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Histoire de sexe Soumise-à-lui Chapitre 8 Final

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Après avoir accordé les plannings de chacun, il fût convenu que la rencontre avec Monsieur Fred devant le maître en cam, se ferait le samedi qui suivait. Monsieur Fred voulait passer beaucoup de temps, soirée voire la nuit avec Soumise. Celle-ci s’en remit à son maître, qui pour, une fois, ne transigea pas à la laisser libre ou non d’accepter que Monsieur reste la nuit.

La journée s’acheva sur ses dernières décisions.

Soumise se coucha, plein de pensées de perversions inavouables, cela ne manqua pas, le désir de plaisir monta en elle. Immanquablement, commença à se masturber, elle prit un peu de mouille sur son index, monta sur son clitoris, joua avec, le titillant, le faisant bouger en cercle, de son autre main, elle tira sur un téton comme pour l’étirer. La cyprine coulait de plus en plus, Soumise fit durer le plaisir, elle continua à faire tourner son clitoris avec son doigt, en imaginant ce qu’allait lui faire Monsieur Fred, son imagination était plutôt masochiste, elle voyait Monsieur Fred la frapper et mettre son doigt sur sa chatte et son clitoris. Ce n’était plus le doigt de Soumise qui agaçait son clitoris mais le doigt de Monsieur Fred, la cyprine coulait de plus en plus, l’orgasme montait dans le même temps, le doigt (de Monsieur Fred, le sien, elle ne savait plus) accentua la pression et les cercles sur son clitoris, l’orgasme emmena Soumise à pousser un cri, plutôt un râle sonore de plaisir. Soumise redescendit doucement de ce septième ciel, s’endormit la main sur sa chatte en rêvant de la rencontre avec Monsieur Fred.

Pendant la semaine, Monsieur Fred envoya plusieurs demandes de vidéos, soit d’auto punition, soit demande de séances scato ou uro en solo. Soumise comme à son habitude et comme l’exigeait son maître, exécuta à la lettre les demandes de Monsieur Fred. Plus les jours avançaient, plus Monsieur Fred devenait curieux des désirs, fantasmes de Soumise. Voici un petit aperçu de ces échanges :

 

Histoire de sexe Soumise-à-lui Chapitre 8 Final
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J’ai besoin d’en savoir un peu plus sur les fantasmes de la soumise, pour lui faire vivre

Mon fantasme, c’est d’être à la merci du dominant, yeux bandés, pour ne pas savoir ni d’où, ni comment viennent les coups. J’aime les coups, donc ça, vous connaissez. L’uro doit être présent je m’en délecte, le scato c’est à la demande du maître, c’est l’humiliation suprême pour moi, après j’aime tout dans le sexe proprement dit.

Oui le scato c’est suprême, il faut être en condition des deux côtés.

Enfin, le jour tant attendu arriva. Soumise prépara l’espace comme l’avait demandé Monsieur Fred, cela se passerait dans le salon, Monsieur désirant pouvoir tourner autour de Soumise. Pendant la semaine, Monsieur Fred avait demandé à la soumise de l’attendre en dessous avec de bas et des chaussures à talon et de préparer tout son matériel, il viendrait avec le sien en complément. 10 mn avant l’arrivée de Monsieur Fred, Soumise entra en communication avec son maître afin de régler la cam, pour que Monsieur Fred n’ait pas se préoccuper de cela.

Monsieur Fred arriva, d’un ordre sec, positionna soumise :

— En place jambe écartée, mains dans le dos !!

Soumise s’exécuta, un petit sourire aux lèvres, ce qui déplut à Monsieur Fred, une première grosse baffe s’abattit sur la joue droite de Soumise dont la tête vrilla. La séance commençait. Monsieur Fred coupa le soutien-gorge au niveau des tétons, ainsi que la culotte au niveau de la chatte, puis banda les seins de Soumise, lui mit des aspires tétons, un aspire minou sur la chatte avant de lui bander les yeux. A partir de ce moment, Soumise perdit la notion du temps et de l’espace. Ces sensations tactiles furent découplées, sa cyprine commença à couler, lubrifia son con et son cul jusqu’au départ de Monsieur Fred. Elle ne fût qu’un objet, une esclave sexuelle, un urinoir pour celui-ci. Tout ne fût qu’alternance de douleurs, de caresses de jouissance, entrecoupées de boisson de jus doré. Monsieur Fred lui donna des fouets, qui s’ils furent douloureux, Soumise activant le stop « s’il vous plaît Monsieur Fred » deux fois, lui donnèrent aussi du plaisir, la cyprine coulant à flot sur ses cuisses. Monsieur Fred s’en apercevant, retira les aspi tétons et chatte et les remplaça par des pinces, du moins fusse la sensation qu’en eux Soumise. Puis vint le temps de la roulette à dents que Monsieur Fred passa sur les seins, les cuisses, de Soumise à l’endroit même où les coups de cravaches et fouets étaient tombés quelque temps auparavant. Soumise sursauta à cette sensation de douleurs, nouvelle pour elle n’ayant jamais subi ce genre de supplice. Monsieur Fred commença à masturber Soumise, lui mit un doigt puis deux, pour finir trois dans la chatte, cherchant, non à la faire jouir, mais à la faire pisser en trouvant son point G (A ce que Monsieur Fred lui apprit plus tard), l’orgasme puissant monta, Soumise cria fort, aux oreilles de Monsieur Fred, et sans qu’elle ne puisse se retenir, pissa. A la suite, Monsieur Fred allongea Soumise sur son fauteuil relaxant, lui sembla-t-il, la retenant par le buste, lui fit couler de la cire de bougie sur les seins, puis sur la chatte pour en faire une empreinte. La cire de bougie fût pour Soumise, un moment de répit, après tous les autres supplices qu’elle venait de subir. Ce n’était pas fini pour autant, Monsieur Fred lui leva les jambes, les fit tenir sur le haut du fauteuil, de sorte d’avoir devant lui, la croupe de Soumise, ses deux trous à disposition. Après avoir enfilé un préservatif, il lui défonça le cul et la chatte jusqu’à la faire jouir des deux côtés. La bouche de Soumise ne fût pas épargnée, il lui baisa également la bouche en gorge profonde, pour finir par éjaculer en faciale.

Monsieur Fred retira le bandeau de Soumise, pour prendre un peu de repos, cela faisait trois heures que le supplice de Soumise avait commencé et les deux protagonistes étaient bien fatigués !!

Le maître demanda à Monsieur Fred de filmer les jeux scatos car il devait les quitter. Il félicita Soumise de son endurance et son abnégation devant les tourments endurés.

Histoire de sexe Soumise-à-lui Chapitre 8 Final
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Monsieur Fred entraîna ensuite Soumise dans la salle de bain, ils se pissèrent dessus, puis dans une poire de lavement. Monsieur Fred se fit un lavement de cette pisse. Après cela, il se fista l’anus sur le bras de Soumise qui prit plein de merde dessus, à la suite de cela, il chia la pisse à la merde sur Soumise qui s’en prit plein le visage. Le fistage du cul de Monsieur Fred continua sur le bras de Soumise jusqu’à l’arrivée d’un orgasme qui le mit en transe. Soumise n’en revenait pas, elle était très impressionnée.

Après une bonne douche pour chacun, Soumise et Monsieur Fred se séparèrent avec la promesse de se revoir avec l’accord du maître.

Une nouvelle domination enfin

Monsieur Fred et la soumise n’ont pas encore pu se rencontrer, leur planning ne correspondant pas. Le maître toujours à la recherche de prétendants pour la soumise, lui demanda de draguer sur les sites libertins.

Cela ne se passa pas comme l’aurait souhaité le maître, soit les prétendants ne daignaient même pas se déplacer, soit ils avaient la queue en berne, cela déplaisait beaucoup au maître. Quant à la soumise, elle n’était en rien satisfaite de ces pseudo dominants.

Certains sont venus surtout pour satisfaire le maître dans son désir d’humilier la soumise dans de la scatologie, entre autres un soumis qui voulait l’être par le maître !! Au début, la soumise se sentit repoussée par le maître, elle lui fit savoir. Le maître la rassura en lui disant qu’elle aurait toujours une place à part et qu’elle serait toujours sa préférée. La rencontre avec le soumis ne satisfît que le soumis qui eut sa part de scato, très demandé, le maître et la soumise, eux, furent frustrés, car aucun sperme ne souilla la soumise. Le soumis disparut des radars assez rapidement, ne reprenant contact ni avec le maître ni avec la soumise.

Pour asseoir son autorité, le maître lui donna l’ordre de s’exhiber sur le site libertin et continua à donner des gages à la soumise qui contenta le maître à chaque fois. Que ce soit pour aller au sex-shop se faire sodomiser, défoncer le cul, photo ou vidéo pour preuve ; se prendre en photo nue devant l’église du village, à cette demande, la soumise n’éprouva pas le plaisir, l’adrénaline qui la tenaillait habituellement. Elle demanda une pause au maître pendant un petit moment, celui-ci lui fit remarquer qu’elle décevrait ses prétendants et qu’elle risquait de le perdre. A ces mots, la soumise prit peur, elle dit à son maître qu’elle se remettait beaucoup en question et qu’elle ne savait plus où elle en était, le maître lui demanda donc de mettre par écrit ce qu’elle acceptait exactement de lui.

Dans cet écrit, la soumise réaffirma sa soumission au maître dans ces termes :

Par la présente, je soussignée « la soumise » autorise « le maître » de jouir de son corps comme bon lui semble dans le cadre de relations sexuelles consenties. La soumise accepte que le maître « prête » la soumise à des dominants qui deviendront le bras et la queue du maître.

Pendant ce « prêt », la soumise devra obéir à ces dominants comme elle obéit à son maître, pourra être punie comme la punirait le maître. Consentira à toute forme d’actes sexuels par « l’emprunteur », qu’ils soient d’ordre scatologique, urologique ou zoologique.

Los de la rencontre, les dominants donneront des coups tant que le maître n’aura pas dit de passer à autre chose.

La soumise accepte et veut avoir des traces qui durent le plus longtemps possible.

La soumise accepte toute forme d’humiliation, de dépravation, là aussi les dominants devront se dépasser pour permettre au maître de parfaire encore plus le dressage de la soumise. La soumise met tous ses trous à dispositions des dominants. Elle adore recevoir le sperme, les crachats sur le visage et en bouche. Recevoir des volées de gifles ne lui fait pas peur.

La soumise est également prête à assouvir tout autre fantasme que les dominants proposeront au maître.

Après ce nouveau contrat que le maître accepta, il lui donna d’autres gages : elle devait se prendre nue devant un camion, le gage fut vite validé ; puis elle dut pendant une semaine, à raison d’une photo par jour, mettre une cagoule avec l’ouverture de la bouche, se mettre en scène photographiquement pour prouver à son maître qu’elle lui appartenait.

Elle commença par une photo chez elle avec une inscription au marqueur sur ses seins « CHIENNE A MON MAITRE » ; le jour suivant en forêt collier de chienne, laisse au cou et nue ; le troisième jour, elle se mit des pinces aux tétons et sur le clito ; le quatrième jour, un coquin vint lui prêter main-forte, le cliché fut pris pendant une fellation ; le cinquième jour, elle s’enfila un gode dans le cul et écrit salope sur ses fesses (chose pas aisée du tout lorsque l’on est seule) ; le sixième jour, elle se mit à genoux sur son lit, collier, laisse et cravache en bouche ; le septième, le coquin du quatrième jour revint et fit un cliché avec une bouteille dans le cul. Tous ces clichés furent édités sur la fiche de la soumise sur le site libertin.

A la suite de ces clichés, des prétendants contactèrent la soumise, malheureusement les disponibilités de chacun de correspondaient pas, donc aucune rencontre ne se fit avant le départ en vacances de la soumise. Deux prétendants restèrent en contact avec elle pour des rencontres futures.

A son retour de vacances sous les ordres de son maître, la soumise recommença à draguer sur le site libertin ; ses efforts finirent par aboutir.

Un coquin la contacta via le t’chat du site :

< Bonjour, réellement disponible et d’accord pour vous rencontrer avec vos conditions, et je ne pose pas de lapin.

> Bonjour, les rencontres se font devant mon maître en cam via Skype, il faut être dominant, très dominant, uro, scato pas obligatoire, être bien monté et endurant

< Ce n’est pas un souci si je réponds, c’est que j’ai lu l’annonce

< Uro pas de soucis

> Bien il faut donc contacter mon maître, la soumise donna le pseudo de son maître.

< Je suis très dominant.

Puis les échanges se firent avec le maître pour s’assurer que tout serait conforme selon les désirs de chacun. Il fut convenu que ce dominant que nous nommerons monsieur S viendrait en début d’après-midi le jour même.

Dès son arrivée, Monsieur S. assura sa domination, il mit à la soumise une cagoule, puis il la mit à genoux sur le lit, bien cambrée, et les premières claques vinrent cingler les fesses de la soumise, Monsieur S. alternait, les claques et les caresses. Ensuite, il prit la cravache et il continua à alterner coups et caresse, de temps en temps, il mettait un doigt dans le con de la soumise pour s’assurer que la soumise mouillait bien, la cyprine coulait.

— Tu aimes cela salope ?

— Oui Monsieur.

— Tu en reveux encore ?

— Oui Monsieur.

Il fit mettre la soumise à genoux, lui mit des pinces sur les tétons et le clito. Les coups tombèrent sur les seins, Monsieur S s’ingéniait à bien viser les pinces pour ne pas les faire tomber, mais que la soumise subisse la douleur. Une fois les pinces tombées, la soumise se retrouva dans la position initiale, Monsieur S. la sodomisa d’un coup, excité comme elle l’était, elle demanda la permission à son maître de jouir, ceci lui fut accordé, elle poussa son cri de jouissance pendant que Monsieur S vidait ses couilles dans son cul. A la demande de son maître, soumise dût boire le sperme contenu dans la capote de Monsieur S, ce qu’elle fit avec délectation.

La soumise dût ensuite sucer cette queue pour qu’elle retrouve une bonne forme, pendant ce temps, Monsieur S titillait le clito de la soumise, ce qui ne manqua pas de la faire jouir.

— Soumise, tu n’as pas demandé la permission, je veux que Monsieur S te punisse comme il se doit !!

La soumise dût s’allonger au travers du lit, jambes pendantes, mais ouvertes, chattes en direction de son maître, Monsieur S lui asséna plusieurs coups de badine sur la chatte, la douleur insoutenable empêcha soumise de garder les jambes ouvertes. A plusieurs reprises, le maître la reprit à l’ordre, son calvaire continua tant que les jambes ne restaient pas ouvertes, soumise pris beaucoup sur elle et parvint enfin à ne pas fermer les jambes, ce qui permis que le calvaire cesse.

Le maître pas à bout d’idée, demanda à Monsieur S de branler la soumise, de son côté, soumise ne devait pas jouir tant que le maître ne lui en aurait pas donné l’accord.

Monsieur S, très pervers, branla la soumise à la faire jouir, la cyprine coulait, soumise sentait l’orgasme monter au prix d’un énorme effort de contrôle sur soi, elle réussit à ne jouir que lorsque le maître le permit.

L’orgasme fût plus fort, plus intense, soumise poussa un plus fort cri de jouissance, et s’écroula. Elle eut beaucoup de mal à redescendre et retrouver ses esprits. D’un commun accord, Monsieur S et le maître convinrent d’en finir là dans la soumission.

Avant de partir, Monsieur S urina dans la bouche de la soumise, celle-ci n’en perdit pas une goutte !

Le Manoir, Gang bang

Tout a commencé lorsque soumise a été contactée sur le site libertin

— Bonjour, pourquoi pas être le bras et les queues de votre maître ? Enchantés, nous sommes un groupe constitué de 10 hommes (possible d’être plus nombreux), blacks, européens, beurs, entre 20 et 50 ans. Je suis Paul, je gère le groupe et participe aussi aux événements, 35 ans, européen, très dominant, sadique et pervers, adepte de soumission et jeux de sperme… j’organise des événements au Bourget dans un manoir, plusieurs chambres, donjon en sous-sol. Possibilité de nous déplacer jusqu’à vous également. Vous choisissez les origines, le nombre. Je m’occupe de tout. Proposition très sérieuse et scénario mis en scène à votre guise. Faites-moi savoir si vous êtes intéressés. À bientôt, Paul.

A ce message, soumise répondit tout de suite, un donjon !! Depuis le temps qu’elle en rêvait, le fantasme allait, peut-être, enfin se réaliser.

— Bonjour, proposition intéressante, proposition à faire à mon maître.

— Bonjour, Bien reçu… Je transmets de ce pas. Pour info, très grosse soirée au Bourget dans un manoir le 31, 20 couples et 10 femmes seules.

— comme vous avez pris contact avec mon maître, je me permets de reprendre contact avec vous ; le 31, je ne peux me déplacer, je suis prête à me déplacer un samedi, mais il faut que cela en vaille le coup.

-Bonjour, bien reçu. Si nous te faisons venir, ce sera pour te combler, ton maître et toi. Je suis sadique, dominant et très exigeant. Ce que je voudrais pour toi, c’est un plan à la chaîne dans lequel les hommes se succèdent les uns après les autres sans forcément être en même temps dans la pièce. Je serai le premier à te mettre en « condition ». Une fois dans le donjon, je te ferai faire un tour des lieux avec une laisse. Je te dilaterai l’arrière. Puis, tu seras entravée et mise à genoux sur une cale (il ne faudrait pas que tu sois trop à l’aise). Masque sur les yeux ou cagoule. On s’occupera de tes seins. Tu suceras tout le monde à la queue leu leu. Chacun passera un instant seul avec toi pour plus de lubricité (mais toujours en ma présence). Nous avons un point en commun, nous apprécions les jeux de sperme…

Je propose de te mettre à disposition dans un pussyhole. Les hommes se succéderont sans que tu saches à qui est le tour. Recto verso. Puis viendra l’heure des jeux sales et « gluants ». Sperme et pisse. Et on veut que tu avales le jus de tout le monde en les remerciant par leur prénom. Durée estimée à 3h au total environ. Alors ? Bien entendu, il n’y a pas les détails, uniquement les grandes lignes.

-Tout cela me convient bien, mais il y a un mais, comment mon maître pourra-t-il être voyeur, il y a-t-il une connexion internet dans le donjon ? Si pas de connexion, possibilité que ce soit filmé sur carte SD que je pourrai faire parvenir à mon maître ensuite ? Cela est-il possible que ce soit en après-midi, un samedi de préférence ? Dernière question, est-il possible de voir votre privé ?

— Oui bien entendu ! Tous les hommes ne sont pas dessus… Album ouvert 24h.

— Un premier aperçu qui m’allèche encore plus.

— Si nous sommes sur la même longueur d’onde… Tant mieux. Dis-moi ce qui te fait mouiller terriblement par curiosité ? Quelle possibilité de date pourrait se profiler pour un samedi ? Pour la vidéo, aucun problème. Il y a du réseau au sous-sol. Donnez-moi tout ce qui est possible pour vous en termes de disponibilité. Je garde le choix du nombre d’hommes ?- Ton maître vient de valider cela : »J’ai un couple qui doit venir le samedi 22 pour une session creampie. Je propose que ta soumise en plus de ce qui est prévu pour elle, nettoie le sperme de la chatte de la receveuse entre chaque homme…“

-Ce qui me fait mouiller, le donjon, le nombre d’hommes, savoir que je ne verrai rien, mais que je serai bien prise en main, le 22 novembre est un vendredi, je préférerai le 23 donc le samedi et en après-midi si possible. Pour le choix du nombre d’hommes, à votre convenance Monsieur. Ensuite, les samedis seront en décembre à part le 14 et le 28.

— Je regarde cela.

— Bien Monsieur.

— On bloque le 23 alors.-14h ?- Avant de lancer le plan, j’ai besoin d’avoir ton maître au téléphone. Afin de se jauger et de vérifier la fiabilité de chacun. Transmets-lui.

— Tu viendras maquillée et vêtue comme une pute de bas étage.

— Bien Monsieur Paul.

— Le couple dont je t’ai parlé confirme pour le 23 à 14h.

— Bien Monsieur Paul, merci, je vous recontacterai le 22 pour confirmer et avoir votre adresse.

— Passe avant 14h, plutôt 13h environ que je te prépare et te mette en condition, et ce dans tous les sens du terme. Pour te présenter en photo aux hommes qui viendront, fais-moi une photo de toi avec un papier sur lequel tu écriras : pour Paul (groupe…) de W. Envoie- moi cela cette semaine.

— Bien Monsieur Paul, je viendrai à 13h et je vous fais la photo dès que possible.

— Tu m’enverras cela par mail, de plus, tu as une mission à réaliser avant dimanche 12h, une photo de ton visage avec du sperme dans la bouche et il faut que cela se voit.

— Monsieur Paul, il sera fait selon votre désir.

— Exactement, MON désir… Prépare-toi bien pour le 23. Je souhaite aussi entendre ta voix. Fais un message audio par courriel dans lequel tu m’expliques ta motivation.

La soumise chercha comment réaliser ce gage qu’elle savait que son maître exigerait qu’il soit réalisé. Le maître voulant toujours que la soumise obéisse en tout point au dominant sélectionné.

Elle trouva le quidam en se baladant en forêt, il faut dire qu’elle avait tout fait pour attirer son attention, pas de dessous, pissant presque sous son nez cul à l’air.

Le quidam accepta d’avoir une fellation, mais rien de plus, prétextant ne pas connaître suffisamment la soumise. Celle-ci n’était pas dupe, elle savait que le type devait avoir peur de cette femme qui semblait ne pas avoir froid aux yeux.

Une fois le sperme en bouche, Soumise fit un cliché, que le ne la satisfaisait pas, mais trop tard, le sperme était avalé.

Ensuite, elle se mit devant son téléphone pour faire le message audio demandé, cela ne lui fut pas facile, sa voix tremblait, parler à une machine n’étant pas dans l’ordre des choses. Elle s’y reprit à plusieurs fois, puis sachant qu’elle ne pourrait visiblement faire mieux, envoya le dernier message ainsi que le cliché du gage.

Monsieur Paul ne répondit pas tout de suite, ce qui inquiéta quelque peu Soumise, pour rien puisqu’il finit par répondre.

— Bien reçu tes courriels. Je suis satisfait du message audio, car naturel et tu sembles être sincère. La photo, je ne suis pas vraiment satisfait.

— Bonsoir Monsieur Paul, merci pour le message audio, pour la photo, je m’en doutais un peu, pas facile de prendre une photo avec du sperme en bouche, surtout quand il y en a déjà d’avalé. J’espère pouvoir vous plus vous satisfaire lorsque nous nous verrons.

Une semaine avant le rendez-vous, Monsieur Paul précisa quelques détails de l’organisation de la séance : non seulement Soumise serait prise par tous les orifices, mais elle devra également « nettoyer » l’orifice plein de sperme d’une autre femme présente à ce moment-là. Cette femme se fera prendre par le cul et la chatte devant son mari.

Le jour J, soumise se déplaça, en étant en lien aussi bien avec son maître qu’avec Monsieur Paul. La distance était longue, le temps, malgré la conduite, parut long à soumise, le trac montait au fur et à mesure que le lieu du rendez-vous approchait. Le maître commençait à s’impatienter, l’heure fixée étant passée, la soumise le rassura, lui disant que la circulation n’aidait pas. Enfin, elle fut sur le lieu de rendez-vous. Monsieur Paul l’accueillit sur le pas de la porte, la fît rentrer, dans une bâtisse un peu lugubre au premier abord, lui redit ce que l’on attendait d’elle.

Ils descendirent dans une sorte de cave qui était aménagée en manoir, il fit mettre nue la soumise, la regarda de pied en cape, lui mit en bandeau puis se connecta avec le maître. A partir de là, la soumise ne put compter le nombre de queues qu’elle prit en bouche, dans le cul et dans le con. La cyprine n’arrêtait pas de couler de sa chatte, la semence des membres lui remplissait la bouche ; elle se sentait souillée de toute part.

Monsieur Paul avait bien organisé les choses, il prévenait toujours les participants que pour pénétrer la soumise, le préservatif était de rigueur et il prenait bien soin de le redire régulièrement. Le couple arriva, rapidement les participants passèrent de Soumise à M. la femme du couple, ce qui fît que Soumise dû lécher le sperme des intervenants dans la chatte de M. tout en ayant le cul ou la chatte fourrée, là non plus elle ne compta pas le nombre de fois où elle dû nettoyer la chatte ou le cul de M. Ce qu’elle sût, cependant, c’est qu’elle jouit un nombre incalculable de fois et arriva même à faire jouir M. qui lui rendit la pareille. Soumise devenait bi, au plus grand plaisir de son maître.

Les membres de ce gang bang se firent de plus en plus rare, le maître demanda que des adeptes de l’uro pissent sur Soumise, à la plus grande joie de celle-ci qui se délecta de ces nectars dorés.

Une fois douchée et dans sa voiture, Soumise se rendit compte qu’elle avait fait abstraction du temps, du lieu presque d’elle-même, le but ultime que lui avait fixé le maître, qu’elle ne s’appartienne plus d’un point de vue sexuel.

Allan Riff

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