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Histoire de sexe Soumise-à-lui Chapitre 2

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De retour chez elle, elle s’habilla, d’une jupe courte et d’un chemisier bien ouvert sur ses seins nus, de sorte à aguicher le livreur qui ne tarderait pas à arriver, un certain trac envahit la soumise, son cœur battait fort, sa respiration s’accélérait, le rouge aux joues montait, l’adrénaline montait également ce qui accentua la mouille sur sa chatte, qui était déjà bien trempée.

Le livreur arriva, lorsqu’il lui fit signer son bon de livraison la soumise, lui dit qu’elle avait fait un pari avec son homme qui consistait à prendre une photo de la main d’un homme sur son sexe, acceptait-il d’être cet homme ? Le livreur au début fut réticent, n’était-ce pas un piège ? La photo, ne serait-elle pas envoyée à son employeur ? La soumise le rassura, lui dit que non, que c’était juste entre son homme, lui et elle, il ne serait, en aucun cas, inquiété. Le livreur finit par céder, mettre sa main sur la chatte de la soumise qui prit une photo et l’envoya tout de suite au maître. Le livreur ne voulut pas en rester là, il titilla le clito de la soumise, puis la prenant par la tête le fit se pencher, elle comprit que celui-ci voulait qu’elle suce sa queue. Un peu dégoûté, mais ne pouvant y échapper, la soumise s’exécuta, au bout d’un temps qui parut une éternité à la soumise, le livreur cracha sa semence sur ses seins, le chemisier grand ouvert.

Une fois le livreur parti, la soumise regarda son portable, lut le message du maître :

— Alors cela t’a plu, il n’a rien fait d’autre ?

La soumise écrivit :

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— Si maître, j’ai dû lui faire une fellation.

— Bonne, soumise, bonne salope, raconte.

La soumise raconta dans le menu détaillé comment elle avait obtenu la photo et fait la fellation au livreur.

— Bien. As-tu aimé ?

— Pas trop maître, sa queue n’était pas propre et il y avait plein de poils.

— Pas grave, tu vas vite y prendre goût, ma salope !! Maintenant, tu vas boire un litre d’eau, ne pas pisser, tu ne le feras que lorsque je te dirai de venir en cam, compris ?

— Oui maître, je dois boire un litre d’eau et ne pisser que lorsque tu me diras de venir en cam.

— Bien à tout à l’heure ma salope

La soumise, en vacant à ses occupations, bues le litre d’eau comme le lui avait demandé son maître. Au fur et à mesure, que passait le temps, l’envie de pisser devint de plus en plus pressante, la soumise s’efforçait de ne pas y pensait, mais cela fut de plus en plus difficile. Enfin, le message libérateur arriva :

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— Prends un récipient, va dans ta douche et mets-toi en cam, vite !

La soumise trouva un verre mesureur, alluma son PC, se mit dans sa douche et appela son maître. Lorsqu’elle vit son maître, visage souriant, elle en fût heureuse et lui rendit son sourire.

— Bien, dit le maître, tu as été rapide. Maintenant, tu vas pisser dans ce verre, baisse la caméra que je puisse voir ta pisse sortir de ta chatte.

La soumise se mit en position, bien que l’envie soit présente, pisser devant son maître n’était pas évident, elle n’était pas très à l’aise. Finalement le jet de pisse sortit et elle remplit en bon tiers du verre.

— Montre-moi ce que tu as rempli, demanda le maître.

La soumise souleva le verre devant la caméra.

— Bois en maintenant.

Surprise, la soumise n’osa pas refuser, se rebeller. Elle prit le verre le porta à sa bouche, en grimaçant, et bu un peu de sa pisse. Elle fut étonnée de ne pas trouver cela désagréable.

— Alors, tu as aimé ma cochonne.

— Oui maître, ce n’est pas si désagréable que cela. C’est juste de l’eau salée.

— Tu deviens de plus en plus salope, j’adore.

— Je ne sais pas comment tu fais, mais tu arrives toujours à me faire faire des choses que je n’imaginerai pas faire. Je suis folle, j’ai honte.

— Tu n’es pas folle et tu n’as pas à avoir honte, tu t’ouvres, tu oses la sexualité que tu avais déjà en toi.

— Oui maître

— Que vas-tu faire demain après-midi ? Il me semble me souvenir que tu ne travailles pas.

— Je vais aller me balader en forêt sur l’un de mes chevaux.

— Je veux donc une photo de toi à poils à côté de ton cheval en forêt. Je veux te voir, toi, ton cheval et évidemment la forêt.

— Bien maître

— Tu as été une bonne soumise ce soir, en récompense, tu as le droit de jouir si tu le désires. Bonne soirée ma salope.

— Merci maître, bonne soirée également.

La soumise se coucha, essaya de dormir, mais les gages que lui avaient donnés le maître l’avait excité, comme le maître l’avait autorisée, elle se masturba. Elle commença par rouler son clitoris sous son doigt, mis un puis deux doigts dans sa chatte, remonta sur son clitoris roula encore son clitoris, l’excitation de l’après-midi aidant, la soumise poussa un cri de jouissance assez rapidement.

Le lendemain, ce n’est pas sans une certaine fébrilité qu’elle prépara son cheval et se mit en selle. En forêt, elle réfléchit à l’endroit le plus approprié pour faire son exhibition et se prendre en photo à côté de son cheval. Arrivée à l’endroit qu’elle avait choisi, elle descendit de cheval, se déshabilla, tout en le tenant, d’un tempérament calme son hongre ne bougea pas. Une fois dans la tenue d’Eve, elle prit son portable et fit plusieurs selfies. Elle se rhabilla rapidement, se mettre à poil en forêt ne l’avait pas rassurée, elle était sur ses gardes, la peur au ventre de se faire prendre. Une fois remise en selle, elle regarda les clichés, choisit celui qui lui paraissait être le mieux et l’envoya à son maître.

La réponse du maître se fit un peu attendre, rien d’étonnant à cela puisque lui travaillait. Un « gage validé » fini par arrivée, ce qui ravit la soumise, elle put ainsi continuer sa balade radieuse.

De retour chez elle, la soumise en manque vraiment de baise, demanda à son maître quand ils pourraient se voir.

Tu es vraiment une salope, tu veux baiser dès que tu mouilles !! Répondit-il

Oui maître, ta salope qui veut toujours baiser

Je vois mon planning et te redis cela. En attendant pour demain, je veux une photo seins nus en magasin.

Bien maître.

La soumise se demanda bien comment elle allait réaliser ce gage, la peur et la mouille, mélangées, commençaient à monter, rien qu’à penser au moment où elle ferait le gage.

Le lendemain pendant son travail, elle reçut un message de son maître, comme à chaque fois cela la fit sursauter, ne sachant jamais ce qu’il allait lui demander.

Le message disait ceci : va dans les toilettes pisses, masturbe-toi sans jouir. Tu me fais une vidéo qui dure au moins 1mn30.

La soumise finie ce qu’elle avait à faire alla aux toilettes, s’enferma avec soin, mit son téléphone portable en mode vidéo. Elle essaya de pisser mais comme à chaque fois qu’elle devait le faire devant son maître cela la bloquait un peu, elle finit par pisser puis se masturba en filmant, elle fit bien attention que le film dura au moins 1mn30. Après avoir vérifié que la vidéo était bien enregistrée la soumise l’envoya à son maître, une réponse rapide arriva :

 

Gage validé, bonne soumise. N’oublie pas la photo de tes seins nus pendant tes courses !!

La soumise ne risquait pas d’oublier cela lui faisait peur et en même temps une certaine excitation la chatouillait intérieurement, elle sentait que sa cyprine commençait à venir dès qu’elle pensait à comment faire cette fichue photo. Cela la perturbait dans son travail, elle n’était pas concentrée et sa chef commençait à s’en rendre compte. Il faudrait qu’elle fasse attention à l’avenir, ce serait dommage de perdre son travail pour une histoire de sexe.

Une fois son travail fini, la soumise se rendit dans sa voiture, regarda à droite à gauche, personne. Rapidement elle dégrafa son soutien-gorge et le retira, toujours en quêtant que personne ne puisse la voir. Puis elle se rendit dans son magasin préféré avec sa liste de courses. Elle déambula dans le magasin à la recherche de l’allée la moins fréquentée pour prendre la photo. Enfin, l’allée de la vaisselle étant déserte, elle ouvrit son corsage, se mit de façon que l’on voit sur la photo des éléments du rayon, et déclencha l’appareil photo de son téléphone portable, tout en surveillant que personne ne la voyait. La photo à peine prise elle l’envoya au maître. Elle fit ses courses comme si de rien était. Ce n’est qu’une fois chez elle qu’elle regarda son téléphone et vit la réponse à sa photo :

Bonne soumise, gage validé. Ce soir je t’envoie l’adresse et la date, où nous retrouverons pour ta première séance de soumission. Je suis fier de toi ma salope.

Merci Maître

La soumise rentra chez elle, heureuse de savoir qu’elle allait revoir son maître, cette fois-ci pour certainement être baisée par lui.

Elle ne croyait pas si bien penser, le Maître lui réservait une surprise à sa façon.

Le message tant attendu arriva enfin, le Maître lui donné rendez-vous à une adresse pas trop loin de chez elle, le week-end qui arrivait, il lui avait spécifié qu’elle devait être habillée en jupe courte, chemisier, sans aucun dessous, cul et seins offerts.

La soumise avait hâte de revoir son maître, un peu peur aussi ne sachant pas trop ce qui l’attendait vraiment. Tous les jours avant le week-end, le maître rajoutait une exigence, apportait de quoi bander ses yeux, boire beaucoup et ne pas pisser………

Enfin le jour tant espéré arriva, la soumise prit le temps de choisir sa tenue, ne voulant pas décevoir le Maître. Elle mit une jupe courte bordeaux, un chemisier blanc, qu’elle ouvrit jusqu’à la naissance de ses seins, comme il le lui avait demandé. Avant de prendre sa voiture, elle avait pris soin de bien boire, la route n’était pas longue, heureusement sinon elle ne sait pas si elle aurait tenu. Au fur et à mesure que la route se faisait, la soumise sentait l’adrénaline, la peur, l’excitation monter, la cyprine commençait à mouiller sa chatte lisse, la soumise ayant pris soin de bien la raser.

Elle arriva enfin à l’adresse indiquée, elle se redressa, remit en place sa coiffure, prit son courage à deux mains et sonna au portail. Celui-ci s’ouvrit, elle entra dans un jardin, traversa l’allée et se retrouva devant un petit pavillon de chasse.

Le maître l’attendait sur le perron, il l’embrassa langue à langue, tout en ouvrant son chemisier, et soulevant sa jupe, comme pour vérifier qu’elle avait bien suivi ses recommandations. Il la fit rentrer, lui mit un bandeau, il la dirigea vers une pièce.

Il lui retira ses vêtements, la fit s’agenouiller, « ouvre la bouche lui dit-il », un jet chaud vint lui gicler le visage et la bouche, elle reconnut le jus doré, comme elle aimait l’appeler, elle avala avec délice la pisse de son maître. Une fois soulagé, il la fit se lever, lui écarta les jambes « A toi maintenant pisse !! » La soumise essaya de pisser, cela ne venait pas, deux claques vinrent cingler ses fesses, « Allez pisse salope », surprise, la soumise bougea un peu, poussa et fini par pisser dans la bouche du maître, à la fin de son jet, elle sentit la langue de son maître récolter les dernières gouttes de son jus doré.

— Ne bouge pas ma salope

Elle sentit son maître se relever, l’entendit ouvrir un tiroir. Le maître la fit se pencher en avant, lui badigeonna l’anus d’un gel puis lui enfonça un objet dans son cul.

— Je t’ai mis un plug, pour préparer ton cul à recevoir ma queue. Tu m’as dit être pratiquement vierge de ce côté. Je veux le prendre, que tu y prennes plaisir, tu seras toujours prise dans ton cul, alors autant t’y faire.

Cette tirade, le maître l’a dite tout en lui titillant le clito.

— Interdit de jouir sans mon autorisation tu le sais, lui chuchota-t-il à l’oreille, toujours en caressant son clito et mettant deux doigts dans sa chatte.

La deuxième main du maître n’était pas inactive, elle triturait, étirait ses tétons, une douleur vive la transperça lorsque le maître lui mit une pince sur ses tétons.

— Ça aussi tu vas apprendre à l’aimer !!

Il l’a pris par le bras et la guida vers une autre pièce, le maître l’a mis à genoux, lui mit les mains dans le dos.

— C’est ta position quand je ne m’occupe pas de toi, reste bien droite.

Des flashs crépitèrent, le maître la prenait en photo sur plusieurs plans.

Il la releva et retira les pinces de ses seins, une vive douleur la traversa de part en part, elle poussa un cri.

— Je ne veux pas t’entendre sers les dents !!

Il la bascula et elle se retrouva sur ses genoux, la croupe en l’air.

— Je ne veux pas que tu bouges ni que tu cries, chaque mouvement, chaque cri, donnera lieu à deux claques supplémentaires, as-tu bien compris ?

— Oui maître, si je bouge ou je cris, tu me donnes des claques supplémentaires.

A peine avait-elle fini sa phrase, qu’une première claque tomba sur sa fesse droite, puis une seconde, les claques tombaient sans interruption, en alternance d’une fesse puis sur l’autre. La soumise, serra les dents, ne bougea pas, la douleur était vive, en même temps cela l’excitait, elle sentait sa cyprine sur sa chatte, et sur ses cuisses.

Le maître s’en aperçut également.

— Mais tu mouilles ma salope !!!

Il la releva, la mit à genoux, lui enfourna sa queue dans sa bouche.

— Suce, ma salope, fait cela bien sinon je serai obligé de te punir !!

La soumise prit la queue de son maître dans la main

— Non tu laisses tes mains dans le dos, cela serait trop facile.

La soumise remit ses mains dans le dos, prit la queue de son maître en bouche, puis fit des va-et-vient de haut en bas, faisant attention que ses dents n’entrent pas en contact avec la peau de la queue.

Le maître prit la tête de la soumise dans ses mains, c’est lui qui imprima le va-et-vient, il enfonça plus loin sa queue dans sa bouche, la soumise étouffa, cracha.

— Voilà encore une chose dont il va falloir que tu t’habitues, je ne te ferai que des gorges profondes !! Suce-moi les couilles et l’anus !!

La soumise prit les couilles une à une en bouche, puis le maître mit son cul sur la bouche de la soumise, elle commença à lui lécher l’anus

— Rentre bien ta langue dedans, essuie-moi bien le cul j’ai chié et ne me suis pas nettoyé, dit-il dans un rire sadique

La soumise s’exécuta dans un rictus, le maître commença à reprendre possession de ses seins, il caressait et tirait sur les tétons l’un après l’autre. Très sensible des seins, la soumise sentit un orgasme monter, elle demanda au maître de jouir.

— Très belle surprise pour moi que tu sois sensible de ses petits mamelons, mais non je ne veux pas que tu jouisses maintenant. Retiens-toi !!

La soumise se tortilla dans tous les sens sous l’effet des caresses sur ses seins. Le maître abandonna les seins de la soumise.

— Relève-toi, penche-toi !!

D’un coup sec il retira le plug du cul de la soumise, il passa son doigt comme pour un massage, puis y rentra son doigt, faisant des va-et-vient, tournant à l’intérieur de son anus. Une fois que le maître trouva que la dilatation était suffisante, il entraîna la soumise sur un lit, l’agenouilla, la croupe bien en l’air. Il mit du gel sur sa queue et sur l’anus de la soumise.

— Ne bouge pas je vais y aller doucement, mon but n’est pas que tu souffres, je veux que tu y prennes plaisir.

Doucement, délicatement, le maître fit entrer sa queue dans le cul de la soumise, petit à petit la queue rentra, toute la queue, une fois en place, il ne bougea pas. Le maitre caressa les seins, puis le clito de la soumise.

— Je vais bouger dans ton cul, je t’autorise à jouir, pousse ton cri de jouissance sous mes coups de butoir.

Le maître commença ses va-et-vient, doucement, puis de plus en plus fort, de plus en plus profondément. La soumise apprécia de plus en plus, elle sentait la cyprine couler de sa chatte, l’orgasme monta et elle poussa un cri déchirant sous la jouissance. Le maître sortit de son cul, la retourna et éjacula sur son visage. Il lui retira son bandeau, la soumise cligna des yeux pour retrouver son sens de la vue.

— Essuie avec tes doigts mon sperme, et lèche-les !!

Une fois cela fait, le maître entraina la soumise dans une salle de bain, et tous deux prirent une douche.

Sous la douche, le maître lava la soumise en insistant sur ses parties intimes mais sans aller jusqu’à l’orgasme, en retour la soumise en fît autant au maître.

Après la douche le maître demanda à la soumise de s’habiller, d’ouvrir au maximum son chemisier pour que toute personne proche d’elle puisse voir ses seins. Il allait l’emmener au restaurant et voulait qu’elle excite le serveur.

La soumise se contraignit à faire ce qu’exigeait son maître, ce n’était pas dans ses habitudes de montrer son anatomie comme cela, en même temps cela l’excitait de savoir qu’elle allait pouvoir allumer un homme en toute sécurité son maître étant à ses côtés.

— Ce n’est pas assez, ouvre encore un bouton !!

La soumise ouvrit encore un bouton, elle trouvait cela très ouvert, tout le monde allait pouvoir regarder ses seins sans scrupule, elle était intimidée de cela.

Le maître la fit marcher devant lui, certainement pour voir la réaction des hommes qu’ils allaient croiser. Ce ne fut pas long, plusieurs hommes se retournèrent sur son passage, il y en a même un qui fît mine de s’approcher mais renonça à la dernière minute, certainement arrêté par la présence du maître pas loin.

Tout le long du repas le maître fît tout pour que l’anatomie de la soumise soit au vu et au su de toute personne présente dans la salle du restaurant, en premier lieu le serveur. Il la fit se pencher pour ramasser une serviette volontairement tombée à terre, souleva sa jupe de sa chaussure. La soumise était aux supplices, gênée rougissante, dès que ses seins ou son sexe étaient découverts.

A la fin du repas, une fois rentrés, le maître demanda ses impressions à la soumise.

— Je ne suis pas à l’aise, je n’ai pas l’habitude de m’exhiber comme cela.

— Tu vas t’y faire, va falloir, je te veux ainsi dès que possible, je veux que chaque homme qui passe sache que tu es une salope, que tout est possible avec toi !

— Bien maître, répondit la soumise rougissante

— Tu vas rentrer chez toi et te reposer. Je suis fier de toi ma salope, dit le maître en lui caressant les cheveux. Demain tu vas t’inscrire sur un site libertin, je te paierai l’abonnement, tu rempliras ta fiche méthodiquement. Tu y inséreras les photos que j’ai prises pendant notre séance, je te dicterai ce que tu devras y écrire.

Le maître embrassa la soumise et la raccompagna à sa voiture, en bon gentleman qu’il était en dehors des séances de soumission.

La nuit de la soumise fut longue, apaisée et peuplée de rêve érotique.

Allan Riff

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