Histoire de sexe taboue Valérie L’orpheline Partie 4

Chapitre 4 : Anna saute le pas

Nous sommes au mois de juillet. Anna, ma nouvelle copine, est en vacances et souhaite en profiter un maximum. En ce début d’été, Jean étant en déplacement pour une quinzaine de jours et ma fille Angèle chez ma tante pour les vacances, nous avons projeté toutes les deux de nous faire une journée entre filles. Il fait beau, quoi de plus naturel que de prendre du bon temps, et en plus entre copines.

Nous sommes au bord de la piscine pour profiter du soleil et de la baignade durant toute la journée. Nous nous passons de la crème solaire, car il fait un soleil radieux qui commence à chauffer. Nous voilà prêtes pour une séance de bronzage.

Nous profitons de ce moment de repos pour prendre des couleurs et nous délasser. Nous passons un agréable moment ensemble, entre copines. Anna regarde mes deux amours couchés à l’ombre. Elle me demande si je suis toujours consentante pour l’initier à la zoophilie.

Je lui réponds qu’il n’y a pas de raison que je lui refuse ça, alors que Sylvia et Cathy en ont bien profité durant leur séjour avec moi.

— Elles se sont fait aussi baiser par tes chiens ?

— Oh ! Oui ! Et par n’importe quel trou ! Ça a été une vraie orgie canine.

En fin d’après-midi, nous sommes parties courir dans le parc avec les chiens. De retour à l’intérieur, je propose à Anna de m’aider à laver les chiens. Pour être à l’aise, nous nous mettons nues toutes les deux. Tout en les lavant, Anna s’amuse à jouer avec leurs verges. Habitués à ce jeu, les bêtes bandent. Je vois Anna s’amuser à faire comme moi.

De retour au salon, les chiens n’arrêtent pas de me renifler l’entrejambe, et aussi celui d’Anna. De temps en temps, ils lui grimpent dessus pour la culbuter. Avec leurs verges sorties du fourreau, je suis émoustillée par ces provocations. J’y vais carrément et je commence une fellation à chacun, juste pour les exciter davantage.

Absorbée par ce spectacle, Anna commence à se frotter entre les cuisses, c’est un signe annonciateur. À son tour, je l’oblige à en prendre un dans sa bouche. Passée la première réaction, elle finit par prendre goût à la texture, ce contact nouveau et étrange pour elle.

Je la redresse et lui dis :

— Ce soir, je vais te marier à mes deux chiens. Viens que je te prépare pour ta nuit de noces et faire de toi la chienne que tu veux être.

Sans lui demander son avis, je lui prends la main et lui demande de me suivre. Les chiens, comme des fous, tournent autour de nous ; je pense qu’ils ont compris ce qui se prépare.

Nous entrons dans la véranda. Je fais signe à mes deux amours de se coucher dans leur panier. Ils obéissent à mon ordre. Anna tremble, alors je lui mets un collier de chien autour du cou pour la conditionner. Ensuite, je lui demande de se mettre en position pour sa nuit de noces. Je lui demande si elle accepte de prendre pour époux un de mes deux chiens, ou les deux ?

Mais elle ne répond pas. Anna est à quatre pattes, la moule qui mouille et baille. J’autorise Mars à venir, et le voilà qui se met à lui laper la chatte et le cul. Elle gémit de plaisir, c’est la découverte d’une langue râpeuse. J’écarte Mars et fais signe à Duc de venir goûter à ses sécrétions sucrées et baveuses.

De temps en temps, je vérifie sa moule, si elle est bien dilatée par le désir de se faire aussi saillir. Je lui demande :

— Tu veux vraiment te faire saillir par mes chiens ? Dis-moi si tu en meurs d’envie ?

Mars vient rejoindre Duc, et ils lui lèchent ses deux puits d’amour ensemble. Dans un très gros râle de jouissance, elle feule :

— Ou ! Oui ! Je les veux en moi, tous les deux !

En retenant Duc, je fais signe à Mars, qui, sans hésiter, lui grimpe dessus. Sa verge est sortie de son fourreau, dégoulinante de pré-sperme. Au début, il bute entre ses fesses, et soudain, il trouve la moule béante d’Anna. Et la voilà qui crie : « ROH ! ROH ! ARRF ! »

Durant sa saillie, elle pousse un cri plaintif, car il vient d’enfoncer son bulbe. Je viens d’assister à une merveilleuse transformation ; je viens d’offrir à Anna une autre façon de découvrir une autre facette de sa personnalité. Je vois le cul de Mars qui tremble, ce qui veut dire qu’il est en train de la remplir de sa semence.

Anna, les yeux fermés, râle sa jouissance, elle est en délire. Elle encourage Mars à la pénétrer davantage et plus en profondeur en poussant des « OH ! », des « AH ! », « Oui, vas-y, défonce-moi, que c’est bon de se faire enfiler de la sorte ! » Pendant un bon moment, Mars pompe sa partenaire à vive allure, comme une chienne.

Anna, qui ne peut se retenir plus longtemps, se met à crier son plaisir en sentant que le bulbe de Mars lui distend son vagin. De temps en temps, elle clame qu’il va la faire mourir de plaisir. Mars se retourne, et ça lui arrache un râle de douleur. Cul contre cul, Anna est nouée.

— Dis-moi que tu aimes sentir Mars en toi ? Tu en jouis, je le sens.

Je me mets devant Anna et lui dis :

— Regarde-moi comme je mouille, car je sais ce que tu ressens ! Il te masse de l’intérieur, et son bulbe te remplit la moule.

Anna ne fait que râler de plaisir, impossible de parler. Elle râle fort son orgasme foudroyant, sa moule déborde de semence. Au bout d’un quart d’heure, Mars se retire dans un « flop », sans lui laisser le temps de récupérer. Je fais signe à Duc, qui, du premier coup de rein, la pénètre.

Anna crie de surprise. Elle souffle à chaque coup de rein de Duc. Il fait entrer son bulbe dans sa moule sans difficulté, tellement qu’elle est lubrifiée de la semence de Mars. Un quart d’heure plus tard, Anna feule un autre orgasme, pendant que Duc lui remplit la moule de sa semence.

Elle est tellement remplie de semence que Duc se retire de sa moule sans se retourner. Je retiens Mars, en penchant mon visage à côté du sien, et lui demande :

— Tu veux qu’ils te sodomisent comme Sylvia et Cathy ?

La bouche ouverte avec sa langue pendante, elle bave de plaisir.

— OUI ! Je veux, moi aussi, qu’ils m’enculent, tes monstres !

Alors, j’aide Mars à sodomiser Anna, qui pousse un très gros râle de satisfaction lorsque sa verge s’enfonce dans son trou de balle. Après avoir fait crier sa femelle, quand il a entré son bulbe dans son boyau, il lui faut une vingtaine de minutes pour se retirer de son boyau après l’avoir bien inondé de sa semence.

Je fais un signe à Anna pour accepter aussi Duc. Elle me fait un signe de oui de la tête. J’aide aussi Duc, pourtant il trouve tout de suite le trou de balle bien ouvert d’Anna. Je suis aussi excitée à l’entendre beugler ses orgasmes.

Je me glisse sur le dos entre ses bras tendus. Au passage, je fais la bise à ses deux seins. Je m’installe juste en dessous de sa moule et j’ouvre la bouche. Les couilles de Duc sur le front, je suce, j’aspire et avale la semence qui coule de sa moule. Anna gueule sa jouissance et, soudain, elle aspire ma moule mouillée. Mais, rapidement, Mars vient aussi me la lécher, et je jouis comme une folle, moi aussi. En me léchant la moule, sa langue lèche la langue et aussi la bouche d’Anna.

Après l’effort, le réconfort. Je félicite Anna pour son nouveau baptême. Lorsqu’elle se sépare enfin de Duc qui la sodomisait, je découvre sa chatte bien dilatée et dégoulinante de semence. Je ne peux m’empêcher de glisser mes doigts à l’intérieur. La sentant bien ouverte, je réussis à la pénétrer entièrement avec ma main.

Celle-ci glisse aisément en elle, bien lubrifiée par la semence et la mouille. Je ferme le poing en elle. Je peux le faire entrer et sortir de sa moule facilement. Je module la vitesse de pénétration en fonction de ses gémissements, pour finir par la baiser avec ma main comme l’ont fait mes deux amours. Elle crie encore littéralement de bonheur quand la jouissance l’envahit.

Après cette séance de baise, nous allons prendre un bain dans la piscine, question de nous remettre les idées en place. L’eau, à cette heure-ci, est très bonne et nous remet un peu les idées en place. Après un bon trempage dans la piscine, nous arrosons l’événement de champagne et nous dînons gaiement.

Après avoir bien commenté ses sensations et ses plaisirs, nous allons nous coucher. Je décide de la laisser dormir seule avec mes deux amours dans la même chambre. Moi, je dors seule dans ma chambre.

Le lendemain, Anna apparaît, les yeux cernés, fatiguée, mais souriante, en disant qu’elle n’a pas pu s’empêcher de se faire encore saillir par mes deux amours. Toute la journée, l’une comme l’autre, nous nous sommes faites saillir à tour de rôle. Ça ressemble presque à une compétition. C’est à qui se fera monter le plus. Nous sommes deux femelles vivant dans la bestialité, avides de verges, deux femelles en extase.

Anna est heureuse de sa découverte, c’était un défi pour elle. Mais, finalement, comme elle dit, c’est le chemin de son éducation, car elle adore appartenir et se soumettre à ses vices.

Anna n’est soumise à personne, sauf à ses impulsions dans sa dépravation. Chacun doit prendre son chemin, ainsi est faite la vie, personne ne possède personne. Mais on se donne à qui on veut, reste à savoir pour combien de temps ?