Dans ma chambre, je me suis d’abord lavé soigneusement avec l’embout anal et bien savonné avant de me sécher et de revenir dans la chambre. Là, j’ai enfilé le cache-sexe qui ne cachait pas grand-chose, mais attirait plutôt l’attention dessus, noir sur ma peau blanche. J’ai mis le short qu’il avait préparé, des tennis sans chaussettes, et un pull en laine qui grattait sur le buste. À cette heure, il n’y avait personne, et je suis descendu à la loge par l’ascenseur. J’ai frappé, et il m’a ouvert assez vite.
« Entre, Stephen, la chienne. »
J’ai été surpris, mais il a sorti un collier d’une banquette, un collier que je croyais perdu : noir, clouté, avec des anneaux presque tout autour.
« C’est bien à toi, non ?
— Euh, oui.

— Mets-le à ton cou. »
Le salaud m’avait surpris, mais je bandais à mort, et j’ai passé le collier.
« Si je suis concierge, je suis ici chez moi dans ma loge ?
— Bien sûr. Tu es chez toi. »
Il m’a attiré à lui, frottant le pull sur mes tétons.
« Passe les liens en cuir aux chevilles et aux poignets. »
Tout ce temps, il frottait mes mamelons.
« Maintenant, ôte le pull et laisse tomber ton short. Une fois fait, tu sors la cagoule du sac et tu la passes. Tu la connais bien, il y a des traces au bord du trou de la bouche. »
Passé derrière moi, il a attaché les liens derrière mon crâne, m’aveuglant totalement.

« Écarte les cuisses. »
J’ai senti ses doigts ouvrir le cache-sexe entre mes fesses.
« Tu sais que j’ai été chienne et que j’ai gardé des connaissances. Tu ne verras pas qui va sonner, ils vont venir et repartir l’un après l’autre. »
En disant ça, il liait mes poignets et, me tenant par le cou, il m’a agenouillé. J’ai senti l’odeur de son sexe et le gland qu’il jouait à passer sur mes lèvres. Je suivais le gland sans l’attraper. D’un coup, il m’a enfoncé sa queue dans la bouche, se plaquant le ventre sous mon nez. Je ne pouvais presque plus respirer quand il a retiré sa queue. Je devais baver sans pouvoir m’essuyer. Il a fouillé dans le sac, et j’entendais un bruit de métal. Puis il a enfoncé une petite boule dans mon anus, attachée à une barre qu’il a tirée pour fixer à mon collier. La barre était courte et m’a forcé à me cambrer et tomber en avant, cul relevé comme la tête.
« Tu es superbe, une invitation à t’enculer. J’ai encore le temps de te mettre l’écarte-bouche avec les grosses lèvres de pute. Je te gâte. Et puis, si tu gardes ça dans le fond du placard, c’est fait pour servir. Ah, voilà la sonnette. »
Il a regardé l’écran donnant sur la porte en verre.
« Salut, mec, tu peux entrer, j’ouvre. Pousse la porte, et j’ai ma porte “concierge” entrouverte. Il est à toi, et surtout à ta queue. »
Des bruits de pas tout près, et une claque sur la fesse m’a surpris. J’ai crispé les fesses comme je pouvais. Un doigt a longé la raie de mes fesses, s’est enfoncé au passage, me faisant frissonner.
« Il a l’air d’aimer, et son trou t’a servi, non ?
— Oui, bien sûr, mais c’est une cochonne qui avait changé en dominateur et que je recarde en lopette de temps en temps. »
Sa voix, étouffée par la cagoule, me venait de loin. J’ai entendu, plus près, le bruit de vêtements qui tombaient et senti l’odeur de la bite sous le nez. Sans effort, il a pénétré mes grosses lèvres qui, par derrière, maintenaient mes dents ouvertes.
« Travaille le gland avec la langue, salope. Bave dessus. »
Penché en avant au-dessus de moi, il a enfoncé deux doigts le long de la tige.
« Tu es chaude. Je vais te faire du bien. »
Il a sorti son sexe de ma bouche pour faire le tour et, cette fois, s’enfoncer le long de la tige métallique. Pas trop épais, heureusement, il m’a labouré le cul sans se retenir. J’ai senti sa queue frémir, et il s’est retiré.
« Je dois lui avoir plu, il bande et bave sur le sol. Préviens quand il est disponible, je le dirai à des potes bien montés. »
Il a dû se rhabiller et partir, car Antoine (j’ai compris qu’il matait, assis sur une chaise) m’a filé une baffe sur le cul.
Conteur 60
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