Je me prénomme Valérie. On m’appelle Val, comme tout le monde.
J’ai vingt-six ans, avec une silhouette de sportive.
Je suis une adepte du footing, que je pratique depuis mon adolescence.
Je mesure un mètre soixante-dix, avec des fesses bien fermes et une poitrine de bonnet 100B.
Je suis une épicurienne. Je m’adonne à diverses formes de plaisirs sensuels.
Deux fois, je suis tombée amoureuse. Il y a eu de la jalousie, de la douleur et aussi de la colère.
La première fois, c’était d’un homme qui avait omis de me dire qu’il était marié et père de deux enfants.
La deuxième fois, c’était d’une maîtresse femme, qui voulait faire de moi son esclave sexuelle.
Je suis toujours célibataire.
À présent, je ne recherche plus l’amour, juste le plaisir sexuel à deux ou à plusieurs ensemble.
Je travaille à mi-temps dans un cabinet d’avocats.
Mes parents sont décédés dans le crash de leur avion personnel.
Ils m’ont laissé de quoi vivre sans trop de soucis d’argent pour très longtemps.
Mes parents possédaient une grande maison ainsi qu’un terrain attenant de trois hectares, isolé à plusieurs centaines de mètres du premier voisin. Elle est entourée d’un petit parc avec une grande piscine.
Il y a aussi un spa à l’intérieur d’une grande véranda, accolé à une petite piscine chauffée.
À présent, j’habite dans leur maison dont j’ai hérité.
Le tout est gardé par deux chiens bien dressés : Mars, le mastiff, et Duc, le dogue allemand.
Je les ai connus lorsqu’ils étaient tout jeunes. Je les aime autant qu’ils m’aiment.
Aujourd’hui, je suis dans une maternité. Je viens d’accoucher d’une belle petite Angèle.
J’ai un très gros problème.
Je viens de retirer ma fille, qui me tétait le sein. Elle se met à pleurer très fort.
Je viens de me faire réprimander par l’infirmière en chef :
— Qu’est-ce qui vous arrive ? C’est vous qui avez décidé de l’allaiter au sein ! Alors, il faut vous accoutumer. Je sais qu’au début, la succion du téton peut être douloureuse. Mais il faut vous y habituer et prendre sur vous. Dans deux ou trois jours, vous ne sentirez plus la douleur de la tétée.
Je baisse la tête et remets la bouche de ma fille sur un de mes deux tétons.
Je ne dirai pas à l’infirmière la raison pour laquelle j’ai retiré ma fille de la tétée.
Sa bouche humide et la succion de mon téton m’ont chavirée.
J’ai ressenti un énorme frisson dans mon sein, qui s’est propagé dans tout mon corps.
J’étais sur le point de jouir de la succion.
Ça fait maintenant dix jours que ma fille m’excite intérieurement en me tétant les seins.
À chaque fois qu’elle me tète, cela me fait mouiller le vagin. Des fois, je suis à la limite de jouir. J’arrive à me ressaisir difficilement.
Je suis de retour à la maison avec ma fille.
Une aide-ménagère vient lorsque je l’appelle au téléphone, pour le ménage et la lessive.
Oui, je suis seule avec ma fille. Car je ne sais pas qui est le véritable géniteur d’Angèle.
Un soir, à la fin de mon travail au cabinet d’avocats, je me suis laissé séduire et baiser par le jeune avocat, dont le père est le patron du cabinet.
J’étais nue, le ventre sur son bureau, mes seins pendant sur le bord du bureau, les jambes bien écartées.
Il m’a fait énormément jouir. Je lui ai fait remarquer qu’il n’avait pas mis de préservatif.
Il m’a rassurée en me disant qu’il se retirerait avant de jouir dans mon paradis.
Il a joui entre les lèvres de ma vulve et sur mon trou de balle.
— Tu vois, je ne t’ai pas rempli la moule ! Mais j’y retourne, elle est tellement bonne, ta chatte.
Il appuya le gland de sa queue sur mon trou de balle, qu’il badigeonna de son sperme.
Je me suis dit intérieurement que, par là, il ne me mettrait pas enceinte.
Cependant, il descendit son gland entre les lèvres de ma moule.
Il enfourna sa queue dans mon paradis et m’emmena une fois de plus au paradis de l’orgasme.
Cette fois-là, il se retira de mon paradis et m’encula d’un coup, pour éjaculer dans mon boyau.
Je suis restée le ventre sur le bureau, à reprendre mes esprits après une telle jouissance.
Lui, il frottait sa queue entre mes fesses et les lèvres de ma moule pour rebander.
Au bout d’un moment, il m’enfonça sa queue bien raide dans mon paradis.
Elle me fit monter au ciel des orgasmes puissants.
Mais, cette fois-là, il m’inonda le paradis de sa douce et bonne chaleur de jus d’homme.
Lorsque mon amant retira sa queue de mon paradis, il me demanda :
— Tu en veux encore une, dans ta moule baveuse ?
Dans les limbes de la jouissance, je lui répondis :
— Oh ! Oui ! Si tu peux encore me faire jouir comme ça ?
Hé, aussitôt, une queue investit mon paradis tapissé de sperme. Elle me ramena au paradis des orgasmes. Je sentis le jus de la queue qui me baisait tapisser le col de mon utérus.
— Tu ne devais pas mettre un préservatif ? Ça fait deux fois que tu me remplis la moule !
Soudain, je sens du mouvement devant ma tête, alors que la queue dans mon paradis ramollit doucement.
Je relève la tête, inquiète, en ouvrant les yeux.
Je vois le jeune avocat, la queue à l’air, accompagné de son père, venir devant mon visage.
Je lève et tourne la tête pour voir qui me baise.
C’est le frère du patron qui a sa queue dans mon paradis.
Le patron des avocats proclama :
— Valérie ! Vous êtes une très bonne collaboratrice, qui aime la queue des avocats. Nous vous garderons tout le temps que vous voudrez bien de nos queues !
Il mit sa queue molle sur mes lèvres.
— Allez, un petit nettoyage de nos queues avec votre jolie bouche !
J’ai nettoyé les trois queues avec ma bouche.
Une fois rhabillée, sur mes deux jambes tremblantes, le patron et son fils m’encadrent, chacun une main sur l’épaule.
— Ah ! Valérie ! Faut pas nous en vouloir. Vous êtes si belle. Et devant votre fessier accueillant et en entendant vos cris de jouissance, nous n’avons pas pu nous retenir de vous faire jouir nous aussi.
Je regarde le fils d’un air tendre.
Le patron proclame que son fils va se marier la semaine prochaine.
Mais ils m’honoreront de leur queue lorsque je serai disponible et consentante, comme ce soir.
Lorsque je me suis rendu compte que j’étais enceinte, je me suis confiée à mon gynécologue sur l’éventuelle paternité.
Il m’expliqua que le sperme de l’amant au bord des lèvres de la vulve peut venir féconder la matrice.
Et aussi, qu’il en reste toujours un peu dans l’urètre.
Alors, s’il pénètre de nouveau dans le vagin, il peut féconder la femme avec les résidus de sa jouissance.
Donc, ne sachant pas lequel des trois avocats peut être le géniteur d’Angèle, j’ai préféré garder ça pour moi.
Pas question de faire un test ADN pour confirmer un géniteur qui me causerait des problèmes dus à ma faiblesse d’un soir.
Le fils du patron m’a demandé plusieurs fois qui est le père de mon enfant à venir.
Il est même venu s’enquérir de ma santé pendant mon congé de maternité.
Nous sommes au mois de juin, il fait beau et chaud. Je suis souvent à demi-nue.
Ma fille m’épuise à me faire gémir de plaisir lorsqu’elle me tète les seins, trois fois par jour.
Bien calée dans un fauteuil relax, j’allaite ma fille à l’ombre sur la terrasse.
Elle me tète le sein gauche, le plus sensible.
C’est celui-là qui me fait le plus gémir de plaisir.
Il m’a fait monter le plaisir au bord d’un orgasme plusieurs fois.
Les yeux fermés, je savoure la montée du plaisir dans mon sein, qui se transmet à ma moule qui bave d’excitation.
Soudain, je sens la tête d’un de mes chiens s’introduire entre mes cuisses ouvertes.
Rapidement, je sens son souffle chaud sur mon pubis. Je ressens sa langue lécher ma vulve.
Je me mets à crier, instinctivement, je resserre mes jambes, emprisonnant la tête du chien.
Je remue mon fessier en lui criant de me laisser.
Comme une idiote, plus il lèche ma vulve, plus je resserre mes cuisses en essayant de refouler l’orgasme qui prend naissance dans mon paradis inondé de cyprine.
Je repousse doucement Angèle de mon sein. Mais elle aspire encore plus le téton et le tète avidement.
Je remue de nouveau mon fessier, mais avec moins de conviction. Peu à peu, prenant conscience que rien n’y ferait, résignée, j’entre dans une sorte de langueur.
La langue du chien, plus râpeuse que celle d’un homme, mais surtout plus longue et plus endurante, se met à fouiller ma vulve, allant chercher à l’intérieur les substances qui captivent son instinct animal.
Je commence à faire abstraction qu’un chien est entre mes cuisses. J’apprécie ce nouveau plaisir, ces nouvelles sensations. Je me concentre sur ma moule que sa langue fouille sans lassitude.
Ma fille qui me tète le téton et le chien qui me lèche la moule.
Je ne peux retenir mon orgasme qui éclate entre mes cuisses.
Dans un sursaut de volonté, j’arrive à repousser la tête du chien et fermer mes cuisses.
C’est Mars qui était entre mes cuisses. Je vois que Duc est là, lui aussi, à côté de Mars.
Je me lève et vais coucher Angèle, qui est repue de mon lait maternel.
En me dirigeant vers le berceau qui est dans le salon, Mars n’arrête pas de me lécher la raie des fesses. Il entretient mon excitation.
En me penchant au-dessus du berceau, j’écarte machinalement un peu mes jambes pour être stable.
Je sens qu’une langue différente passe entre les lèvres de ma moule baveuse.
D’un petit retournement de ma tête, je vois que c’est Duc qui me lèche la moule en remontant sur mon trou de balle.
J’écarte à regret Duc de mes fesses.
Comme une imbécile, je fais tomber la tétine d’Angèle par terre, elle rebondit sous le berceau.
Je plie mon buste et mets un genou au sol pour la saisir.
Mars vient sur-le-champ plaquer sa langue contre ma vulve, lapant mes chairs moites.
Avec mes doigts, j’entrouvre mon vagin en tirant sur mes lèvres afin de mieux sentir sa langue m’explorer et redécouvrir le plaisir qu’il m’a procuré la première fois.
Il fouille ma moule à la recherche de mes effluves de femme envoûtée de luxure.
Après avoir sucé la tétine, je la mets dans la bouche d’Angèle.
Après un moment où la jouissance n’est pas totale, je me décide à changer de position.
Au diable les préjugés. Je m’agenouille et pose mes mains sur le sol.
Je me suis mise en position de chienne sans le vouloir vraiment.
Le souffle chaud de Mars souffle sur mes fesses et sa langue se pourlèche de mon intimité, tandis que sa truffe heurte mon trou de balle.
Je commence à jouir et m’abandonne à ce délice qui devient croissant lorsqu’il s’attarde sur mon trou de balle.
Je suis saoule de luxure, et les interdits tombent sans que je m’en rende compte au fil de l’ivresse qui m’envahit.
Je sens le poids de Mars sur mon dos, ses pattes postérieures enserrent mes flancs.
— Non, Mars ! Pousse-toi ! que je crie sans trop de conviction.
Je ne suis pas très persuasive, la masse de Mars m’empêche de me relever.
Ensuite, je perçois sa verge venir buter tantôt contre ma moule ou mon petit trou, ou bien glisser contre mes fesses.
Son liquide séminal jute sur mes chairs et ruisselle entre les lèvres de ma moule, tandis qu’il me lèche le cou.
Le halètement de Mars est fort dans mon oreille et là où les coups précédents ont manqué leur cible, il trouve finalement l’endroit qu’il cherchait.
Mars enfonce d’une poussée puissante sa verge chaude au fond de moi.
Sa verge va-et-vient à un rythme soutenu. Il est d’une intensité que je n’ai jamais connue auparavant.
J’ai un moment de frayeur. Je réalise que je me fais baiser par un chien.
Je ne désirais que retrouver le plaisir de sa langue sur mon sexe, mais il est trop tard.
Si j’arrive à me retirer, j’aurai tout de même été prise quelques instants par un animal, et puisque j’y trouve du plaisir en ce moment, je me résous à le laisser me saillir.
À ce moment, j’ai su que je deviendrais accro à la verge de Mars pour toujours, en jetant tous les derniers vestiges de la honte.
Au fur et à mesure de son pilonnage, j’ai la délectation de sentir sa verge grossir dans mon vagin.
Une fois de plus, je tombe dans la torpeur de ma dépravation, savourant ses assauts répétés.
Je suis une novice à la saillie. Alors, à mes dépens, je laisse Mars devenir mon mâle dominant.
Je sens Mars pousser quelque chose dans ma grotte, et je réalise que ce doit être le bulbe dont j’ai entendu parler.
Prenant une profonde respiration, j’expire lentement, me relaxe suffisamment un moment pour permettre au bulbe de glisser à l’intérieur.
La douleur initiale est rapidement surmontée avec le sentiment le plus intense de ma vie.
Mars commence à moins pousser, et son bulbe, qui se met à enfler, distend pour mon plus grand plaisir les chairs de mon vagin.
Les palpitations de son bulbe dans ma moule ballonnée me donnent un premier orgasme.
Je suis folle de cette immoralité dévergondée.
Ensuite, des jets de semence chaude inondent le fond de mon paradis.
J’ai des spasmes dans mon ventre qui me font émettre des râles sous mes orgasmes qui se répètent.
Mars halète, sa bave coule sur mes épaules, il me souille.
Je reprends un peu mes esprits.
— Allez ! Pousse-toi, Mars !
Il ne bouge pas, collé à mes fesses.
Je vois que la chaise à côté du berceau n’est pas loin.
Alors, j’avance à quatre pattes doucement, avec Mars qui reste accroché à mes hanches.
J’arrive à poser mes avant-bras sur l’assise de la chaise. Je proclame une fois de plus :
— Va-t’en ! j’ai dit !
Mars ne réagit pas.
Je veux m’ôter de sa verge, mais dès que je le repousse, je sens ma moule comme aspirée vers l’extérieur, comme lors de mon accouchement.
Nous sommes soudés.
C’est alors que je me souviens d’avoir vu, lorsque j’étais gamine, un chien saillir une femelle.
Ils sont restés collés l’un à l’autre de longues minutes.
Tout à coup, une frayeur m’envahit.
Soudain, Duc vient me lécher le visage. J’ouvre la bouche pour lui dire de me laisser.
Et sa langue en profite pour me racler le palais.
Je m’amuse à essayer de la gober à chaque passage.
Ce que je réussis à faire de nombreuses fois.
Ce n’est que bien des minutes plus tard que Mars se retire.
Ma moule béante laisse s’écouler une semence abondante, qui ruisselle le long de mes cuisses.
Je savoure ce dernier instant en sentant la semence de mon Mars suinter sur ma peau.
Du bout des doigts, j’ose en récolter quelques gouttes, que je porte à mes lèvres.
C’est un délice d’amour.
Mars vient lécher mon entrecuisse de tout ce qui en sort.
Je suis toujours à genoux, les avant-bras posés sur l’assise de la chaise avec mes seins qui pendent devant la chaise.
Duc trépigne d’impatience et d’excitation, rendu à moitié fou par l’odeur émanant de l’entrejambe de sa maîtresse.
Il grogne et se joint à Mars pour lécher mon entrecuisse.
Ils rallument mon envie de saillie avec leur langue.
Soudain, je sens que Duc pose ses pattes sur mon dos, il les descend sur mes flancs en me faisant mal avec ses ergots.
Ensuite, ses deux pattes avant enserrent mes hanches et, avec sa gueule, il me saisit la nuque.
La moule en feu, je me soumets au mâle.
J’appuie mes coudes sur la chaise, j’écarte bien mes cuisses et je creuse mes reins.
Ainsi, le cul monté bien haut et cambré, j’offre un accès direct à la verge de Duc.
Duc serre fort mes hanches entre ses membres antérieurs et approche mon derrière afin de présenter sa verge contre l’entrée lubrifiée, qu’il pilonne de coups désordonnés qui tapent entre mes fesses.
Il n’arrive pas à trouver l’entrée de mon paradis si généreusement offert.
Je modifie ma cambrure pour diriger sa verge dans ma grotte d’amour.
Duc continue ses mouvements frénétiques et, d’un coup, il me sodomise profondément.
Je me mets à hurler sous cette soudaine et violente entrée dans mon trou de balle.
Loin d’être gêné par mes longs cris, Duc me défonce de plus belle en me mettant le feu dans ma boîte à crotte de chocolat.
Je remue dans tous les sens pour essayer de faire sortir le mâle de mon cul endolori.
Je hurle des ordres, mais à ce stade d’excitation, plus aucun dressage n’a d’influence sur ce mâle en rut.
Il continue de me sodomiser, appuyant à présent dangereusement son énorme bulbe à l’entrée de mon trou de balle.
Je le sens contre mon sphincter et, dans un ultime mouvement du bassin, je réussis miraculeusement à l’expulser, déclenchant par là même de drôles de jappements de Duc.
Non pas que je n’aime pas me faire enculer, mais sans préparation, je crains pour mon petit trou.
Duc, frustré, redouble d’ardeur contre mes fesses.
Sa verge est maintenant au maximum de sa longueur, soit un bon dix-huit centimètres.
De quelque part à l’intérieur, je sens mon animal intérieur s’éveiller.
Je pousse mon fessier vers Duc autant que je peux. Je râle de plaisir comme une chienne en chaleur.
Je supplie Duc de baiser plus fort mon cul de chienne.
Ensuite, une explosion de lumière me vrille la tête, quand son bulbe, pratiquement gros comme une balle de tennis, vient de passer l’entrée si convoitée de mon boyau.
Je suis presque soulagée malgré la violence de cette pénétration, qui ne s’embarrasse pas de précautions, contrairement à certains hommes qui savent faire l’amour et commencent doucement.
Cette grosseur, chaude et animale, vient appuyer sur mon point G, quel bonheur, je suis aux anges.
Duc me sodomise depuis au moins trois ou quatre minutes, ce qui est déjà long pour la première fois.
Duc s’active sans discontinuer, il assure d’un mouvement sec la prise de ses pattes avant autour de mes hanches pour me bloquer et, d’un coup de bassin incomparable à ceux prodigués jusqu’à présent, il me défonce le trou de balle, entrant directement toute la longueur de sa verge et son gros bulbe dans mon boyau démonté.
Les petits cris de jouissance qui montent de ma gorge se transforment en un hululement profond, provoqué par l’énormité de la verge qui me farcit le boyau et me déclenche un premier orgasme anal.
Je râle cet orgasme déclenché par toutes les parties stimulées de mon corps, le cul chaud de ce qu’il prend et mon boyau envahi d’une bonne chaleur.
— AR ! AR ! AARR ! Mon Duc ! Que c’est bon !
Sous la jouissance, je courbe le dos. Duc me mord la nuque en accentuant sa prise sur mes hanches.
Le bout de ses pattes avant battent l’air en frottant mes cuisses tout en continuant de s’agiter frénétiquement.
Il déverse d’un coup un véritable torrent de sperme dans mes entrailles brûlantes.
Je redécolle tout de suite, direction le septième, voire le huitième ciel, tant la force de cette jouissance est énorme.
— RRROOO ! OOUUIII ! C’est bon ! C’est chaud ! C’est bon ! Je sens ton gros bulbe grossir en me remplissant le cul ! C’est énorme ! Je JOUIIIIIS !
Je m’affale doucement tandis que le plaisir redescend tout doucement, le poids de Duc sur le dos.
Je me cale au mieux sur un bras et passe l’autre sous moi, permettant ainsi à mes doigts de caresser mon clito gonflé du plaisir des orgasmes précédents.
J’entretiens mon plaisir durant de longues minutes.
Quand enfin Duc se met à remuer, excitant à nouveau les chairs tuméfiées de mon boyau.
Je me mets à accélérer le mouvement de mes doigts sur mon bourgeon, maintenant tout tendu, cela dure encore quelques instants.
Il éjacule des quantités impressionnantes de semence chaude, il me remplit le boyau. Je sens mon ventre gonfler.
Je ressens chaque giclée.
Je jouis comme aucun homme ne m’avait jamais fait jouir.
Je crie encore et encore, emportée par une déferlante d’orgasmes successifs.
Je sens aussi la dilatation de sa verge dans mon boyau.
Je me contrôle en contractant mon sphincter.
Nous ne pouvons pas nous séparer avant que son érection soit totalement terminée.
Pendant que nous sommes liés, Mars vient me lécher le visage. Et je recommence le jeu que j’ai fait avec Duc. J’essaie de gober sa langue.
J’ai réussi plusieurs fois, et il aime que je lui tète et suce sa langue.
Duc me garde longtemps soudée à lui et il éjacule encore pendant tout ce temps, sa tête contre mon cou, il bave parfois, et j’aime sentir son souffle et sa bave.
Je suis sa femelle, qu’il rassasie en une saillie.
Mars monte ses pattes avant sur mes omoplates. En poussant le dossier de la chaise de son corps, il présente devant mon visage sa verge bien raide.
J’ouvre la bouche et aspire le bout de sa verge.
Sentant la chaleur humide de ma bouche, il donne un coup de rein.
Sa verge rentre dans ma gorge en me donnant un haut-le-cœur, lorsqu’elle touche le fond.
Mars me baise la bouche, et son bulbe vient taper sur mes lèvres que je garde fermées sur sa verge.
Au bout d’un bon moment, il ne tarde pas à jouir à son tour sur ma langue et dans ma gorge.
Ma bouche remplie du jus de Mars, j’avale sa semence avec bonheur.
Après ça, il laisse un petit moment sa verge dans ma bouche, qui la suce encore.
Quand je sens en moi le membre devenir un peu moins dur ?
C’est le moment que choisit Duc pour se retourner et sortir son énorme verge de mon trou de balle ravagé par les assauts successifs que je viens de subir.
Un nouvel orgasme, provoqué par la sortie de Duc, me renvoie encore une fois en plein ciel.
Je repousse la chaise et m’étale à plat ventre sur le sol, les cuisses ouvertes.
Duc plonge tout de suite sa gueule gourmande entre elles, pour lécher tout le jus qui coule de mon trou béant.
Je jouis encore une fois, quand Duc termine une parfaite toilette intime de mon trou de balle, qui a maintenant un grand besoin de repos.
J’ai tellement aimé la sodomie avec Duc que ça deviendra ma principale façon de baiser avec lui.
Le bon côté de la sodomie avec Duc est que je garde toute sa semence en moi.
Des pensées d’amour canin me tourmentent lorsque je vais me coucher.
Je m’affale nue sur mon lit, tant la chaleur de cette nuit est étouffante, et je me mets à me caresser.
Mes deux amours de chiens vont devenir mes amants attitrés.
Des queues pareilles vous font sentir femelle.
Je me sens femelle, comblée, remplie, soudée au mâle qui me fait jouir.
Ils ont ma préférence par rapport aux hommes.
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