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Histoire de Sexe Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets

Histoire de sexe taboue Valérie L’orpheline Partie 2

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Chapitre 2 : Les deux copines

Cela fait trois ans que je laisse ma fille dans une crèche lorsque je travaille dans le cabinet d’avocats. J’y ai fait la connaissance de deux autres jeunes femmes. Cathy, une blonde bien foutue qui fait bander les hommes à distance, employée dans la crèche. Sylvia, une petite brune à forte poitrine, gestionnaire de la crèche.

Cette année, nous décidons de passer ensemble la première semaine de vacances chez moi, après leur avoir certifié que ma fille de dix-huit mois sera chez ma tante pour la quinzaine. À leur arrivée, Duc, haut sur pattes, les accueille en sautant de joie. Il aboie très fort, et Mars accourt en leur sautant dessus et en leur léchant le visage.

Après avoir rangé leurs affaires, nous nous installons en maillot près de la piscine avec un cocktail dans chaque main. L’alcool fait déjà son petit effet, et nous sommes de plus en plus décomplexées. On parle de nos histoires de cul, de nos fantasmes, sans aucune honte. À un moment, nous voulons quand même goûter à la piscine.

Comme nous sommes entre filles, Sylvia nous suggère d’enlever nos maillots. C’est amusant et excitant à la fois. Je suis curieuse de voir mes copines nues. Je suis habituée à vivre nue chez moi par beau temps. Alors, je n’hésite pas à me mettre nue.

Nue au soleil, je profite d’être accompagnée par ces deux beaux spécimens féminins. Je me sens émue face à leurs parfums, leurs beaux seins, leurs fesses et leurs chattes épilées.

Bref, nous plongeons en hurlant sans vérifier la température de l’eau. Elle est à très bonne température. Après avoir nagé une bonne demi-heure, nous regagnons nos serviettes respectives. Ce bain nous a fait du bien.

Allongée sur le dos, je replie les genoux et je joue avec ma tablette. Je suis bien installée quand je sens des chatouilles humides sur mes orteils. Aussitôt, j’écarte les jambes. Je ne suis pas étonnée que ce soit Duc qui me lèche avec sa grande langue. Il bave, et j’en ai partout sur les pieds. Je susurre son nom d’une façon autoritaire pour qu’il arrête. Cependant, il avance son museau entre mes cuisses.

Discrètement, je veux resserrer mes jambes autour de sa tête. Mais aussitôt, il se met à laper mon clito à une vitesse folle. Comme d’habitude, je ne peux retenir mon premier orgasme, qui arrive instantanément. Allongée sur les coudes, ma tête part en arrière, et je ferme les yeux. Je suis de plus en plus sensible aux sensations, et à chaque fois que sa langue passe entre les lèvres de ma moule, je sursaute de plaisir. J’ai plusieurs orgasmes d’affilée avant de reprendre mes esprits.

Heureusement que les filles ne se sont rendu compte de rien. J’aurais eu la plus grosse honte de toute ma vie. Cathy écoute de la musique avec un casque relié à son portable. Sylvia somnole profondément. Reprenant peu à peu ma position de départ, je le repousse gentiment avec mes mains, mais il semble vouloir continuer. Lui aussi a autant envie que moi d’aller plus loin. Mais je décide d’en rester là pour le moment. Je ne veux pas décourager mes copines de me fréquenter.

Je me lève en direction de la piscine, laissant Duc à ses préoccupations. Il semble déçu de voir sa femelle habituelle s’en aller. Il rôde un certain temps près du bord. Ensuite, il disparaît de mon champ de vision.

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Je nage tranquillement pour refroidir mes envies de saillies. Je n’ose avoir ce genre de rapport avec mes amants devant des femmes. Je réfléchis à ce genre d’exhibition lorsque, soudain, du bruit me fait sortir de ma cogitation.

C’est Cathy. Elle cherche quelque chose dans ses affaires. À quatre pattes, sur les coudes, la tête bien basse, elle fouille à l’intérieur de son sac. Le cul en l’air et les reins bien cambrés, elle est en parfaite position pour une saillie.

À la voir dans cette position, je trouve qu’elle est bien foutue. Elle nous avait avoué que, pour rester en forme et avoir toujours une taille fine, elle mange moins de produits laitiers et suit également un tout autre régime. Son amie diététicienne lui a vanté les bienfaits du sperme, et depuis, elle ne peut plus s’en passer. Il lui faut juste trouver le bon approvisionnement, ce qui n’est pas toujours évident.

Duc s’approche d’elle et, à cause de son casque audio, elle ne l’entend pas arriver. Il lui renifle le postérieur et se met à remuer la queue plusieurs fois. On dirait bien qu’il la lèche, elle aussi. D’un coup de rein, Duc se dresse sur ses pattes arrière et lui grimpe dessus, de tout son poids. Cathy s’efforce de garder l’équilibre, mais elle manque de tomber au sol.

J’hallucine complètement de voir Duc essayer de la prendre par derrière. Cathy n’essaie même pas de se dégager. Elle pense qu’il veut sûrement jouer, elle supporte la charge en attendant qu’il veuille bien redescendre. Elle ne voit pas que sa verge est déjà sortie de son fourreau. Hélas, comme elle n’y connaît rien aux chiens, elle est loin d’imaginer de quoi Duc est capable.

C’est d’un coup sec qu’il la pénètre. Elle a un soubresaut et tourne la tête d’étonnement. « OOOOH ! » clame-t-elle. Duc a trouvé l’ouverture et s’y engouffre comme un forcené. Impuissante, Cathy encaisse ses coups de boutoir d’une force incroyable. Il la bloque avec ses pattes avant, et elle n’arrive pas à se dégager.

Sous la puissance de la saillie, elle pousse des râles de plaisir. Cela dure plusieurs minutes. Une fois calmé, Duc se retourne sur ses pattes, mais il reste collé en elle. Elle veut se détacher, mais n’y parvient pas, bien sûr. Elle doit attendre un bon moment avant de pouvoir se désaccoupler de son amant occasionnel.

Elle pousse des râles de plaisir tout le temps qu’ils sont accouplés. Lorsque Duc se sépare de sa femelle occasionnelle, on entend un gros « plop », et la verge de Duc glisse à l’extérieur, délogeant de sa moule une grosse quantité de semence. « Putain, c’est pas vrai ! » proclame-t-elle trop fort à cause du casque audio.

Ce qui sort Sylvia de son assoupissement. « Qu’est-ce qui se passe ? » Sortant enfin de l’eau, je regarde Cathy, qui enlève ses écouteurs et ne se doute pas que j’ai assisté à toute la scène, trop jalouse pour l’interrompre. Elle balbutie juste un timide : « Non ! Rien ! Heu ! Pourquoi ? »

Elle s’est allongée sur le ventre, les fesses et le dos recouverts de semence canine. « Mais ? Qu’est-ce qu’il y a ? Alors, pourquoi t’as crié ? » demande Sylvia. Elle n’ose trop rien dire. « C’est mon chien, qui l’a prise pour une chienne ! » dis-je d’un ton amusé. Cathy rougit des pieds à la tête. Elle nous regarde, honteuse.

Sylvia fronce les yeux un instant, essayant de comprendre ce qui s’est passé. « Bon sang ! Elle s’est tapé le Duc ? C’est ça, Valérie ? » « Non ! C’est lui qui… » répond Cathy, la tête baissée. « Ah ! Oui ! En plus, il t’en a mis partout sur les fesses ! Regarde ! » s’esclaffe Sylvia.

Cathy regarde ses fesses et son dos en tournant légèrement la tête. Elle remarque aussi quelques griffures sur ses flancs, qu’elle n’avait pas vues, et effectivement, elle est trempée. Une grosse flaque se forme entre ses pieds.

Duc aboie et nous fait soudain sursauter. Il nous exhibe sa verge démesurée, toute luisante, qui remue toute seule. « Il est souvent dans cet état ? » me demande une Cathy curieuse. « Je n’en sais rien, mais c’est la première fois que je le vois excité comme ça, » dis-je en caressant la tête de Duc, qui est venu à mon côté.

« Il m’a explosé la chatte, et il m’a fait bien jouir. J’aurais pas cru qu’un chien puisse me faire jouir ! » clame Cathy en se relevant. « Ça change quoi ? Une bite reste une bite, non ? » rétorque Sylvia. « Ouais ? Mais, c’est pas la même chose. Ça reste dur plus longtemps qu’un mec ! Et c’est plus gros ! » glousse Cathy. « Ah bon ? »

Un silence interrogateur envahit l’espace. « Fais voir ça ? » demande Sylvia en s’approchant de Cathy, qui referme ses cuisses. Sylvia s’agenouille devant les genoux de Cathy. Elle les lui saisit et essaie de les écarter. « Montre-moi ça, ma belle ! »

Cathy ouvre ses cuisses, Sylvia avance sa tête entre ses cuisses pour mieux voir. Elle approche son nez de son pubis. « Ça sent bien le sperme ! » dit-elle. Cathy, dans un mouvement rapide, pousse le visage de Sylvia contre sa moule baveuse.

Dans un cri de colère, elle redresse sa tête. Elle a du jus des deux amants partout sur le menton, la bouche et le nez. Sylvia regarde Cathy d’un air de défi. Elle passe sa langue sur ses lèvres, sur son menton. Elle trouve que c’est pas mauvais, même bon. « Elle est bonne, ta moule ! Tu veux que je nettoie avec ma langue ? » « Ouais ! Chiche ! Fais-le si tu oses ! » s’exclame Cathy en écartant plus ses cuisses.

Je n’en reviens pas, ça devient une baignade libidineuse. Sylvia baisse son buste entre les cuisses de Cathy en tirant la langue. Elle se retrouve avec son nez sur le pubis de Cathy. Je l’entends dire qu’il lui en a mis partout et qu’il y en a même sur son trou du cul.

Je prends mon portable et filme la scène qui se déroule sous mes yeux. Sylvia, à genoux, avec la croupe en l’air, la tête entre les cuisses de Cathy, en train de lui lécher la moule avec des « MMMM ! Que c’est bon, le jus de moule ».

Nous voyons Mars s’avancer vers Sylvia et se placer derrière son corps agenouillé. Mars s’approche et renifle l’odeur montante de son excitation, sa verge se met à remuer avec excitation. Sa langue longue et large passe sur l’intimité de Sylvia.

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Sylvia sursaute au contact délicieux et devient muette, tandis que la langue de Mars passe entre les lèvres évasées de sa moule baveuse. Sylvia remue son fessier, et ses reins sont saisis d’intenses sensations lorsque la langue s’enfonce plus profondément entre les lèvres.

La langue épaisse se répand dans les plis gonflés par de longs mouvements incessants, écartant les plis tendres. La pointe entraînée trace avec extase les lèvres intérieures excitées de Sylvia, qui halète et gémit tandis que ses hanches poussent son sexe avec avidité vers la langue clapotante.

Mars sait qu’il est temps d’explorer la merveilleuse source de l’humidité suintante de Sylvia. Il enroule sa langue épaisse et glisse vers l’intérieur du vagin enflammé de Sylvia. Elle pousse son sexe gonflé contre le museau de Mars, et la langue s’enfonce plus profondément dans son passage convulsif.

Elle halète, gémit, et son corps est secoué de spasmes profonds. « ARRAH ! Plus profond ! OOOOH ! Dieu ! » Mars commence un assaut total sur le sexe humide de Sylvia. Il sort sa langue du vagin enflammé et la fait glisser le long du sillon gonflé.

Le léchage intensif se répète encore et encore. Alors que son assaut incessant se poursuit, les sons de la bouche de Sylvia, qui aspire le jus de la moule de Cathy, deviennent incohérents, son corps est plongé dans une frénésie sexuelle. Son esprit bloque tout, sauf les sensations orgasmiques que lui procure la langue magique de Mars. Ses lèvres, son clitoris et son vagin deviennent le centre de son univers sexuel.

La langue de Mars pousse à nouveau son corps au bord de l’orgasme, et cette fois, Sylvia sait qu’elle va avoir un orgasme. En plein délire, elle se convulse, ses mains se crispent, et ses orteils se recroquevillent. La respiration de Sylvia est profonde et haletante alors que son orgasme frappe tout son corps. « AAARRRRR ! AAAAARRRR ! »

Elle halète et se recule alors que Mars s’élance vers l’avant. Il saute sur son dos, l’agrippe entre ses pattes et l’attire à lui. Ils s’accouplent instantanément.

Elle pousse un gémissement d’extase lorsque son vagin spasmodique est totalement rempli de la verge palpitante et dure. Ses muscles vaginaux s’étirent de plus en plus tandis que Mars s’enfonce dans les profondeurs de son paradis. « AAARR ! AAARRAARR ! »

Son esprit est envahi par des sensations radieuses que son corps n’a jamais ressenties auparavant, alors que Mars commence à la pénétrer profondément. Son corps commence à contre-pousser, et elle s’agrippe fermement aux cuisses de Cathy pour se soutenir, tandis que ses hanches s’enfoncent vers l’arrière et tournent autour de son magnifique amant.

Sa tête et ses épaules sont posées sur le ventre de Cathy, alors que les poussées de Mars enfoncent de toute sa longueur sa verge dans le vagin. Son corps se soulève, tandis qu’elle s’écrase contre Cathy et que l’énorme verge de chair dure inonde son corps d’une joie brute.

Cathy me demande s’il ne faut pas retirer Mars du dos de Sylvia. « Laisse, elle prend son pied, c’est tout ce qui compte. » « T’as raison ! Après tout, nous sommes faites pour la même chose. »

Ses muscles vaginaux s’embrasent, serrent et traient l’épaisseur palpitante qui s’enfonce profondément dans son corps, la plongeant dans une frénésie sexuelle. Les spasmes indubitables de son orgasme imminent se répandent dans le corps animé de Sylvia. Les spirales orgasmiques s’enroulent dans ses reins enflammés et se répandent sur tout son corps.

Les sensations intenses deviennent une drogue que son corps réclame de plus en plus. Son esprit tourne dans un tourbillon de sensations orgastiques, tandis que sa tête se balance d’avant en arrière en émettant des sons bruyants et incohérents.

Son esprit explose lorsque la pression liquide et chaude la plus incroyable fait gonfler son vagin et le col de son utérus de façon radieuse, alors que Mars commence à éjaculer avec force dans son sexe tumultueux.

Il plonge sa verge bien au fond de son sexe avec un abandon sauvage, et Sylvia se met à hurler, tandis que son corps est catapulté au-delà du bord de l’orgasme. Son esprit saturé est maintenant totalement centré sur sa jouissance. De petites explosions orgastiques commencent au plus profond de son vagin en proie aux spasmes, s’étendant vers les lèvres, le clitoris et les mamelons en pleine explosion.

Des éclairs de lumière orgasmique inondent l’esprit et les yeux de Sylvia. Sa bouche s’ouvre en grand, elle n’entend aucun son, ses yeux s’ouvrent en grand, mais elle ne voit rien. Toutes les sensations orgasmiques se mélangent alors que son orgasme climatique se déchaîne.

La moule bien aspirée par Sylvia, elle aspire tout ce qui en sort. Après plusieurs orgasmes, le calme revient entre les deux amants. Lentement, Mars retire son érection dégonflée du vagin réticent de Sylvia, qui gémit de déception lorsque la merveilleuse plénitude quitte son corps. Un torrent de semences et de jus orgasmiques jaillit de la moule béante avant qu’elle ne revienne lentement à son état normal.

Cathy aide Sylvia à se redresser et à s’asseoir sur le sol, le dos appuyé contre elle. Mars s’assoit à côté d’elle, et elle lui tend la main pour lui frotter les oreilles pendant que son corps redescend lentement de son orgasme.

La tête un peu en arrière, elle reçoit les lèvres pulpeuses de Cathy sur les siennes. Elle mélange leur langue dans un baiser passionné.

Au bout d’un moment, Cathy lui demande : « Alors ? » Sylvia lâche enfin prise et répond : « C’est dingue ! Ça m’a fait jouir encore plus que toi. » « Ça oui ! J’ai bien vu t’envoyer en l’air comme une folle. » « Ils ont une sacrée endurance, ces chiens ! » dit-elle tout haut. « C’est Valérie qui a dû les entraîner ! » annonce Cathy.

Sylvia éclate de rire. « T’as raison ! Elle n’a personne d’autre avec qui baiser ! » Comme un déclic, elles me regardent avec la même idée en tête. « Bon, à toi maintenant ! Montre-nous comment tu fais ? Ils nous ont pas baisés par hasard, tes deux chiens ? »

Duc et Mars sont couchés à côté de la piscine, sans rien faire. Je regarde les filles, les chiens, les filles. Je m’oblige à bouger. Je me lève et vais vers eux et m’assois entre eux.

Je leur frotte le ventre, j’attrape leur gaine, et je les branle d’avant en arrière. En quelques secondes, leurs verges sortent, et elles commencent à suinter de liquide pré-séminal. J’en prends un peu dans ma main et je frotte leurs couilles avec. Ils lèchent sur ma main. Ils bandent, et je sens leurs verges chaudes et humides pendant que je joue avec eux.

Leur liquide pré-séminal est chaud dans mes mains. J’ai appris plus tard que la température d’un chien est supérieure de dix degrés à celle d’un humain. Je jette un regard vers les filles. Je me sens comme une pute, enfin, d’accord, comme une salope.

Duc vient dans mon entrejambe, à cause de l’odeur, puisque je suis complètement mouillée. Je me rapproche de lui, et je le laisse me sentir, et il commence à me lécher l’entrejambe.

C’est comme une décharge électrique. Duc enfonce sa langue recourbée dans ma moule et lèche mon jus suintant. Mars se lève, s’approche et commence à faire la même chose. Je m’appuie sur mes bras et je les laisse faire en regardant les filles d’un air provocant. Mes deux amours lèchent avidement mon entrejambe.

Duc enfonce son museau pour lécher mon trou de balle. Alors, je me penche encore plus en arrière et je leur donne un accès total à mes trésors. Je sens les prémices d’un orgasme. Alors, je me laisse aller en regardant les filles.

Je commence une série d’orgasmes multiples, et mes jambes tremblent. Je me retourne et me mets à quatre pattes, et Duc lèche mon trou de balle pendant que Mars lèche ma moule. Duc enroule sa langue, et elle entre dans mon trou de balle comme une cuillère lisse. Je commence à jouir immédiatement.

Je suis tellement absorbée par mes multiples orgasmes que je sursaute quand Duc me monte sur le dos. Ses pattes avant me tiennent par les hanches et m’attirent contre lui. Il pousse ses hanches plusieurs fois. Alors, sa verge touche les lèvres de ma moule. J’aspire de l’air en regardant les filles. Duc enfonce sa verge chaude et humide dans mon paradis.

Ses pattes puissantes me maintiennent contre lui. Il ajuste sa position, et son corps se recroqueville contre moi. Je peux sentir ses hanches chaudes et poilues s’écraser contre mes fesses. Je suis bien là.

Duc enfonce toute sa verge en moi, je tape contre le col de mon utérus. « Voilà ! Vous voyez, les filles ? Je suis aussi saillie comme vous ! » Duc commence un assaut complet sur mon utérus.

Sa verge devient plus longue et plus épaisse. J’ai le bonheur de la sentir grandir en moi. Je commence à jouir au fur et à mesure qu’il s’enfonce en moi. J’aime la violence de ses assauts, c’est toujours le paradis.

Sa verge devient de plus en plus épaisse et de plus en plus longue à chaque fois. Elle me remplit l’utérus, et je la sens cracher sa semence chaude à chaque poussée. J’ai un orgasme après l’autre pendant que son bulbe épais frotte mon point G à plusieurs reprises.

Soudain, il pousse profondément, son corps se colle à mon corps. Il me serre fort. Je sens sa semence chaude et épaisse inonder mon utérus. C’est une fois de plus merveilleux.

Il continue à éjaculer pendant environ vingt minutes. Chaque fois qu’il se secoue en jouissant, j’ai une nouvelle série d’orgasmes. Pendant un de mes orgasmes, il se désolidarise de ma moule. Je râle de déception quand son bulbe sort. Duc s’éloigne de sa femelle. Mars me lèche de la moule au trou du cul, il récolte les jus de la saillie.

Comme je l’espérais en regardant les filles et que je suis encore à quatre pattes, il pose ses pattes avant sur mes épaules et m’attire contre lui. Il me pénètre d’un seul coup. Alors, je sens sa violente poussée, désormais familière, dans mon paradis.

Mars prend son rythme, et je recommence à jouir. Mars est moins irrégulier que Duc. Le rythme régulier de Mars frappe mon col d’utérus et le remplit de sa semence chaude. Je sens les spasmes de sa verge pendant qu’il jouit. Il continue à agiter son bulbe dans ma moule avec de longues poussées régulières. Je jouis bruyamment pendant douze minutes d’affilée.

Nous restons accouplés pendant trente autres minutes, tandis que sa verge asperge mon utérus de sa semence chaude et épaisse. Dans ma jouissance, je vois bien les deux filles me filmer avec leur portable.

Lorsqu’il se détache de moi, son bulbe glisse bien. Mon vagin doit être béant, comme ma bouche grande ouverte sur un cri de jouissance. Je pose ma tête sur mes avant-bras avec mon cul en l’air. Alors, Mars me nettoie l’entrejambe, et j’ai encore d’autres petits orgasmes.

Duc vient et essaie de me monter, et je râle en le repoussant. Il donne des coups de rein pour me faire comprendre qu’il est encore prêt. J’oublie les voyeuses, alors je m’approche et passe ma tête entre ses pattes. Je commence à lui sucer sa verge. J’adore ça.

Il reste immobile, alors je le fais s’allonger pendant que je gobe sa verge et avale son liquide chaud. Quand je le finis, Mars s’approche de moi, et je le suce à son tour. Je suis une dépravée devant mes deux copines. Je suis la femelle de mes deux amours de chiens.

J’ai encore envie qu’ils me prennent à nouveau, malgré la présence de mes deux copines. Je m’allonge sur une serviette de bain au sol. Ils viennent me lécher la moule, les seins et le visage, tandis que j’ouvre la bouche et les embrasse tous les deux.

J’aime Mars, mais Duc est mon préféré. Je replie mes jambes écartées sur mon ventre, donnant à Duc et à Mars un accès total à ma moule et à mon trou de balle. Je jouis encore plusieurs fois. Mars est le premier à s’en apercevoir, il se met entre mes jambes. Il lève ses pattes avant et me tient par les épaules. Le bout pointu de sa verge trouve les lèvres de ma moule et la pousse vers l’avant.

Il ajuste sa verge en poussant vers l’avant, et elle rentre dans mon paradis. Je sens son bulbe suivre l’entrée de sa verge. Alors, je resserre mes muscles vaginaux autour de l’extrémité arrière de son nœud. Lorsque le bout de sa verge touche le col de mon utérus et son bulbe enflamme mon point G, mes pieds se recroquevillent, et j’ai des crampes alors que je jouis très fort presque immédiatement.

Mes orgasmes se succèdent, et je sens sa semence brûlante m’inonder l’intérieur de mon paradis. J’aperçois mes deux copines de chaque côté de nous deux. Ma bouche s’ouvre dans un cri silencieux, et je m’évanouis sous l’effet des sensations orgasmiques dévorantes.

Une bouche contre la mienne me ramène à la réalité. J’ouvre les yeux sur Sylvia qui, voyant mon retour à la vie, transforme son bouche-à-bouche en un baiser torride.

Cathy vient nous rejoindre avec ses lèvres posées au coin de ma bouche. Sylvia lui laisse la place, et Cathy me roule aussi une pelle torride. Ensuite, elles me poussent vers la piscine, et nous prenons un bon bain toutes les trois.

Mes deux copines ont pris aussi l’habitude de vivre nues chez moi. Un autre jour, nous barbotons, Cathy et moi, et nous voyons Sylvia à quatre pattes près des transats. Mars lui monte sur le dos et, en quelques coups de reins, il la saillit. Ils jouissent tous les deux, et on entend Sylvia exprimer son plaisir d’être soudée avec Mars.

Au bout d’un quart d’heure environ, ils se désolidarisent. Mars s’éloigne, et Duc prend le relais. Nous le voyons donner des coups de rein qui ne trouvent pas leur but.

Soudain, nous entendons Sylvia nous commenter la saillie : « Je suis tellement glissante à cause de l’excès de semence de Mars qu’il m’a glissé sa bite dans le cul. » Elle râle et recommence à jouir pendant que Duc la sodomise. Vingt minutes plus tard, ils se désaccouplent.

Aussitôt, Mars prend le relais. « OUI ! Mon chien ! Encule-moi aussi ! C’est tellement bon avec vous ! » La saillie dure très longtemps. Lorsqu’elle est libre avec son fessier en l’air, d’où nous sommes, Cathy et moi, nous voyons son trou de balle grand ouvert et rejeter spasmodiquement de la semence.

Cathy lui conseille de venir avec nous dans la piscine. C’est à quatre pattes qu’elle vient plonger avec nous. Ensuite, elle vient se coller à moi. Elle me roule une pelle et me remercie pour ces vacances inoubliables.

Les jours suivants, Cathy et Sylvia se transforment en zoophiles sans le savoir. Elles deviennent des femelles pour mes deux chiens. Elles ont même pris goût à la sodomie canine. Quelques fois, je me sens un peu à l’écart. Sylvia me clame plusieurs fois de ne pas faire ma jalouse.

À la fin des vacances, nous décidons de nous retrouver ici pour des week-ends torrides.

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