Cette histoire de sexe remonte il y a 10 ans, Muriel ma femme, 20 ans à cette époque, très jolie, brune, un caractère plein de retenue et un corps de sportive une poitrine bien marquée (90 C), qui attire souvent mes mains !
Moi, Damien son mari qui aimerait la voir se dissiper et profiter enfin de son corps avec d’autres que moi.
Elle acceptait de temps en temps de dévoiler à des copains le haut de ses cuisses ou deviner ses seins nus sous des tee-shirts fins ou transparents ou même apercevoir sous des corsages ouverts, mais rien de plus. J’en voulais davantage !
Ce dimanche-là j’avais invité pour l’apéritif un voisin Daniel que j’avais un peu « chauffé » sur ma femme (par plaisir purement vicieux, désirant la voir se dévoiler aussi à cet homme!) Il était seul ce dimanche. C’est un homme de plus de 59 ans, bedonnant, le regard particulièrement vicieux, les yeux toujours à l’affût du moindre coin de chair de femme et aussi d’un caractère gentil, serviable toujours prêt à nous rendre service.
Il nous fournissait de la viande à prix exceptionnel étant livreur dans une société de distribution alimentaire, ou se rendait utile lorsque je n’étais pas là, et que Muriel avait un problème avec un problème électrique ou autre.
J’avais convaincu Muriel de ne mettre que sa petite robe courte d’été, hyperlégère, boutonnée devant avec un grand décolleté et transparente, qu’elle mettait seulement quand nous étions avec des amis (je ne lui avais jamais dit qu’elle était beaucoup plus transparente qu’elle ne le pensait) J’avais eu du mal quand même car elle avait remarqué les nombreux coups d’œil insistants de Daniel sur son corps, cela l’avait troublée. Elle le trouvait vraiment d’un abord repoussant. Elle avait quand même accepté sur mon insistance mais à contrecœur en mettant un soutien-gorge très sage !
Je lui parlais de Daniel en plaisantant sur son « charme » (relatif!) lui vantant les services qu’il nous avait rendus très gentiment et de son empressement auprès d’elle ? Je la trouvais un peu énervée, de cette invitation peut être ? Ou de mes propos sur lui et de ce que je lui demanderais de faire pour son plaisir ?
Daniel arriva enfin. Il la prit dans ses bras et lui fit la bise et je vis qu’il l’embrassait sur les commissures des lèvres. Cela m’excita déjà un peu ! Les banalités d’usage furent échangées et tous les trois assis devant la table en verre transparente du jardin, nous discutions de choses et d’autres.
Muriel était super bandante, son corps moulé dans cette robe. Je remarquais que Daniel louchait souvent sur les cuisses nues et surtout sur sa poitrine mais il n’y avait pas grand-chose à voir, avec son soutien-gorge opaque alors que je lui avais proposé d’en mettre un transparent, ce qu’elle m’avait refusé tout net.
Elle avait remarqué son regard appuyé et semblait un peu brillante…
Avec elle nous allâmes dans la cuisine pour chercher les amuse-gueules je la trouvais légèrement fébrile (excitée). Alors j’en profitai pour lui dire :
« Dis donc tu as vu comment il louche sur toi ? Ça ne t’excite pas ? Tu pourrais… »
Elle me coupe la parole :
« Ah encore tes désirs vicieux »
Mais, me dit-elle, de toute façon il n’a pas grand-chose à voir !
Je sautais sur l’occasion, saisissant l’opportunité.
« Alors fait moi plaisir retire ton soutien-gorge, montre-lui tes seins »
Elle fit la grimace prête à refuser mais je lui dis :
« Excite-le, un peu, nous ne sommes que tous les trois, essaye ma chérie »
Alors aussi surprenant que cela, elle me dit en soupirant :
« D’accord mais juste ça ! Tu sais c’est vraiment pour toi »
Ravi de cette aubaine, en la prenant dans mes bras je lui dis :
« D’accord, tu te montres bien en te penchant vers lui hein ? Je veux que tu l’excites pour de bon »
En souriant elle est partie dans la salle de bains, je rêvais déjà à la suite de cette aventure.
Je revins sur la terrasse avec Daniel.
Un instant plus tard, Muriel nous rejoint mine de rien. Je me demandais si elle avait bien fait ce que je lui avais demandé mais à travers la robe légère on voyait déjà les petites taches plus sombres des auréoles de ses seins clairs, de plus elle avait laissé deux boutons de la robe ouverts et on voyait les bords des globes de ses seins.
Daniel la vit et fixa Muriel, il n’en croyait pas ses yeux.
Je plaisantais avec Daniel notre invité en parlant de la chaleur qu’il faisait, que l’on avait envie de ne mettre que peu de vêtements et que l’on pouvait profiter de ça pour en voir plus des corps de jolies femmes !
Muriel sourit et dit :
« Vous êtes vicelards vous les hommes »
« Et alors, dit Daniel, c’est sympa de découvrir des choses que vous cachez trop d’habitude Mesdames ».
« C’est vrai, » dis-je, « Je préfère te voir comme ça, presque nue plutôt qu’avec un col roulé ».
« Moi aussi » Dit-il en souriant d’un air gourmand et vicieux, fixant la poitrine libre sous le léger tissu.
À ce moment Muriel, gonfle ses poumons faisant pointer ses seins fièrement vers lui avec un sourire coquin, comme pour le provoquer.
Excité en voyant cela, je dis à Muriel (pour tester sa bonne volonté) :
« Tiens montre un peu tes plantations à Daniel, il te donnera sûrement des conseils ! »
« Pourquoi pas, venez voir… » lui dit-elle avec un sourire engageant.
« Bien sûr avec plaisir » dit-il.
Ils se levèrent et je constatais que Muriel se penchait outrageusement vers lui pour montrer ses fleurs et avec le grand décolleté ouvert, il devait avoir une vue dégagée sur les seins nus de ma femme. J’étais heureux de la voir enfin obéir pour mon plaisir.
Elle restait penchée face à lui en le fixant dans les yeux avec un sourire coquin.
Je me levais enfin et m’approchant d’eux je jetais un coup d’œil à ma femme, je vis ses seins ronds et fermes, les bouts tendus comme des pointes et… Surprise, je vis qu’elle avait aussi retiré sa petite culotte. La robe ample ouverte permettait de voir son abricot nu.
C’était la première fois qu’elle faisait cela de sa propre initiative. Elle était prête. Elle allait plus loin que je ne rêvais. Je bandais de plaisir de voir ma femme exaucer mes désirs de s’exhiber à Daniel depuis si longtemps.
Daniel était écarlate, les yeux fixés sur le corps dévoilé de Muriel en vague sourire aux lèvres et le souffle court.
Cette présentation dura un petit moment, Muriel s’étant laissée admirer, presque caresser par les yeux vicieux, semblant y prendre plaisir.
Nous sommes revenus à la table pour boire nos alcools. Muriel avait aussi les joues rouges et respirait rapidement. Elle but très vite son apéritif. Je lui en resservis un autre bien tassé, sentant que le moment était propice pour qu’elle réalise mon fantasme.
Elle avait laissé sa robe remonter en s’asseyant et nous voyions largement ses cuisses bronzées sous la table.
Daniel nous racontait des blagues salaces et elle rigolait plus fort que d’habitude.
J’en voulais encore plus et d’un regard appuyé vers elle, que Daniel remarqua, je l’encourageais ; me comprenant, elle croisa les jambes en écartant les cuisses, faisant volontairement remonter sa robe, laissant apercevoir sa chatte nue qu’elle avait épilée la veille, à Daniel.
D’ailleurs il était en nage !
J’étais aux anges.
Il était vraiment troublé par ce spectacle offert.
Enfin elle se leva pour chercher quelque chose dans la maison.
J’en profitais pour dire à notre invité :
«? Vous avez de la chance de voir autant de choses. Peut être un peu plus vous intéresserait ? »
« Oh oui, mais ça ne vous dérange pas ? »
« Non au contraire » lui dis-je.
J’avais tellement envie de la voir faire cela pour vous.
« Je vais voir jusqu’où elle veut bien aller. Si ça marche, je vous fais signe et essayer de la draguer, je suis OK et je vous laisse le champ libre même pour plus ! D’accord ? »
« Bien sûr » me dit-il, avec un grand sourire, « pas de problème, au contraire »
Je rejoignis Muriel dans la cuisine et la pris dans mes bras. L’embrassant sur sa bouche chaude, je glissais une main sous sa robe légère et je sentis sa chatte très humide, j’en profitais pour ôter les boutons du bas et du haut de sa robe, ce qu’elle me laissa faire sans rien dire.
« Dis donc tu as vraiment l’air d’aimer te montrer au vieux Daniel mais ce n’est pas assez, si tu lui faisais une petite gâterie ce serait génial ».
« Ça ne va pas. Oh non il est moche, c’est pour toi que je fais cela mais… »
«. Tu me dois ça »
« Bon OK, tu l’auras voulu » me dit-elle.
« N’oublie pas : jusqu’au bout et tu lui obéis, tu fais tout ce qu’il veut. Je me mets dans le grenier et je te laisse faire »
Elle ne dit rien juste un regard que je trouvais un peu bizarre. Enfin je rejoignis Daniel et lui fis part de mon accord par un signe du pouce.
Sous un prétexte quelconque je les quittais et me rendis dans le grenier. J’écoutais leur conversation.
Muriel avait dû recommencer ses exhibitions (Daniel m’a dit après qu’elle avait largement écarté les cuisses cette fois, de façon provocante lui exhibant sa chatte en souriant. Il avait compris à ce moment qu’il avait une chance inespérée).
Il lui demanda si elle était heureuse d’être dehors seule avec lui et avec si peu de vêtements.
Elle lui répondit :
« C’est lui qui le veut ! Ça vous plaît ? »
« Bien sûr ! Une si jolie femme comme vous avec un corps superbe qui donne envie d’en faire plus »…
Il se leva et vint derrière Muriel lui tournant les épaules il se pencha et l’embrassa sur la bouche.
Elle fut surprise et eut un petit mouvement de recul mais ne se déroba pas et accepta le baiser du vieil homme.
Elle m’avoua plus tard qu’elle avait pris énormément de plaisir de se montrer nue au vieux et que ce baiser l’avait délivrée de ses peurs le concernant.
Elle se leva et lui fit face un sourire coquin sur son ravissant visage.
Il lui saisit un sein à travers sa robe, qui durcit entre ses gros doigts. Elle ne bougeait pas, prenant plaisir des attouchements du vieux porc.
Elle me dit dans un souffle :
« Viens là-haut, j’ai quelque chose pour toi »
Ils montèrent dans la chambre juste à côté de moi.
J’avais laissé la porte de séparation entrouverte et je les vis face à face.
Aussitôt dans la chambre, il l’attira sur lui et reprit le baiser, la langue introduite profondément dans sa bouche.
Elle s’écarta légèrement de lui et dit :
« Je dois te sucer »
Elle se mit à genoux devant lui et ouvrit son pantalon, qui tomba à ses pieds. Le gros ventre blanc du vieux sortit, il descendit son slip et une petite bite toute molle se présenta devant le visage de ma femme.
Elle n’osait la prendre (je sus plus tard qu’elle sentait très fort l’urine).
Il saisit sa queue et la promena sur la figure de Muriel.
« Allez, prend la, ma petite nettoie là »
Elle la prit entre deux doigts, approcha sa bouche quand même et passa sa langue dessus. L’agitant un peu elle dit d’une petite voix :
« Elle est molle ! Je ne t’ai pas excité ? »
« Tu sais à mon âge, c’est plus dur pour bander longtemps il va falloir que tu suces ».
« Et d’abord lève-toi » Je constatais un changement important dans son attitude, un ton très ferme, ayant senti qu’elle se laissait dominer.
Elle obéit et se releva. Il saisit sa robe qu’il lui ôta, la mettant nue devant lui.
Le corps de ma femme apparut, ses seins blancs et la toison noire de sa chatte tranchant sur la peau bronzée.
C’était réellement la première fois qu’elle était intégralement nue face à un autre homme que moi.
Je sentis Daniel excité. Il dit (la voix forte) :
« Depuis le temps que je te connais et que je voulais te voir toute nue, enfin je te tiens ».
Il lui saisit les seins et les tripota fébrilement, brutalement, les pinçant très fort lui arrachant un cri de douleur.
« Tu aimes ça, hein ? »
Il prit un sein dans sa bouche et le téta lentement je vis le visage de Muriel s’illuminer de plaisir. Elle lui pressa la tête contre sa poitrine. Il s’écarta un instant après.il palpa tout son corps, descendit une main jusqu’à sa chatte ou il introduisit violemment un gros doigt après qu’elle eut largement écarté les cuisses ce qui me surpris de la voir répondre autant aux désirs de Daniel.
« Tu mouilles bien »
« Oui, va y » dit-elle
Sentant son envie il en introduisit un deuxième sans ménagement, il les fit aller et venir violemment elle tremblait de plaisir et de souffrance. Il les enfonça avec force et elle jouit intensément en se tordant appuyant sur la main de Daniel comme pour se défoncer le ventre.
« C’est bon » Souffla-t-elle
Retirant brutalement ses doigts il reprit la bouche de ma femme, qui s’ouvrit et y plongea sa langue. Elle lui prit la tête entre ses mains et l’embrassa avec force, la bouche grande ouverte pour un baiser violent, passionné, pour le remercier du plaisir qui lui avait donné.
S’écartant en la repoussant il lui dit :
« Reste la bouche ouverte »
Ce qu’elle fit. Et alors il lui mit ses deux doigts pleins de cyprine dans sa bouche et ordonna à Muriel de les lécher. J’étais excité de voir le degré de vice de cet homme et ce qu’elle était capable d’accepter. Je bandais de plus en plus.
« Allez avale » dit-il.
Elle s’exécuta. Avec plaisir (me dit-elle plus tard) elle avala, sa propre mouille devant moi à l’autorité de son amant.
« Ma queue maintenant »
Il avait pris un peu de vigueur, alors Muriel s’agenouilla et reprenant le sexe de Daniel, le gland encore recouvert de sa peau. Elle prit en bouche le bout du gland, aspirant cette petite queue, je voyais les joues de Muriel se creuser tellement elle la suçait fort. Elle allait et venait sur ce gland, en levant des yeux pleins de désir vers la face du vieux.
Il lui dit :
« Enfonce dans ta bouche, vas-y »
Muriel n’obéit pas, alors le vieux lui prit la tête et d’un coup de reins forçat sa queue dans la bouche.
Elle laissa la queue rentrer pratiquement en entier.
«C’est bien » dit-il et il fit aller et venir sa bite comme dans un sexe.
J’admirais, voir ma femme toute nue à genoux devant un homme vieux et laid encore à moitié habillé qui s’excitait de cette situation digne d’un film porno.
Quelques secondes après il dit :
«: justify; » align= »LEFT »>Il écarta les jambes et elle introduisit son doigt dans le fondement du vieux.
« Vas-y, branle-moi le cul »
Elle s’exécuta lui rentrant profondément dans l’anus. La bouche toujours occupée par la tige du vieux.
Il l’encourageait :
« Plus vite enfonce le bien ma salope, suce le vieux connard que je suis pour toi ».
Elle redoubla d’efforts buccaux et enfin la bite atteint une taille normale. Elle allait et venait sur la tige, ses joues toujours creusées par la succion.
Sortant sa queue de sa bouche, elle la prit entre ses doigts commença à le branler. Elle l’ouvrit en grand tendant la langue pour agacer le méat ou une goutte de sperme sortit qu’elle recueillait avec plaisir.
Elle le branlait de plus en plus vite le gland à moitié dans sa bouche ouverte langue toujours tendue.
« Regarde-moi, salope »
Elle leva les yeux vers les siens, le regardant, complètement soumise au plaisir de Daniel.
« Plus vite ton doigt »
Elle enfonça son doigt profondément dans l’anus du vieux qui en sentant cela se cabra, enfonçant toute sa bite dans sa bouche de Muriel lui dit :
« Ouais, ouais… Prends tout »
Daniel déchargea en jets spasmodiques, tendant son ventre et sa bite vers elle, un large sourire de satisfaction sur son visage. Elle en avait plein la bouche.
Une fois tout déversé (il en avait une bonne dose), elle gardait toujours la bouche ouverte, le sperme visqueux de Daniel la dégouttait certainement mais elle était maintenant complètement soumise, prête à tout ce qu’il lui imposerait.
« Garde mon jus, régale-toi salope. Allez, ferme la bouche » (ce qu’elle fit) et au bout de quelques instants :
« Salope avale tout »
Et je vis aux mouvements de sa gorge qu’elle avalait le foutre de Daniel.
« Montre-moi si tu m’as bien avalé, cochonne »
Rouvrant la bouche elle lui montra qu’elle avait fait ce qu’il voulait.
Elle lui fit un sourire épanoui, heureuse.
Il récupère le sperme qui avait giclé sur le nez de Muriel avec ses doigts et les lui fis les sucer. Il en profita pour les lui enfoncer dans sa bouche, ce qu’elle laissa faire.
J’étais aux anges, elle n’avait avalé mon sperme qu’une seule fois depuis que nous étions mariés.
À ma grande surprise elle reprit la queue de Daniel, toute molle dans sa bouche et téta le morceau de chair en le branlant lentement comme si elle voulait le vider de toute sa semence.
Il lui tira la tête, la saisissant par les cheveux.
« Ça suffit, y en a plus pour aujourd’hui, tu as l’air de l’aimer ma bite. C’est bien, tu es la première qui accepte de faire ce dont j’ai envie. Tu aimes le foutre. J’espère que tu suceras d’autres bites aussi bien la prochaine fois »
Elle quitta la petite queue du vieux. Elle ramassa du sperme tombé sur son sein avec les doigts et les portant à sa bouche elle les lécha.
Il remonta slip et pantalon, ma femme toujours nue à genoux devant lui.
Je compris que ma petite femme si prude jusqu’à aujourd’hui avait glissé dans le plaisir par la soumission à Daniel (qu’elle m’avait souvent dit détester) étonné de voir jusqu’où elle pouvait s’avilir mais en même temps heureux de la voir sortir de son attitude si prude qu’elle avait habituellement à la maison.
Je jouis enfin, projetant mon sperme sur la moquette, n’ayant pu profiter moi aussi de sa bouche.
Il la fit relever en la retirant par les cheveux, il reprit ses seins à pleine main et en les triturant, les pinçant très fort pour lui faire vraiment mal, elle grimaça de douleur mais elle lui sourit aussitôt après.
Lui donnant une claque violente sur la fesse en pinçant toujours un téton il lui dit :
«: justify; » align= »LEFT »>Elle lui dit d’une petite voix :
« Il faut lui demander »
Je sortis de ma cachette faisant sursauter le vieux. Il la lâcha.
J’avais un grand sourire.
Je me tournais vers Muriel, toute nue entre nous.
« Moi je veux bien, et toi tu es prête ? »
Elle ne répondit pas, baissant la tête.
« D’accord elle fera ce que vous voulez »
« Super » dit-il. « J’ai des copains qui aimeront ta bouche. Tu avales bien. Penche-toi », lui dit-il.
Elle se pencha en avant sur le lit, lui présentant sa croupe. Il lui écarta les fesses et introduit un doigt, puis deux dans son anus et lui frotta le clitoris de l’autre main. Devant moi.
J’étais surpris de son audace et encore plus de la soumission de Muriel.
Elle poussa un gémissement et je vis son visage s’illuminer d’un grand sourire. Elle aimait ces doigts qui la fouillaient.
« Elle mouille encore. Elle aime ça dit donc. J’espère qu’elle sera comme ça avec les copains »
Bon, ce n’est pas tout, mais je dois rentrer, Christine ma femme m’attend.
Et il partit après avoir embrassé Muriel et pincé ses tétons, lui arrachant un cri de douleur vite remplacé par un sourire rayonnant de plaisir.
Je pris Muriel toujours nue, abasourdie dans mes bras pour la féliciter de son comportement. Je lui fis boire un alcool fort avant de l’embrasser.
Pour la première fois elle resta intégralement nue une grande partie de l’après-midi étendue au soleil, quitte à être vue des voisins, mais insouciante et joyeuse. Elle me confia qu’elle avait été surprise du plaisir ressenti avec la queue du vieux qui sent la pisse et boire son sperme.
Je lui confiais qu’effectivement Daniel avait apprécié qu’elle avale son sperme car sa femme ne le suçait même pas mais c’est bien plus tard qu’elle m’a livré ses sentiments à ce moment-là, et j’en appris plus après qu’il l’a livrée à des copains dès le lendemain.
À suivre !
Véronique
J’adore tes histoires chère Véronique et en particulier celle-ci. Un grand merci pour ce très bon moment de lecture
Vivement la suite avec les copains du vieux
Merci pour votre commentaire, une petite précision la rédaction du récit est faite par Julie, Je ne suis que sa conseillère et effectue les corrections.
J’ai oubliée sa signature.
Toute mes excuses.