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Histoire de sexe Soumise-à-lui Chapitre 4

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Gage presque réussi. Tu as aimé ?

Oui maître

Raconte-moi comment cela s’est passé.

La soumise raconta par le menu son expérience avec l’étalon, sans omettre le fait qu’elle avait joui.

 

Histoire de sexe Soumise-à-lui Chapitre 4
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Tu es une vraie chienne, tu mouilles et jouis à tout va !!

Oui maître, ta chienne

La prochaine fois que tu vas le voir, je veux qu’il jouisse dans ta bouche ! Tu as compris ?

Oui Maître, l’étalon jouira dans ma bouche la prochaine fois.

La prochaine visite fut la bonne. La soumise caressa le ventre chaud du cheval, pendant plusieurs minutes, en allant de plus en plus vers ce sexe tendu, jusqu’à ce que le dos de sa main effleure le sexe du cheval. Doucement, sa main se tourna et caressa le pénis tendu de l’animal. Une des oreilles du cheval changea de position, montrant qu’il hésitait sur la conduite à tenir. La soumise caressa, avec beaucoup de douceur, le pénis du cheval. Ses oreilles se remirent vers l’avant, montrant qu’il était confiant.

La soumise avait maintes fois rêvé d’un moment pareil. La bite de l’animal était presque aussi longue que son bras ! L’étalon semblait aimer ça. La soumise commença à branler l’étalon, avec douceur mais fermeté. Le présperme, très liquide, commença à couler du bout du sexe du cheval, mouillant la main et l’avant-bras de la soumise. La chaleur et la moiteur de l’excitation commencèrent à mouiller de cyprine la chatte de la soumise. Elle accéléra le mouvement de ses mains, et après quelques minutes le cheval sembla s’ébrouer, ou haleter ? Et un sperme blanc, abondant, s’échappa en jets du pénis de cheval, formant une flaque laiteuse au sol.

La soumise non satisfaite, recommença à caresser l’étalon, allant de l’encolure au dos, puis de la croupe au flanc, pour finir par descendre vers le membre de l’étalon. Elle mit son téléphone en mode vidéo. Même dans ces moments d’excitation, elle n’oubliait jamais son maître.

Elle commença à prendre une couille en main, elle y tenait à peine. L’étalon eut une nouvelle érection, plus petite, moins forte que la précédente. Le bout de son pénis sortait à peine de sa cachette. Accroupie la soumise approcha la main et caressa avec beaucoup de douceur le bout du pénis du cheval. Petit à petit, au fur et à mesure des caresses de la soumise, le pénis se durcit, s’allongea, sortant de plus en plus de sa cachette, grandissant et durcissant à vue d’œil.

La soumise aimait la puissance, la bestialité que dégageait le fier animal. L’odeur forte du présperme l’enivrait. Doucement, elle approcha sa tête du pénis de l’animal. Elle était terriblement excitée. Sa chatte mouillait terriblement, et ses tétons durcissaient si fort qu’on commençait à les voir à travers son chemisier. Elle était irrémédiablement attirée par ce sexe puissant. Sa bouche s’en approcha, et sa langue commença timidement à lécher le présperme sur le bout du sexe de l’animal. Il était très liquide, et goûtait fortement le fer. Elle commença à lécher avec passion le pénis de l’étalon, léchant tout le pourtour du bout du sexe du cheval avec gourmandise. La soumise retira son tee-shirt, elle se retrouva seins nus, de peur de mouiller ses vêtements. Elle sentit la cyprine mouiller sa chatte et couler le long de sa cuisse.

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La soumise commença à lécher avec passion le pénis de l’étalon, léchant tout le pourtour du bout du sexe du cheval avec gourmandise. Les seins de la soumise commencèrent à être mouillés par le présperme du cheval, qui dégoulinait de plus en plus abondamment. Puis l’étalon s’ébroua, la soumise sentit le pénis du cheval tressauter, et un flot de sperme jaillit dans sa bouche. Il avait un goût très fort, et était tellement abondant qu’elle ne put le boire, et il dégoulina sur son menton, ses seins, son ventre. Elle était trempée de sperme blanc et laiteux.

La soumise non satisfaite de cette première expérience n’envoya pas la vidéo à son maître. Elle rendit souvent visite à l’étalon. La soumise apprit à contrôler ses fellations et put bientôt boire avec gourmandise le sperme de l’étalon, et ainsi envoyer la vidéo à son maître. Excitée par la fellation faite à l’étalon, la soumise se mit nue, prit le sexe de l’étalon, qui avait à peine débandé, et se le frotta sur sa chatte. Elle titilla son clito avec la bite de l’étalon, tout en mettant deux doigts dans son con, l’orgasme monta très vite. La soumise réprima son cri de jouissance, de peur d’affoler l’animal, et s’effondra entre les jambes de l’étalon.

La soumise avait rendez-vous avec son maître à l’hôtel, celui-ci avait exigé qu’elle soit en robe ou jupe sans culotte ni soutien-gorge, les dessous devaient être bannis dès que cela était possible. La deuxième exigence était qu’elle boive suffisamment, pour que maître et soumise puisse jouer avec leur liquide doré.

Elle redoutait de boire trop, en effet lors de la dernière rencontre avec le maître elle avait lâché son liquide doré dans la rue et n’avait pu satisfaire son maître, elle avait déçu son maître et ne voulait pas recommencer, elle but donc avec plus de modération mais assez pour satisfaire son maître.

Arrivée à l’hôtel, la soumise fut surprise d’être la première (un SMS au maître pour le numéro de la chambre), elle se prépara dans la chambre : elle se mit nue, à genoux sur le lit, yeux bandés, mains derrière le dos en position d’attente.

Elle entendit la porte s’ouvrir, une main se posa sur sa chatte et lui titilla le clitoris, dans son oreille la voix qu’elle reconnut étant celle de son maître lui demanda « tu as envie ? », elle comprit tout de suite que le maître désirait qu’elle fasse jaillir son liquide doré, elle hocha la tête d’assentiment.

Le maître la leva et l’installa dans la douche en position pour pisser, il sembla à la soumise qu’il se mit au-dessous d’elle, d’une grande claque sur le cul, il lui dit « allez pisse maintenant !! », elle redoutait toujours ce moment sachant que parfois la pisse ne venait pas aussi rapidement que voulu. Comme cela ne venait pas assez rapidement le maître lui claqua le cul à plusieurs reprises, la soumise sentit la brûlure des coups et fini par pisser, pendant que l’urine jaillissait le maître masturba la soumise mais pas au point de la faire jouir ce n’était pas le moment.

La soumise fut mise à genoux, bouche ouverte, un jet chaud d’urine atterrit dans sa bouche qu’elle avala avec délectation, puis la queue entière du maître dut être avalée, le maître lui baisa la bouche faisant des mouvements de plus en plus profonds de sa queue et maintenant la tête de la soumise par les cheveux. La soumise voulut se soustraire à cette emprise pour cracher, mais le maître la maintint la gifla à toute volée et lui cracha au visage, cette punition pour avoir osé se rebeller, il ne relâcha son emprise que lorsque la soumise se laissa faire sans rébellion aucune.

Le maître releva la soumise, lui retira le bandeau, et fit couler un jet d’eau chaude de la douche, il la lava, tout en titillant, tirant ses mamelons d’une main et titillant son clito de l’autre, la soumise poussa un grand cri de jouissance rapidement, la séance de soumission l’aillant excitée au plus haut point.

Elle se remit à genoux, pris la queue de son maître en bouche, fit monter sa bouche de haut en bas de cette queue, lécha les couilles et le trou du cul du maître qui eut pour effet de faire bander le maître, aux anges la soumise continua son jeu de langue sur la queue du maître, léchant par à-coups le gland, le trou du cul, la queue, pour finir par l’avaler entière, cette fois-ci elle prit les commandes et d’elle-même fit des va-et-vient de plus en plus profonds et de plus en plus vite, le maître lui tira les cheveux en arrière pour mieux lui jouir au visage.

Après ces « jeux d’eau » le maître réinstalla la soumise sur le lit, yeux bandés en position d’attente. Elle sentit les pinces sur ses seins, dans un premier temps la douleur, puis la cyprine mouiller sa chatte. Elle poussa un cri en sentant la brûlure de la cravache sur son cul, le maître lui intima l’ordre de se taire, elle pinça les lèvres et sursauta à chaque coup porté méticuleusement sur chaque fesse, le maître jugeant l’effet non à la douleur ressentie mais à l’aspect, la trace laissée. Une fois qu’il fût satisfait, il passa au sein, il agit de la même manière.

La soumise n’avait pas entendu la porte s’ouvrir mais il lui sembla qu’une autre personne était rentrée et avait pris le relais de son maître, les coups étaient moins francs, moins précis.

Le temps de penser et une main s’était posée sur son clitoris, le titillait, le massait et une autre tirait sur les pinces ; la soumise était tiraillée entre la douleur, et l’excitation qui la faisait mouiller. L’excitation finalement prit le dessus et elle poussa un cri de jouissance atténué dans l’oreiller, le maître ayant pris soin de lui mettre sur la bouche lorsqu’il vit la jouissance arrivée.

La soumise s’écroula, dans le lit, épuisée de douleur et de jouissance. Pas le temps de se remettre qu’elle sentit une queue franchir l’entrée de sa bouche, une main prendre ses cheveux et lui intimé l’ordre du va-et-vient, dans le même temps une langue lui lécha les lèvres de sa chatte les ouvrit pour trouver le bouton de jouissance, dans l’action et l’excitation elle ne reconnut pas où le maître se trouvait et cela la troubla. La langue et la queue continuaient leur mouvement se qui accentua l’excitation de la soumise qui senti la cyprine mouiller sa chatte et remplir la bouche qui la suçait, son cri de jouissance fût étouffé par la queue qui était dans sa bouche.

Elle fut retournée brutalement et mise en positon de missionnaire, elle sentit sèchement et brutalement une queue rentrée dans son cul, qui la défonça, elle poussa un petit cri de douleur, une grande gifle vint la rappeler à l’ordre, elle ne devait rien refuser. Dans le même temps l’autre queue la pénétra, les deux queues firent des mouvements alternatifs de va-et-vient, dans l’un et l’autre des trous. La soumise grimaça de douleurs puis se laissant aller, l’excitation prit le dessus. Le maître lui intima l’ordre de ne pas jouir au risque d’être punie, le tant redouté supplice était arrivé. Les deux queues continuaient leur mouvement et un doigt massait et titillait son clitoris, la soumise était au calvaire, suppliait de pouvoir jouir mais à chaque prière une gifle monumentale lui arrivait au visage. Enfin les deux queues sortir de leur orifice et laissèrent jaillir leur semence sur le visage de la soumise.

De l’eau qui coule dans la douche, une porte qui s’ouvre et qui se ferme, le bandeau retiré, la soumise ne saurait jamais qui était venu prêter main forte à son maître, ni qui avait réussi à la faire jouir aussi fort, elle espérait dans son for intérieur que ce fût son maître.

Au petit matin, la soumise fut réveillée par la main de son maître sur son petit bouton. Le maître satisfait de la soumise lui avait permis de passer la nuit dans son lit.

Il lui demanda de se lever et de venir avec lui dans la douche, « tu vas devenir ma souillure » lui dit-il dans un grand sourire. Elle savait que ce moment allait arriver et le craignait, elle dut s’allonger bouche ouverte, le maître au-dessus d’elle s’accroupit et poussa. Un boudin de merde arriva dans la bouche de la soumise, « avale maintenant, tout en te caressant » lui dit-il, la soumise grimaça de dégoût mais s’exécuta tout en caressant son clito. Satisfait le maître pris le relais et fit jouir la soumise. Celle-ci rinça ensuite sa bouche, prit la queue de son maître lui fît une fellation qui permit au maître de faire jaillir sa semence sur son visage.

Le maître lui demanda si elle avait aimé leur jeu, la soumise acquiesça, « Tout » dit-il dans un sourire. La soumise avoua qu’elle n’aimait pas la séance scato.

« Il y en aura d’autres, tu apprendras à aimer, car tel est mon désir » lui répondit le maître en lui caressant les seins et les cheveux.

Tout ce qui est relaté dans ce chapitre, comme dans tous les autres chapitres, m’est réellement arrivé.

A la suite de la séance de zoophilie avec l’étalon. Le maître poussa la soumise à se dévoiler encore plus dans cette voie-là. Tout d’abord en lui envoyant des vidéos zoophiles avec des chiens. Car le maître désirait ardemment voir la soumise se faire défoncer le cul et la chatte par un chien.

Au début la soumise n’y vit aucun mal et alimenta leur relation par des vidéos où l’on voyait des femmes faire des fellations à des chiens. Au fur et à mesure des visionnages de ces vidéos, la soumise sentit du plaisir monter, elle s’imagina même à la place des femmes.

Après une dizaine de vidéos échangées, le maître commença à titiller la soumise sur ce sujet.

Soumise, tu aimes voir ces vidéos

Oui maître

Tu aimerais être à la place de ces femmes ?

Oui maître, cela doit être agréable

Tu mouilles en visionnant les vidéos ?

Oui maître

Salope !!!

Salope et fier de l’être

Serais-tu capable de te faire lécher la chatte par ta chienne ?

Je vais essayer Maître

Non tu vas le faire !!!

Oui Maître

Après cet échange la soumise se demanda bien comment elle pourrait faire, pour accéder à la demande de son maître. Elle réfléchit et trouva le système de se badigeonner la chatte de confiture. Elle appela sa chienne, celle-ci lécha la confiture et par là même la chatte de la soumise. Sous la caresse de la langue de la chienne, la soumise frissonna de plaisir et commença à mouiller, pas encore suffisamment pour jouir mais ce n’était qu’un début. Elle prit tout de même une photo, qu’elle envoya immédiatement à son maître.

C’est un bon début. La prochaine fois, je veux une vidéo.

Bien Maître

Le lendemain, après son réveil, la soumise recommença à se badigeonner la chatte à la confiture, enclencha son téléphone portable sur la fonction vidéo et appela sa chienne. Le labrador comprit tout de suite ce que voulait sa maîtresse, lui lécha donc la chatte. La soumise sous l’effet de la langue sur sa chatte ne put réprimer un gémissement de plaisir. Rapidement la chienne cessa cette caresse de langue sur le minou de la soumise. Frustrée mais satisfaite, la soumise envoya la vidéo à son maître.

La réponse ne se fit pas longtemps attendre.

Tu as aimé ma salope ?

Oui maître, j’aurai voulu que cela dure plus longtemps

Tu mouilles, une vraie chienne en chaleur !!

Oui maître

La chienne, que tu es, voudrait bien se faire saillir par un chien n’est-ce pas ?

Oui maître, j’aimerais bien, je veux savoir ce que c’est

A toi de trouver le chien !!

Ne me déçois pas !!

Oui maître. Mais comment faire pour trouver le propriétaire du chien qui acceptera que son chien saillisse la chienne que je suis ?

Démerde-toi !! C’est ton problème ! Une chienne doit se faire saillir par un chien !! Et tu es ma chienne !!

Oui maître, ta chienne, ta salope, ta souillure, ta dépravée, ta pute.

Prouve-le !!

La discussion finie sur cette injonction.

La soumise était troublée, une barrière de plus à franchir et pas une des moindres !! Comment allait-elle pouvoir trouver ce chien.

Demander à un propriétaire ? Elle ne s’en sentait pas capable. Puis quel propriétaire de chien répondrait oui à « Bonjour, j’aimerais que votre chien me saillisse, vous acceptez ? » C’était complètement inconcevable.

S’inscrire sur un site Zoophile ? En existait-il vraiment un ?

Pour en avoir le cœur net, la soumise surfa sur le Net à la recherche d’un forum ou site qui pourrait répondre à son attente. Elle n’y trouva rien de satisfaisant. Elle désespérait de ne pouvoir satisfaire son maître. Elle envoyait bien des vidéos de l’étalon mais le maître ne s’en contentait plus. A chaque réception de vidéo, c’était le même leitmotiv : « A quand la saillie, avec le chien ? »

Au moment où la soumise désespérait, la solution vint du côté où elle ne l’attendait pas. En effet un jeune éphèbe du site de libertinage la contacta, il se présenta comme dominant et voulait la rencontrer. Le maître voulant prêter la soumise à qui le voulait, accéda à la requête du jeune dominant, que nous appellerons Gontran.

Gontran vint donc faire sa séance de soumission chez la soumise, sous l’œil du maître en visio, comme habituellement lors des rencontres (Je ne raconterai pas ici cette séance, elle n’y a pas vraiment sa place). A la fin de la séance, Gontran s’adressa au maître :

— Soumise est-elle zoo ?

Le maître, surpris mais ravi, répondit :

— Oui, elle aimerait bien être saillie !! N’est-ce pas Soumise.

— Oui maître, la chienne que je suis veut être saillie par un chien.

Gontran regarda amusé, le maître et sa soumise. Il leur répondit qu’il avait un chien pour la soumise.

Le maître posa alors quelques questions à Gontran.

— Ton chien, il a déjà sailli des femmes

— Oui deux

— Quelle race, ce n’est pas un gros chien. Il ne faudrait pas qu’il abîme Soumise.

— Non il est de taille moyenne, genre Bull-Terrier

— Ok. Les deux femmes saillies, tu les connaissais ?

— Non, c’étaient des femmes du site.

— Elles ont aimé ?

— En tous les cas elles ne s’en sont pas plaintes, dit Gontran en riant.

— Je veux te faire confiance, donc quand ton chien pourra saillir ma chienne ?

— Dans deux jours fins de soirée.

— C’est bon pour moi. Soumise c’est bon pour toi ?

La soumise mit du temps à répondre, ayant laissé les deux protagonistes à leur affaire. Le maître la rappela à l’ordre.

— Soumise !!

— Oui maître, répondit-elle confuse.

— Es-tu libre dans deux jours, en fin de soirée pour te faire saillir ?

— Oui maître.

— Bien rendez-vous donc pris. Gontran tu as été parfait dans ton rôle de dominant. Soumise comme à ton habitude parfaite, continue de me satisfaire. Ne me déçois pas dans deux jours !!

— Non, maître hors de question de ne pas te satisfaire.

Le jour de la saillie arriva rapidement. La soumise mouillait de plus en plus, l’heure de la « saillie » s’approchant. 10 minutes avant l’arrivée de Gontran et du chien, elle se mit en cam direct avec son maître.

— Bonjour Maître

— Bonjour Soumise, comment te sens-tu ? Dit-il avec cet air avenant que la soumise appréciait.

— J’ai le trac maître ?

— Tu as peur ?

— Oui, un peu c’est une première pour moi.

— Encore une, dit-il en souriant, il y en a déjà eu d’autres, que tu as franchies allègrement. Celle-ci aussi tu vas la franchir, je serai satisfait et tu le seras également. Comme à chaque fois.

— Oui Maître

— Tu mouilles ?

La soumise mit son doigt dans sa chatte et répondit par l’affirmatif.

— Montre-moi ton doigt !!

La soumise mit son doigt devant la caméra.

— Humm tu mouilles chienne, chienne en chaleur !!

— Oui maître

Enfin Gontran arriva avec le chien. Avant toutes choses, le maître réaffirma ses exigences : la soumise devait sucer la queue du chien, celui-ci devait la saillir par-devant et par-derrière.

Allan Riff

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