Curieusement c’était moi l’intimidé quand je me suis dévêtu dans l’antichambre. Qu’allais je découvrir. Assez excité malgré tout je suis entré dans le salon.
Le jeune, sans pudeur attendait, allongé sur des coussins, cuisses ouvertes il se touchait le sexe en me regardant arriver. Il correspondait parfaitement à mon fantasme, longues jambes sans poils comme son sexe et ce que je voyais du début de sa raie. Visage fin, vaguement féminin mais côté sexe sans aucun doute il avait un attribut masculin de belle grosseur.
Je me suis approché et allongé près de lui, ma main s’est posée sur la hampe dressée. Lui a tiré mon visage vers son sexe et je l’ai sucé. Passant une main dans mon dos il a vite suivi la raie des fesses et trouvé mon anus qu’il a doigté doucement puis plus vite avant de me retourner et de séparer mes fesses et lécher l’anus ce qui m’a fait grogner car je le sentais s’ouvrir sous sa langue. Je serrais les coussins dans mes poings, bandant comme un âne.
Il a remonté la langue le long de mon dos et j’ai senti son gland se frotter sur ma rondelle a moitié ouverte et l’a engagé dans mes fesses qui n’attendaient que ça. Il n’a pas été loin, jouant avec les nerfs de mes sphincters par de petits va et viens avant de se coller à mon dos, tout son sexe enfoncé. Montrant un savoir faire plus mature que son visage de jeune il a entamé de petits coups de reins de plus en plus frénétiques, s’arrêtant sans prévenir pour reprendre son assaut dans mes fesses. Il m’a tiré en arrière pour me mordre le cou comme un chien sur sa chienne tout en me limant le cul.
Il s’est dégagé un moment pour reprendre haleine, sa queue suintante, il m’a souri cherchant à savoir si ça allait puis m’a allongé sur le dos pour m’enculer cette fois par devant. Il me fixait de ses beaux yeux et j’ai fini par fermer les miens pour mieux savourer. Je devais pas mal baver du gland et quand j’ai voulu reprendre mon rôle d’actif et le prendre par les hanches pour l’assoir sur mon sexe il a eu un regard apeuré puis résigné quand mon gland a touché son anus fermé.
J’ai tiré ses hanches vers moi, mon gland a glissé le long de sa raie et c’est lui qui a pris mon sexe pour le placer sur son anus et se relâcher dessus. Oh pas beaucoup mais la porte ouverte j’ai pu aller plus loin. J’ai pris sa main que j’ai posée sur sa queue et ai commencé à le faire se branler pendant que moi j’allais de plus en plus loin en lui. Ila commencé à remuer des fesses et je lui ai donné la cadence. De lente au début par le peu d’expérience de passif, il a vite pris de l’assurance et a bougé le cul comme j’aimais. De dos comme ça avec le corset il avait un beau cul et de petites hanches j’ai pu remonter sur son ventre et pincer le peu de tétons qui pointaient. Il a poussé un petit cri et sans prévenir a joui devant lui. De plaisir j’ai éjaculé aussi dans ses fesses. Et me suis retiré.
Il avait le sourire et chose rare pour son genre de métier il m’a embrassé.
Je suis sorti, dans l’antichambre un des eunuques attendaient et je n’avais plus mes fringues.
Viens ne t’inquiètes pas on t’emmène prendre un bain et tu auras tes habits pour repartir.
Une fois dans l’eau un de ces « mecs » a passé l’éponge doucement sur tout mon corps ce qui n’a pas été désagréable. Une fois habillé je suis allé, guidé par l’un d’eux retrouver Rachid.
Alors il t’a plu je sais, il m’a dit que tu avais aimé. Tu veux voir Antoine ? Il est déjà en mains si je puis dire ?
Non merci, t’es super Rachid mais les affaires n’attendent pas et je ne sais pas quand je pourrais avoir un retour par avion.
J’ai tout arrangé et tu as de la place pour repartir. Le temps de boire le thé et je te ramène à l’aéroport. On a beau être au Maroc, ce n’est pas la cambrousse et après avoir connu le nord de Paris je suis bien ici. Au fait je t’ai envoyé un mail sur ta boîte, le roi a des idées militaires et va faire son marché en France. Je t’ai mis les sociétés contactées tu auras de l’avance sur ce coup !
On a bu le thé brûlant avant qu’il me ramène lui-même à l’aéroport.
Le douanier était le même et a vu Rachid, je suis passé très facilement après une accolade sincère des deux côtés.
L’avion était là et j’ai embarqué tout de suite. Moins de trois heures après j’étais à Paris et dans un taxi.
Conteur 60
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