Le restant de la journée se passa très bien. Elle est restée intégralement nue une partie de la journée, elle s’est même étendue sur une serviette de plage dans le jardin et je suis presque sûr que des voisins proches l’ont vu car j’ai vu des rideaux s’agiter à une fenêtre. Enfin elle découvrait un autre monde, celui de la liberté de son corps.
Le soir venu, Muriel me dit qu’elle avait encore l’odeur d’urine dans le nez et surtout le goût du sperme de Daniel dans la bouche, que ce n’était pas désagréable du tout, elle avait trouvé rigolo avoir dû enfoncer son doigt dans l’anus de Daniel.
Mais surtout que les doigts du vieux l’avaient drôlement fait jouir et qu’il aurait pu en mettre d’autres encore plus forts.
Je lui dis :
«: justify; » align= »LEFT »>Elle ne dit rien et me fit un pied de nez en rigolant.
Le lendemain je partis au boulot, elle ne travaillant pas.
Je croisais Daniel en partant et lui racontais tout cela, il semblait fier de lui me félicitant qu’elle avale le foutre, c’était la première fois pour lui (sa femme ne voulait même pas le sucer) et je lui dis qu’il pouvait s’occuper d’elle, lui en faire encore « connaître », en précisant de ne pas trop la choquer, pas trop d’hommes… Au début. Et qu’il pouvait aussi essayer de la soumettre.
Les téléphones portables nous étaient interdits dans l’enceinte de l’entreprise, me privant de nouvelles de Muriel toute ma journée de travail, alors que j’y pensais sans cesse.
Je revins le soir vers 18h.
Elle m’attendait allongée sur le canapé, toujours avec sa petite robe mettant en valeur ce corps splendide que je désirais voir jouir entre les mains d’autres hommes que moi. Elle était étendue devant la télé. Elle se précipita pour m’embrasser. Je la trouvais chaude avec un drôle de parfum.
Elle me dit :
« Si tu savais quelle journée j’ai vécue »
« Raconte-moi tout »
« Bah voilà »
Je terminais ma toilette dans la salle de bains vers 11 h et j’entends frapper à la porte. Je passe ma sortie-de-bain et allais ouvrir. C’était Daniel, il entra et directement il me prit le visage dans ses mains, il appliqua sa grosse bouche, qui sentait la bière, sur la mienne, surprise. Il prit ma langue entre ses dents et m’a mordu. D’un seul coup, je me souvins de la journée d’hier, le plaisir qu’il m’avait donné, les odeurs, le goût de son sperme acide et dans un tourbillon j’ai eu envie de recommencer. Je me souvenais aussi de votre marché et j’ai eu un pincement au cœur.
« Qu’allait-il me faire faire ? »
Après il m’a écarté ma sortie-de-bain il a pris mes seins et s’est mis à pincer les bouts et les tordre. Il m’a encore fait mal la vache. Je retrouvais sa brutalité avec un certain plaisir. J’avais vraiment mal.
« Viens là-haut » m’a-t-il dit.
Je ne dis rien et montais devant lui. La tête me tournait, je mouillais malgré moi.
Devant le lit il me retira ma sortie-de-bain. Je me retrouvais nue devant lui, me demandant ce qu’il voulait.
« Allonge-toi »
J’obéis
Il sortit un appareil photo d’un sac qu’il avait amené et le posa sur le lit.
«: justify; » align= »LEFT »>Je n’osais pas, alors il me saisit par les genoux et me les écarta en grand. Il prit des photos et malgré moi je ne fis rien pour me cacher. Je restais étendue nue sur le lit, les jambes écartées, déjà excitée par cette situation.
Il se mit à côté de moi et caressa ma chatte déjà mouillée d’être avec lui. Il lécha ses doigts.
« Tu es bonne dis donc »
Il prit l’appareil et me reprit en photo allongée, la chatte en gros plan.
« Qu’est-ce que tu vas en faire ? »
En prenant encore d’autres il me dit en rigolant :
« C’est pour les copains, qu’ils voient la belle nana que je me fais. Allez sourit et ouvre la bouche »
J’ouvris ma bouche et… Raclant sa gorge, il cracha plusieurs fois dedans.
« Avale » dit-il.
J’avalais avec dégoût et plaisir sa salive.
« C’est bien, ça leur plaira »
J’étais déjà soumise à ses ordres qui devenaient mes désirs.
« Tourne-toi, montre ton cul »
Je fis ce qu’il me dit, excitée comme je n’avais jamais été de m’offrir nue aux regards d’hommes que je ne connaissais pas.
Il me dit :
«: justify; » align= »LEFT »>Je dus prendre différentes poses cochonnes, allant même jusqu’à écarter mes fesses pour montrer mon trou du cul. Je ne m’étais jamais sentie aussi salope, prête à tout.
Je mouillais.
Daniel le sentit et me donnant une violente claque sur une fesse me dit :
« Allez salope sur le dos »
Je me retournais et j’écartais les cuisses, la chatte offerte. Je devais avoir l’air d’une pute.
Mais je m’en moquais. La tête me tourna et je ne pensais plus qu’au plaisir de mon corps.
Il se pencha sur moi et me lécha ma chatte. Je me tordis de plaisir de sentir sa langue et j’ai écarté les cuisses encore plus, complètement écartelée devant lui.
« Hum tu es toute propre tu sens bon, tiens je vais te faire plaisir. Il introduisit deux doigts d’un seul coup sans difficultés dans ma chatte baveuse.
Il écarta les doigts en les faisant aller et venir violemment. Je tremblais entre écœurement et envie de le sentir m’envahir ? Il en profita pour réunir tous ses doigts en faisceau et appuya fortement, je me tordis de douleur, je sentais qu’il m’écartelait.
« Non pas ça »
« Mais si, tu aimes. Allez détends, toi, laisse-moi entrer »
Il redoubla de force pour essayer d’introduire tous ses doigts ? Je sentais qu’il avançait en moi ? Je souffrais mais j’espérais qu’il n’arrête pas.
« Allez j’y arrive presque. Pousse »
Et je criais :
« Oui vas y défonce moi. Plus fort. Je suis ta chienne fais de moi ce que tu veux »
Je me tordis sur le lit. Je sentais mes seins remuer en tous sens ? Il en a pris un avec son autre main et il m’a pincé et tordu le mamelon. La douleur intense me fit hurler.
Et je jouis dans un sursaut, en me tendant sur le dos, presque à m’évanouir.
Il retira sa main, je restai pantelante sur le lit, les jambes écartées, la vulve ouverte devant lui.
Il reprit des photos de ma chatte grande ouverte.
« Tu as pris ton pied dis donc. Qu’est-ce que tu as joui ma salope »
Il me caressa tout le corps, lentement, doucement comme pour me calmer. J’étais bien, essoufflée, encore mal au sein et à ma vulve malmenée, toujours allongée les cuisses grandes ouvertes, soumise à ses désirs.
« Tu as vraiment un corps splendide dit-il en agaçant mon anus d’un doigt »
« Je ferais tout ce que tu veux »
Je lui sautais au cou pour l’embrasser, même lui lécher la figure. Sa sueur était salée.
Me repoussant il dit :
«: justify; » align= »LEFT »>J’obéis et il reprit des photos de ma chatte en gros plan, prise au jeu, j’écartais encore plus les lèvres pour qu’il puisse voir l’intérieur.
«: justify; » align= »LEFT »>Il introduit lentement son doigt dans mon anus. Je gémis un peu, n’aimant pas trop cela.
Il le retira et me dit :
« Allez remet ta petite robe et viens chez moi »
Je me levais et enfilai cette robe, sans rien dessous. Je n’en revenais pas de mon audace mais voulais lui faire plaisir, j’étais prête à tout.
À l’extérieur, je me sentis plus nue que nue. Nous croisâmes le jeune Fabien 16 ans, qui nous dit bonjour, j’ai eu l’impression qu’il me regardait bizarrement. Il a dû sentir que j’étais excitée et peut être aussi… Nue sous ma robe.
Plus loin il y avait deux ouvriers qui bossaient dans la rue et ils m’ont regardé passer d’un air insistant.
« Tu sais, on voit ton corps à travers et je suis sûr que Louis t’a vu toute nue hier dans le jardin » lui dit Daniel.
« Ah ! Je comprends, c’est pour ça. Il a dû y penser toute la journée »
Et elle sourit, pensive. Je me demandais ce que cela cachait.
« Salope »
« Enfin » dit-elle, arrivés chez lui il y avait un homme dans un fauteuil, tiens-toi bien ; l’autre abruti de Henri ; tu sais son « grand copain de beuveries » (voisin, avec qui on s’était déjà engueulé). J’ai failli repartir en courant, je savais ce que vous aviez décidé pour moi et j’ai eu peur.
Daniel me poussa dans la pièce vers lui et passant derrière moi ferma la porte à clé. J’étais prisonnière.
Il immobilisa mes bras dans mon dos et dit :
« Voilà Muriel, la femme de Damien. Vous vous connaissez, je crois. Regarde-moi ce petit lot. Je viens de la chauffer chez elle, et avec l’accord de son mari elle va nous donner du plaisir ».
Je rougis de honte, la bouche sèche de peur des suites de ma présence ici.
Il me poussa vers lui :
« Dis bonjour à mon pote »
Il est venu m’embrasser, sagement sur les joues. Je me suis dit qu’il n’aille pas plus loin, qu’il ne me touche pas avec ses sales mains, je lui permets de regarder c’est la seule chose qu’il a le droit.
Daniel s’aperçut du malaise causer par la présence de son copain, changea alors de tactique et évita sa participation aux jeux.
Il me demanda de m’asseoir sur le canapé en face de lui, ce que je fis en faisant attention à ce que ma robe ne remonte pas trop sur mes cuisses, comme je n’avais pas de culotte j’ai fait gaffe.
Il alla me servir un whisky sans me le demander et se trouvant derrière le fauteuil de Henri il me fit signe des mains, les écartant, ce que je compris tout de suite. C’est comme toi tu fais pour me dire d’écarter les cuisses devant un copain, en m’adressant à Damien qui m’écoutait avec attention et à qui j’avais ouvert sa braguette, sortie sa queue que je m’empressais de la caresser lentement.
Je continuais mon récit de la journée.
J’ai écarté un peu mes jambes, cet homme ne me plaisait pas du tout et j’espérais pouvoir trouver un moyen de me défiler mais non, Daniel insistait et l’autre avait son regard sur moi comme pour me voir nue.
Je n’ai qu’entrouvert mes cuisses pour faire plaisir à Daniel, laissant l’autre me toucher uniquement des yeux. Il était hors de question qu’il me touche autrement et Daniel l’a remarqué.
Je branlais toujours mon mari, il était tout à fait d’accord avec moi, que je refusais Henri, Damien tout comme moi nous ne savions pas que c’est un copain à Daniel.
À présent les cuisses écartées il a une vue sur ma chatte. J’étais morte de trouille.
Daniel est venu à côté de moi, m’a donné mon verre et, en discutant a posé une main sur ma cuisse en remontant vers mon ventre en repoussant lentement ma robe et me forçant à m’ouvrir encore plus. Le désir se sentir à nouveau ses doigts dans ma chatte est revenu.
Alors j’ai vidé le verre en moins de deux, j’avais la gorge qui brûlait avec l’alcool et j’ai eu un coup de chaud et tout s’embrouilla dans ma tête, je chavirai.
Quand il est arrivé en haut j’avais les jambes écartées à 90 degrés, l’autre voyait ma chatte en gros plan. J’ai senti enfin les doigts de Daniel sur mon bouton sensible alors j’ai eu comme un choc électrique, j’ai frissonné et je ne pus me retenir de me tortiller, tendant le ventre vers sa main, écartant complètement les cuisses en sentant ses doigts agacer l’entrée de mon vagin.
Daniel s’arrêta de discuter et continua la lente progression de ses doigts vers l’intérieur de mon vagin, Henri avait les yeux grands ouverts de me voir comme ça. Il a alors sorti de son slip un sexe bandé et s’est mis à le masturber,
À ce moment-là, Daniel a réussi à mettre sa main entière dans mon vagin il fit le poing et s’activait lentement. Mes yeux se fermèrent et les gémissements augmentaient d’intensités sonores.
Pendant ce temps, alors que je branlais la grosse queue de mon Damien, il me dit qu’il ne tient plus.
Sans rien dire je me penchais, tout en continuant de le branler, prenant sa queue en bouche, il lâcha son sperme au fond de ma gorge me remplissant ma bouche, j’avalais sa sauce pour la seconde fois.
Damien savait à présent que j’adorais cela et c’est grâce à Daniel.
Alors que Daniel s’affairait dans ma chatte, je hurlais de plaisir tellement c’était bon, les yeux toujours clos, j’ai senti sur ma bouche comme une queue qui cherchait à y pénétrer. Croyant d’abord que c’était celle de Daniel, j’ai pris cette queue en bouche et ma langue s’est mise à lécher le gland et titiller son frein, quand le téléphone de Daniel se mit à sonner. Rapidement il se dégagea de mon vagin et fila dans la cuisine pour répondre, alors que j’avais toujours en bouche ce que je croyais être la queue de Daniel j’ouvrais mes yeux et quelle horreur c’était la queue de Henri ce gros porc.
Pour lui faire comprendre que je ne veux avoir aucun rapport avec lui j’ai mordu dans sa queue le faisant hurler de douleur.
Daniel, furieux d’avoir été interrompus me demanda d’aller dans la salle de bains faire une toilette sommaire et de partir, car Christine, sa femme rentrait plus tôt que prévu du travail.
Avant de partir il vint dans la salle de bains me roula une pelle et me dit qu’il est désolé de l’attitude de Henri, il n’était pas informé que nous ne nous entendons pas.
Sur le pas de la porte, je lui dis que je l’appelle un de ses jours, pour une soirée chez nous afin de terminer ce que nous avons dû interrompre à cause de ta femme et surtout à cause de ton copain.
Je suis rentrée chez moi je me suis fait siffler par les deux ouvriers, qui se sont rincé l’œil en apercevant mon corps nu à travers ma robe transparente à contre-jour.
Arriver à la maison, j’ai pris une douche, je me suis masturbée en pensant à Daniel et ce que nous aurions encore pu faire.
Puis, tu es arrivé.
Damien m’a pris dans ses bras et nous sommes allés dans notre chambre nous avons fait l’amour comme jamais nous l’avons fait.
Fin.
Julie
Excellente suite, même si en réalité j’ai espéré plus, mais se sera pour une autre fois, j’espère.
Merci de ce bon moment et merci a toute l’équipe de nous faire lire et voir tous ce que vous publier.
Bisous a toutes et tous
Nous te remercions Bernard, rassure toi l’aventure n’est pas fini. Nous avons publier beaucoup d’histoires et nous en avons encore en projet.
Bisous à toi