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Histoire de Sexe Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets

Histoire de sexe taboue Valérie L’orpheline Partie 3

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Chapitre 3 : Les trois copines

Je me tiens devant le miroir et je regarde mon corps, qui n’a pas trop souffert de la grossesse. Mes copines sont sur le point d’avoir le choc de leur vie. Je suis toujours la personne respectable, la secrétaire indispensable du cabinet des avocats. Ma fille Angèle et mon travail ont toujours été ma priorité, au détriment de mes deux amours de chiens, mais il y a un mois, tout a changé.

J’ai rencontré Jean. C’était la rencontre parfaite d’un conte de fées ; nos regards se sont croisés dans une salle bondée d’avocats, lors d’une de leurs conventions. Je ne pouvais pas le quitter des yeux. Il ne savait pas que j’existais, jusqu’à ce que je prenne, dans le même geste que lui, le verre tendu sur un plateau par un serveur.

Galamment, il me laissa prendre le verre qu’il refusa. Devant l’incident, le serveur lui apporta rapidement un autre verre. Nous sommes restés là, à nous raconter notre existence en vidant quelques verres près du buffet.

Il est avocat dans un autre cabinet, loin du nôtre, et je lui ai plu aussi. Nous y sommes allés doucement au début. Se lancer dans une relation stable et sérieuse quand on a une petite fille de deux ans et plus de vingt-neuf ans oblige à ne rien précipiter. Il nous a fallu plusieurs semaines de rencontres pour nous embrasser.

Jean est venu à la maison. Il s’est procuré mon adresse auprès d’un collègue de mon cabinet. Il est arrivé avec un énorme bouquet de roses, et mes chiens l’ont bien accueilli. C’est ce qui m’a rassurée, car s’ils l’acceptent sans difficulté, c’est que je n’ai rien à craindre. Ensuite, nous avons couché ensemble, après avoir couché Angèle, qui a l’air de l’aimer.

C’est une entente incroyable entre deux âmes désespérément seules. Au bout d’un mois de relation très poussée, j’ai proposé à Jean d’emménager chez moi. Bien sûr, je n’ai pas parlé de lui à mes deux copines. D’ailleurs, il y en a une autre qui s’est greffée dans notre copinage. Anna s’occupe très bien d’Angèle depuis qu’elle travaille dans la crèche.

Elle est venue plusieurs fois ici avec les deux autres, et le courant passe bien entre nous. Toutes les quatre, nous avons soutenu l’annulation du mariage de Cathy, les espoirs déçus qu’est la vie amoureuse de Sylvia. Nous devons soutenir Anna pour qu’elle reste saine d’esprit, car elle a tendance à succomber à la dépression.

Ce soir, je vais tout leur révéler sur ma relation avec Jean et sur ma nouvelle garde-robe qui en résulte. Je me regarde dans le miroir. J’ai les cheveux longs, comme la mode, et attachés, avec un maquillage assez audacieux.

Un haut en dentelle noir moulant et décolleté, une jupe courte sur des sous-vêtements noirs assortis, des bas noirs et des bottes à talons hauts. J’entends la porte d’entrée s’ouvrir. Mais Jean ne devait pas déjà rentrer, car ce soir, il avait un très long entretien avec un détenu à la prison du département voisin.

— Tu es toujours à la maison, chérie ?

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— Oui ! Mais je suis sur le point de partir.

Les deux chiens aboient gaiement. Duc se dirige vers la porte, mais au moment où je veux prendre Jean dans mes bras pour l’embrasser, il approche son museau de mon entrejambe et se met à le renifler, ce qui intrigue beaucoup Jean, qui n’est pas au courant de mes amants.

— Tiens ? Il ne se comporte pas comme ça d’habitude. Il s’est passé quelque chose ?

— Non, ce n’est rien ! Ce qu’il vient de faire est sûrement isolé et involontaire.

Mais Duc ne semble pas vouloir m’aider dans mon mensonge. Il met sa tête entre mes jambes et me lèche l’intérieur des cuisses. Jean fronce les yeux et clame :

— Valérie ? Dis-moi tout. Qu’est-ce qui s’est passé ? Duc ne s’est jamais comporté de la sorte avant. La seule raison que je vois, c’est que… Non ! Tu n’aurais tout de même pas ?

Je commence à rougir de honte et de peur. Jean a-t-il découvert mon secret ? Je ne veux pas que ma dépendance sexuelle avec Duc et Mars puisse affecter ma relation de couple avec Jean. En me voyant rougir devant son hypothèse, il écarquille les yeux de surprise. Ensuite, reprenant ses esprits, il éclate de rire et proclame :

— Eh bien, Valérie ! Tu me plais encore plus ! Je me suis toujours dit que tu serais la femme idéale pour moi et ma perversion sexuelle. Si tu savais le nombre de fois où je me suis branlé en pensant à toi.

— Mais enfin, Jean ! Je vais peut-être devenir ta femme, car je t’aime, et dans tout ça ?

— Ma femme ? Tu m’aimes tellement que tu me trompes avec ton propre chien, et peut-être avec l’autre aussi ? Quant à devenir ma femme ? Je veux que ma femme puisse me donner ce que je cherche depuis longtemps. Donc, si tu peux me donner tes pulsions zoophiles, tu seras ma chienne et même celle de tes chiens.

— De toute manière, tu n’as pas le choix. Soit je te baise comme tu le mérites et tu me montres ce que tu fais avec tes chiens, soit je ressors définitivement.

Après un long silence, je réponds :

— Alors ? Que choisis-tu ?

C’est honteuse et excitée à la fois que je l’emmène dans la chambre en compagnie de mes deux chiens. Il s’allonge ensuite sur le lit et déboutonne son pantalon.

— Alors, mets-toi nue ! proclame Jean.

Sans discuter, je me mets nue devant lui et le rejoins sur le lit. Je fais glisser la fermeture éclair de son pantalon et fais tomber le vêtement au sol. Je laisse son caleçon comme rempart à sa nudité. À travers le tissu, je peux distinguer très nettement les contours de sa queue. Je glisse mes mains entre son ventre et son caleçon et fais tomber le sous-vêtement au sol, libérant sa queue bien raide.

Il retire sa chemise et la jette au sol. Il me prend ensuite la tête d’une main et dirige sa queue vers ma bouche de l’autre. J’aspire sa queue dans la gorge et lui fais une fellation soutenue. Lorsqu’il sent que je prends le bon rythme, il me lâche la tête et me laisse continuer la fellation. J’en profite pour saisir la base de sa queue de ma main gauche, tandis que ma main droite caresse son abdomen saillant.

— Hum ! C’est bon ! Oh oui ! C’est ça, ma Valérie ! Suce-moi à fond !

Je poursuis mes va-et-vient sur sa queue imposante en lui massant délicatement les testicules de ma main droite durant quelques dizaines de secondes. Ensuite, il fait sortir sa queue de ma bouche.

Il se lève en plaquant une main sur le bas de mon dos.

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— Reste ainsi !

Il se place derrière moi.

— Quel cul tu as, ma femme ! Tu es toujours vierge de ce côté ?

Je secoue la tête en signe de négation.

— Si ce n’est que Duc et Mars qui sont passés par là, c’est à mon tour d’y aller !

Sur ces mots, sans que je m’y attende, Jean enfonce sa grosse queue dans mon trou de balle. Je pousse un gros râle de surprise qui se transforme rapidement en un hululement de plaisir.

Jean se penche sur moi.

— Alors, tu aimes ?

— Oh oui ! J’aime sentir ta grosse queue en moi ! Baise fort ta chienne ! Je suis toute à toi !

Encouragé par mes sincères paroles, Jean poursuit ses va-et-vient dans mon trou de balle. Ses couilles frappent mes fesses à chaque rentrée de sa queue dans mon boyau. Il me saisit les seins et se met à les malaxer avec frénésie, tandis que sa queue me sodomise à merveille.

— Oh ! Mon Jean ! Prends-moi toute entière ! Je suis à toi autant que tu le veux !

Je continue à pousser des râles de plaisir accompagnés de paroles aussi salaces que sincères. Aucun de mes anciens copains ne m’a jamais donné autant de plaisir que Jean à ce moment-là.

Tout à coup, Jean pousse un râle de plaisir et se fige. Je sens alors son jus chaud me remplir le boyau. Il se retire de mon trou de balle et essuie son gland sur mes fesses. Il se rhabille et m’annonce ce qu’il voulait pour la fois suivante :

— Bon, je ne t’ai pas baisée comme je le souhaite, mais la prochaine fois, je t’honorerai normalement. Mais avant que tu partes rejoindre tes copines, je veux que tu me montres comment tu baises avec tes chiens.

Honteuse et excitée à la fois, je descends de mon lit et vais rejoindre Duc et Mars, qui sont demeurés couchés au sol pendant ma sodomie avec Jean. Je caresse les têtes de mes deux chiens et leur demande gentiment de se retourner sur le dos. Duc et Mars obtempèrent. Je caresse leurs poitrails afin de les exciter. Ensuite, lorsqu’ils sont bien excités, je me mets à quatre pattes entre Duc et Mars et suce celui-ci, offrant ma croupe à Duc.

Sans se faire prier, Duc se redresse sur ses pattes arrière et me ceinture les flancs de ses deux pattes avant. Ensuite, il enfonce sa verge dans mon trou de balle bien entrouvert, sous le regard excité de Jean. Duc tient la cadence durant une bonne dizaine de minutes avant de s’immobiliser et de jouir dans mon boyau, à l’instar de Jean quelques minutes auparavant. Je pousse un gros râle de plaisir.

Duc se retire de mon orifice et se couche au sol aux pieds de Jean, épuisé par sa performance. Mars ne tarde pas à jouir à son tour sous les assauts de mes lèvres et de ma langue sur sa verge.

Ma bouche remplie de sa semence, je fais sortir délicatement sa verge de ma bouche et avale sa semence. Ensuite, je me retourne vers Jean et ouvre la bouche pour lui montrer que j’ai bel et bien avalé la semence de Mars.

— Bravo, ma belle. Tu es géniale ! Nous allons faire de grandes choses ensemble.

Bien que je sois encore à genoux, le cul en l’air, il se penche vers moi et me donne un baiser d’amoureux sur la bouche. Nous mélangeons nos langues, ainsi que notre salive. Je suis de nouveau excitée plus que je ne l’avais jamais été.

Jusqu’à présent, nos ébats amoureux ont toujours été doux, affectueux. D’une certaine manière, je sais qu’il n’y aura pas de baisers affectueux cette fois-ci. Il est tellement excité, et je suis sur le point d’être baisée comme une chienne, et j’aime ça.

Alors, Jean sépare les lèvres de ma moule baveuse avec son gland et enfonce sa queue profondément dans mon puits d’amour. Il entame un va-et-vient bien à fond. Après trois allers-retours dans mon puits d’amour, je sens déjà mon orgasme monter.

Jean sent ma moule baver de plus en plus.

— Ça te plaît d’être prise comme une chienne !

— MMMMMM ! OUIIIIII !

— Alors, je te garde ! Tu seras ma chienne à tout faire et à tout accepter de moi !

— MMMM ! OUIIIIII ! OU ! OUIIIIII !

Jean me baise fortement et rapidement. Il m’attrape une poignée de cheveux et la tire pour me faire redresser la tête, mais pas douloureusement.

— C’est ça que tu veux, salope de chienne !

Me parler de manière cochonne est nouveau pour moi, mais mon désir sait exactement comment lui répondre. Je râle en rafales à chaque poussée alors qu’il me baise fort.

— Oh ! Que oui ! Je suis ta chienne qui fera ce que tu voudras ! Garde-moi et baise-moi !

Soudain, dans un râle rauque, sa jouissance éclabousse de son sperme chaud le fond et les parois de ma moule, ce qui augmente la force de mon orgasme. Je râle mon orgasme, alors que mes genoux faiblissent, la vague d’extase me submerge.

Maintenant qu’il m’a bien baisée et avilie, il se relève en se retirant de mon paradis. Je me retourne pour lui faire face et je reçois sa queue souillée de notre jus à nettoyer avec ma bouche. Je l’aspire, la suce, la tète. Lorsqu’elle est bien molle et propre, je la rejette de ma gorge.

Je regarde ma montre et je me relève vite, car je suis en retard. Je me rhabille comme à son arrivée. Il me regarde lentement, ses yeux descendent le long de mon corps jusqu’à ce qu’il prononce, en regardant les bottes :

— Tourne-toi !

Sa voix est légèrement différente, plus rauque. Je me retourne.

— Montre-moi tes bas ?

Je soulève l’arrière de ma jupe plus haut que nécessaire. Jean apprécie la fermeté de mes fesses, moulées par des centaines de kilomètres de jogging. Je sursaute lorsqu’il saisit mes fesses nues.

La sensation de ses mains sur ma peau est électrique. J’essaie de me retourner. Il m’empêche de me tourner et serre mes fesses encore plus fort.

— Tu t’habilles comme une salope ce soir ?

Je veux aller chercher une autre petite culotte, car je retire celle-là qui est déjà humide des sorties de nos jus de ma moule. Il m’arrête de la main.

— Ne fais pas ça ! Vas-y comme ça, sans petite culotte, comme la chienne que tu es !

Mes yeux s’agrandissent.

— Je ne peux pas y aller avec du sperme qui coule le long de mes jambes ?

— Fais ce que je t’ordonne ! Rappelle-toi que tu es ma chienne ! Et, de temps en temps, tu pourras tremper un doigt et y goûter. Ça te fera tenir jusqu’à ce que tu rentres à la maison.

Il pousse ma main entre mes jambes, et je trempe un doigt dans le jus de ma moule. En le regardant droit dans les yeux d’un air de défi, je le porte à ma bouche et le suce bruyamment.

Il me regarde d’un air triomphant et me désigne la sortie.

— Vas-y, ma salope de chienne !

Il ronchonne en me donnant une légère tape sur mes fesses. Je lisse ma jupe et, en sortant de la maison, je lui demande :

— Tu seras encore là quand je rentrerai ?

Il me fait un oui de la tête en souriant.

Lorsque j’arrive, légèrement en retard, chez Sylvia, je sens toujours l’humidité qui colle entre mes jambes. Je sonne à la porte en espérant que la soirée sera courte. J’ai hâte de retourner chez moi pour savoir si Jean y est resté.

Sylvia m’ouvre la porte.

— Nom d’un chien ! Quelle tenue !

J’avais totalement oublié la façon dont je me suis fringuée. On se fait la bise, et je lui demande :

— Tu aimes ?

Elle rit lorsque je passe devant elle. Les voix qui proviennent du salon m’avertissent que je suis la dernière à arriver. Je prends une grande inspiration et je précède Sylvia dans le salon.

Elle s’arrête devant moi, placée de façon à ce que les filles ne puissent pas me voir.

— Mesdames, voici la retardataire que nous attendions !

Elle fait un pas de côté pour me laisser entrer dans le salon. Cathy et Anna se lèvent du canapé, étonnées.

Je suis envahie par tous les commentaires de mes copines.

— OUAIS ! Tu es superbe, Valérie !

— Ainsi, tu fais très sexy !

Nous sommes toutes en train de rire lorsque Sylvia débouche une bouteille de champagne.

— Un verre pour nous détendre !

Je prends mon courage à deux mains et je clame :

— J’ai quelque chose à vous dire, et j’espère que je ne vous décevrai pas.

Elles sourient en signe de sympathie. Je m’assois sur l’unique chaise rembourrée, alors que Cathy et Sylvia se laissent tomber sur le canapé. Anna s’installe sur un grand coussin au sol. Toutes les trois me regardent avec impatience.

Anna se penche en avant et me saisit une jambe.

— Qu’est-ce qui pourrait nous décevoir ? Tu te nippes comme ça pour un ou une autre ?

Je prends une gorgée de champagne et je mets mes trois copines au courant de ma relation. Quand je finis de leur raconter les détails de ma relation avec Jean, un ange, les ailes chargées d’interrogation, passe entre les trois filles.

Sylvia me regarde avec un sourire radieux.

— Et comment se fait-il que nous ne découvrions cette histoire d’amour que maintenant ?

Je fais une pause et je vide mon verre. Anna se lève et vide la bouteille dans nos verres.

— Tu as peur que l’une de nous le détourne de toi ?

Je hoche la tête, gênée, en me disant : comment ai-je pu douter de leur amitié ? Je réalise qu’à présent, je partage tout avec elles.

Je suis encore en train de digérer tout ça. J’ai tellement évité ces choses-là, alors que j’en découvre de nouvelles avec lui tous les jours ! Encore une fois, elles ont le regard qui fait croire qu’elles ont un secret entre elles. Je suis intriguée, mais avant que je puisse dire quoi que ce soit, Cathy change de sujet, car elle vient de mettre fin à une énième relation désastreuse.

Nous buvons une autre bouteille de champagne, en riant et en la taquinant à ce sujet. Ouvrant une troisième bouteille, Sylvia nous retrace, une fois de plus, son mariage infernal et le problème récurrent que son fils soit à l’autre bout du monde. Cathy et Anna font leurs blagues habituelles sur la queue de son ancien mari. Elles agacent Sylvia. Cette fois-ci, je me joins à elles, et nous gloussons sur la grosseur de la queue tant vantée par Sylvia auparavant.

Je bouge, et je sens le jus de mes deux amants du soir encore humide sur les lèvres de ma moule et sur mon périnée. Je vois qu’Anna me regarde bizarrement, alors je change rapidement de sujet. La quatrième bouteille est débouchée alors que nous retraçons les flirts habituels ratés d’Anna.

Nous sommes à la moitié de la bouteille lorsque Anna me fixe d’un regard étrange.

— Tu vas bien ? Le haut de tes bas a l’air humide ?

Oubliant mon manque de sous-vêtements, je soulève ma jupe. Anna glousse et se penche en avant.

— Oh ! Mon Dieu ! Comme elle est humide, cette fente-là !

Avant que je puisse bouger, elle se penche et fait courir un doigt le long de ma fente. Elle le reprend et le suce avidement.

— MMMM ! Tu nous as caché quelque chose. Tu as une chatte rasée et pleine de sperme !

J’essaie de baisser ma jupe, mais elle m’arrête, et Cathy et Sylvia la regardent se mettre à quatre pattes devant moi. Elle me regarde et me fait un clin d’œil en faisant courir sa main entre mes cuisses et en passant un doigt entre les lèvres de ma moule.

Mon esprit est en ébullition. Je n’ose pas lui interdire cette pratique à laquelle je n’ai jamais participé. Le doigt d’Anna envoie des étincelles dans mon corps, et malgré moi, je ne souhaite vraiment pas qu’elle s’arrête. Mais cela changera-t-il la complicité de notre amitié pour toujours ?

Je regarde Sylvia, et je suis stupéfaite de voir la main de Cathy à l’intérieur de son haut, qui lui caresse la poitrine. Le regard sur le visage de Sylvia montre qu’elle apprécie cela. La sensation de lèvres humides sur l’intérieur de mes cuisses détourne mon regard vers la tête d’Anna entre mes jambes. D’un stupide réflexe, j’écarte mes jambes.

Elle lève les yeux vers moi alors qu’elle passe ses lèvres sur ma peau. Elle cligne à nouveau de l’œil en étendant lentement sa langue pour lécher les lèvres extérieures de ma moule. Je râle de plaisir et je ferme les yeux en avançant involontairement mon pubis vers le visage d’Anna. Elle gémit en attrapant mes jambes, les écarte davantage, et elle ferme sa bouche sur mon puits suintant. Je ferme les yeux pendant qu’elle me suce et lèche doucement le jus de mes amours.

Soudain, elle s’arrête.

— Les filles, vous devriez goûter à ça !

Mes yeux se sont ouverts à temps pour voir Sylvia et Cathy enlacées dans un profond baiser d’amour. Elles s’écartent et regardent Anna avec avidité. Anna rampe jusqu’à elles, et je les regarde, sous le charme, comment elles s’embrassent profondément entre elles.

Sylvia se retourne et regarde mon visage bouche bée.

— Eh bien, je suppose que notre secret est dévoilé maintenant ?

— Tu as… Vous vous êtes… Tu es… Quoi ?

Je n’arrive même pas à former une phrase basique. Mon esprit est en ébullition.

Cathy arrête d’embrasser Anna et me sourit.

— Pourquoi crois-tu que tu partais toujours la première ? Tu nous as rendues zoophiles, et nous n’avons jamais cru que tu te joindrais à nous. Mais je vous comprends, avec tout ce que vous avez traversé. Pourtant, vous aimez la queue autant que moi !

Anna se lèche les lèvres. Je n’ai pas bougé, et elle regarde avidement ma moule imberbe.

— Oui ! Mais nous nous aimons, et c’est tellement rassurant, l’amour féminin !

Elle me regarde de nouveau dans les yeux.

— Tu dis juste « NON ! » et j’arrête, je te le promets. Mais je dois te dire que j’ai toujours eu envie de te butiner, et maintenant que c’est fait, j’en veux plus ! Si tu dis stop, nous ne ferons que regarder ces deux gouines en chaleur !

Cathy a maintenant libéré les seins généreux de Sylvia et en suce bruyamment un téton tout en tordant l’autre. La vue est excitante, une nouvelle expérience ne peut être qu’une bonne chose !

Je relève ma jupe plus haut, j’écarte mes jambes davantage, et je plonge un doigt dans ma moule baveuse. Je veux encore goûter nos jus avant qu’elle ne mange tout. Pendant que je suce mon doigt, Anna s’avance en souriant.

Sa bouche est fraîche, et sa langue est chaude lorsqu’elle me l’enfonce dans mon paradis. Je suis indécise entre me concentrer sur la sensation de sa bouche sur les lèvres de ma moule, où sa langue me visite, avec ses dents qui mordillent légèrement mon clito gonflé. Je regarde Sylvia soulever la jupe de Cathy.

D’une certaine façon, je ne suis pas surprise qu’elle soit aussi cul nu. Je pense qu’il n’y en a aucune qui a une petite culotte dans ce salon. Sylvia caresse la chatte glabre de Cathy. Elle passe un doigt jusqu’à ses lèvres brillantes d’humidité.

Une traction sur mon clito me fait reprendre mon souffle. Je sens les signes révélateurs de la montée du plaisir que me procure Anna, qui est accentué par la vue de mes deux copines se donnant du plaisir.

Je baisse les yeux vers Anna alors que mon orgasme augmente. Surprise, elle lève les yeux vers moi et recommence à téter sérieusement mon clito. Elle rentre sa langue et l’a remplace par un doigt, ensuite deux, pour faire un va-et-vient qu’elle accélère. Elle me baise avec ses doigts.

Mon orgasme déferle en moi, et elle me lèche, me grignote et me doigte, et moi, je pousse mes hanches vers elle. L’orgasme est différent, plus doux, plus calme, mais toujours intense. Comme il commence à diminuer, je regarde les deux autres. Sylvia est maintenant à genoux devant Cathy, en imitant Anna.

Cathy est sur le point de tomber dans son propre orgasme. Anna retire ses doigts humides de ma moule et les suce, pendant que nous regardons toutes les deux Cathy succomber à son plaisir ultime.

Elle est plus bruyante que moi et plus exigeante, alors qu’elle attrape la tête de Sylvia et la tire à elle. Anna me regarde.

— Tu veux essayer ?

Il me faut une seconde pour comprendre ce qu’elle veut dire.

— Tu veux dire, moi, faire ça ? Mais je ne sais pas comment !

— Bien sûr que tu le sais. Fais comme ce que tu aimes qu’on te fasse !

Il y a une légère note de supplication dans sa voix. Elle se lève et m’embrasse doucement sur la bouche. Ses lèvres sont douces et ont un goût d’interdit. Je l’attire à nouveau et j’écarte légèrement mes lèvres. Elle répond, et sa langue glisse sur la mienne. J’y retrouve le goût de Jean. Je suce et aspire sa langue dans ma gorge, dans un baiser torride.

Comme Anna et moi avons échangé nos positions, Cathy et Sylvia ont fait de même. J’ai revu la moule imberbe de Sylvia avant qu’elle ne disparaisse sous la bouche affamée de Cathy. Sylvia rejette sa tête en arrière pendant que Cathy lèche et suce bruyamment. Cette fille a-t-elle déjà fait quelque chose en silence ?

Anna soulève sa jupe. À mon grand étonnement, elle porte un string bleu qui est trempé. Elle le fait glisser pour révéler un monticule soigné et taillé en une fine ligne de poils descendant jusqu’à ses lèvres scintillantes.

Elle me regarde et sourit.

— Ça ne mord pas beaucoup ?

Je souris en retour et je tends un doigt. Je glisse lentement un doigt le long de sa cuisse. J’hésite à l’approche de sa moule chaude et humide. Elle observe mon visage et voit le trouble qui fait rage dans mon esprit. Elle se penche en avant et m’embrasse d’un long baiser mouillé. Je masse avec deux doigts son clito. Elle halète de plaisir dans ma bouche.

Elle lâche ma bouche et tombe en arrière en soupirant de plaisir. Son clito est dur, gonflé et impatient sous mon massage. Je me penche en avant jusqu’à ce que je puisse sentir son parfum musqué.

Hésitante, j’embrasse l’intérieur de sa cuisse, assez haut pour que les lèvres de sa moule frôlent ma joue. Un bruit derrière moi me fait lever la tête. Avec Anna, nous regardons Sylvia, nue, s’allonger sur le canapé. Cathy, aussi nue, s’allonge tête-bêche sur Sylvia pour qu’elles puissent ainsi se lécher, se sucer et se manger la moule.

La main d’Anna sur ma tête, qui me ramène vers elle, interrompt mon regard émerveillé devant la facilité et l’avidité avec lesquelles mes deux copines se donnent du plaisir. Anna utilise ses doigts pour écarter les lèvres de sa moule.

— Embrasse-moi ?

Elle me demande en avançant son pubis. Je m’avance et j’embrasse légèrement son clito gonflé. Elle gémit et soulève ses hanches. Je lui lèche la moule de bas en haut. Elle a un goût si doux, similaire au mien, mais la saveur est subtilement différente. Comme je trouve ça très bon, je la lèche à nouveau en entrant la pointe de ma langue dans sa moule baveuse.

En dégustant la bave de sa moule, je lève les yeux vers elle. Nos yeux se rencontrent brièvement, et je partage ma découverte en appréciant cette nouvelle sensation. Anna déboutonne son haut, défait son soutien-gorge et commence à jouer avec ses seins, en tordant ses mamelons durs. Elle en apprécie visiblement la sensation.

Je fais courir ma main le long de sa cuisse et, tout en suçant son clito, je pousse lentement un doigt entre les lèvres de sa moule qui bave. Elle se serre autour de mon doigt que je pousse sous la pression. Anna halète, alors je m’arrête, par peur de lui avoir fait mal.

Elle baisse les yeux vers moi, jouant toujours avec ses seins.

— N’arrête pas, ma… C’est merveilleusement bon !

Je remplace le doigt et je suce et mordille son clito, en passant ma langue autour du clito gonflé. Fiévreusement, je l’aspire, le tète, le pince entre les lèvres de ma bouche. Lorsque je glisse deux doigts complètement dans son paradis humide, je sens les muqueuses d’Anna me les serrer doucement.

Comme ils sont entièrement en elle, je les tourne de façon à ce que ma paume soit tournée vers le haut. Je tâtonne l’intérieur de son puits d’amour. Je pousse encore, et je suis récompensée par un cri de plaisir, un frémissement des parois de sa moule et un tremblement de son clitoris.

Après quelques poussées supplémentaires, j’arrête, car si je continue, c’est tous mes doigts qui vont entrer dans son puits d’amour. Je veux surtout prolonger ce moment, et je sens que si je continue à jouer avec le point G d’Anna, elle jouira beaucoup trop vite. Je retire mes doigts et lèche son jus.

Ensuite, je remplace mes doigts par ma langue dans l’espace laissé libre. Je suce et aspire la bave de sa moule. Un autre cri m’informe que j’ai réussi à le faire. Alors, je plonge ma langue profondément et aspire plus tout son jus. Je savoure le goût, l’odeur et la sensation que je lui donne.

J’augmente le rythme avec ma langue et ma bouche. Dans un râle de plaisir, Anna pousse son pubis contre ma bouche. Alors, je branle son clito avec deux doigts. Soudain, elle lâche prise. Sa moule se contracte autour de ma langue, son clito commence à frémir, et le jus de sa jouissance inonde ma bouche.

Je bois délicieusement son jus pendant qu’Anna développe son orgasme. Lorsqu’enfin elle se calme, la bouche barbouillée de sa jouissance, je m’assois. Revenue au présent, elle se penche en avant et m’attire vers elle. Elle m’embrasse profondément sur la bouche. Elle écarte mes lèvres avec sa langue et aspire son propre jus qui s’y trouve encore.

Au bout d’un bon moment à se rouler une pelle, elle s’arrête, me regarde et sourit.

— Merci ! J’aime la transformation que tu viens de vivre !

Nous gloussons ensemble. On se tourne pour regarder Sylvia et Cathy jouir ensemble. Cathy jouit bruyamment, bien sûr, et Sylvia délicatement, ce qui représente leurs personnalités. Je regarde Anna, et nous rigolons toutes les deux devant le manque total de contrôle de nos copines.

En chuchotant, Anna me demande de lui faire goûter à la zoophilie comme les deux autres. Alors que nous nous rassemblons, je regarde les trois à tour de rôle.

— Depuis combien de temps vous vous mélangez ?

— Depuis que je les connais, clame Anna.

Sylvia et Cathy se sont serrées l’une contre l’autre, toujours nues. Cathy répond à ma question :

— Un peu plus de huit ans !

Je suis abasourdie.

— Nous étions assez pompettes un soir. Tu es partie tôt, comme d’habitude. Nous avions toutes passé deux semaines merdiques, et l’une d’entre nous a suggéré : « Si les hommes ne peuvent pas nous satisfaire, peut-être qu’entre nous, on le pourrait. »

— Et ça a fonctionné !

Ajoutent Sylvia et Anna, et nous rigolons toutes les quatre.

— Eh bien ! Je suis désolée, les filles, mais je me retire à nouveau !

Je claironne, en me levant.

— Même si c’était très amusant, et j’espère que cela va se reproduire, je suis très excitée en ce moment, et j’ai besoin d’une queue bien dure dans mon ventre. Et je sais exactement où elle m’attend.

La jalousie est écrite sur leurs visages, et pour la première fois, je sais qu’elles m’envient de partir en premier. J’ai hâte de rentrer chez moi, de raconter mon aventure à Jean et de subir son excitation.

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