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Histoire de sexe Soumise-à-lui Chapitre 1

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COMMENT TOUT A COMMENCE

« Mais comment en suis-je arrivé là ? »

C’est la question que se posait la soumise, que faisait-elle ici, dans ce club libertin un loup en forme de chouette sur les yeux, comme dans Histoire d’O.

Livre qu’elle avait lu adolescente et jeune adulte, avec lequel en se caressant elle avait pu jouir. Cela aurait dû lui mettre la puce à l’oreille, à la façon qu’elle avait de s’identifier à O, se retrouver dans cette posture était une suite logique.

Tout avait commencé sur un site de rencontre banal, c’est là que celui que l’on appellera le maître l’avait contacté. Les premiers messages furent courtois et sympathiques, ce qui amena la soumise à regarder un peu plus attentivement la fiche du maître. Très rapidement le maître fut l’animateur des échanges, ce qui ne déplut pas à la soumise (dans un premier temps par SMS puis très rapidement en t’chat direct sur le net). Les propos anodins du début devinrent de plus en plus précis et accès sur la sexualité. La soumise se surpris à répondre sans difficulté, elle si réservée. Les propos devinrent de plus en plus précis, comment aimait-elle qu’on la fasse jouir ? Était-elle vaginale ou clitoridienne ? Les réponses elle les formulait en rougissant, mouillant aussi, sa chatte se remplissait de cette cyprine qu’elle aimait sentir quand le plaisir commençait à monter.

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Les échanges devinrent plus réguliers tout au long de la journée.

Le maître devint plus insistant, plus dominant également, lui demandant ce qu’elle faisait, quand et où ? Il semblait à la soumise que le maître commençait à tout contrôler de sa vie et cela lui plaisait.

Il vint à lui demander des photos d’ordre intime, sous la douche, dans les toilettes lorsqu’elle pissait…

De son côté, la soumise commença à s’intéresser à ce qu’était la soumission, elle regarda la trilogie 9 nuances de Gray, cela lui parût bien sage. Elle y prit quelques idées aussi, demanda au maître, au cours d’une de leur discussion, qu’est-ce qu’étaient des boules de geishas ? Et à quoi elles servaient ?

Le maître lui expliqua que c’était des boules que l’on mettait dans la chatte, ce qui excitait la femme lorsqu’elle les portait et bougeait.

Le maître lui intima l’ordre d’en acheter !! La soumise s’exécuta, ce fut son premier acte de soumission.

Lors cette échange, le maître lui demanda si elle mouillait pendant les discussions, la soumise, toutes inhibitions disparues, répondit par l’affirmatif.

« Tu ne me le montrerais pas en cam ? » lui demanda le maître, surprise la soumise répondit qu’il fallait qu’elle réfléchisse, que ce n’était pas anodin, qu’elle avait peur de que les vidéos soient publiées, à 56 ans la soumise ne voulait pas que sa réputation, au travail, dans ses loisirs, soit entachée. Le maître essaya de la rassurer en lui disant que le site qu’ils fréquentaient était sûr, la soumise voulut bien le croire. Ce jour-là le cœur de la soumise battit à 100 à l’heure, la chaleur monta en elle, sa chatte fût toute mouillée et elle se surprit à avoir mouillé sa culotte et son siège. Le lendemain la première chose que lui écrit le maître après le bonjour habituel fut « ose ». Toute la journée pendant son travail, la soumise se surpris à penser à ce « ose » et d’avoir cette mouille sur sa chatte, c’était fort agréable, elle savait qu’en rentrant le soir elle accepterait de se montrer.

Pour cette première cam, donc la première fois où le maître la verrait, la soumise se demanda comment s’habiller où se mettre, le maître allait-il aimer ce qu’il allait voir ?

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Elle s’apprêta, après sa douche, d’un peignoir, il lui semblait que cela lui serait plus facile pour montrer son corps à celui qui allait bientôt devenir son maître. Une fois prête elle prévint son maître qui lui demanda de mettre sa caméra en marche sur un site dédié, il lui donna son code d’accès. Le cœur de la soumise se m’y à battre très fort, ses mains tremblaient, elle sentit de la mouille sortir de sa chatte, puis elle m’y la caméra en route, il était là de l’autre côté de l’écran. Lui était habillé, après un bref bonjour, il lui demanda d’un ton sec « ouvre se peignoir », la soumise s’exécuta,

— Mets-toi debout que je te vois !

— Tu as une culotte retire là !

— Oui voilà c’est mieux, demain je veux te voir sans poil sur la chatte, une chatte lisse c’est agréable

— Maintenant tu vas te branler devant moi, je veux savoir comment tu te fais jouir

La soumise commença à mettre sa main sur son clito, le maître l’arrêta

— Ecarte tes lèvres que je vois bien !

Elle écarta les lèvres de sa main gauche, titilla son clito, mis un doigt dans sa chatte et revint sur son clito, le plaisir commençait à monter

— Ça vient oui, c’est bien laisses-toi aller, lui dit-il

Elle continua à masser son clito d’un doigt en faisant des petits cercles, elle était de plus en plus mouillée, elle sentit sa jouissance arrivée, sa respiration était de plus en plus rapide, elle commença à gémir, puis se fût l’orgasme elle poussa un cri, son cri de jouissance. Elle descendit doucement ayant plusieurs mini orgasmes, elle avait l’habitude de ces soubresauts, surtout lorsque cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas joui qu’à ce moment-là.

— Tu es donc clitoridienne à ce que j’ai vu, tu dois être bien trempée, mets ton doigt et montre-moi.

La soumise mit son doigt dans sa chatte, lui montra

— Suce, salope maintenant

A sa grande surprise, le fait qu’il l’appela salope ne la gêna pas, et elle obéit comme hypnotiser par sa voix.

— File-moi ton adresse, ta porte doit-être entre ouverte, je te veux à poil, à genoux mains dans le dos en position d’attente.

Elle hésita, puis lui donna son adresse. Il ferma l’application, elle avait encore le temps de ne pas exécuter ses ordres, si la porte était fermée, il comprendrait qu’elle ne voulait pas et il ne reviendrait certainement pas se dit-elle.

Mais une envie irrépressible de savoir où étaient ses limites, que voulait-il faire d’elle ? Sa part de masochisme se réveillait en elle, cela commençait à lui plaire vraiment.

Doucement elle entre ouvrit sa porte, retira son peignoir le rangea sur le portemanteau dans la salle de bain, revint dans le salon au pied du canapé et se mit dans la position demandée

Il lui sembla que l’attente fût longue, ses genoux commençaient à lui faire mal, elle s’assit sur ses pieds, tête dans ses mains. C’est là qu’il rentra ! Une grande gifle la fit basculer sur le côté

— Ce n’est pas comme cela que je t’ai dit de m’attendre !! Cri a-t-il, une seconde gifle, qui sembla plus forte à la soumise, lui arriva en plein visage ce qui la fît tomber.

— Relève-toi salope, en position !!

La soumise se remit dans la position demandée, tout en baissant les yeux, n’osant regarder l’homme qui lui donnait ces ordres, elle ne savait pas encore si c’était le même homme gentil et chaleureux qu’elle avait senti lors de leur discussion sur le net, ainsi qu’en cam il y a quelques minutes.

— C’est bien tu comprends vite et obéis bien. Lève-toi maintenant que je te regarde et tiens-toi droite !

La soumise se releva, osa lever enfin les yeux, elle reconnut l’homme de la cam.

Le maître tourna autour d’elle, l’examina sur toutes les facettes de son corps, levant un sein, caressant une fesse, introduisant un doigt dans son con.

— Tu es chaude ma salope, tu mouilles !!

Il lui m’y le doigt devant la bouche, elle suça avec plaisir ce doigt qui sentait sa cyprine.

— Tu es une sacrée, chienne. Tu as un corps qui appelle le mâle, le sexe, petite pute !! Ce soir je vais t’envoyer un message, si tu y réponds c’est que tu acceptes d’être ma soumise, tu m’appelleras donc maître, si tu ne réponds pas nous en resterons là.

L’homme se leva et partit.

La soumise resta un moment sur place, hébétée, groggy.

Elle se ressaisit, alla mettre son peignoir, s’affaira chez elle, tout en regrettant que le maître ne l’ait pas prise, elle aurait aimé qu’il la baise, rien qu’en pensant à cela elle se sentait mouiller.

Toute la soirée elle pensa à ce que lui avait dit le maître, allait-elle accepter ou non cette soumission ?

Rien que de penser à ce que cela allait entrainer comme changement pour elle, sa cyprine dégoulinait de sa chatte.

Au fond d’elle, elle avait sût dès le maître parti, qu’elle allait accepter ce défi, comme quand elle était enfant au jeu du « cap, pas cap » elle était toujours cap !!

Le soir venu, elle attendit avec impatience le message du maître. A chaque sonnerie de notification de son téléphone ou de son ordinateur elle sursautait, le cœur battant la chamade ; cela lui plaisait et faisait monter le plaisir en elle, ce qui ne lui était pas arrivé depuis longtemps, en fait depuis le décès de son dernier compagnon et amant, trois ans auparavant.

Enfin le message tant attendu arriva

— Alors salope as-tu pris ta décision

— Oui maître, répondit-elle

— Tu vas donc être ma soumise, m’obéir en tout point au risque que si désobéissance de punition ?

— Oui maître

— Nous allons y aller doucement, je vais faire ton éducation, t’emmener au-delà de tes limites. Es-tu d’accorde ave cela ?

— Oui maître, je veux savoir où sont mes limites en tout point

— Nous allons déjà cibler que tu donnes à présent. Liste-moi ce que tu n’acceptes pas faire. Je veux cette liste pour demain.

Je sais également que tu as fait l’achat de boules de geisha. J’exige que demain tu les mettes pour aller au travail, tu ne les retireras que lorsque tu rentreras du travail. Tu me feras une photo dans tes toilettes pour la mise en place, et une autre dans les toilettes de ton taf, ficelle qui pend ; ce sera la preuve que tu m’as obéi. Répète-moi ce que tu dois faire demain

— Pour demain je dois lister ce que je n’accepte pas, mettre les boules de geisha pendant mon travail, faire une photo dans mes toilettes pour la mise en place, une autre au boulot et vous les expédier.

— D’autre part il t’est interdit de jouir sans mon autorisation. Tu dois me demander de te masturber, si tu ne le fais pas, tu seras puni, compris !!

— Oui maître je dois vous demander l’autorisation de me masturber donc de jouir

— Bien, tu es une bonne soumise. Bonne nuit à demain.

— Maître puis-je solliciter de vous de me masturber ce soir ? Cette après-midi a été riche en émotion et m’a fait monter l’adrénaline, le plaisir.

— Tu mouilles salope !!

— Oui maître.

— Accepté mais ce sera la dernière fois de la semaine.

— Merci maître, bonne soirée et bonne nuit à vous.

Une fois la discussion finie, la soumise éteint son PC, prépara ses affaires pour le lendemain, sans oublier les boules de geisha.

Elle alla se mettre dans son lit.

Avant toute chose, elle repensa à ce qui s’était passé dans la soirée, la cam, la conversation, donc sa position de soumise, elle se sentait bien comme il y avait bien longtemps. Au souvenir des coups sur son visage, sa cyprine commença à couler, elle mit sa main droite sur sa chatte, commença à caresser ses lèvres, mit un doigt puis deux dans son con, remonta jusqu’à son clitoris, le massa, le pris entre ses doigts, le fit rouler, tout en pensant au maître, le plaisir, la jouissance montait, elle en voulait encore plus, elle continua à prendre son clitos entre ses doigts le fit rouler en cercle, jusqu’à ce que l’orgasme arrive, et elle poussa un cri, son cri de jouissance qui remplit sa chambre.

« La deuxième jouissance en une soirée, pas mal » se dit la soumise, elle qui n’avait pas joui depuis un bon moment, cela augurait de bien bonnes choses pour la suite.

Le lendemain, à son réveil, elle pensa à sa soirée de la veille et se demanda si elle n’avait pas rêvé. Elle alluma son PC, alla sur le site des discussions, elle relut les échanges, non elle n’avait pas rêvé.

Elle exécuta donc les ordres du maître et mit les boules de geisha pour aller travailler, sans oublier de prendre une photo de la mise en place qu’elle s’empressa d’envoyer à son maître. La sensation en elle était bizarre mais agréable dans un premier temps, au fur et à mesure de la journée les boules furent de plus en plus présentes et des sensations de plaisirs commencèrent à apparaître, la soumise dût se concentrer de plus en plus sur son travail et faire attention à son attitude pour que ses collègues ne s’aperçoivent de rien. Elle se rendit plus souvent aux toilettes, pour prendre la photo, mais aussi pour souffler un peu et reprendre ses esprits. A la fin de la matinée, sa concentration pour ne pas jouir devint de plus en plus difficile, elle envoya au maître un message pour l’autoriser à retirer les boules, il donna un avis favorable à sa demande, en lui disant que lors de la pause de midi elle lui fasse parvenir un rapport détaillé de ses sensations pendant cette matinée.

Soulagée la soumise retira les boules, contrairement à ce qu’elle pensait la sensation en les retirant fût plus vive et elle dût se pincer les lèvres pour ne pas crier sous ce mini orgasme, sa chatte était plein de mouille, elle essuya tout cela pour éviter de tâcher son tanga et son pantalon.

Au moment de sa pause, elle lista ce qu’elle ne voulait pas subir par le maître, et envoya ce message au maître.

— Je n’accepte pas d’être traitée en chienne, avoir un collier et une laisse

— Je n’accepte pas les jeux uro et scato

— Je n’accepte pas d’être traitée comme une prostituée

— Je n’accepte pas d’autre relation sexuelle autre que celle avec le maître

En réponse à ce message, la soumise reçu un laconique « Bien je note », puis un second lui demandant de ne pas oublier de lui relater en détaille les sensations qu’elle avait eues avec les boules dans sa chatte.

La soumise s’exécuta ; elle raconta au maître que les boules en place lui avaient procuré une sensation de bien-être, qu’elle avait beaucoup mouillé et que cela lui avait plu. Au fur et à mesure de la journée et de ses mouvements des mini-orgasmes étaient venus perturber sa concentration, que cela s’était vu dans son travail, sa chef lui ayant fait remarquer qu’elle faisait beaucoup d’erreurs, que c’est pour cela qu’elle lui avait demandé la permission de les retirer.

La réponse du maître ne se fit pas attendre :

— Bien, tu es une bonne soumise. As-tu aimé ces sensations ?

— Oui Maître

— Tu aimes avoir de la mouille sur ta chatte salope ! Ça t’excite !

— Oui maître j’aime avoir de la mouille sur ma chatte

— Là es-tu mouillée ma salope ?

— Oui maître

— Alors en place, tu vas me faire une exhib

— Bien maître

La soumise se mit en place cette fois-ci dans sa chambre cela lui parut plus approprié pour faire une exhib en toute tranquillité. Elle alluma sa cam et appela son maître pour commencer le live.

Le visage du maître apparut, il était souriant, avenant.

— Tu n’es pas nue, retire-moi cette chemise. Bien maintenant, je veux que tu te caresses en étant sexy, sensuelle, fais-moi bander et jouir. Tu ne jouiras que si je te l’autorise.

La soumise s’exécuta, elle commença par ouvrir ses jambes, passa un doigt sur sa chatte, entre les lèvres, puis commença à faire rouler son clito sous son doigt.

— Mets ton doigt dans ta chatte, guida le maître.

La soumise se laissa guider, mit son doigt dans sa chatte, fit des va-et-vient

— Mets-le dans ta bouche sensuellement

Elle mit son doigt dans sa bouche, le lécha avec plaisir, tout en regardant son maître dans les yeux

— Bien continue à te caresser, montre-moi ta mouille !

La soumise retourna à son clito, le titilla, le roula sous son doigt, puis le mis dans sa chatte pour montrer à son maître sa mouille.

— Bien, écarte bien que je voie ton clito.

La soumise de son autre main écarta ses lèvres pour découvrir son bouton, avec son doigt elle continua à faire rouler son clito, le plaisir commença à monter, sa respiration s’accéléra, des gémissements se firent entendre.

— Interdit de jouir pour le moment, pervers il lui dit aussi, penses à moi en te caressant !

— Maître je vais jouir.

— Non interdit, sinon je te punis, dit-il dans un sourire enjôleur.

— Continue, je ne t’ai pas dit d’arrêter, fais cela bien sinon là aussi punition, et regarde-moi en te caressant.

La soumise regarda son maître, continua à rouler son clito sans trop d’entrain tout de même pour éviter l’orgasme.

— Attention, caresse-toi correctement salope !!

La soumise retourna à son clito, le fit rouler sous son doigt, elle accéléra le mouvement, ses gémissements repris, elle vit dans le regard de son maître la perversion de la savoir au bord de l’orgasme. Elle supplia son maître de la laisser jouir, ce qui lui refusa. Elle continua à faire rouler son clito sous son doigt, elle sentit la cyprine couler de plus en plus de sa chatte, n’en pouvant plus, elle poussa un cri puissant sous l’effet de l’orgasme.

— Tu as désobéi soumise, non seulement tu as joui de plus tu ne m’as pas fait jouir. Tu seras donc doublement puni !!

— Oui Maître

— Je réfléchis à ta sanction, je te l’enverrai par message. Je coupe ma salope. Garde ta messagerie ouverte, je veux pouvoir de contacter à tout moment.

— Oui Maître, au revoir Maître.

La soumise fût déçue de n’a pas avoir contenter son maître mais cela lui était encore difficile de ne se concentrer et ne pas jouir. Elle se retrouvait comme quand elle était enfant quand elle était prise en flagrant délit de bêtise, la peur au ventre de ne savoir ce qui allait lui arriver.

Le reste de la soirée se passa sous le signe de cette petite angoisse, elle sursautait dès qu’elle entendait le son d’une notification, pensant que c’était son maître. Il semblait à la soumise que son maître avec perversion la tenait en haleine de ces sanctions.

En toute fin de soirée avant de se coucher, la soumise reçut ce message de son Maître :

Pour avoir joui sans ma permission, demain dans l’après-midi tu vas boire suffisamment pour pisser devant moi en cam. Pour ne pas m’avoir fait jouir je veux une photo de la main d’un homme sur ton sexe avant demain soir, si tu échoues, tu auras une nouvelle punition qui sera plus sévère. Pour finir je veux qu’en dehors de ton travail tu sois toujours sans sous-vêtements, cul et seins à l’air, prête à être prise comme la chienne que tu es. As-tu compris ?

La soumise répondit :

Oui Maître j’ai compris demain après-midi je dois boire beaucoup pour que je puisse pisser devant toi lorsque je serai rentrée. Je dois faire une photo de la main d’un mec sur mon sexe, cela risque d’être difficile maître, écrivit la soumise ayant déjà la peur au ventre et le rouge aux joues. Je dois n’avoir aucun sous-vêtement en dehors de mon travail. La soumise rajouta également : Maître puis-je rajouter en dehors de mes loisirs également ?

Réponse du Maître :

Pour ce qui est de la photo, je me contre fout que ce soit difficile, fait le, cap ou pas cap ? Pour ta demande acceptée. A demain

Le lendemain, la soumise se rendit à son travail comme à son accoutumé. Elle n’arrêtait pas de penser à la punition/gage de son maître, comment allait-elle faire pour avoir la main d’un homme sur son sexe cela lui semblait si irréaliste et si difficile à faire. Enfin elle se souvint qu’en début d’après-midi un livreur devait passer chez elle. Elle se dit que si celui-ci n’était ni trop vieux, ni trop moche, elle prendrait son courage à deux mains, lui demanderait au livreur de lui mettre la main sur sa chatte ; l’explication serait simple : un pari entre son homme et elle, cela passerait sûrement, enfin elle le pensait. Rien qu’à réfléchir à tout cela, la soumise sentit de la mouille perler sur sa chatte, depuis que le maître l’avait prise en soumise elle n’arrêtait pas de mouiller, cela lui plaisait beaucoup en même temps qu’elle ressentait une certaine honte.

Allan Riff

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