Bi - Gay - Lesbien Histoire de Sexe Histoires Taboues : Inceste et Zoophilie 2025

Histoire de sexe Mon Parking Chapitre 6

Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles  

Une fois dégagé d’Antoine, je l’ai envoyé prendre une douche et j’ai défait l’attache entre les couilles et le plug d’Éric.

« Tu as montré pour les poubelles et les heures pour les sortir ?

— Non, pas encore.

— Alors, enfile un pantalon de jogging et un tee-shirt, tu lui montreras.

— Je vais sentir le sperme.

Histoire de sexe Mon Parking Chapitre 6
Porn IA

— Et alors ? Tu es mon bâtard, pas de problème. Approche. »

J’ai palpé ses couilles à travers le jogging. Rien que ça le faisait bander.

« Tu lui as expliqué pour les locataires, leurs habitudes, leurs besoins ?

— Pas encore.

— Bon, montre-lui déjà pour les poubelles, et tu lui dresseras une liste en cuisinant pour deux. Tu dois pouvoir faire les deux. »

Antoine est redescendu, vêtu d’un pantalon noir et d’une chemisette, escarpins aux pieds.

« Le bâtard est prêt ?

— Oui, tu vois, il bande dès que je touche son jogging. Ce qui ne l’empêchera pas de sortir te montrer le local poubelle et ton job de concierge. Mignon comme tout avec son beau collier de cuir. »

Cette fois, son pantalon s’est taché juste à l’endroit du gland.

Histoire de sexe Mon Parking Chapitre 6
Nouveaux profils

« Je sors comme ça ?

— Oui, et si tu croises un locataire, profite pour présenter le nouveau concierge. Allez, sortez, j’ai du taf, moi. »

En sortant, Antoine m’a fait un baiser sur la bouche, et je l’ai poussé dehors d’une tape sur les fesses. Il a fallu qu’ils sortent pour aller juste à côté de la descente de garage et ouvrir la porte du local. Je suis retourné à mes ordis, la bourse s’affolait. Trump faisait des siennes. J’ai acheté un peu d’actions US en forte baisse.

Jetant un œil sur les cams, j’ai vu Antoine se faire sucer par Éric, qui se branlait. Puis Antoine l’a poussé dos au mur et lui a foutu des baffes un peu partout : tétons, bite et couilles. Il s’est reculé, car Éric se tendait et allait jouir. Il a serré sa queue un maximum, l’empêchant de jouir. Éric est devenu tout rouge, puis a cédé sous la pression, sa tige mollissant. Ils se sont rhabillés et, avant de sortir, Antoine a baissé un peu l’arrière du jogging d’Éric : on voyait le début de sa raie.

Je suis retourné sur les cours de la bourse. Pas le moment de vendre. Je les ai entendu entrer en haut, et Antoine est descendu. Après le bisou, il a ajouté :

« Le bâtard se fout à poil et descend. L’idiot a voulu se branler dans le local, je l’ai stoppé juste à temps. En remontant, on a croisé un couple. Il m’a présenté, ce sont les locataires en face, mais au-dessus. La nana a eu un petit sourire quand Éric s’est mis de côté. Elle a dû voir le début de ses fesses, ça l’a fait rougir et bandouiller, ce qui a augmenté le sourire de la nana.

— Le voilà dans l’escalier. Nu, il n’est pas si mal, mais pas comme toi. »

« Éric, prends une feuille et assieds-toi. Fais ce que je t’ai demandé. »

En bout de table, il levait un œil sur nous de temps en temps. Je caressais les fesses d’Antoine. Sans un mot, il a fait glisser son pantalon noir, petit string noir dessous qui moulait son sexe déjà en érection. J’étais assis, lui debout, et je n’ai eu qu’à avancer la bouche contre le tissu gonflé, humide.

« Tu la veux ? » Il se frottait contre mon visage.

« Évidemment, et je crois que tu es aussi actif que moi.

— Dépend des moments et de mes fantasmes, mais te voir me sucer pendant que l’autre mate en écrivant, c’est bandant ! »

Je n’ai que tiré sur le devant du string pour faire jaillir sa queue. Il s’était mis de travers pour qu’Éric voie bien, et j’ai commencé à titiller le bout du gland de la langue. Je voyais de côté la bite d’Éric se dresser sous la table.

« Ne te branle pas, regarde et écris ! »

Antoine a poussé ma tête par derrière, et j’ai ouvert les lèvres juste un peu pour qu’il force.

« Hé, mais tu as une bouche comme je suis sur ton petit cul ! Bon à forcer. La dernière fois, j’avais deviné que tu étais recto-verso. Pour le moment, on s’arrête là, mais après manger, tu descendras dans ma loge, on s’amusera un peu mieux. Tu n’auras qu’à coucher le bâtard attaché. Tu as fini d’écrire, Éric ?

— Je finis, et le ragoût sera prêt aussi.

— Bon, tu le laisseras sur la table de la cuisine, et tu montes finir le repas. Toi, mon “chef”, j’aimerais voir ton dressing, pas l’officiel, mais ton privé. »

La situation m’amusait, et je l’ai amené dans le dressing à côté de la salle d’eau. J’ai ouvert un placard, ça sentait le cuir. Il a fouillé en souriant.

« Tu as des trucs que j’aimerais porter, mais ce soir, tu les amèneras dans un sac à ma loge. »

Il a jeté des accessoires sur le lit, certains que j’avais fait porter, et d’autres encore emballés. Cette fois, on bandait tous les deux.

« On va manger, et tu descendras avec le sac. Et comme tu vas te laver totalement, tu mettras ce cache-sexe à bretelles qui laisse libre tes mamelons. »

Il a souri en palpant mon pantalon.

« Tu es déjà excité, c’est bien. Ne te branle pas avant d’être chez moi. Je te laisse. On va manger le ragoût d’Éric. »

Le temps où je suis resté à toucher ce qu’il avait mis sur le lit m’a rappelé un autre temps, le temps où je bossais l’informatique pour un homme vicieux, dominateur, qui m’avait laissé ce goût de soumis et de domination. Je suis allé les rejoindre à table. On était face à face, et Éric au milieu, nu, avec les seuls embouts sur les tétons. Il a proposé l’apéritif, lui n’en prenant pas, et a débouché un petit Mâcon pour le ragoût.

Antoine racontait sa vie, et sous la table, je sentais son pied remonter sur mes mollets. J’aurais pu rougir, mais j’aimais la sensation de savoir redevenir l’objet d’un mec. Le ragoût était bon, et on l’a bien arrosé et fini, à la satisfaction d’Éric. Antoine nous a laissés pour, comme il a dit, faire un tour de surveillance.

Éric avait lavé la vaisselle et, docile, est allé sur son lit, plus étroit que le mien, allongé sur le dos. Sans un poil, il faisait gamin, et je n’ai eu qu’à lui mettre les menottes aux poignets et aux chevilles avant de fixer chaque membre au lit en barreaux de laiton. J’ai ouvert l’air de ses aspire-tétons, ce qui l’a fait gémir, et lui ai souhaité bonne nuit. J’avais des trucs à faire.

Conteur 60

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Marre de la pub ?

Marre de la pub? tu as un gmail? Contacte nous

Crée tes images avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Les autres regardent

Marie Lou téléphone rose

Marie Lou téléphone rose

Tel rose de Marie Lou

tel rose de marie lou