Histoire de sexe taboue Valérie L’orpheline Partie 6

Chapitre 6 : Le ménage s’agrandit

Cela fait dix-huit mois qu’Anna vit avec nous. Elle travaille toujours à la crèche. Sylvia et Cathy sont envieuses de notre ménage à trois. C’est Anna qui emmène Angèle à la crèche. Elle s’occupe très bien de ma fille, qui l’adore. C’est sa deuxième maman, comme elle dit.

Anna est heureuse avec nous. Fini les dépressions et les baisses de moral. Elle a Truk, son chien que nous lui avons offert, et qui la comble en plus de mes deux amours. Jean a offert un poney à Angèle. Nous avons fait bâtir un grand abri pour les deux poneys, car nous en avons acheté un autre pour que le premier ne soit pas triste d’être seul, nous a clamé Angèle.

Nous avons embauché Gilles à mi-temps. Il s’occupe du dressage des poneys et accompagne Angèle dans ses promenades équestres dans notre parc. Anna l’a bien aperçu lors de son arrivée au domaine. Elle a été impressionnée par son physique de colosse. Il doit avoir une force impressionnante, m’a-t-elle confié.

Jean a installé de discrètes caméras dans le bâtiment à la suite d’une escapade imprévue des poneys. Aujourd’hui, Angèle ne pourra pas faire sa balade en poney, car elle a une gastro-entérite. Anna descend à l’écurie pour en informer Gilles. Elle est bouleversée et même terrifiée à la vue de cet homme hors du commun qui est devant elle et qui l’impressionne fortement.

À l’appel de son nom, il sort furtivement d’un box.

— Je te fais peur ? clame Gilles en regardant Anna dans les yeux avec un sourire aux lèvres.

Elle regarde, impressionnée, l’érection d’un poney. Anna penche d’un coup sa tête en signe de contradiction et de scepticisme. Pour qu’elle puisse constater la véracité de ses dires, il défait sa ceinture, baisse son pantalon et son caleçon, et exhibe devant les yeux d’Anna une queue monstrueuse, toute brune et particulièrement noueuse, avec un gland qui ressemble à un champignon.

Il bande durement en regardant Anna, qui n’en mène pas large. Son sexe doit mesurer plus de vingt-cinq centimètres de long et au moins quatre à cinq centimètres de diamètre. Une vraie bite de cheval, pense Anna, qui sent son cœur battre de plus en plus vite.

S’il devait me pénétrer l’anus, il me déchirerait à coup sûr ? se dit Anna en contemplant l’engin qu’elle a devant les yeux, avec une pensée pour son amie Valérie.

— Viens, entre, j’ai quelque chose à te faire voir, qui devrait te plaire, lui propose Gilles en se rajustant.

Il la dirige vers le box d’un poney. Anna s’aperçoit très vite que le poney a un sexe de bonne taille, car il bande assez fort.

— Je veux que tu suces le poney, lui clame Gilles sur un ton sans équivoque, qui laisse Anna de marbre.

Elle se contente de sourire en regardant Gilles.

— Allez, vas-y, toi qui aimes les sensations fortes, tu devrais être servie. C’est sûr que c’est plus gros que tes chiens. Je t’ai déjà vue te faire saillir par les chiens, pendant que tu en suçais un autre.

Il ordonne à Anna de se pencher en s’accroupissant dans la paille qui recouvre le sol et de branler le poney. En soumise apeurée, elle s’exécute pour ne pas contrarier Gilles, qui ne lui inspire pas confiance. Anna, à genoux près du ventre du poney, saisit délicatement la bite du poney. Sous le contact de sa main, rapidement, le poney se met à bander plus fort. Il a un engin qui doit avoisiner les trente centimètres de long.

— Maintenant, prends-le en bouche et suce-le.

Anna refuse en se relevant tout en se reculant, pour tester la réaction de Gilles. Gilles lui balance une gifle. Elle est déséquilibrée et roule par terre sur la paille.

— Tu l’as méritée, sache qu’on ne me désobéit pas.

Un peu sonnée, elle se relève en titubant tout en se touchant la joue endolorie par la claque qu’elle vient de recevoir. Manifestement, elle va devoir se plier à ce que Gilles lui demande. Alors, elle se remet à genoux, se saisit de l’engin et le dirige vers son visage. Elle remonte la bite du poney vers ses lèvres. Elle met sa bouche en cul-de-poule et y met le gland de l’engin au contact de ses lèvres.

D’un vif regard en biais, elle voit Gilles qui lève son bras en l’air. Par crainte d’une nouvelle gifle, elle ouvre la bouche et aspire le bout du gland, gros comme une orange. Elle se met à sucer et surtout à lécher l’engin du poney. Soudain, elle sent derrière elle les doigts de Gilles qui soulève sa robe et écarte son string pour caresser sa moule.

Anna sursaute en poussant un râle de surprise, sentant que Gilles lui tripote sa moule sans ménagement. Il descend le string jusqu’à ses chevilles. Ensuite, elle lève chaque pied quand il l’enlève. Il force le passage et introduit deux de ses gros doigts dans son puits d’amour. Il commence un va-et-vient rapide et puissant dans sa moule humide. Anna n’est pas surprise de sentir que sa moule se lubrifie aussi rapidement sous les attouchements et la pénétration des doigts de Gilles.

Elle continue de sucer la bite du poney et sent comme un gland qui se frotte entre les lèvres de sa moule. C’est doux et chaud, elle mouille un peu plus d’envie. C’est Gilles qui a approché le deuxième poney. Il essaye de faire entrer la bite de l’autre poney en érection dans la moule d’Anna. Il la coince entre l’autre poney qu’elle suce, pour qu’elle ne puisse se dégager ou se dérober à cette pénétration qu’il veut lui infliger.

Le gland stationne à l’entrée mouillée de sa moule. Ensuite, elle sent que l’énorme gland pousse pour pénétrer dans son puits d’amour. Cette très grosse queue entre doucement dans son paradis et enflamme les parois sensibles de sa grotte d’amour. Quand il sent la moiteur et la douceur du vagin, il donne quelques coups de reins assez puissants, introduisant son sexe, assez gros et long d’environ vingt-cinq centimètres, dans la moule de celle qu’il prend pour sa femelle.

Surprise par la taille de la queue, elle se retourne pour se rendre compte de ce qu’elle prend dans son paradis. Anna, en bonne soumise, ne se dérobe pas, car elle a l’habitude et affectionne ce genre d’introduction surdimensionnée.

— Continue ta fellation, de nombreuses femmes rêveraient d’avoir d’aussi grosses bites à leur disposition.

Anna reprend la bite du poney en bouche. L’autre bite entre dans son puits d’amour de plus en plus profondément. Avec ses mains, Gilles aide à imprimer de lents va-et-vient. Elle n’a jamais eu un sexe aussi volumineux dans son ventre. Gilles pousse à présent la croupe du poney, pour que sa bite s’enfonce au plus profond de la femelle. Elle sent que, pour accueillir ce sexe énorme, son vagin se dilate au fur et à mesure de la pénétration.

La bite du poney mesure bien quarante centimètres de long, mais n’est pas très grosse. Plus de la moitié est facilement entrée sans trop de difficulté dans le ventre d’Anna.

— Ce n’est pas un puits d’amour que tu as ! C’est un gouffre à bite ! clame Gilles, assez surpris par ce qu’il voit.

Il n’en revient pas qu’elle puisse engloutir aussi facilement un tel engin dans sa moule. Gilles accélère le mouvement de va-et-vient avec la pine du poney, qui apprécie en tapant du pied et en poussant par instants quelques hennissements.

Pendant plusieurs minutes, Anna est soumise à sucer un poney et à se faire saillir par l’autre. Elle se sent écartelée par une aussi imposante pine dans son paradis, qui s’est assez élargi pour recevoir un tel calibre. Le mouvement de la bite du poney s’accélère peu à peu, et il éjacule en hennissant fortement au plus profond du ventre d’Anna en plusieurs longues saccades.

Il lâche à un moment une grosse quantité de semence. Anna a l’impression qu’on vide une poire à lavement en elle. Lorsqu’il se retire, elle sent cette quantité importante de liquide chaud couler le long de ses jambes et de ses cuisses jusqu’au sol.

Gilles prend le poney qu’elle suce et qui, à présent, bande fort. Il amène le poney derrière elle. Protester, se dérober est inutile. De nouveau, elle sent une énormité la pénétrer au plus profond d’elle-même. Le passage étant fait, du moins les chairs étant distendues, il entame un puissant va-et-vient dans son puits d’amour encore gras de la semence de l’autre.

De nouveau, elle ne ressent pas de douleur, juste un peu de plaisir dans son ventre. Il y a encore plus de semence que la première fois. Son vagin reçoit et prend sans difficulté cette grosse bite, et le contexte dans lequel cela lui arrive ne peut que lui donner de la jouissance. Heureusement, le deuxième poney, déjà excité par la fellation qu’elle vient de lui prodiguer, éjacule assez rapidement. Elle a l’impression que son vagin va se déchirer sous la pression ?

Elle sent ce volume incroyable dans son ventre, qu’elle compare à un phénoménal lavement. Après avoir éjaculé copieusement, le poney pousse un petit hennissement comme pour clore cette saillie entre la femme et l’animal, qui n’a pas duré bien longtemps. Elle est soulagée quand Gilles fait reculer le poney. La bite du poney sort de son ventre, accompagnée d’une grande quantité de sa semence, qui met à couler hors de son puits d’amour, qu’elle sent bien ouvert.

Anna n’a pas aimé cette contrainte. Mais la douleur était plus que légère, et sa jouissance a été plus morale que physique. Elle vient de se faire saillir par les deux poneys d’Angèle. Elle n’a aucune trace sur son corps. Mais son vagin est bien ouvert, il atteste des membres surdimensionnés qu’elle vient de prendre dans son ventre.

Sa moule, malmenée, d’où s’écoule un mince filet de semence, peine à retrouver son état normal, les lèvres de sa moule restent entrouvertes. Quand elle regagne la maison, elle a la surprise d’y trouver Valérie qui l’attend avec un petit sourire. Elle est seulement vêtue d’un string rouge. Valérie assume ses trente ans avec bonheur, car la fermeté de son corps et sa beauté la rendent particulièrement désirable aux yeux de Jean et aussi d’Anna.

Elle lui tend une petite bouteille d’eau, qu’elle vide d’un trait.

— Tu as goûté aux poneys, ma chérie ? Ça t’a plu ?

— MMOUAIS ! Mais ce n’est pas aussi bon qu’avec nos toutous. C’est un plaisir assez court, mais intense, que j’ai ressenti pendant cette saillie peu commune.

Après un moment de réflexion, Anna suggère à Valérie :

— Je voudrais bien que toi aussi, tu goûtes à ce plaisir de te prendre un sexe aussi imposant, qui, à coup sûr, devrait bien te ramoner la moule.

Elle n’a pas terminé sa suggestion que Jean apparaît dans la pièce, nu, avec sa queue raide. Anna va devoir subir d’autres assauts, ce qui ne lui déplaît pas. Jean lui agrippe ses seins et fait glisser sa queue entre ses belles cuisses bien pleines. Cela la laisse songeuse, mais elle aime subir ce genre de pénétrations, car son corps est demandeur, elle veut et aime les gros sexes.

Anna se retrouve à quatre pattes, et il l’attrape par les hanches et la tire vers lui avec force. Elle comprend tout de suite à quoi elle va avoir droit, lorsqu’elle sent son gland se frotter contre sa raie des fesses. Il exerce une pression sur son trou de balle, qu’elle sent s’ouvrir doucement, laissant sa queue se frayer un passage entre ses fesses.

Anna ne dit rien, elle se concentre sur la chaleur qui irradie ses fesses. La queue continue sa lente progression. Elle sent enfin ses poils pubiens contre ses fesses. Il ne bouge plus pendant un bon moment, laissant son corps s’habituer à la présence de sa queue. Valérie profite de ce moment d’immobilisme pour venir s’allonger tête-bêche entre les bras et les cuisses d’Anna.

Les mains de Valérie l’agrippent aux hanches. Ensuite, sa langue vient lécher les lèvres et la moule de sa copine soumise. Elle suce, tète son clito. Elle aspire, suce l’entrée de la moule d’Anna.

Sa langue récure l’entrée souillée de sa moule. Au passage, elle lèche les couilles de Jean. Anna prend l’initiative de bouger ses hanches. Il fait alors de lents et profonds va-et-vient. Je ressens un bien-être très paradoxal.

Petit à petit, les allers et venues de la queue de Jean dans son trou de balle s’accélèrent. Son bas-ventre se met à claquer sur ses fesses. Il la tient aussi fermement par les hanches. Elle est sodomisée par Jean pendant que Valérie lui bouffe la moule voracement.

Anna crie sa jouissance, octroyée par la chaleur du sperme de Jean qui se répand dans son boyau. Elle encaisse sans broncher. Elle jouit en s’accrochant aux draps. Ils ont bien joui tous les deux. Lorsqu’il se retire des fesses d’Anna, il colle sa queue dans la bouche de Valérie, qui la suce et la tète avec plaisir. Pour ne pas la laisser en manque, Anna profite de sa position pour manger la moule de Valérie. Rapidement, elle grogne sa jouissance.