Chapitre 5 : Retour de Jean
Les jours suivants, à la demande d’Anna, je prends en main son conditionnement, car elle est férue de zoophilie. Je lui enseigne à bien présenter sa croupe pour inciter le mâle à venir la saillir.
Je lui inculque de baisser la tête pour confirmer son asservissement au mâle, pendant qu’il la prend. Je lui apprends aussi à renifler l’anus du mâle, à le pourlécher sans dégoût, pour attiser son ardeur. Elle accepte aussi d’être souillée par l’urine du mâle qui la marque de son odeur chaque fois qu’il le juge nécessaire.
Je lui apprends également à ne pas sucer la verge du mâle comme celle d’un homme, mais à simplement la laper comme n’importe quelle femelle le ferait. Elle accepte aussi d’être prise sans relâche et de ne pas attendre de sentiments en retour, le mâle ne faisant qu’assouvir son instinct.
Anna redécouvre que les saillies lui ont fait perdre à l’esprit le plaisir d’aimer et d’être câlinée en retour. Anna a compris que l’important, ce ne sont pas les saillies, mais tout ce que je lui apporte chaque jour. Le reste n’étant que du dressage ou une simple récompense.
Car j’éprouve pour elle une attirance, et mes amours la baiseront toujours sans relâche. Anna est attirée par tout ce qui touche au sexe, ce qu’elle affectionne et où elle prend véritablement son pied. C’est lors de pénétrations douloureuses et profondes qu’elle adore jouir, sous la douleur et la soumission.
Entre saillies et amour saphique, nous n’avons pas vu passer les quinze derniers jours. Jean est revenu un jour plus tôt que prévu. Il a voulu me faire une surprise et est rentré discrètement par une entrée du parc. Il nous a découvertes en plein amour saphique et zoophilique.
Dans l’après-midi, entre nos saillies, j’ai vu Mars ou Duc aller souvent dans le sous-bois. Le soir, Jean est rentré par le portail, nous étions toutes les deux nues au bord de la piscine. À mon grand étonnement, Anna n’a fait aucun geste pour se couvrir.
Pendant le dîner, Jean nous proclame qu’Anna peut rester avec nous tant qu’elle en a envie. Qu’il sait que j’en serais satisfaite avec ce qu’il a découvert. Pour affirmer sa découverte, il nous montre sur son portable qu’il a filmé nos ébats saphiques et nos saillies.
Nous avons délibéré longtemps tous les trois. Anna nous a déballé sa vie et, un peu honteuse en désignant le portable de Jean, elle accepte l’invitation de Jean, du moment que je suis consentante. Elle est d’accord pour faire un ménage à trois, et aussi avec nos chiens.
Jean me prend dans ses bras, m’embrasse amoureusement et me propose :
— Tu m’as dit que tu étais toute à moi et que tu ferais tout ce que je voudrais. Alors, là, je vous veux toutes les deux et sans jalousie entre vous.
Il regarde Anna et donne un petit coup de tête en signe d’interrogation. Anna me regarde dans les yeux et proclame :
— Moi, je suis d’accord pour être à vous deux, je vous aime déjà. Je veux bien partager Jean avec toi, ma Valérie chérie.
Avec un pincement au cœur, je regarde Jean et Anna.
— Oh ! Oui ! Je suis consentante pour partager ma vie, mon Jean, mes chiens et ma vie avec vous deux. Mais il ne faut pas oublier Angèle ? Je ne me séparerais jamais d’elle.
Contre toute attente, Jean et Anna proclament ensemble :
— J’aime ta fille, et pour rien au monde je ne te séparerais d’elle.
— Moi aussi, j’aime la petite Angèle, c’est la reine de la crèche pour moi.
À ce moment-là, Anna nous serre longuement dans ses bras.
— Je vous aime tous les deux ! dit-elle.
Jean aime sentir ses seins pressés contre sa poitrine. Il peut sentir les battements de son cœur. C’est là que Jean accentue son emprise :
— Je vous veux toutes les deux.
Anna est rayonnante de cet aveu. Après ça, nous allons faire un saut dans la piscine. Une fois de plus, sans réticence, Anna se met nue devant Jean. Pendant que nous jouons tous les trois dans l’eau, durant un moment où Anna est à l’autre bout de la piscine, Jean me colle, me roule une pelle d’amoureuse et me roucoule :
— Je t’aime comme ça, je veux te garder pour toute ma vie.
Je n’ai pas l’occasion de lui répondre, car Anna surgit entre nous deux, en remontant du fond de la piscine.
— À moi aussi ! clame-t-elle en souriant.
Elle roule aussi une pelle à mon Jean, et ma main rejoint celle d’Anna sur la queue bandée de Jean. Lorsqu’elle libère la bouche de Jean, elle clame :
— HOUAS ! Il a une belle queue ! On va se régaler, ma chérie !
Elle se tourne vers moi et me roule aussi une pelle d’amoureuse. Le mélange de nos langues fini, elle proclame :
— On va dans la chambre pour sceller notre union du ménage à trois.
Nous sortons de la piscine et, en riant comme des gamines, nous allons dans ma chambre, suivies de mes deux amours dans leur panier. Jean nous suit de loin, si je peux dire. Devant la porte ouverte, il nous entend chuchoter toutes les deux.
Il entre dans la chambre à coucher. Anna et moi sommes allongées ensemble dans le lit, nues.
— Qu’est-ce qui t’a pris tant de temps, mon chéri ? lui demandé-je avec un petit sourire.
— Oui, on t’attendait ! ajoute Anna avec un sourire narquois.
Jean pense que je dois tout savoir d’Anna, et qu’elles l’attendaient avec impatience. Je le connais assez bien pour savoir que l’idée qu’il fasse l’amour avec Anna devant moi est plus érotique pour lui, vu que sa queue est dressée de désir.
Jean me touche doucement l’épaule.
— Je pensais te surprendre, mais tu as une longueur d’avance sur moi, comme d’habitude.
Je lui souris, et il m’embrasse avec douceur.
— Partageons ? chuchote-t-il.
Je hoche la tête en signe d’acceptation.
— Pouvons-nous tous nous partager, Anna ? demande-t-il, faisant courir le bout de ses doigts de sa hanche jusqu’à effleurer son mamelon.
Ensuite, il pose sa main sur sa fine épaule.
— S’il te plaît ! clame Anna sans hésiter.
Se tournant vers moi, elle me demande :
— Tu veux bien que je lui fasse honneur ?
— OH ! OUI !
Anna saute du lit, ses seins rebondissent, et elle se met nue devant Jean. Elle frotte sa bite et s’agenouille devant lui, pour avoir sa queue pointer devant son visage.
— Oh mon Dieu !
Anna écarte ses jambes, puis soulève sa queue et commence à donner de petits baisers à ses couilles, sa queue tressaille à chaque baiser. Ensuite, elle embrasse lentement sa tige. Elle s’attarde à l’endroit le plus sensible et saisit son cul. Elle s’assure que ses cheveux frôlent la bite de Jean. Il se sent défaillir. Lorsqu’elle atteint le bout de sa queue, Anna l’entoure amoureusement avec sa langue tout en regardant Jean dans les yeux avec ses yeux brillants.
Elle se retourne et me regarde. Je me caresse doucement mes propres tétons en les regardant.
— Devrions-nous lui montrer ce qu’il se serait passé s’il n’était pas revenu à la maison ? demande Anna.
— Tu aimerais voir ça, Jean ? lui demandé-je avec un sourire séducteur.
— Oui ! Bien sûr, j’adorerais voir ça.
Il s’installe dans le lit à mon côté. Je lui serre la main amoureusement. Anna et moi nous tournons l’une vers l’autre et nous nous embrassons profondément. Nos corps nus serrés l’un contre l’autre. En m’enlaçant par derrière, la queue de Jean se niche entre mes fesses. Jean se redresse, s’appuie sur mon bras pour avoir une meilleure vue.
Pendant un long moment, nous explorons profondément nos bouches respectives avec nos langues. Nos seins serrés l’un contre l’autre, nos bassins tremblent. Soudain, Anna me suce le lobe de l’oreille, et j’en frissonne.
Nous changeons de position et, tour à tour, nous embrassons et suçons les tétons en érection de l’une et de l’autre, en gémissant doucement. Anna regarde Jean droit dans les yeux en suçant avec avidité mes seins.
Je me tourne vers Jean et lui demande de s’asseoir derrière Anna, pour qu’elle puisse s’appuyer contre lui. Il s’installe derrière elle, le dos contre la tête de lit, les jambes écartées pour qu’elle puisse s’asseoir entre elles.
— Maintenant, regarde ce qu’Anna me fait.
Anna se déplace rapidement entre mes jambes, les fesses en l’air et la bouche à quelques centimètres de moi. Elle passe ses doigts entre les lèvres de ma moule et tire doucement sur mon clito caché.
— Elles sont tellement douces et appétissantes, clame-t-elle en levant les yeux vers Jean, qui regarde les jolis seins d’Anna.
— Les lèvres de sa moule sont si délicates et si sexy.
Anna écarte doucement mes lèvres pour ouvrir ma moule. Elle passe son doigt de mon clito à mon vagin.
— Elle est déjà si mouillée.
Elle frotte son doigt contre son pouce pour montrer à Jean à quel point je suis mouillée. Elle abaisse son visage entre mes jambes et commence à passer doucement sa langue de haut en bas, en s’arrêtant pour tapoter mon clitoris. Je râle de volupté et me tortille contre la poitrine de Jean. Anna tend une main vers le haut pour me pincer un mamelon et me lèche et suce d’une manière experte.
Elle lève les yeux vers Jean.
— Le clito de Valérie devient tellement dur.
Elle mouille son index et l’enfonce dans ma grotte d’amour tout en continuant à me la manger. Elle masse mon point G tout en me suçant le clito. Je penche la tête vers Jean et lui murmure :
— Elle me fait jouir.
L’instant d’après, je pousse un grand râle et suis violemment secouée par l’orgasme qui m’anéantit. Je mouille abondamment pendant qu’elle continue de me faire jouir du clito et à me masser mon point G. Elle me lèche avidement la moule. Elle aspire avidement mon jus qui ruisselle sur sa bouche.
Lorsque mon orgasme se calme, je proclame :
— C’est à mon tour de m’occuper de toi, Anna.
Je lui demande de s’allonger sur le lit, la tête posée sur les genoux de Jean. Sa queue rigide se niche dans ses cheveux. D’abord agenouillée à côté d’Anna, je lui tire doucement les cheveux et la regarde.
— Tu n’aimes pas sa tignasse, Jean ?
— MMMM ! Je l’aime.
Il sourit pendant que je passe mes doigts dans les cheveux d’Anna. Elle ne dit rien, mais elle commence à pincer ses deux tétons. Jean aime les voir devenir durs à son contact. Je m’installe sur Anna, mon visage contre sa moule, mon cul face aux visages de Jean et d’Anna.
— Maintenant, je vais manger ton berlingot sucré jusqu’à ce que tu jouisses très fort.
Je baisse mon visage vers la moule d’Anna et commence à la lécher et à la sucer. Tandis que mon cul et ma moule sont à quelques centimètres du visage d’Anna, qui est assise toujours sur les genoux de Jean. Elle gémit doucement à cause de l’attention que je porte à sa moule.
Anna pose ses mains sur mes fesses, qu’elle pétrit fortement, écartant largement mes lobes. La vue d’Anna écartant mes lobes fessiers pendant que je lui mange la moule a presque fait jouir Jean. Elle se tortille sur les genoux de Jean, alors qu’elle se rapproche de l’orgasme. Il aime la vue et la sensation de sa queue dure dans les doux cheveux d’Anna.
Je lève mes fesses, exposant ainsi ma moule humide à Jean en me penchant sur la moule d’Anna. Je la mange furieusement jusqu’à ce qu’elle jouisse, en criant et en se trémoussant comme si elle était dans un état second.
— Putain, Valérie ! C’est incroyable ! finit par dire Anna, alors que je me retire de sa moule.
— Testons tes compétences en matière d’orgasmes multiples dont tu m’as parlé, Anna. Je veux voir Jean te faire jouir à nouveau.
Je regarde Jean, qui est tout à fait disposé à le faire.
— S’il te plaît, Jean ? Fais-moi jouir pendant que Valérie regarde, clame Anna en regardant Jean depuis ses genoux.
Elle se frotte la moule à cette idée. Jean se déplace de derrière Anna et me demande de prendre sa place. Anna pose sa tête sur mes genoux, et Jean s’allonge sur Anna. Ils s’embrassent profondément et passionnément pendant que je les regarde à quelques centimètres de distance.
Jean se dirige vers les seins fermes d’Anna, les caresse et les presse tout en suçant ses mamelons bruns, qui deviennent rapidement durs dans sa bouche. Il glisse une main le long de son corps jusqu’à sa grotte d’amour et commence à masser doucement son clito, pendant qu’il suce ses tétons. Elle roucoule de bonheur.
Jean se lève, écarte les jambes d’Anna et se glisse entre elles. Il écarte les lèvres de sa moule baveuse avec sa queue en la faisant glisser entre elles, de haut en bas. Il a une forte envie de l’enfoncer, mais il veut d’abord la faire jouir. Lui tenant une fesse dans chaque main, il frotte sa queue tendue contre son clito, encore et encore. Elle se tortille de plaisir à chaque fois que le gland s’approche de son clitoris.
Sachant qu’Anna est sur le point de jouir à nouveau, il la tourne sur le côté, la tête toujours sur mes genoux. Mais le côté de son visage repose maintenant sur mon pubis. Jean soulève l’une des longues jambes d’Anna et la pose sur son épaule. Il chevauche l’autre jambe, qui repose sur le lit, ses couilles reposent sur sa cuisse.
De sa main gauche, il commence à frotter le clitoris d’Anna. Elle gémit bruyamment. Il approche sa queue de sa moule ouverte et l’enfonce jusqu’à ce qu’elle disparaisse. En massant continuellement son clito avec son pouce, il lui tient les fesses avec son autre main. Ensuite, il pousse toute la longueur de sa queue lentement dans la profondeur de son puits d’amour.
— Oh ! Mon Dieu ! Jean ! clame Anna.
Mes yeux s’écarquillent, alors que je regarde la queue de mon Jean s’enfoncer encore et encore dans le puits d’amour de ma copine.
— OH ! OUUII ! Jean ! Baise-moi pendant que je jouis ! supplie Anna.
Il continue à baiser ma copine tout en l’amenant dans les nuages avec son pouce qui branle et pince son clito. Alors qu’elle crie à plusieurs reprises, Jean jouit lui aussi, avec de grands coups de rein jouissifs, inondant sa grotte d’amour de son sperme.
Lorsque leurs orgasmes se terminent, je suis prête à en redemander.
— Je veux t’attacher, Anna ! Pour que Jean et moi puissions faire ce que nous voulons de toi, lui proclamé-je.
Jean est surpris, car je n’ai jamais semblé être intéressée par ce genre de choses avec lui. Dans mon passé lointain, j’ai déjà eu l’occasion de subir ça. Quoi qu’il en soit, il semble plus qu’heureux de suivre mon idée.
— OH ! Oui ! s’exclame Anna.
— J’ai fait des choses terribles, et je dois être punie pour ça ?
Elle glisse un doigt dans sa moule et le ressort couvert du sperme de mon Jean.
— Regarde, Valérie, ma grotte est pleine du sperme de ton mec.
Elle lèche lentement son doigt.
— Jean, s’il te plaît, donne-lui une leçon ? clamé-je en feignant la colère.
— Viens par ici, Anna !
Il se déplace, s’assoit sur le bord du lit et fait un geste vers ses genoux. Anna rampe sur le lit et s’allonge en travers de ses genoux. Elle tremble légèrement. Jean claque doucement ses fesses parfaites et nues. Il n’a jamais rien fait de tel auparavant, et l’idée d’infliger de la douleur ne lui vient pas naturellement.
— Pas assez fort, Jean ! Elle a fait des choses terribles ! proclamé-je en m’asseyant à côté de lui.
— Je vais te montrer !
Je frappe le cul rond d’Anna beaucoup plus fort. Elle sursaute légèrement, et elle glousse de contentement.
— Voilà ce que tu obtiens quand tu dévergondes tes copines, Anna.
Je lui donne une autre claque très forte, et ses fesses rougissent.
— Je mérite plus. Je vous dévergonde tous les deux en restant ici !
Jean prend un autre tour et lui donne d’autres gifles fortes jusqu’à ce que son cul rond soit rouge vif. Je lui demande :
— Attache-la, Jean !
Jean sort plusieurs foulards de la commode et attache les bras et les jambes d’Anna aux montants du lit. Il s’agenouille entre ses jambes et voit que la moule rose d’Anna bave de désir. Je m’agenouille à ses côtés. Anna respire difficilement sous l’effet de l’excitation.
Je pince l’un de ses mamelons.
— J’ai baisé avec ton Jean. Alors, pince-le plus fort.
Je le pince très fort, et elle râle de douleur. Je lui enserre fort son sein et lui pince encore le téton.
— Oh ! Mon Dieu ! J’ai baisé aussi avec ta Valérie, Jean !
Il prend l’autre sein et le presse durement en pinçant fermement le téton. Les deux tétons d’Anna sont maintenant rouge vif et intensément érigés. Nous continuons à les pincer et à les serrer pendant qu’elle gémit. Nous nous penchons, et chacun suce un de ses mamelons pendant un long moment. Nous pressons chacun de ses seins en aspirant le téton que nous mordillons.
Anna tressaille d’excitation. Je me déplace et m’accroupis au-dessus de la tête de ma copine, face à mon Jean.
— Maintenant, mange ma moule, ma copine adorée !
J’abaisse ma moule vers la bouche d’Anna et la frotte d’avant en arrière. Son nez, ses lèvres, sa langue et son menton massent mon clito et les lèvres de ma moule. Je râle d’aise en me donnant du plaisir avec le visage de ma copine.
Après m’être balancée en arrière pendant un long moment, les jambes d’Anna se resserrent contre les côtés de ma tête qu’elle emprisonne. Anna fait aller et venir sa langue brûlante de mon trou de balle à mon clitoris en passant entre les lèvres de ma moule.
À cette vue, Jean ne peut plus se contenter de regarder. Sa queue est à nouveau raide.
— Anna ? Je vais te baiser à fond à présent, pendant que tu manges la moule de Valérie.
Jean enfonce toute la longueur de sa queue dans la moule baveuse d’envie d’Anna. Elle râle fort, mais les sons sont bâillonnés par ma moule.
— N’arrête pas de lécher la moule de chérie. Attends pour jouir.
— Nous allons nous servir de toi pour nous faire jouir tous les trois.
— OH ! Oui, tout ce que tu veux, Jean !
Alors qu’il la pilonne profondément, Justine, en lui serrant fermement les globes de ses fesses, je garde le rythme, en faisant glisser ma moule qui bave sur le visage d’Anna. Je m’abaisse et masse ses seins qui tremblent sous l’effet des puissantes poussées de Jean.
Bientôt, j’ai un énorme orgasme, et je gicle ma jouissance sur le visage de ma copine. À cette vue, Jean jouit convulsivement et s’enfonce dans la moule d’Anna aussi profondément qu’il le peut. Pendant qu’ils jouissent, j’embrasse Jean passionnément sur le corps de ma copine.
— S’il te plaît, fais-moi jouir ? quémande Anna.
— En temps voulu ! répondé-je en pinçant avec mes doigts son clitoris, tandis que Jean retire lentement sa queue de son puits d’amour.
— En premier, tu vas sucer la queue de mon Jean jusqu’à ce qu’elle soit à nouveau grosse et raide. Nous n’en avons pas encore fini de baiser avec toi.
— OH ! Oui, ma chérie.
Je m’écarte, et Jean s’approche du visage d’Anna. Il pose ses genoux sur ses épaules, de chaque côté de son visage. Il dirige sa queue douce et humide de leurs jus vers sa bouche ouverte.
— Goûte mon sperme et le jus sucré de ta moule, ma nouvelle soumise.
Toujours attachée au lit, elle la prend dans sa bouche et l’aspire, la suce en la tétant. Je m’installe entre les jambes écartées d’Anna.
— Pendant que Jean baise ta bouche, je vais te baiser avec mes doigts.
La bouche pleine de la queue de Jean, elle ne peut que ronronner. Je lubrifie mes doigts et en glisse deux dans sa moule. Ensuite, j’en rajoute un troisième.
— Je pense que ta petite grotte peut en supporter davantage, ma copine chérie !
Lentement, j’enfonce quatre doigts dans sa moule qui bave. Elle bouge ses hanches au rythme du lent va-et-vient de mes doigts dans sa moule.
— Tu as l’impression que c’est une grosse queue ? Eh bien ! Tu es sur le point d’en être baisée par une très grosse.
Tandis que Jean baise la bouche de notre Anna, il regarde en arrière vers moi. Je suis en train de lubrifier de salive ma main. Ainsi salivée, j’enfonce très lentement tous mes doigts dans la moule de ma chère copine. Elle râle de satisfaction et donne des coups de bassin contre ma main.
Alors, ma main disparaît à l’intérieur de la grotte d’amour d’Anna.
— Tu aimes être baisée au poing, n’est-ce pas, ma chérie ?
Je déplace doucement ma main à l’intérieur de sa moule, dont les cuisses frémissent.
— MMMMM ! OUI ! râle Anna, la bouche pleine d’une queue en pleine croissance.
— Tu fais du très bon travail en suçant mon Jean. Il est en train de bander à nouveau. Et ta petite grotte d’amour prend si bien mon poing. Je crois qu’il est temps de te détacher.
D’un commun accord, nous détachons Anna, qui se jette sur nous. Elle nous embrasse passionnément en tripotant nos corps.
— Je vous aime tous les deux ! Je suis à vous pour toujours, tant que vous voulez de moi ?
— Nous t’aimons nous aussi, et tu restes avec nous autant que tu le voudras !
Nous nous retrouvons en triangle sur le lit, allongés sur le côté. La bouche de Jean sur ma moule, ma bouche sur celle d’Anna, tandis qu’elle suce Jean et masse ses couilles. Au fil du temps, nous changeons de position, nous changeons nos bouches de sexe.
— J’ai une idée ! s’exclame Anna, qui se place à côté du lit.
— Ma chérie ! Viens manger ma chatte ? Toi, Jean, tu viens me lécher le cul, s’il te plaît !
Anna râle bruyamment alors que nous la butinons de l’avant à l’arrière. Rapidement, elle jouit en luttant pour rester debout, car ses genoux sont faibles.
Jean est le suivant. Anna lui écarte les globes de ses fesses et lui taquine son trou de balle avec sa langue chaude. Tandis que je prends sa queue profondément dans ma bouche pour la sucer et téter. Soudain, il jouit dans ma bouche. J’en garde le plus possible et fais un signe de tête à Anna pour qu’elle vienne le partager.
Anna et moi, nous nous penchons sur lui et nous partageons son sperme en l’embrassant. Ensuite, Anna laisse le sperme de Jean couler de sa bouche sur la moule de Valérie. Elle explore, lèche ses plis soyeux et lisse avec sa langue.
Jean écarte mes belles fesses et me fait jouir intensément avec sa langue. Je m’agrippe à leurs têtes lorsque je jouis, en criant et en tremblant. Reprenant mon calme, je propose à mon Jean :
— Il faut que ta belle grosse queue redevienne raide. Allonge-toi, mon amour.
La moule d’Anna sur son visage et ma bouche sur sa queue ? Elle se ranime rapidement, ma bouche fait son effet.
— Maintenant, baise-nous tous les deux ? lui demandé-je d’envie.
Se déplaçant avec Anna jusqu’au bord du lit, nous nous allongeons face à face, moule contre moule. Alors que j’embrasse Anna, nos seins serrés les uns contre les autres, Jean se place entre nos jambes écartées. Je suis sur le dessus et enroule mes jambes autour de sa taille. De nouveau raide, il enfonce sa queue dans mon paradis. Ensuite, c’est dans le paradis d’Anna qu’il l’enfonce.
Encore et encore, il la plonge dans chacune d’entre nous, tandis que nous haletons, gémissons en nous embrassant goulûment. Alors que la queue de mon Jean plonge dans la moule d’Anna, elle supplie d’envie :
— J’ai envie que Jean m’encule !
— MMMM ! RRROUIII !
Je déglutis, parce que la queue de Jean remplit, à présent, mon paradis, avec ses mains agrippées à mes hanches. Il se retire de mon ventre, et Anna se positionne sur le lit, en présentant son trou de balle à Jean. Je me glisse dessous ma copine, la bouche sur sa moule en suçant son clito engorgé.
Agenouillé derrière Anna, Jean lubrifie son index et l’introduit très lentement dans son trou de balle. Elle se penche en arrière, ses muscles se détendent, et le doigt rentre facilement à l’intérieur. Après l’avoir lentement sodomisée avec son doigt, il enfonce progressivement sa queue bien raide dans son trou de balle serré, tandis qu’elle râle de gêne.
— Oh ! Mon Dieu ! Jean, tu es si gros !
Les cuisses de ma copine tremblent légèrement tandis que Jean la sodomise lentement. Tout en léchant et en suçant son clitoris par en dessous, je m’émerveille à la vue de la queue qui entre et sort complètement de son trou de balle. Je me saisis de ses fesses que j’écarte pour faciliter la sodomie de ma copine Anna.
— Encule plus fort ! supplie Anna en poussant ses fesses contre le pubis de mon Jean.
Il la pénètre plus vigoureusement, et je suce intensément son clitoris. Avec la queue raide de Jean dans son boyau et ma bouche qui suce et tète son clito bandé, soudain, elle crie et se met à trembler violemment, pendant qu’elle a un orgasme irrésistible.
À ce moment-là, Jean vient lui aussi. J’ai senti ses couilles palpiter, alors qu’il jouit au plus profond du boyau d’Anna. Ensuite, ils se sont effondrés, complètement épuisés. Après nous être serrés les uns contre les autres pendant qu’ils reprennent leurs esprits, nous sommes allés dans ma grande douche à l’italienne. Nous nous sommes lavés et nous nous sommes embrassés amoureusement.
Nous passons la nuit ensemble, nus dans mon lit, à nous tenir et à nous caresser, avec Anna au milieu. Jean se réveille une fois dans la nuit, parce qu’Anna est en train de sucer sa queue sous les draps jusqu’à ce qu’il jouisse dans sa bouche chaude.
Lorsque nous nous sommes réveillés le matin, nous faisons l’amour tous les trois, doucement mais passionnément. Après de profonds baisers et de longues étreintes, Anna s’est blottie contre nous deux.
— Je vous aime tous les deux ! s’est-elle exclamée en tendant les bras pour un câlin.
Nous n’avons pas hésité. Nous nous sommes rapprochés et nous nous sommes éteints ensemble, toujours nus. La sensation de nos seins et de nos hanches contre lui a fait faiblir mon Jean. Il a gardé son sang-froid et, chose remarquable, sa queue aussi.
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