On s’est roulé une pelle, Antoine et moi, et on a ôté le masque sur les yeux d’Éric.
« Tu aimes toujours être un môme obéissant ?
— J’aime l’odeur de votre sperme et vos queues qui m’ont bien ramoné. Je peux me branler ?
— Pas encore. Tu vas attendre qu’on soit lavés tous les deux. Tu peux toucher ce qui est ton nouveau sexe, juste entre tes fesses. Tu attendais ce moment, alors touche-le, il est plus souple. »
« Reste allongé, cuisses écartées. Je vais passer un anneau autour de tes couilles. Antoine va prendre une douche le temps que je teste la taille de l’anneau. » J’ai décroché différents anneaux sous les yeux un peu effarés d’Éric.
« Ils sont minuscules !
— Allons, une fois la plus grosse des boules passée, l’autre passera. Tu as remarqué le petit anneau fixé au gros ? Regarde. Il sert à attacher ce qu’on veut et permet aussi de te faire rester tranquille quand il faut. Tu vas avoir mal, mais il faut que ce soit serré ! »
Le premier était trop lâche. J’ai donc pris deux tailles au-dessous et là, j’ai dû forcer, mais la première couille est passée. « Respire fort, je pousse la deuxième. » Il a chopé ma main, mais trop tard, c’était passé. Ses couilles pendaient déjà. Pas mal, mais comme ça, réunies, le paquet était beau.
Antoine, de la douche, m’a appelé :
« Tu veux qu’il fasse fille ?
— Au moins en silhouette, oui. Un peu androgyne. Il ne sortira pas souvent d’ici, si ce n’est pour une promenade en forêt.
— Les tétons proéminents, ça te va ? J’ai vu la pompe et les embouts. Visibles sous un tee-shirt, ok pour moi. Tu l’équipes, je prends ma douche et je reviens. »
La douche a été rapide. Une fois la raie du cul lavée et le gland idem, je me suis rincé et suis allé les rejoindre, encore un peu humide. Antoine avait mis les embouts qu’il avait fait saliver par Éric, juste posés sur les petits bouts de seins, et avait relié les tuyaux aux embouts. J’avais entendu la pompe agir juste un instant et s’arrêter.
« Je t’attendais pour continuer. On ne peut pas aller très loin de suite, mais bien plus que ça. Pour le moment, ils tiennent juste. On va y aller par à-coups. »
J’ai remis la pompe en route un moment pour qu’on voie les tétons par transparence. « Relie ses attaches de poignets dans le dos et toi, écarte les cuisses. » Dans l’armoire, j’ai pris un plug en pointe, noir, avec une tige entre la partie épaisse et la poignée en T qui permettrait de le retirer.
« Ouvre grand la bouche, et une fois dedans, tu salives un maximum. Pense qu’il va pénétrer ton cul. »
Antoine, au plus près de moi pour voir, caressait mes fesses en suivant mes gestes. Une fois le plug retiré et luisant de salive, j’ai écarté ses fesses par devant, m’accroupissant pour viser sa rondelle brune. Au début, il a gémi, puis rapidement crié quand le plug était au plus large. Je n’ai eu que la dernière poussée pour qu’il disparaisse dans son cul.
Depuis un moment, son gland avait débandé, et je n’ai pas eu de mal à fixer l’anneau au plug. Les doigts qui passaient dans ma raie m’excitaient. Une fois redressé, cuisses serrées, il a compris qu’il aurait du mal à marcher, écrasant ses couilles ou tirant sur le plug à chaque pas. Je me suis redressé. De ses doigts dans ma raie, un seul s’est enfoncé dans mon anus.
« C’est chaud, tu es bien excité ?
— Oui, et ton doigt n’y est pas pour rien. Attends un peu que j’aspire un peu encore, et on fermera l’embout. Il restera comme ça. Il faut qu’il apprenne à avoir mal pour notre plaisir. »
Embout fermé, on voyait ses tétines à travers, étirées, mais pas encore au point où je le voulais. J’ai défait les attaches aux poignets. « Branle-toi, je sais que tu en as envie, même la queue à l’équerre. » Antoine, à genoux derrière moi, écartait mes fesses.
« Ce ne sera pas la première, mais je vais te baiser devant la lopette. »
Sa langue râpait contre mon anus et bavait, devenant plus lisse.
« Laisse-toi descendre à quatre pattes, je vais te recevoir et mettre ma queue au chaud. »
J’ai senti ses doigts guider sa queue et me pénétrer. Il y avait un moment que je ne l’avais pas été, et j’en ai râlé de plaisir quand il s’est enfoncé en moi. Éric nous matait.
« Quand tu sens que tu vas jouir, tu arrêtes de te branler. »
Derrière moi, Antoine lui a foutu une baffe sur le gland, le faisant couiner. Il me baisait, mais pas à la sauvage, attentif à mes réactions. Quand lui a été près de jouir, il s’est retiré et m’a giclé sur le dos.
« Toi, la chienne, viens lécher mon jus sur son dos, remue-toi ! »
J’ai bien vu que de se pencher tirait sur ses boules, mais sa langue a bien nettoyé.
« Antoine, je bande, tu veux en profiter ?
— J’attendais que tu le demandes. » Il a roulé sur le côté et, ouvrant les cuisses, a attrapé ses pieds. « Tu vois bien la cible.
— Sans problème, elle en palpite d’attente. Tu aimes aussi faire la salope ?
— Ne me dis pas que tu n’aimes pas avoir un lope de plus à ta disposition. »
Je n’ai pas répondu, me plantant d’un coup dans ce cul.
« Ho la vache ! Tu me défonces là !
— Tu en voulais, non ?
— Oui, mais la surprise ! Waouh. L’autre maso en bande encore, il bave, mais continue, tu baises bien. »
Il n’avait pas besoin de me dire que faire. Je labourais, à la limite de sortir le gland pour lui renfoncer au fond du cul. Puis j’ai monté moi aussi dans les tours, dégageant le gland pour le renfoncer. Là, il a gémi de plaisir, bavant de sa queue demi-molle, me tendant les lèvres en creusant le ventre. Une fois les lèvres collées, j’ai joui dans ses fesses. Il l’a bien senti, car en me dégageant, il avait un grand sourire.
« Attends, reste en moi. J’aime cette sensation, et je suppose que tu vas me garder comme concierge le temps que tu voudras, en étant payé de ce plaisir. » Il parlait en serrant les pieds derrière moi. « Je serais toujours prêt à te satisfaire.
— Oui, mec, l’autre, c’est juste pour jouer, et tu vois bien qu’il adore ça. Va te vider sur le carrelage, mais en nous regardant. »
Éric n’a pas eu longtemps pour vider son jus dans un long jet, se crispant, ventre tendu. « Tu as des mouchoirs sur la table, essuie-toi, et je vais détacher tes couilles. »
Conteur 60
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