Je suis allé dans ma salle de travail où ronflaient en continu deux unités centrales et quatre écrans, surveiller les cours, j’avais gardé quelques parts américaines et me centrait sur la Chine tout en gardant du français. Attentif à mes écrans je n’ai pas entendu arriver Éric, nu qui a maté par-dessus mon épaule.
— A quoi tu joues avec tous ces chiffres ?
Tu ne connais pas la bourse. Moi les tiennes ne me permettent pas de gagner ma vie mais ces chiffres si. Tu as vidé ta piaule et indiqué l’escalier à Antoine ?
— Oui, c’est fait. Il est homo non ?
Pourquoi tu poses la question ?
— Il m’a regardé d’un air intéressé.
Tu l’as reçu dans quelle tenue ?
— Comme vous avez dit, jean tee-shirt.
Et toi bien sur tu as bandé !
— Logique il est beau, un peu bizarre mais beau.
Je pense que lui aimeras te raser devant moi. Te laissant juste tes cheveux. Tu as fait des courses pour ce soir ?
— Ben je l’aurais fait mais je n’ai pas de fric.
Voilà 500€ Habille toi et achète pour trois. Je vais monter causer à Antoine.
J’ai éteint l’ordi et suis descendu à la loge pendant qu’Éric s’habillait. J’ai ouvert avec le passe. Antoine sous la douche ne m’a pas entendu. J’ai tapé à la porte de verre, il a entrouvert.
— Ha c’est vous, je finis et j’arrive.
Prend ton temps si tu ouvres la porte, tu n’es pas mal du tout nu.
Il a eu un sourire et ouvert la porte.
— Vous êtes sincère ?
Je t’ai menti pour le moment ?
Non et je suis surpris, tellement de mecs mentent juste pour une bite ou un cul.
Une fois que tu auras fini ta douche je te laisserais un bipeur qui te permettras de répondre quand on t’appelle. Je m’étais assis sur le tabouret de la douche et le regardais.
— A votre regard vous aimez les jeunes vous ! Éric est qui pour vous ?
— Disons mon homme de chambre. Il est très soumis à la queue et a un fantasme que je voudrais que tu combles.
— Si je peux je le fais il est mimi.
Il voudrait faire vraiment gamin et être rasé des pieds au cou ne lui laissant que les cheveux. Tu aimerais faire ça ?
Il s’est tourné vers moi, queue bandée.
— Vrai ?
Il te le dira lui-même. Tu n’as pas l’air d’être contre.
— Il a dit quoi ensuite ?
Qu’il souhaitait pire, genre soumission totale.
— Et devant vous bien sûr ?
Evidemment. Il se branlait doucement. Calme-toi tu pourras dès cette après-midi commencer. J’ai prévu un repas en commun il fait les achats.
— Mais, et vous ?
Je suis actif et passif donc tu choisiras mais il y a longtemps que je n’ai pas été pris. Enfin tu verras toi-même. Il était sorti et mis un peignoir tendu.
— Ça vous ferait bander ? Même si moi je vous prends le cul ? Il a passé la main.
Ah oui il va gueuler et si je peux moi aussi.
Prépare-toi je remonte chez moi. La journée sera longue.
Arrivé à mon étage Éric était rentré des courses et s’activait dans la cuisine en jock-strap.
Prépare la table pour nous trois et aide-moi à la déplacer sur le côté.
— Pas sous le lampadaire ?
Non je le débranche et le décroche, tu le mettras dans un coin. Attrapes.
— C’était plus joli sous le lampadaire !
Tais-toi si je veux la table ici ce n’est pas là. Tu t’es bien lavé le cul ? Intérieur aussi ?
— Oui je suis bien propre.
Mets la table Éric va arriver. Je vais passer un jogging pour être à l’aise.
Éric est arrivé, je ne suis pas en retard ? J’ai été appelé pour une lampe qui avait des faiblesses. Je vois qu’Antoine n’a pas fait de frais de fringue. Il lui a tapoté les fesses ce qui l’a fait rougir. Tu sais que tu es bandant comme homme au service de monsieur ?
— Je vois bien que je fais bander oui ! Ton pantalon noir épouse bien la forme de ta queue.
Imagine là entre tes fesses, je suis sûr que tu apprécierais.
— Ne déconne pas Il va arriver et je mouille.
Qui parle de mouiller ? Ah oui bien sûr c’est Antoine c’est visible. Tu sais, on a parlé Éric et moi et il aimerait aussi te voir rasé. La table et grande et comme tu montres tes fesses, appuie-toi le bassin contre la table et sers-toi de tes mains pour écarter tes fesses.
— Vous allez me raser avant manger ?
— Quitte à avoir les fesses à l’air tu auras aussi le cul à l’air ! En fait tu n’as presque pas de poils comme j’ai senti hier. Vas-y Éric. Rase bien autour du trou. Après manger on fera le reste. Jette un coup d’œil Éric, ce petit con bande comme un fou et tache le sol.
— En apéritif il pourra lécher le sol à quatre pattes et montrer son petit cul sans poils. Voilà c’est fini, tu es propre sans tes poils, lèche ta bave. Et relève bien les fesses, montre bien ton trou.
Il a obéi sans rien dire et sans rougir, une partie de son fantasme se réalisait. Maintenant tu peux servir. Repas froid ?
— Il n’avait pas grand-chose au rayon et j’ai trouvé ça plus pratique. Les frites sont maison. Il faisait des allers-retours pour les différents bains avant de les amener. Il a piqué un fard. Avec les doigts c’est bien et ça graisse un peu.
Tu penses à ton trou ?
— Entre autres oui.
Avant de te servir passe ses attaches aux poignets et aux chevilles. Il bandait toujours et la bave coulait le long de sa bite raide. Il a pris un pilon entre les doigts et mordu dedans.
Profite tant que tu peux mordre. Il a bien compris et a souri. Une fois fini de manger je l’ai placé sous l’anneau du lampadaire et j’ai attaché ses poignets. Éric est allé chercher une bassine d’eau et un rasoir avec des lames de rechanges.
Tu m’as dit que tu voulais redevenir gamin sans poils et bien Éric va le faire devant moi. Je lui ai bandé les yeux et Éric a commencé à étaler de la mousse sous ses bras.
Il s’est un peu tortillé de chatouilles pendant que je fixais une barre métallique entre ses chevilles. Chaque coup de rasoir laissait la peau glabre et le haut de son corps a commencé à avoir l’aspect gamin qu’il voulait. Éric a passé le rasoir sur les quelques poils du ventre en descendant vers sa verge raide, baveuse. Je l’ai tenue le temps qu’il rase le bas, autour puis la base ou restaient quelques poils. Quand j’ai lâché elle s’est redressée.
Éric a pu raser la base de sa queue et le peu sur ses couilles descendant sur les cuisses, laissant des bandes blanches. J’ai soulevé la barre montrant son petit cul rasé et le reste des poils entre les cuisses.
Cette fois Antoine si on oublie ta queue raide tu es redevenu comme un bébé. J’ai mis devant lui une psyché ou il s’est vu, ouvrant de grands yeux.
— Merci ! J’ai toujours rêvé d’être sans poils. Il me reste a vous remercier en profitant de moi.
— Tu as une cravache m’a demandé Éric ? Ces fesses sont attirantes et méritent plus qu’une fessée.
J’ai fait coulisser un pan de mur, dévoilant toutes sortes d’objets sexuels. Les deux avaient les yeux fixés sur ce qu’ils voyaient et Éric a décroché une large tapette noire en cuir, séparée en deux épaisseurs elle faisait plus de bruit que de mal.
J’ai soulevé les couilles avant le premier coup. Il s’est crispé Avant de recommencer il a passé lentement le cuir sur les fesses et à peine détendue à reclaqué le même endroit.
Je vais me mettre à poil tu devrais faire pareil Antoine. Je suis sur que tu bandes.
— Toi je vois bien ton jogging tendu et en effet tu as une belle bite. Il a dû crier !
Je crois que cette fois il va crier et chialer !
Éric n’a pas souri mais presque.
— C’est pour ça que je voulais faire gamin.
Dans la pose ou tu es je pense qu’une bonne introduction en matière te fera du bien. J’ai pointé mon gland et poussé sur le centre sombre qui a résisté un peu mais après un petit cri s’est ouvert à ma poussée. Colle-toi à moi et laisse-toi aller en arrière il y un lit. Dans cette position je l’ai labouré, il gémissait doucement. Antoine s’est mis à cheval sur son visage.
— Lèche mon cul en bon mec docile.
Moi je labourais et le sexe d’Antoine sous les yeux je l’ai regardé, il souriait et me l’a tendu, j’ai sucé sa belle bite tout en limant Éric qui s’ouvrait bien. On n’est pas allé au bout avant que je lui cède la place. Il a fait couiner Éric plus que moi, sa bite étant aussi épaisse que le gland il y allait à fond. En gémissant-il m’a léché l’anus. Antoine a léché puis sucé le cadeau que je lui tendais.
On s’est activé un moment avant de se mettre face à face et de se faire branler par Éric qui a dirigé nos bites sr son visage, recevant notre jus sur le visage et le cou en jet épais.
Conteur 60
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