Chapitre 7 : Nouveaux amants
Aujourd’hui, Anna et moi sommes seules dans la maison. Angèle est chez ma tante, et Jean est pour la journée au golf avec mes patrons. Avec Anna, nous faisons un peu de ménage. Comme à l’accoutumée, nous sommes nues. Le hennissement d’un poney nous parvient aux oreilles.
Étonnées, nous nous regardons, inquiètes.
— Je vais voir ce qui se passe à l’écurie ! proclame Anna.
— Attends ! Je mets juste une robe et je t’accompagne.
— Ouais ! J’en mets une aussi, et on va voir ce qu’il y a, ma chérie ! proclame Anna avant de venir m’embrasser.
Nous nous roulons une pelle d’amour. Après avoir enfilé une robe légère, nous allons au bâtiment qui sert d’écurie aux deux poneys. En entrant dans l’écurie, je vois qu’un des poneys bande. Sa pine fait dans les vingt centimètres pour une grosseur d’au moins quatre.
— Anna ! Tu t’es pris ça dans la moule ?
— Et oui ! Et elle a bien aimé ça !
Je sursaute en entendant Gilles proclamer cette affirmation. Il sort de derrière le tas de bottes de paille. Il est vêtu d’un marcel et d’un short assez court.
— Vous voulez essayer ça aussi ? Cela vous changera de vos chiens !
Je le regarde, stupéfaite.
— Ne me regardez pas comme ça, Valérie ! Je vous ai déjà vues plusieurs fois faire la chienne avec Duc et Mars, ainsi qu’Anna avec Truk.
Gilles agit en homme sûr de lui. Il attrape Anna par la taille et lui roule une pelle baveuse. J’ai l’impression qu’il veut la dévorer. Je remarque que son short gonfle. À mesure qu’il embrasse Anna, ses mains s’occupent de la généreuse poitrine de ma chérie. La bosse de son short se transforme et devient un manche qui s’allonge à vue d’œil le long de sa cuisse droite.
Anna se désolidarise de la bouche de Gilles. Elle me jette un regard de défi en baissant le short, qui résiste, déformé sur le devant. J’ai bien envie de voir sa queue, et je découvre la bête. Je ne peux retenir un soupir de surprise quand l’engin jaillit, libéré du short. Ouah ! La bête ! Mon intuition ne m’a pas trompée, il a vraiment une queue hors norme !
Et sans attendre, Anna s’accroupit face à lui et, la bouche ouverte, elle engloutit la queue raide. Elle a la bouche bien remplie, ne pouvant absorber qu’une partie de la queue. Le gland bute contre sa glotte, mais elle essaie de trouver un passage pour l’absorber encore plus loin. Elle s’échine sur ce mandrin dressé pendant plus de cinq bonnes minutes. Cette fellation risque de lui décrocher la mâchoire, mais je vois bien que pour elle, c’est un plaisir.
Je vois Gilles se raidir. Ses mains empoignent la tête de ma chérie. Dans un gros râle de jouissance, il doit lui remplir la gorge de son sperme. Je vois Anna qui déglutit et aspire la queue au fond de sa bouche.
Après trois minutes à avaler et sucer la queue de Gilles, elle recrache la queue encore un peu raide. Il attrape sa robe par les épaules et la tire vers le haut. Anna, toujours accroupie, lève les bras pour faciliter son déshabillage. Une fois nue, elle se redresse et vient m’embrasser.
Elle fait partager le restant du sperme de Gilles, qu’elle a gardé dans sa bouche. Pendant que nous nous embrassons, Gilles passe derrière moi. Il attrape ma robe au-dessus de mes épaules et la tire vers le bas. Je lève mes pieds un à un pour qu’il retire ma robe. Nous désolidarisons nos bouches. Le fait de me retrouver complètement nue devant Gilles exacerbe encore un peu plus mon état de vicieuse.
Gilles me tend un seau rempli d’eau, où nage une grosse éponge. D’un air autoritaire, il proclame :
— Comme vous êtes venues pour vous faire saillir, nettoyez soigneusement la verge du poney afin d’y enlever la paille et tous les trucs étrangers qui s’y trouvent.
Je prends le seau et m’accroupis à côté du poney. Je ne suis vraiment pas déçue du spectacle qui s’offre à moi. Je contemple un instant cette grosse queue qui m’attire irrémédiablement avant de tendre le bras pour la saisir. Bon Dieu ! Comme c’est gros ! Je replie mes doigts autour, mais c’est bien trop gros pour que je parvienne à l’enserrer complètement.
Je suis agréablement surprise par la douceur de cette peau lisse et tendue. Je lave la pine, j’insiste sur le gland en le décalottant. Je le sens grossir. La pine se tend comme une matraque et palpite. Je vois le gland et le méat urinaire s’ouvrir et se fermer. J’adore.
Je jette un regard vers Anna, qui nettoie l’autre poney. Elle tire la pine à elle. Ensuite, elle la lèche et la suce. Mais c’est trop gros pour qu’elle l’aspire dans sa bouche. À ce moment-là, je ne me rends déjà plus compte de ce que je fais, comme s’il n’y avait plus aucune limite à notre débauche. Toute mon attention est tournée vers des sensations inavouables, des sensations nouvelles qui me font perdre les pédales.
Je sens une forte odeur animale flotter tout autour de moi. Cette chaleur animale exaspère ma libido. Je me dis : « Mais merde, tu es en train de branler la queue d’un poney là ! » Et oui ! En plus, j’adore sentir cette pine immense entre mes doigts. Elle fait au moins trente centimètres de long et quatre à cinq de diamètre.
Je me glisse ensuite un peu sous lui et dirige l’extrémité de sa pine vers mes tétons, qui bandent durs. Tandis que je la manipule toujours des deux mains en la frottant contre mes aréoles, je sens ma moule devenir brûlante d’envie et baver d’excitation.
Ensuite, je tente de placer sa pine entre mes seins. La chose n’est vraiment pas facile, car l’angle de sa pine n’est guère approprié pour cette pratique. Pourtant, je parviens tant bien que mal à la positionner. L’entourant alors de mes mamelles généreuses, je recommence à le masturber entre mes seins.
J’éprouve un plaisir sans borne à faire ça, et j’adore lorsque, au gré de mes mouvements, le bout de son gland vient heurter le creux de mon cou. Je m’aperçois que sa pine se durcit un peu plus. Surprise par un bruit sourd à mes côtés, je tourne la tête pour voir Gilles poser une botte de paille à mon côté. Il y pose un sac en toile de jute, vide.
Gilles pose une main sur mon épaule et proclame :
— Bon ! C’est propre, et il bande bien pour te saillir ! Alors, pose ton ventre sur la botte en écartant bien les cuisses.
Impatiente, le souffle court avec l’envie qui m’obsède d’être saillie, je m’exécute, aidée par ma chérie. Gilles, aidé par Anna, pose une botte de paille de chaque côté de ma couche. Ensuite, Gilles amène le poney, qui se cabre et repose ses pattes avant sur chaque botte de paille à mes côtés.
Anna s’empare de la pine du poney et l’amène tout contre ma moule. Ce contact pervers me transcende, et je ferme les yeux, sentant la queue du poney toucher mon intimité. Elle la fait aller et venir entre les lèvres de ma moule, afin de bien étaler tout mon jus et de m’en barbouiller. Elle pousse même le vice à la faire aussi glisser entre mes fesses. Je crois que le poney et moi sommes au comble de l’excitation. En tout cas, en ce qui me concerne, il n’y a aucun doute ! J’ai terriblement envie de la sentir en moi.
Putain, c’est vraiment trop bon ! J’écarte encore plus les jambes. Bizarrement, je me sens libérée de toute retenue, de toute convenance, comme si rien d’autre ne comptait que le plaisir pur que je vais m’offrir. Je sens avec délectation son extrémité glisser et écarter peu à peu les lèvres de ma moule.
Je crains un instant qu’il ne soit trop gros. Cependant, en poussant ma croupe vers lui, je sens la pine s’insinuer en moi. Oh ! Que c’est bon ! Son gland est passé, et les parois de ma moule se dilatent de plaisir sur son passage.
Je ne peux m’empêcher de gémir tellement les sensations sont fortes. Soudain, le poney s’emballe. Il me bourre énergiquement. Il m’empale de plus en plus loin, et je sens bientôt sa queue me remplir toute entière. Quel délice de se sentir ainsi comblée ! Sa queue me rend dingue, et je râle mon plaisir très fort. C’est chaud, c’est vivant, c’est bien gros. Je suis bien remplie. J’adore !
J’ai tellement retenu ma jouissance que l’orgasme me cueille sans prévenir. Il est dévastateur, et tout mon corps se raidit sous des spasmes de plaisir. Alors que je jouis comme une dingue, Gilles présente sa queue devant mes lèvres. Sans réfléchir, je la gobe et l’aspire dans ma gorge en jouissant. Réalisant soudain ce que je suis en train de faire, je me sens à la limite de connaître un deuxième orgasme.
Soudain, je sens la pine se gonfler imperceptiblement. Lui aussi, il va jouir ! Il accélère le mouvement, car il veut féconder sa femelle. Et soudain, le voilà qu’il me féconde ! C’est trop bon ! Je n’ai jamais imaginé la quantité de foutre que peut envoyer un poney. Avec un frisson, je me rends compte qu’il me remplit littéralement, et cette pensée m’électrise.
J’ai arrêté de sucer la queue de Gilles, qui reste inerte dans ma bouche. J’ai l’impression que le poney ne s’arrêtera jamais de jouir. Une crème chaude coule bientôt de ma moule. Ce flot de semence est pour moi l’apothéose, qui déclenche mon deuxième orgasme.
La pine molle du poney sort de mon paradis. Gilles retire sa queue de ma bouche et va mettre le poney dans son box. Je reste là, affalée sur la botte de paille. Ma chérie me roule une pelle d’amoureuse en me pelotant les seins.
D’un seul coup, je sens à peine la queue de Gilles pénétrer dans ma moule baveuse et bien élargie. Il fait deux, trois va-et-vient. Ensuite, il me sodomise d’un coup sec avec sa queue grasse de semence. Il me sodomise avec la complicité de ma chérie, qui ne quitte pas ma bouche. Vu qu’il vient de décharger dans la gorge de ma chérie, je sais qu’il me faudra être très patiente pour qu’il jouisse à nouveau.
Cela fait bien quinze bonnes minutes qu’il me sodomise. Je n’ai eu que deux orgasmes. Lorsqu’il se crispe sous la montée de son plaisir, et du mien aussi, je m’active sur la moule que ma chérie m’a donnée à brouter. Ma bouche aspire le jus de son plaisir. Je sens la queue de Gilles vibrer dans mon boyau, préparant la salve de sperme qui va m’inonder le ventre. Nous jouissons tous les trois ensemble.
Ensuite, Anna me remplace sur la botte de paille. Elle s’est mise sur le dos avec les cuisses écartées. Gilles amène le deuxième poney, qui bande lui aussi. Sa pine est aussi grosse que celle de l’autre poney. Dès que ses pattes avant sont sur les bottes de paille, sa pine vient osciller entre les cuisses de ma chérie.
Je viens saisir la pine et arrête le gland au niveau de la moule de ma chérie. Sentant la moiteur de la moule, le poney, excité, donne un violent coup de rein et la pénètre brutalement. Anna pousse un cri de surprise et de douleur. Gilles tente de le freiner en le tirant en arrière, et la pine sort de la moule de ma chérie.
Le poney, excité par cette première intrusion, échappe à la maîtrise de Gilles et repart à l’assaut de la moule si accueillante. Puis, la pine, libre et lourde, glisse sur le périnée et sodomise ma chérie. Elle crie encore d’une douloureuse surprise. La pine est rentrée d’au moins trente centimètres dans son boyau.
Anna râle de frustration en essayant de repousser le poney. Mais le ventre du poney la coince contre la botte de paille. Rapidement, il éjacule, et Anna pousse un râle de satisfaction en sentant la grosse quantité de la chaude semence qui lui inonde le boyau.
Gilles a compris où le poney a joui. Alors, il le retire en arrière, et sa pine molle sort du ventre de ma chérie. Je viens réconforter ma chérie. Son trou de balle est complètement dilaté et rejette par des spasmes la semence onctueuse qui s’y trouve.
Je lui roule une pelle d’amour et l’aide à se relever. C’est nues que nous regagnons notre maison. Anna marche les jambes en canard. Tout le long du retour, elle a des flatulences qui rejettent de la semence sur le haut de ses cuisses. Après un bon lavement anal pour Anna et vaginal pour moi, nous passons ensemble sous la douche.
— Tu avais raison, ma chérie ! Rien ne peut remplacer le plaisir avec nos toutous.
— Je confirme, et surtout, la sodomie est moins douloureuse qu’avec un poney.
Il y a plusieurs mois que ceci s’est déroulé. Ce soir, en rentrant de son travail, Jean a la surprise de voir Valérie et Anna nues dans la véranda, avec une flûte pleine de champagne à la main.
— Vous fêtez quoi, mes amours ?
Anna et Valérie lui disent en chœur :
— Tu vas être deux fois papa !
— Nous sommes toutes les deux enceintes de toi ! Angèle va avoir une fratrie.
Ils ont sablé le champagne longtemps. Valérie et Jean se sont mariés en douce, avec Anna pour témoin. Il a fait d’Angèle sa fille légitime. Sylvia et Cathy seront les marraines des enfants à venir. Valérie est heureuse, elle aime d’amour Jean, Anna, Duc, Mars, et un peu aussi Truk. Le ménage à trois est devenu une coopérative d’amour.
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