Mon mari se donne.
Au fil du temps, avec mon maquereau d’amant, nous avons décidé de faire enculer mon mari aussi pour renflouer le compte en banque de Moussa. Nous y trouvons tous les deux notre compte et c’est parfait ! Depuis, quelque temps avec l’accord de mon amant. Il nous arrive de baiser tous les trois.
Nous sommes avec mon amant à la maison pour passer une soirée sympa. Honnêtement, on n’est pas partis pour baiser. Mais avec l’alcool et la chaleur, l’excitation est rapidement montée. Nous nous mettons à nous embrasser, à nous lécher mutuellement. Nous avons à présent l’habitude de faire des trios et cela se passe toujours très bien passé, mais là ?
Je suis en position de levrette avec le cul en bombe lorsque mon mari vient m’enfourcher pour plonger sa queue au plus profond de mon puits d’amour. Moussa que je suis en train de sucer se dégage de ma bouche et il murmure à mon oreille qu’il désire faire le petit train. Je ne comprend pas ce qu’il vient de me dire. Je le vois faire le tour pour se placer derrière mon mari. Il le penche en avant et le maintient contre mon dos.
Il passe son doigt entre ses fesses pour lui humidifier l’anus. Il présente son gland devant son petit trou et le pénètre.
Mon mari s’accroche à mes seins, je sens sa queue gonfler dans mon rectum. Je crois qu’elle va exploser ! Je comprends que l’excitation est très forte pour lui. Comme il a sa tête proche de la mienne, je lui dis de profiter de l’instant présent et de prendre son pied. Qu’il ait toujours sucé Moussa et avaler son jus, désormais, c’est dans le ventre qu’il recevra son jus.
Moussa réussit à aller presque au bout de sa bite dans le cul de mon mari. Une fois qu’il s’est stabilisé et que mon mari a arrêté de gémir, il se met à entamer des va-et-vient dans son conduit anal. Mon mari couine comme une petite salope, ce qui m’excite et me fait couler de la chatte. Il se met aussi son tour, à faire des va-et-vient dedans pour stopper le flux de ma mouille.
Je lui demande de m’enculer à son tour. Il sort délicatement de ma grotte et il plante sa bite directement dans mon cul. Moi, j’ai l’habitude de me faire enculer alors, il rentre comme dans du beurre ! Nous faisons l’amour ainsi et nous jouissons tous les trois en même temps !
Nous avons même envisagé de faire un ménage à trois. Ça soulève beaucoup de points difficiles, mais nous y pensons sérieusement.
Nous lui expliquons que pour qu’il soit accepté, il doit nous obéir en tout sans poser la moindre question et sans hésitation aucune. A la moindre rebuffade, je le quitte définitivement.
Mon mari nous regarde tout penaud, pèse le pour et le contre, au moins autant par goût de la soumission que par peur de me perdre, il accepte.
Moussa passe un coup de téléphone et nous sortons de la maison direction le quartier arabe. Mon mari n’en mène pas large. Nous entons dans une boutique et là un homme nous accueilli.
– Alors c’est lui ? Demande-t-il à Moussa en désignant mon mari.
– Oui ! Il a promis de tout accepter.
Mon mari est de plus en plus inquiet, il se demande ce qui va lui arriver. Je lui dis.
– Bon ainsi, comme tu t’es engagé à tout accepter sans rechigner. Et comme Moussa te l’a déjà expliqué, on te met à l’épreuve pour voir si tu seras une bonne gagneuse. Nous allons aller dans l’arrière-boutique et là des hommes vont entrer et tu devras faire tout ce qu’ils désireront.
Mon mari pâlit brusquement, il n’a jamais eu la moindre attirance pour les hommes, il se doute bien maintenant de ce qui va se passer. Ses jambes tremblent, il voit le regard dur que je lui lance, il capitule et nous dit qu’il accepte l’offre.
Une fois dans l’arrière-boutique, un arabe habillé d’une djellaba entre. Sans un mot, il attrape mon mari par les cheveux et le force à s’agenouiller, il soulève sa djellaba dévoilant un membre épais déjà à moitié bandé et dit : Suce !
Tout en me regardant dans les yeux, il prend le membre dans sa main et le porte à sa bouche. L’arabe force d’un coup et le membre s’enfonce jusqu’à la glotte. Puis il fait des allers et retour rapides obligeants mon mari à avaler chaque fois un peu plus son membre.
-Passe bien la langue dessus ! Ordonne Moussa.
Mon mari aspire, suce, lèche cette bite qui prend des proportions de plus en plus énormes. L’arabe se fait aussi lécher les couilles, puis il retourne mon mari et lui baisse son pantalon.
-Maintenant, tu vas la prendre dans le cul P D !
De voir mon mari traité de cette façon sous nos yeux, m’excite. Pour l’humilier un peu plus, je regarde Moussa, tout en lui disant je t’aime, je l’embrasse amoureusement sur la bouche.
Pendant ce temps mon cocu se fait limer la rondelle, l’arabe se fait plus violent, il l’attrape sauvagement par les cheveux. Tire sa tête vers l’arrière, il lui renverse la tête et essaie de l’embrasser, mon mari se défend, l’air dégoûté.
Devant mon regard, il comprend qu’il doit plier et se laisse embrasser, mais il se refuse pratiquement à la bouche de cet arabe qui lui enfonce sa langue dans la bouche aussi sauvagement que sa bite dans le cul. Je crois bien qu’il préfère encore la bite que la langue, L’arabe lui claque les fesses avec force tout en l’insultant, jusqu’au moment où dans un dernier sursaut, il sort sa queue du cul de mon mari et lui décharge une grosse quantité de sperme sur les fesses, puis lui étale sa crème sur les dos et les fesses. Il passe devant le P D et lui fait nettoyer ses doigts avec la langue.
Ne laissant aucun répit à mon mari, un grand noir pénètre à son tour dans la pièce, il sort sa bite, comme mon mari est encore appuyé à la table, le cul bien dressé, il l’encule instantanément. L’engin est aussi d’un très bon calibre, même supérieur à celui de Moussa, qui est de très bonne taille, ainsi le cul de mon mari en est une fois de plus élargi. Le noir qui n’a pas dû tirer son coup d’un moment n’est pas long à décharger un puissant jet de foutre sur le cul de mon mari. Le noir a rentré sa bite et est déjà reparti que son foutre coule encore dans la raie de mon mari et sur son trou du cul.
C’est dans cette position que je lui dis.
– Tu vois désormais, c’est ce qui t’attends, tu n’es plus qu’une bouche et un cul qui tu dois satisfaire les hommes pour remplir les poches de Moussa. Regarde toi ? Tu bandes ! Tu m’as traité de pute à Moussa ! Hé bien je vois que de faire la pute pour Moussa, te fait autant de plaisir que moi lorsque je le fais aussi.
Moussa affiche un large sourire et lui déclare :
– La prochaine fois, nous t’habillerons en femme et nous te présenterons celui qui deviendra ton amant, pour te prendre en main.
Après un long moment de réflexion où mon mari doit peser les différents aspects de la situation, il nous répond :
– Ce que vous me demandez est énorme, d’un autre côté avec ce que j’ai accepté cet après-midi, j’ai dû faire le plus dur, en plus j’ai toujours eu envie d’être une femme depuis que Moussa m’a sodomisé. Je crois qu’au vu de ces derniers jours, j’ai la confirmation d’aimer ça. D’être pris pour une pute, ce moment a été le plus intense de ma vie sexuelle, je crois que plus vous m’ordonnerez de faire des choses qui me dégoûtaient avant, plus je vais aimer ça en fait.
Le vendredi soir, Moussa lui ordonne d’aller s’habiller. Ce soir, nous allons en boite de nuit où il va lui présenter l’homme qui va être son amant à partir d’aujourd’hui.
– Fais-toi belle lui dis-je, pleine d’ironie.
Sur son lit sont étendus une robe longue rouge vif, largement fendue sur le devant, des escarpins, une perruque, un collier, des bracelets et boucles d’oreille et un nécessaire de maquillage.
-Ne t’inquiètes pas, la boite où nous allons est habituée à recevoir des créatures comme toi, il faut que tu sois belle pour Ahmed.
En effet, Moussa a décidé d’offrir mon mari à Ahmed, son deuxième frère. Ce dernier prend réellement plaisir à faire farcir mon mari pour l’argent. De plus, Ahmed a un penchant naturel pour la domination et le cul des hommes ce qui fera plaisir à mon mari.
– Il faut que tu comprennes que tu dois y mettre toute ta passion et de ne reculer devant rien.
-Je vous promets que je ferai l’amour avec Ahmed comme si j’étais sa vraie femme.
– Bien ? Tu as intérêt à le prouver, sinon Moussa se chargera de te corriger.
Une fois habillée, ça me fait tout drôle, mon mari ressemble à une véritable femme.
– Ça va, je crois que tu vas bien plaire à Ahmed.
Moussa excité par la situation du mari de sa maîtresse, sort sa bite de son pantalon et demande une pipe à mon mari. Pendant que je finis de me coiffer, il pompe goulûment le membre de mon Moussa jusqu’à ce que celui-ci explose au fond de sa gorge. Il avala tout comme à son habitude.
– Bon ? Il est temps d’y aller maintenant ! Clame Moussa. Je l’embrasse tendrement sur les lèvres.
Nous prenons la voiture de Moussa qui nous emmène directement, dans une boite singulière. Où la moitie de la clientèle est d’origine africaine. La deuxième moitie est composée de couples à la recherche de créatures comme mon mari.
Nous sommes vite rejoints à la table qui nous est réservée par Ahmed. Il est vêtu d’une djellaba noire et ne semble pas avoir autre chose dessous. Il s’assoit d’emblée à côté de mon mari qu’il s’approprie en lui passant le bras autour des épaules. Ayant compris la leçon, il prend de lui-même l’initiative d’embrasser Ahmed. Certes ce n’est qu’un chaste baiser délicatement posé sur les lèvres, il nous montre son acceptation d’être une femme.
Après avoir bu quelques verres, pour se donner du courage, mon mari prend Ahmed dans ses bras ? Ils s’échangent de courts baisers et des petites caresses. Moussa lui dit qu’il peut bien avoir l’attitude qu’il désire, que cela ne me choquera pas, bien au contraire. Il lui répond de ne pas nous en faire, qu’il désire les fesses de mon mari. Nous les laissons se bécoter doucement.
Soudain, Ahmed se colle complètement contre mon mari. Celui-ci se love contre lui et pose sa tête sur son épaule. Puis Ahmed l’embrasse à pleine bouche. Celui-ci se laisse faire. Je peux voir leurs langues se nouer, leurs bouches s’ouvrir, leurs salives se mélanger. Mon mari est parfaitement consentant. Il a l’air d’y prendre goût.
Après plusieurs séries de danses entrecoupées de pause boisson à notre table, nous décidons de rentrer à la maison.
Nous sommes tous les trois légèrement pompettes, seul Ahmed ne buvant pas d’alcool est resté sobre. Arrivé dans la chambre de mon mari, Ahmed se précipite sur lui et l’embrasse voracement.
– Alors, il parait que tu souhaites être ma femme pour le week-end ?
– Oui ! J’espère ne pas vous décevoir.
Sur ce, il recommence à embrasser mon mari. Ce dernier lui rend ses baisers avec une fougue et une ardeur qui augmentent avec le temps. Ils s’embrassent bien de la sorte plus de vingt minutes. Leurs caresses les portent naturellement sur le lit où Ahmed, tout en continuant de rouler de pelles à mon mari, lui retrousse la robe atteignant le string qu’il a mis pour l’occasion. Ne restant pas à la traîne, mon mari entreprend d’enlever la djellaba d’Ahmed, ce qui nous confirme qu’il n’a rien dessous.
Une énorme queue turgescente, encore plus grosse que celle de Moussa. Une queue comme seuls les noirs ou les Nord-africains ont un énorme cylindre de chair aux veines apparentes, au gland violacé et circoncis. Deux grosses couilles bien pleines complètent le tableau.
Ahmed se dresse sur les genoux et mon mari lui administre une fellation pleine d’amour.
Il aspire la tige, la lèche, la caresse, lui embrasse le gland, salive dessus et ravale tout après, faisant courir à sa langue comme je ne l’aurais jamais crue capable. Il se déchaîne, met tout son cœur, toute son âme à l’ouvrage d’amour. Le corps d’Ahmed se contracte, il ne peut plus se retenir devant une telle pipe, il décharge tout son jus dans la bouche de mon mari. Ce dernier aspire tout le sperme de la queue de son amant.
Il me regarde droit dans les yeux, je le vois déglutir et il ne rouvre la bouche qu’une fois la queue noire bien nettoyée.
Il est tout fier quand Moussa le félicite :
-Je suis content de toi, tu as l’air d’avoir fait plaisir à mon frère.
De voir mon mari tout heureux de satisfaire ainsi mon amant en avalant son sperme me fait dire :
– Et maintenant, il s’agit de t’occuper de ta petite femme, mon chéri.
– Tout de suite ma Belle
Moussa me trousse plaqué au mur du couloir, il me baise longuement sous les yeux de mon mari et de son frère.
Devant ce spectacle, je les vois bander tous les deux, Ahmed tout en embrassant mon mari, il le couche sur le dos et s’allonge dessus. Mon mari tout naturellement écarte les cuisses et Ahmed le sodomise d’un coup sec, il referme fermement ses jambes derrière son dos et aspire sa langue avec avidité. Je l’entends même lui dire :
– Va-y ! Baise-moi, je suis à toi.
Le lendemain matin, je me dirige vers mon mari pour ma petite toilette intime. Ahmed dort à côté de lui. Je l’enfourche et colle ma petite chatte ruisselante de sperme sur sa bouche. Il me la nettoie jusqu’à la dernière goutte. Je remarque alors qu’Ahmed s’est réveillé et ne perd pas une miette du spectacle de ma chatte en gros plan.
– C’est la dernière fois, il est à moi à présent, Moussa me l’a donné.
Après le petit déjeuner, ils sont partis tous les deux mains dans la mains. J’ai eu un pincement au cœur, avec un zeste de jalousie de voir mon mari heureux avec Ahmed.
Le dimanche après midi, j’ai tellement emmerder Moussa avec ma jalousie en vers mon mari ? qu’il décide de m’emmener voir son frère.
Nous arrivons dans une cité, devant l’entrée de l’immeuble un attroupement salut Moussa en levant leur pouce vers le ciel.
Je me doute d’un truc pas net ? Je hurle que je veux passer. Ahmed s’amène et essaye de me calmer.
– Il est trop tard ! C’est toi qui as poussé Moussa à me l’amené pour que j’en fasse une pute. Ça y est, la machine est lancée. On ne peut plus l’arrêter ton mari. Il y a dans la cave au moins une bonne dizaine de mecs qui font la queue. Il y en a autant qui vont encore s’amener.
Il m’emmène loin dans une cave d’où je peux voir se qui ce passe dans l’autre.
– Tu peux regarder d’ici ? Me dit-il.
Là, dans l’autre cave, trois mecs s’occupent de mon mari déjà à moitié à poil. Le premier lui maintient les bras tandis que le deuxième lui a enfourné son sexe dans la bouche. Le troisième lui caresse le cul puis les tétons.
– Bonne salope ! Très bonne femelle ! Tète bien, ma chienne.
Je vois qu’ils n’ont pas de préservatifs sur leur queue ?
– Je ne veux pas que mon mari se fasse contaminer.
– T’es malade ou quoi ? Tu me prends pour un assassin ?
Comme je finis par me calmer en apprenant que mon mari ne risque pas de se faire plomber. Ahmed tend une liasse de billets à Moussa. Il y en a pour quatre cents euros.
– C’est quoi ça ?
– C’est ce que ton mari va gagner en faisant ses vingt passes. C’est une bonne pute !
Une fois que les trois mâles ont fini de se faire pomper par mon mari chacun leur tour, ils lui arrachent ses derniers vêtements. Des mains avides palpent son cul, caressent sa raie chaude et humide et malaxent ses tétons dressés. Contrairement à toute attente, il ne se débat pas. Il subit avec bonheur. Il gémit de plaisir. Je ne bouge pas, je reste là à mater, je me sens moins coupable. Je suis pourtant inquiète, car je me demande jusqu’où tout cela va nous emmener. La scène, loin de m’épouvanter, de voir ces mecs abuser de mon mari, m’excite plus que jamais.
Un quatrième gars entre dans la cave. Il lui roule un patin baveux en lui torturant les tétons. Mon mari gémit de plus en plus fort d’autant qu’une bite s’enfonce virilement dans son fion bien graissé.
– C’est bon, les mecs, la salope est prête !
Là, c’est le début du travail à la chaîne. Les mecs défilent. Ils ne font pas dans la dentelle et se contentent de tirer leur coup rapidement en pénétrant l’anus de mon mari. Ils le bourrent et déchargent très vite leur jus dans ses fesses, où sa bouche. Arrive le tour de son maître Ahmed. Mon mari le supplie à genoux de le baiser. Ahmed fait durer le plaisir. Il lime sa pute longtemps et à la hussarde.
Un autre s’avance et pose une paire de pinces munies de poids sur les tétons de mon mari. C’est là que je me rends compte, qu’il doit être particulièrement sensible au niveau des seins, car il jouit intensément. Il geint tout son plaisir comme une femelle.
Ahmed le retourne sur le dos et lui écarte les fesses, exposant son trou du cul à la vue de tous.
– Je vais le finir en beauté, les gars !
Il plonge à nouveau son énorme sexe et le sodomise sauvagement. Le corps de mon mari accompagne les coups de boutoir et s’agite dans tous les sens. La baise dure trente minutes au moins. Mon mari doit avoir le cul en compote. Après plusieurs assauts, son amant épuisé finit par décharger en un long râle de jouissance. C’est une véritable explosion.
Moussa revient vers l’endroit où je me trouve.
– Alors qu’est-ce que tu en penses ?
– Je n’en reviens pas ? Il accepte tout ! Ton frère l’a transformé.
– Ton mari est devenu une bonne pute à pognons. Ahmed ne va pas le lâcher.
– Il en a fini là ?
– Tu rigoles ? Il a à peine fait la moitié de ses clients.
Notre couple est devenu les putes à Moussa et son frère.
FIN
Sam Botte
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