tes « pensionnaires » tu as un jeune, je vais être exigeant, qui soit actif avec un bon membre endurant qui soit épilé, mais aussi passif, j’essayerais bien ce genre. Je sais que tu en as avec des yeux de biche incroyable.
-Habillé au départ ou nu ?
Juste un corset lacé qui face ressortir ses fesses son sexe et ses mamelons. Tu as ?
Il a parlé à un des eunuques présents. Tu as entendu, va préparer le jeune Habib. Puis tourné vers moi, il n’a que peu d’expérience anale mais s’y soumettra. Il ne parle pas le français mais le comprends. Viens voir dans le couloir, leurs portes sont vitrées mais une glace de leur côté les empêche de te voir.
On est sortis et montés d’un étage. Un couloir assez long passait au centre de plusieurs pièces assez vaste avec une fenêtre pour éclairer.
Tu ne crains pas qu’ils s’en aillent ?
Mais ils sont libres de s’en aller. Ici ils mangent et les eunuques les servent. Ils sont tous volontaires.
Ils sont tous nus ?
Allons Stephan s’ils veulent attirer un homme ils doivent se montrer tel qu’ils sont. Mais je crois que tu vas être satisfait. Cet eunuque me préviens qu’Habib est prêt. Il attend dans le salon avec balcon et antichambre. Bonne baise mon ami. Il m’a salué la main sur le cœur avant que l’eunuque m’entraine de l’autre côté.
Curieusement c’était moi l’intimidé quand je me suis dévêtu dans l’antichambre. Qu’allais je découvrir. Assez excité malgré tout je suis entré dans le salon.
Conteur 60
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