On n’a pas eu à attendre longtemps avant que ça sonne et qu’Antoine ouvre à un autre mec.
Derrière moi, je ne l’ai pas vu, seulement ses Nike.
— Hé bien, celui-là est déjà bien ouvert, il va adorer le pire.
Il a posé un pot qu’il a ouvert. J’ai senti une odeur bizarre ajouté à de la menthe. Lui a ôté son jean et son caleçon. Et j’ai reconnu l’odeur du néoprène suivi de claquement.
— Je mets toujours des gants. On va le retourner et tu lui tiendras les pieds grand ouvert.
Cette fois, je l’ai vu entre mes cuisses, un asiatique assez fin qui a eu un petit sourire vicieux. Il a disposé un coussin sous mes reins pour les surélever.
— S’il y a une prochaine, le mieux sera de lui raser autour du trou, mais ses poils sont humides et je vais commencer. Toi, la lopette, ne te crispe pas, tu seras d’autant plus facile à enfiler ensuite. Tu me dis, mais je peux arrêter pour tes photos un instant.
Il a enduit son gant de gel gluant sorti du pot et a introduit deux doigts dans ma fente de mec. C’était froid et c’est passé facile.
— Le dernier qui t’a enfilé devait être bien monté.
Après quelques va-et-vient, j’ai eu une sensation de chaleur et il a pu ajouter un troisième doigt. J’ai serré les dents, mais avec le gel, ça allait. Il s’est arrêté le temps qu’Antoine prenne la photo et juste après, ce sont quatre doigts qui m’ont fait couiner.
— Ne crie pas trop fort, tu vas réveiller les locataires, m’a soufflé Antoine.
L’asiatique a mis le pouce au milieu dans la paume et a poussé, mettant la main libre sur mes lèvres pour étouffer ma plainte. D’un coup, la main entière est entrée et il a limé mon cul avec le poignet. Sans prévenir, il a retiré la main en refermant les doigts. Le poing est sorti et, sans attendre, il l’a remis dans mon anus.
Un peu dans les vapes, je l’ai entendu dire à Antoine de profiter du moment pour le sucer. Mes cuisses sont restées ouvertes pour laisser la place à ce gode vivant, énorme.
Antoine est passé entre moi et les cuisses du mec qui devait être bien excité et qui n’a pas tardé à jouir dans sa bouche. Antoine, lui, a secoué sa queue, visant mon visage, et quand je l’ai vu partir, les yeux fermés, j’ai aussi fermé les miens. Il a joui sur mon visage et a poussé son gland entre mes lèvres pour que j’avale les dernières gouttes.
Il s’est dégagé et le poing est sorti avec un bruit de succion.
— Tu as fait fort, Éric, mais je connaissais ta spécialité.
— Bah, tu sais, une lopette en demande toujours et j’aime voir un cul grand ouvert. Montre-moi les lavabos que je me lave au moins les mains.
Je reprenais mes forces, et j’ai pu serrer les fesses. Même comme ça, on devinait que je venais de me faire plus qu’enculer. Éric est sorti, pantalon relevé, et avec un sourire complice, est reparti en laissant le pot.
— Conteur 60
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