Histoire de sexe Soumise-à-lui Chapitre 5

Gontran fit mettre la soumise à quatre pattes sur le lit. Il lui badigeonna le cul et la chatte de gel. Le chien vint lécher la chatte pleine de mouille de la soumise, celle-ci sentit sa cyprine couler de sa chatte sur ses cuisses.

L’excitation commençait à monter chez les deux partenaires, chien et soumise. Gontran voyant la queue de son chien bien en forme demanda à la soumise de le lécher. Avide de connaître le goût du sperme du chien, la soumise s’exécuta avec plaisir. Elle prit le petit vit rouge en bouche, fit des va-et-vient le long de la queue. Celle-ci lui sembla vraiment petite, elle continua tout de même la fellation. Un petit jet liquide, visqueux en sortie, la soumise l’avala. Elle trouva le goût agréable salé.

Comme le premier jet était sorti, Gontran demanda à la soumise de se remettre à quatre pattes et de laisser faire le chien.

Le chien bien excité commença par la saillir par la chatte. La soumise sentit le petit vit faire des mouvements incessants, cela lui fit monter l’orgasme plus vite que prévu. Elle lâcha un cri déchirant de jouissance. A son affaire le chien, lui resta en elle sans bouger jusqu’au jet de son sperme qui se répandit au fond de la chatte de la soumise.

— Putain, elle aime ça la chienne de salope. S’exclama Gontran

— Oui une vraie chienne. Répondit le maître. Maintenant Soumise, je veux et j’exige que tu te fasses défoncer le cul par le chien !!

Gontran asticota son chien pour l’exciter. La soumise refit une fellation à son partenaire de sexe. Elle se remit à quatre pattes. Le chien guidé par Gontran, mit sa queue dans le cul de la soumise. Comme pour la chatte, il fit des va-et-vient rapides. La soumise sentit de nouveau la cyprine couler de sa chatte, d’autant que Gontran lui titillait le clito. Les deux conjugués, le vit du chien, les doigts de Gontran firent monter d’un cran l’excitation de la soumise. De nouveau, un orgasme plus puissant transperça le corps de la soumise, qui lâcha un cri de jouissance au creux d’un oreiller. Le chien resta dans son cul, un petit moment sans bouger puis lâcha son jet de sperme.

Après le départ de Gontran et du chien. Le maître demanda ses sentiments à la soumise.

— Maître, j’ai bien aimé.

— Que tu aies aimé, je le sais, tu m’as percé les oreilles !! Dis-moi comment c’était, c’est ce que je veux savoir.

— C’est bizarre, ce n’est pas gros. Le vit du chien bouge beaucoup puis cela ne bouge plus. Les va-et-vient très rapides sont excitants d’où les orgasmes.

— Tu veux refaire ?

— Oui maître avec plaisir

— Nous ferons revenir Gontran et son chien alors. Je suis fier de toi, tu es une bonne soumise.

Le maître avait donné l’adresse d’un gîte où il désirait que la soumise et lui se rencontrent.

Elle devait faire le trajet en jupe courte, Dim up, chemisier ouvert, sans dessous évidemment, plug au cul qu’il fallait qu’elle ait mis dès son réveil.

Arrivée la première, le maître lui avait précisé qu’elle devait être nue en position d’attente.

La soumise entra dans le gîte. La pièce de vie était grande, des solives en bois ornaient le plafond ainsi que des piliers en bois à droite et à gauche. La soumise se mit à frissonner en pensant à ce que le maître pourrait faire avec ces piliers.

Elle monta deux à trois marches et se retrouva dans la chambre, là aussi des poutres en bois descendaient en arc de chaque côté de la chambre. Aucun doute possible, la soumise savait maintenant qu’elle allait morfler.

Elle se déshabilla, sortit les accessoires que lui avait demandés le maître. Elle se mit à genoux sur le lit en position d’attente.

La soumise entendit la porte s’ouvrir, son cœur commença à battre la chamade. Le maître, entra, embrassa la soumise langue à langue, lui mit des menottes, lui passa une main sur tout le corps, il s’attarda sur ses seins qu’il commença à martyriser, il lui tira sur les tétons, il leur mit des pinces.

Le maître mit un bandeau, un bâillon à la soumise et elle sentit qu’il la tirait par les bras, il l’attacha à une poutre, la soumise sut qu’elle n’allait pas sortir de cette position, dans le même état qu’elle y avait été mise. Elle savait également que toutes les parties de mon corps qui se situaient entre le haut de ses seins et le haut de sa cuisse allaient être zébrées de coups. Ce qu’elle ne savait pas c’est par quelle partie de son corps le maître allait commencer et avec quel instrument.

Puis un coup franc sur les fesses de la soumise la renseigna que le maître commençait par la cravache, en vrai pervers, celle-ci laissant peu de marques. Il alterna les coups sur une fesse puis l’autre, la soumise serra les dents, aucun son ne sortait, juste son corps qui oscillait, la colère du maître montait, il voulait l’entendre crier, ses coups étaient de plus en plus fort les fesses de la soumise commençaient à la brûler mais elle tenait bon.

En pervers le maître laissa les fesses de la soumise, il passa une main sur sa chatte qui était mouillée, il siffla à l’oreille de la soumise :

— Je vais te faire passer l’envie de baiser !

Il tira violemment sur les pinces qui étaient sur les seins de la soumise, la douleur, lui fit crisper le visage, la soumise tenait encore…

Le maître remplaça les pinces par d’autre plus fortes et il frappa sur ses tétons méthodiquement, juste sur les tétons pour les irriter, puis sur les seins, il tape de plus en plus fort, la soumise ne peut retenir un petit son de douleur. Elle sentit l’exultation de plaisir du maître.

Celui-ci continua plus fort encore pour passer à sa chatte. Il arrêta les coups, écarta les jambes de la soumise et lui attacha ses chevilles de façon qu’elle ne puisse fermer ses jambes. Le maître passa sa main sur la chatte de la soumise qui était encore plus mouillée, il lui rentra facilement deux doigts dans son con, puis lui titilla le clito jusqu’aux prémices de la jouissance, là plus pervers que jamais, il lui dit :

— Non ce n’est pas le moment ! Soumise.

Un coup de cravache vint ponctuer ces mots, il était précis sur le clito de la soumise, encore un son de douleur, le maître continua, la soumise ne pouvait retenir des gémissements de douleur.

Le maître posa la cravache, il passa à la badine, il recommença sur les fesses, de la soumise, quelques coups suffirent pour que les gémissements reprennent et deviennent de plus en plus fort, la soumise ne savait plus où il y avait une partie du haut de son corps qui ne lui fasse pas mal. Le maître continua, ce ne n’était pas les gémissements de la soumise qui commandaient les coups mais la couleur que prenaient ses fesses, le maître finit par les abandonner, il passa aux seins, il retira violemment les pinces, la soumise sentie que le maître les prenait et passait un élastique autour. Celui-ci recommença à taper sur les tétons, qui étaient très douloureux, des larmes coulèrent sur le visage de la soumise.

— Pleure, tu pisseras moins !! Ponctua le maître

Les coups redoublèrent et étaient de plus en plus forts, ainsi que les gémissements et les pleurs de la soumise. Le maître passa à la chatte qu’une fois les seins de la soumise marqués et bleus. La douleur était très vive, dès le premier coup la soumise ne put retenir des cris de douleur, là encore seules les zébrures sur sa chatte firent que le maître continua ou non. La soumise ne put contenir un : « non !! Assez » à peine audible à travers le bâillon que le maître n’entendit pas ou fit mine de ne pas entendre, la soumise dut crier « Assez !! » pour que le maître entende enfin, mais il ne cessa pas pour autant, il affirma son autorité :

— C’est moi qui décide quand c’est assez !

Une dizaine de coups tombèrent encore, puis finalement cessèrent. Le maître retira les élastiques de ses seins, le sang refluant sur eux fit crier la soumise de douleur, le maître les massa et la douleur passa.

La chatte de la soumise était trempée, la cyprine coulait le long de ses cuisses et gouttait sur le plancher. Le maître lui détacha les chevilles puis les mains, lui retira le bâillon, fit mettre la soumise à genoux, et lui enfourna son vit dans la bouche, il la baisa comme un furieux, il passa derrière elle, lui retira le plug qui y était depuis le départ, et lui mit sa queue à la place, il lui défonça le cul, tout en titillant mon clito, n’y pouvant plus la soumise jouit, le maître retira sa queue de son cul, et gicla sa semence sur le visage de la soumise, elle s’écroula sur le sol, de douleur et de fatigue.

Nouvelle rencontre avec le maître

La soumise est attachée, à la merci du maître, les bras en croix

Il lui a bondé les seins… la badine cingle les tétons de la soumise, les seins… Elle crie comme une folle, en disant encore, encore.

La soumise ressent une vive douleur sur les seins, ça brûle, lui fait mal, en même temps qu’elle mouille de douleur et de peur car elle ne sait jamais sur quel sein cela va tomber, seul le sifflement de la badine lui indique mais trop tard, voulant jouir sous les coups elle crie.

Le maître lui donne des grandes gifles pour la surprendre, la badine ne s’arrête pas, le ventre de la soumise est visé à présent. Le maître laisse les seins, de la soumise, au repos, ils sont bleus, gorgés de sang, meurtris.

La tête de la soumise valse d’un côté à l’autre sous les coups de butoir du maître, elle est surprise du premier coup sur le ventre, elle se tortille ne sait plus si c’est ses seins ou la brûlure sur le ventre qui la font se tordre de douleur, elle mouille de plus en plus, la cyprine coule et le maître le voit, il redouble de force sous la colère.

« Je vais te faire passer l’envie de baiser et jouir » Dit-il glacialement

La soumise s’allonge sur le dos, jambes attachées, le plus écartées possible, le maître a son sexe luisant devant lui… Il hésite…

Il met un doigt dans sa chatte puis deux, lui titille le clito, comme elle aime, il lui interdit de jouir, sadique il insiste, il veut la voir jouir pour pouvoir lui asséner une plus grande punition.

Le maître retire ses doigts… Il prend la badine, et lui assène un coup de folie sur le clito… Aussitôt, une frange rouge sépare le pubis de la soumise en deux.

Le coup la surprend et la fait hurler de douleur.

— Serre les dents sinon à chaque cri cela donnera droit à 5 coups de badine supplémentaire.

Le maître assène les coups, sans ménagement, sans faire attention à la douleur de la soumise, pour le maître seul les traces laissées sur le pubis de la soumise compte.

Elle serre les dents ; les coups sur le clito sont très douloureux, cela la brûle mais n’empêche pas la cyprine de couler, ce qui fait que les coups du maître redoublent, il ne s’arrête qu’une fois le pubis bien zébré.

Le maître ne sait quand s’arrêter, les coups pleuvent, certains avec précision sur les tétons de la soumise, son clito, d’autres très puissants sur l’intérieur de ses cuisses…

La soumise ne sait plus si elle doit lui dire d’arrêter ou de continuer plus fort encore.

La soumise est en transe, ses larmes coulent, son corps n’est plus que douleurs et brûlures sous les coups, n’y pouvant plus elle le supplie d’arrêter. Dans un soupir elle lâche :

— Achève-moi, fais de moi ce dont tu as envie… chie-moi dans la gueule

La soumise se met en position, ouvre grand la bouche

— Viens

Le maître se met au-dessus de la bouche de la soumise, lui demande de le lécher, il pousse et un gros colombin lui tombe dans la bouche.

La soumise recrache sur le côté…

— Nettoie-moi le cul !! Exige le maître

La soumise nettoie méthodiquement le cul avec sa langue, ne laissant aucune trace, voulant le remercier de ne lui avoir pas dit d’avaler, elle met sa langue dans ton trou, elle sait qu’il aime et veut qu’il soit en érection. Elle rentre de plus en plus sa langue dans le fondement, la tourne à l’intérieur de l’anus.

Sous l’effet de cette intrusion le maître bande comme jamais, il rentre sa queue dans la bouche de la soumise, et lui baise littéralement sa bouche de salope, il force, pousse, pour que sa queue l’étouffe.

La soumise veut que le maître soit fier d’elle, elle repousse ses limites pour ne pas ressortir sa queue et cracher, il continue à astiquer, la soumise sent sa queue sur sa glotte.

Le maître voit la chatte de la soumise devant lui, avec sa main il la gifle, main à plat sur son clito… La soumise crie, elle tente de le désarçonner… Le maître se met en colère

Il la gifle de plus belle, lui dit :

— Si tu continues, je reprends la badine.

La soumise blêmie et reste tranquille, le maître continue ses va-et-vient dans sa bouche tout en giflant son clito.

Le maître voyant les fesses de la soumise toutes blanches et vierges de ses coups… Mets-la soumise à quatre pattes, jambes légèrement écartées… Il prend la cravache.

— Décompte les coups, 30…….

Sous les coups de la cravache, encore endolorie, la soumise geint dénombre les coups, 29 28 27

Chaque coup de cravache rosit ses fesses… Le maître tape sans retenue, de plus en plus fort.

26 25 24, les larmes de la soumise coulent, elle se tortille.

— Ne bouge pas !!

23 22 21 20 19. La soumise commence plus être là.

Ses fesses deviennent boursoufflées. Le maître décide donc alors de viser son entrejambe pour les cinq derniers coups.

Surprise par le coup sur mon anus, la soumise se trompe dans le décompte, le maître rajoute cinq coups. Ces dix derniers coups sont terribles pour la soumise qui ne sait plus si elle crie, pleure, mouille, elle n’est plus là………

Le maître arrête les coups. D’avoir vu le cul de la soumise l’a refait bander, il retire le plug qui était en place et il l’encule à sec, ça rentre comme dans du beurre, il lui défonce le cul, la sentant jouir il sort de son cul, lui la remet dans la bouche, gorge profonde puis il éjacule sur son visage. Il remet sa queue dans son cul et pisses dedans. Lui demande de nettoyer sa queue.

Le maître ne laisse pas en reste la soumise, pendant qu’elle lui nettoie la queue, il lui titille les seins et le clito, l’autorisant à jouir. L’orgasme monte, un cri puissant de jouissance retentit. La soumise s’écroule, elle ne sait plus si c’est de plaisir ou de douleurs.

Le gage tant redouté par la soumise arriva.

 

Je veux que tu suces un inconnu… Hors circuit habituel

Bien Maître

Avec preuve évidemment… Et récit de cette rencontre

Bien maître

La soumise chercha comment réaliser ce gage. Elle se mit en condition : enfila des dim’up, une jupe courte, un chemisier, il va sans dire sans dessous. Elle avait décidé d’aller dans un magasin, d’aguicher les mecs qui lui plairaient en se baissant et montrant son cul nu.

Malheureusement cela ne se passa pas comme elle l’avait prévu, elle essuya plusieurs refus.

Le maître impatient lui envoya un message.

Alors ?

Je me suis pris plusieurs râteaux, Maître, au moins trois.

Tu t’y prends comment ?

Pourtant je m’étais habillée en conséquence : jupe courte, Dim’up, chemisier ouvert sur décolleté plongeant, une veste et un manteau. J’ai déambulé dans le magasin en faisant mes courses. Lorsque je voyais un homme seul dans l’allée ; bien de sa personne tout de même ; je me baissais pour monter que je n’avais pas de dessous, puis j’essayais d’attraper un article en hauteur, je demandais alors de l’aide à l’homme. Pendant qu’il attrapait l’article, je lui demandais s’il voulait pas une petite gâterie. Un ne m’a pas répondu, il est parti en me regardant sévèrement, en colère. Un autre est parti en riant, le troisième m’a traitée de salope, bien haut et fort. Là comme je ne voulais pas me faire remarquer, je suis sortie du magasin.

Faut persister !! Pourquoi n’irais-tu pas en sex-shop ?

Le seul que je connais est dans la grande ville voisine, il n’y a pas foule. J’irai demain

1. Tu seras punie tout de même.

Pour ta punition demain, tu vas chier, te filmer en gros plan et te badigeonner le sexe.

Bien maître

Le lendemain dès qu’elle eut envie de chier, la soumise s’installa dans sa douche et fit la vidéo de scato demandé par son maître et le lui envoya.

— Bien tu progresses. Fut la réponse du maître par message.

Puis toute la matinée, elle vaqua à diverses occupations ménagères, répondit à des mails. Comme le Maître ne lui envoyait pas de message, elle pensait naïvement qu’il avait oublié l’histoire du sex-shop.

En fin d’après-midi elle se mit sur le site de rencontre échangisme, un message l’interpella, elle le mit en copié/collé sur la messagerie de son maître.

Celui-ci répondit, discuta un peu avec la soumise. Enfin la question tant redoutée tomba.

 

Au fait… Le sex-shop

Oups… Oublié demain j’y vais.

Tu espérais que je l’oublie… Avoue

Oui c’est vrai

Alors là… tu as dépassé les bornes

Oui maître

Tu vas être punie, au-delà de tout ce que tu penses

Bien Maître

Tu as 1mn pour trouver, ta punition.

La soumise réfléchit, que pouvait-elle subir sans que cela soit une jouissance pour elle.

 

Prendre un peu de ma merde et la mâcher ?

Non pire que cela…… Et pas scato, je veux que tu sois humiliée !!!!

Tu vas aller DÈS QUE POSSIBLE dans ce fameux sex-shop. Et tu vas te donner à tous les mecs présents !!

Bien maître, j’irai demain en début d’après-midi

Tu vas tout filmer

Bien maître

Je suis sérieux. Si tu échoues, ça craint pour toi§

Oui maître, je ne doute pas du sérieux et j’irai

Tu vas mettre sur le site de rencontre échangiste que tu as désobéi à ton maître, et que le maître cherche une punition à la hauteur… et qu’il compte sur leurs idées… Et que les punitions proposées seront toutes exécutées !

Voilà j’ai mis cela : J’ai désobéi à mon maître, celui-ci cherche une punition à la hauteur… et il compte sur vos idées… Les punitions proposées seront toutes exécutées

Bien

Pour le sex-shop je m’excuse encore, je ne voulais pas te blouser

Je n’accepte pas tes excuses.

Le reste de la soirée, la soumise pensa au sex-shop, se demandant comment faire pour satisfaire son maître. Elle échafauda une stratégie, se dit que le mieux serait qu’elle soit le plus direct possible une fois rentrer dans l’antre du sexe.

Le lendemain matin, la soumise ouvrit son ordinateur et se rendit sur le site d’échanges libertin. Il y avait déjà plusieurs réponses qu’elle soumit à son maître. Le maître sélectionna une punition d’un dominant qui était déjà venu, celui-ci se déplaçant facilement c’est lui qui réaliserait cette punition. Il fut convenu avec le dominant que la punition serait réalisée deux jours plus tard devant le maître, qui serait sur Skype en direct.

Pour l’heure, le maître rappela à la soumise qu’elle devait se rendre au sex-shop pour se faire baiser par tous les mecs présents, qu’il était hors de question qu’elle se débine. Qu’elle devait filmer tous les actes qu’elle ferait avec les hommes présents.

La soumise dit au maître qu’elle allait se préparer, lui enverrait une photo de sa tenue, pour qu’elle la valide, puis se rendrait à ce sex-shop.

La soumise se prépara minutieusement. Elle prit une douche, mit des Dim’up couleur chair, une jupe courte, un chemisier bien ouvert sur ses seins nus, une veste et un manteau. Il va sans dire qu’elle ne mit aucun dessous, sachant que le maître ne l’accepterait pas. Elle envoya deux photos une où elle montrait sa chatte nue, une seconde tel que l’on pourrait la voir. Une fois que le maître eut validé son choix de tenue, la soumise prit sa voiture et se mit en route.

Allan Riff