A la maison j’ai appelé Bruno pour lui dire que je reprenais la main.
Ok bon séjour ? Je t’envoie un code pour tous tes accès et dès que je vois que c’est bon je coupe de mon côté.
Ok merci j’aurais surement besoin de toi pour un jour dans une dizaine.
Bah pas de problèmes on marche ensemble. Salut.
Petite inspection de l’immeuble, tout roulait bien et j’ai prévenu le mec en CDD que ça pourrait devenir un CDI. Rapide coup d’œil sur lui, il était bien vêtu et bon chic bon genre.
Si tu as un souci je suis de retour.
De retour j’ai constaté que le les codes étaient arrivés et constaté les dégâts de Mr Trump que Bruno avait très bien paré.
Après une douche pour me remettre du voyage je me suis installé devant mes écrans et commencé à bosser.
Seul avec juste le bruit de la ville je n’ai pris que le temps de me faire des sandwichs et boire à la bouteille posée à terre. Je ne sais pas lequel des deux me manquait mais seul, heureusement j’avais mon job. Je n’ai pris que quelques moments de somnolence dans le fauteuil m’acharnant à rétablir ce que l’enfoiré amerloque démolissait.
Heureusement les liens de traders à traders permettaient d’échanger les tuyaux, celui des avions marocains j’avais attendu pour être le premier mais une fois engagé ils se sont précipités dessus.
Pris par mon travail j’avais de temps en temps une pensée pour Antoine et bandait brièvement et vite repris par une affaire ou une perte j’oubliais.
Les jours passent vite quand on bosse comme un dingue et c’est un message en SMS qui m’a prévenu qu’il était parti du Maroc et dans le taxi, il me prévenait de son arrivée.
J’ai coupé mes liens boursiers et suis descendu dans l’entrée. A son arrivée, un peu surpris, Il m’a sauté au cou.
Et je l’ai conduit par l’ascenseur. Il avait changé. Sa tenue déjà était superbe, jean moulant en cuir qui passait entre ses fesses, et une chemise blanche col ouvert.
Ce que tu as pu me manquer, c’est incroyable. Chaque mec que je me devais de satisfaire, j’étais déçu mais ce n’était pas toi !
Calme-toi, tu es là et tout à moi maintenant. Je caressais son fessier, il bandait, serré contre moi et impatient il a glissé la main dans le jogging que je portais.
Tu sais, Rachid m’a montré la vidéo quand tu étais avec Habib et j’ai compris que tu aimais autant prendre qu’être pris. J’ai du m’entraîner avec des plus vieux que toi et prendre des culs que je n’aimais pas en pensant à toi.
Mais tu n’as pas mis de slip ? Tu t’es laissé aller pendant que je n’étais pas là.
Sa main et ses doigts glissaient le long de ma raie ce qui m’a fait pousser un petit cri.
Hé ! tu n’es pas calmé ?
Non car chaque fois c’était toi sans que tu sois là. Mais entrons chez toi. J’avais laissé ouvert et on est entrés collés l’un à l’autre.
Tu as pris ta doche quand Stéphan ?
Hier ou ce matin je ne sais plus je n’ai que pensé à toi.
Ok alors on va jouer un peu cochon. Il s’est reculé je tachais le jogging gris bandant comme rarement à m’en faire mal.
Tourne-toi et baisse ce jogging ! Une claque sur les fesses m’a fait presser. Tu sais je me rappelle ton petit cul avait peu de poils mais tu n’en auras plus. Pour le moment de le voir me fous la trique. Reste penché et approche la tête de ma braguette. Non ! sans les mains !
Il m’excitait à fond et je m’approchais de la bosse quand il m’a chopé les cheveux. Renifle bien mon odeur et tu ouvriras après. Je reniflais son odeur, j’aimais l’impatience avec laquelle il me guidait, je sentais bien son sexe et quand j’ai ouvert la braguette il portait un slip en lycra rouge presque trempé de sa bave.
Hé oui, depuis que j’ai décollé je pense à toi alors bien sur j’ai bavé. Fait glisser mon jean cuir. Ils sont géniaux pour le cuir là-bas. Va doucement, maintenant on a le temps. Tu as gardé le lit ou était attaché Éric ? Oui ! Bon alors monte je te suis. Allonge-toi, écarte les bras. A califourchon sur mon ventre il a lié chacun de mes poignets. Tu es bien comme j’avais envie de te voir. Il a soulevé une de mes chevilles pour l’attacher à côté de mon poignet puis de même avec l’autre. Offrant mon entrejambe a la vue. Comme je ne veux pas que tu cries, enfin pas de suite, je vais ôter mon slip et tu vas le sentir de très près.
Il ne quittait pas son sourire en dévoilant sa bite raide, baveuse et ouvrant ma mâchoire il l’a glissé dans ma bouche.
Cette fois tu sens bien mon envie ! Il a écarté mes fesses, passé un doigt puis d’un coup j’ai eu son visage près du mien et son membre dans le cul.
Ho la sensation de le sentir en moi. J’ai fermé les yeux, plaisir, plénitude, tout me revenait et quand j’ai rouvert les yeux il a eu un sourire.
Tu ne t’y attendais pas mais moi si ! Du premier jour à maintenant. Je vais te bourrer le cul comme d’autres l’ont fait, aujourd’hui tu es à moi. Il a alterné les moments lents et les rapides, sortant de mon cul pour s’enfoncer à nouveau à fond. Mes muqueuses sensibles n’ont pu retenir ma jouissance. Il continuait, souriant de me défoncer. Un arabe m’a fait jouir trois fois de suite en me bourrant. Tu peux surement faire de même. La deuxième fois fut abondante et avant la troisième il a ôté le slip me faisant crier à chaque coup de reins en moi.
Il avait joui aussi, j’avais senti les sursauts de son gland et a essuyé sa queue et mon ventre avec son slip me le tendant à lécher.
Bien tu vois j’ai bien appris les leçons là-bas. Et on sera maintenant l’un ou l’autre le dominateur et le soumis. Crois-moi j’en ai pris pas mal pour pouvoir gagner assez et venir un peu plus tôt. En même temps il me détachait et sans m’attendre filait vers la douche.
Viens, on va se laver ensemble je crois que pour cette arrivée on est vidé autant l’un que l’autre.
Tu as bien gagné ta vie pendant ce temps ?
Oui de bonnes affaires grâce à Rachid d’ailleurs.
Il me frottait le dos et les fesses, le sexe et je faisais de même.
Je pense que tu n’as rien à bouffer. Le resto « aux folles » existe encore dans le marais ?
Attends je me sèche et je regarde. Sur internet il était ouvert et un coup d’œil à la pendule m’a renseigné. On prend l’apéro ici et on y va.
Je lui ai servi un vieux malt pour sceller notre union et il a grimacé à la première goutte.
La vache c’est fort, mais il reste un goût genre vieux bois après.
La tourbe écossaise, c’est un vieux malt à boire sans eau ni glace. Je me fringue comment puisqu’aujourd’hui c’est toi qui diriges ?
Petit sourire vicieux, je crois que tu aimes aussi le cuir, alors passe un corset, je l’attacherais dans le dos et par-dessus mets un débardeur qui laisse voir tes tétons. Un jean cuir serré moulant et des boots noirs aux pieds. Attends que je serre le corset, Ton ventre va se creuser et fera encore plus ressortir ton paquet. Je suis certain que le moindre frôlement va tendre ton paquet.
Moi je mets mon jean fin encore trempé et un blouson suffira. J’ai oublié, j’avais acheté pour l’un ou l’autre cette plaque et la chaînette. Ce soir tu la portes. Il l’a attaché derrière mon cou. Elle était lourde.
Quand j’ai pu lire dans la glace à l’envers ce devait être lope.
Appelle un taxi. Je vais mettre la touche finale, il est allé chercher le collier qu’il portait à l’appartement et me l’a passé. Je le connaissais. Cuir noir, large avec chienne en lettre métal dessus.
On pourrait prendre la voiture.
Non, on ne peut pas se garer là-bas et puis le taxi va se rincer l’œil.
Je l’ai vu arriver en bas et on est monté. Un jeune beur était au volant. Et a jeté un coup d’œil. Vous allez où ?
Tu connais le resto aux folles dans le marais ?
J’habite presque à côté. C’est parti et c’est ma dernière course.
Pas mal du tout votre salope !
Tu t’y connais ?
Je m’en farci de temps en temps. Afin de dégorger le poireau. Presque le même cul que les femelles mais avec des couilles.
Prenez ma carte dans le vide poche dites que c’est les clients d’aux folles et je viendrais.
Conteur 60
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