— OK, Éric, mais à force de bander comme ça sans me toucher, j’ai mal.
— On réglera ça après le repas. Je suppose que l’apéritif me signale que c’est prêt ?
— Oui, mais prenez le temps de le boire, avec vous, j’ai moins mal.
— Tout à l’heure, on prendra ton sexe et tout le temps qu’on veut !
— Tous les deux ?
— Bien sûr, je partage tout avec Antoine.
— Je pourrais jouir ?
— Tu ne pourras pas te retenir. Tu n’as jamais joui sans te toucher ?
— Non, je ne pense pas.
— Tu verras, et tu en réclameras encore. Allons manger.
Le repas, façon Woo, était doux au début, mais le côté pimenté arrivait après. Visiblement du pays d’origine. Il a souri de voir nos visages rougir.
— Ne buvez rien avant de manger un peu de pain. Votre palais s’en portera mieux.
La viande, en toutes petites languettes, fondait sur le palais. C’était délicieux, mais Antoine et moi avons vite ressenti des effets bien plus bas que la bouche.
— Je sais ce que vous ressentez, car vous n’êtes pas habitués. Je vais apporter des serviettes parfumées au jasmin, vous pourrez prendre le dessert avec les doigts.
Cette fois encore, ce fut excellent.
— Toi, tu vas sentir les effets secondaires très vite.
Un petit sourire, et il a dit :
— J’espère bien, et je n’attends que ça. Vous m’avez dépucelé, et je suis maintenant affamé de vos sexes européens.
Il disait ça en servant une liqueur que je ne connaissais pas, mais qui finissait de la meilleure des façons ce repas.
— Ta récompense est prête. Viens la chercher.
Je bandais comme un fou, et il a plongé les doigts sur la bosse et malaxé, tout en léchant. De l’autre main, il a cherché le paquet d’Antoine. Je ne portais qu’un slip moulant, et il allait éclater quand il a dégagé ma queue. Et l’a léchée.
— Viens dans la chambre, le lit est large.
Je me suis allongé et lui ai dit de s’asseoir sur moi en me tournant le dos. Son anus était plus accueillant qu’au début, et je me suis enfilé bien à fond.
— À toi, Antoine.
Il lui a soulevé les mollets qu’il a collés aux cuisses.
— Tu sais que, dans cette pose, tu es superbe, Woo. Respire bien.
J’ai tenu les mollets un moment. Antoine a barbouillé les bords de son anus et a posé sa queue contre la mienne.
— Vous n’allez pas vous enfoncer tous les deux ?
— Mais si, Woo, tu peux y arriver, détends-toi simplement.
Antoine poussait, et je sentais bien son sexe collé au mien progresser. Woo a couiné très fort au moment où son anus a cédé, puis ce ne furent que des gémissements quand on a frotté alternativement nos queues dans ses fesses. J’ai joui le premier, tout en gardant ma queue en lui. Antoine glissait dans ses fesses et s’est penché, cherchant ses lèvres. Il bavait, mais s’est collé aux lèvres, dans un geste de soumission totale. J’ai relâché un mollet et ai branlé sa tige ramollie, qui a bandé quand même avec la double enculade, et, bavant beaucoup, il a joui sur son ventre. Antoine s’est retiré, puis moi.
Ce sont les yeux baissés qu’il s’est retourné pour m’embrasser.
— C’est dur, mais vous savoir en moi ensemble, c’est fou à dire, mais j’ai aimé.
Il a passé la main sur son trou qui dégoulinait de nos jus et, me regardant, a léché ses doigts.
— Cette fois, je suis vraiment à vous !
(Petit Woo apprenait durement, mais avec ardeur, l’amour, le vrai, celui qui peut faire mal).
On le retrouvera plus tard. J’espère que vous avez aimé ce premier épisode.
























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