J’ai passé l’après-midi sur les ordinateurs, et Antoine est venu me chercher. On a mangé, et il est allé dans la chambre se mettre en position. Je l’ai fait attendre un peu avant de le rejoindre. Fesses bien ouvertes, il était beau. Après l’avoir subi la veille, je n’ai eu aucune pitié et me suis allongé sur lui, enfonçant ma queue dans ce cul qui attendait. Il a poussé un petit cri, mais je le connaissais assez pour savoir que c’était de plaisir. J’avais juste besoin de baisser la tension d’attendre le jeune Asiatique et l’ai pilonné rapidement de bons coups de queue pour jouir au fond de son cul.
— Retourne-toi et lèche, nettoie ma bite. Pour ce soir, ça te suffira. Je te détache pour la nuit. Pense à me réveiller, et la vaisselle t’attend.
Je suis redescendu bosser un moment, mais cette fois, le sommeil m’a attrapé, et c’est Antoine qui m’a secoué l’épaule.
— Il est 7h30.
— Mets un tee-shirt sur ton short, je vais à la douche, et je viens boire le café.
J’avais hâte de voir ce jeune puceau entrevu au restaurant la veille. Je me suis installé au salon sur un canapé en skaï qui en avait déjà vu pas mal. Quand ça a sonné et qu’Antoine l’a fait entrer, j’ai eu un doute sur son âge.
— Bonjour, ainsi, c’est toi, Woo ?
Il gardait les yeux baissés. Timide, mais il avait fait le premier pas !
— Regarde-moi et redis-moi ce que tu cherches.
Il a jeté un regard vers moi et Antoine.
— Je suis en France depuis peu de temps, mais régulièrement, pour donner suite à une annonce cherchant un jeune Asiatique pour servir en salle. Je suis venu, et c’est là où je vous ai vus. J’ai eu pas mal de demandes sexuelles, mais elles ne me plaisaient pas. Trop crues pour la plupart, et j’ai choisi sur qui m’intéressait.
Il était franc, et son visage s’animait un peu.
— Il va falloir nous en dire plus et te montrer tout ce que tu caches.
— J’ai vu pas mal de vidéos chez moi, entre hommes, et le SM m’attire depuis toujours, je crois.
Je me suis levé et rapproché. Il portait un simple blouson sur une chemise et son pantalon de serveur serré à la taille. J’ai écarté le blouson de ses épaules, le laissant choir derrière lui. Deux doigts ont caressé ses tétons qui pointaient sous la chemise, et j’ai caressé son visage, glissant un doigt entre ses lèvres. Plus petit que moi, il a appuyé sa tête sur mon épaule. Les doigts ont glissé, et il a défait les boutons de sa chemise.
— Continue à te dévoiler pendant que je te caresse.
Il a défait sa ceinture, un bouton, puis le zip. Dessous, il portait un slip Disney bombé, mais peu. Antoine ramassait la chemise, profitant pour mater.
— Cambre-toi et fais glisser le slip.
En fait, la bosse était son sexe, petit mais raide sous son capuchon. J’ai caressé un moment sa verge, et je voyais des couilles normales peser dessous. Son prépuce laissait passer une goutte. Ses poils étaient curieux, peu nombreux mais dressés tout autour de la base du sexe.
— Tu me montres tes fesses ?
Il n’a pas hésité à se pencher en avant, dos vers moi, et j’ai vu son anus encore plissé.
— Bien, tu es vraiment puceau, je pense. À toi de me dessaper, va doucement, je veux savoir ce que tu ressens.
— Ce que j’ai vu au restaurant m’a paru épais, et j’ai pensé à votre membre d’homme toute la soirée.
Il a été surpris en soulevant mon tee-shirt de ne pas trouver de poils, mais a caressé mes tétons un peu déformés. Il a eu un moment d’hésitation avant de se pencher sur mon short, resté accroché par la verge, qui a sauté dehors d’un coup.
— Ho ! Elle est belle !
Il l’a caressée, faisant sortir le gland du prépuce.
— J’espère vous recevoir bien au fond de moi, mais elle est vraiment grosse.
— Commence par la prendre en bouche et passe la langue autour.
Penché sur lui, je pressais l’index sur son anus, le faisant gémir.
— Antoine, passe-moi la planche avec les rivets.
J’ai frappé doucement les petites fesses fermes, puis plus fort. Il a gémi plus fort, mais tendait ses fesses.
— Passe-moi le petit martinet.
J’ai passé les lanières le long de sa raie avant de frapper plus fort. Il couinait plus fort sans chercher à se dégager.
— Bien, Woo, je te prends, mais il faut que tu travailles ton cul pour être sûr de toi, et il reste trop peu de temps. Une fois à ton travail, préviens ton patron que tu as trouvé celui que tu cherchais et donne-lui trois jours pour te trouver un remplaçant. Tu reviendras, et alors, ce ne sera plus comme si tu pouvais choisir. Tu seras à moi et à Antoine. Il n’y aura pas de sang, mais tu auras pas mal d’obligations sexuelles, ainsi qu’un contrat te liant à moi.
— À partir de maintenant, tu ne porteras que des strings pour agacer ton petit trou. Pendant ces trois jours, ne te branle pas. Tu as déjà joui sans t’en apercevoir en te fouettant l’anus. Habille-toi et file au travail.
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