Histoire de sexe Mon Parking Chapitre 17

Dans le taxi le mec me matait dans le rétro.
On est assez vite arrivé. Antoine a réglé, le taxi a souri.
Quand vous partirez appelez-moi je n’habite pas loin. Je viendrais. Il souriait.
Antoine m’a tenu la porte du restaurant. Le patron et venu.
Tu as changé de place Éric ?
Derrière moi Antoine a répondu, je lui apprends la différence entre être dominateur ou soumis. On peut manger ?
C’est plein mais la table du centre, paye. Le temps de la redresser et elle sera pour vous. Je vous offre l’apéritif pour attendre ?

Oui on sera bien en vue. Un martini pour moi et un bol de Perrier pour lui.

Au bar ou à terre, il en rigolait.

Au bar il se redressera pour laper le bol.

Une fois servi il a trinqué contre mon bol. Son autre main descendait le zip de ma braguette mais sans sortir le sexe. Je voyais le regard du jeune asiate mater la main à chaque passage entre la salle et la cuisine.

Le bol et le verre fini, la table était prête. En me dirigeant vers ma place quelques mecs se marraient, le jean tendu sur les fesses faisait bâiller la braguette.

Le jeune placé contre moi, tendait la carte à Antoine.

Pour commencer, deux martinis et place une bouteille de Cahors sur la table qu’elle se réchauffe le temps que je choisisse. Le mec a fait l’aller-retour et attendu collé à moi le choix d’Antoine. A travers le cuir je sentais la chaleur de son corps. Je l’ai vu gribouiller sur son carnet et déchirer la page.

Antoine a levé les yeux de la carte et a commandé pour nous deux des tournedos sauce poivre avec un légume et surtout pas mal de poivre. Pour le dessert préviens le chef qu’un soufflé au grand Marnier soit prés.
Du pied il avait passé un bout de ses boots sur ma braguette, cherchant à l’ouvrir. Evidemment j’ai grossi sans sortir ma queue. Juste la hampe plus claire se voyait. On a bu l’apéritif et on finissait quand le plat est arrivé généreusement recouvert de sauce. En débarrassant les verres de l’apéritif il a fait tomber mon couteau qu’il a vite remplacé et se penchant pour prendre le sale il a glissé le papier chiffonné dans ma braguette ouverte.
Le soufflé était une merveille et le patron a ajouté du grand Marnier avant d’enflammer chaque caquelon. On devait être les derniers et Après ce dessert sublime Antoine a appelé le taxi.
On est sorti et cinq minutes après il arrivait. Antoine avait dégagé mon sexe et j’avais eu le temps de mettre le papier chiffonné du jeune dans ma poche. Je suis entré dans le taxi la bite à l’air.

Avant d’arriver le beur s’est garé assez loin d’un lampadaire.
S’il me pipe je ne fais pas payer la course.
Antoine a ouvert la porte. Monte devant et bosse. Assis à côté il avait déjà dégagé un beau morceau, et il a appuyé sur ma nuque. Je n’ai pu qu’ouvrir la bouche sur le gland et entamer la fellation. Il était chaud et ça n’a pas duré avant qu’il me gicle au fond de la gorge.

T’es une bonne lopette. Il a redémarré et en un instant on était arrivé.

Gardez mon numéro si vous avez besoin d’un taxi.

A l’appartement il m’a fait mettre nu. Puis le dessape, il bandait, bite ferme comme du bois.
Appuie-toi au plan de travail de la cuisine. Et gode toi sur ma queue. J’ai vu ton manège avec le serveur et tu dois avoir le cul trempé. Tu n’as peut-être pas l’habitude mais ça sera encore plus jouissif de t’enculer. Me prenant par les épaules il a forcé mon cul d’un coup qui m’a fait gueuler.

Tu sens la douleur ? Le plaisir viendra après, il s’est collé à moi ses hanches contre mes fesses et a limé doucement, chaque passage irritait mes muqueuses mais curieusement de mou au début j’ai eu une nouvelle érection, plus forte, plus intense.
Accélère s’il te plaît !

Non je vais à mon rythme et tu n’en ai as encore à me supplier comme une lopette doit le faire.
Pardon Antoine, baise-moi plus fort j’aime la sensation que tu me donne.
C’est mieux. Il s’est écarté entre chaque coups de rein.
Oui Antoine j’aime ta queue dans mes fesses.
Cette fois il n’a pas hésité à sortir de moi pour s’enfiler à fond me faisant gueuler de plaisir.
Il a joui au fond de moi. Et j’avais giclé dans le vide.

Lèche ma bite, montre comme tu l’aimes.

Je me suis laissé glisser et j’ai nettoyé sa queue sur la longueur et sous le gland.

Salope. Je vais te laisser à tes ordis et aller dormir on verra demain.

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