Le mari perd sa femme.
Ce vendredi soir, ma femme rentre à la maison en déclarant d’un ton péremptoire :
– Demain, on est invités chez Moussa. Il va faire beau, on pourra manger sur la terrasse et faire un peu de bronzette.
Le lendemain, elle passe du temps à sa toilette, elle est magnifique dans sa mini-jupe et son tee-shirt sans manches. Je le trouve un peu décolleté, mais elle a mis son bikini, elle me le montre en soulevant sa jupette d’un air espiègle. Par contre, je trouve stupide de mettre des talons avec une tenue de plage.
Arrivé chez Moussa, on commence par l’apéro, il a préparé un rhum arrangé. Trop sucré, il me donne soif et j’en bois plusieurs sans pouvoir me désaltérer. Il est amélioré avec un peu de somnifère que je n’ai pas détecté. On fait un barbecue, je bois encore plusieurs coups, car la viande est épicée. A la fin du repas, j’ai un peu de mal à suivre la conversation.
Moussa a son opinion sur les femmes. Comment elles doivent se vêtir, se maquiller. Une femme est destinée à faire honneur à l’homme qui lui donne le bras. A ce moment-là, je comprends que ma femme s’est vêtue pour lui plaire. Depuis des semaines, pendant le trajet, il a dû lui faire la leçon. Qu’elle s’habille mal, avec des vêtements trop amples qui cachent ses formes. Son maquillage trop discret. Elle ressemble à pas grand-chose, les hommes dans la rue ne se retournent pas sur son passage.
A trente ans, elle est déjà vieille. Il lui a dit sévèrement, qu’elle doit changer. Elle a un corps, elle doit le montrer. D’abord une jupe courte et des talons pour mettre ses jambes en valeur. Un soutien-gorge pigeonnant avec un chemisier transparent ou décolleté, qu’on voit la marchandise. C’est sa prescription pour elle. Elle n’a pas de répartie, incrédule devant tant de sévérité.
Le cocktail amélioré, le vin, le soleil, je me suis installé dans un transat pour récupérer, juste quelque minutes.
J’émerge des limbes du sommeil, il est dix huit heures. Complètement vaseux. Avec une terrible envie de pisser. Titubant, je pars à la recherche des chiottes. En entrant dans la maison, j’entends de couinement, d’un chiot ou autre chose ?
Merde ! Je me trompe de porte et j’entre dans la salle de bain ?
Ma femme, courbée en deux, nue, se cramponne au lavabo. Derrière elle, Moussa, nu lui aussi, se cramponne à ses hanches en lui plantant son gros bâton noir entre les fesses.
Alors, c’est ma femme qui couine ou plutôt gémit, rythmant les coups de queue. Toute fière, elle m’annonce :
– Il me nique sans relâche depuis le début de l’après-midi. Quel baiseur ?
Je lui casserais bien la gueule, à Moussa, mais il est plus grand que moi, plus baraqué aussi et je ne tiens pas debout. De plus, je ne suis pas un bagarreur. Alors, je vais pisser aux chiottes.
Ensuite, je reviens vers eux. Elle me regarde par-dessous, soupçonneuse :
– Tu vas pas faire d’histoires ? N’est-ce pas ?
Je hoche la tête. Comme un péteux. Soulagée, elle me sourit :
– C’est bien. Je ne souhaite pas que tu sois blessé. Je suis contente que tu te comportes en homme bien. Moussa m’a dit que tu ne te fâcheras pas. Je voulais te demander la permission, mais il a dit que ce n’est pas la peine. Va m’attendre dehors, je viens quand on aura fini.
Moussa me regarde en souriant, il rajoute :
– Tu ferais mieux de rentrer chez toi, ça va être long, j’ai les couilles encore bien pleines, je te la ramènerai demain.
Il reprend les mouvements de son bassin.
Le lendemain, en fin de journée, il ramène ma femme. Je guettais derrière la fenêtre depuis le matin, en les maudissant.
Il la ramène, mais ils ne sont pas seuls. Sur la banquette arrière, il y a deux malabars. Elle lui roule un patin, puis elle rentre dans l’appartement. Elle s’est changée ? D’une mini jupe en cuir que je ne connais pas, boutonnée devant et ras la moule. Son chemisier est ouvert jusque sous ses seins, découvrant l’absence de soutien-gorge.
Elle sent fort la bite et l’odeur du mec qu’elle a pompé. Elle doit leur avoir vidé les couilles pour sentir aussi fort.
Ses magnifiques yeux bleus, bordés de reconnaissance, ils ont dû baiser non-stop pendant vingt quatre heures pour qu’elle ait des yeux pareils.
Elle me regarde longuement, des pieds à la tête, me regarde, comme un vieux vêtement qu’on sort de l’armoire en se disant : J’en fais quoi, je le garde ou je le jette ?
Puis, elle proclame :
– Moussa a dit que tu ne me toucheras plus. Fini le sexe entre nous. Juste ta langue, pour nettoyer mes orifices, quand je rentre, si je rentre. Es-tu prêt à t’agenouiller et à me lécher ?
J’ai envi de frapper ma petite salope de femme. Je serre les poings, je suis tout rouge de colère. Elle le remarque.
– Fais pas l’imbécile, regarde par la fenêtre, ils attendent, comme ils m’ont bien baisée, ils te battront ?
– Je le hais, je le déteste ce type ! Et ses copains aussi.
De nouveau, elle me regarde comme si j’étais un crétin et si ça vaut le coup qu’elle s’occupe de moi :
– On s’en fout de ce que tu ressens ? Tu ne comptes plus ! Dit-elle d’un ton acide, avec son regard méprisant.
– Je ne veux pas que tu revoies ce type ! Dis-je, d’une voix méchante.
Elle attend là, sans bouger. Puis, lentement, très lentement, elle soulève sa minuscule jupe. Son sexe est nu, épilé, les lèvres de son sexe sont surtout étirées, distendues, elles pendent. Les surfaces visibles sont couvertes de traînées de sperme, un filet crémeux suinte de sa chatte.
– Lèche ma chatte immédiatement ou je demande à Moussa et à ses potes de monter ? – Non ! Je t’ai dit que tu ne dois plus le revoir ? Mon sang bat dans ma tête. Je serre les poings, prêt à l’affrontement.
Elle plisse les yeux et cette salope me dit :
– A genoux, lèche-moi la chatte que tu adores. C’est ta dernière chance pour que je reste.
Je reste stoïque. Elle plonge la main dans son sac à main et sort son téléphone. Elle compose un numéro.
– Tu dois me lécher, exige Moussa, sinon ils s’occupent de toi.
Je frissonne. Ce sont des costauds. A trois contre un, je n’ai aucune chance. Résigné pour la garder, je tombe à genoux sur le tapis. D’un coup, comme si mes jambes avaient cédées. Elle ne s’approche pas de moi.
Elle tourne simplement le téléphone vers moi pour qu’un enregistrement vidéo puisse commencer. Elle m’ordonne fermement.
– Approche, tu vas lécher ma chatte, quand je te le dirai ? J’appartiens à Moussa à présent, compris ?
– Oui ? Que je lui réponds soumis.
-Approche ? Viens mon cocu lécher la chatte de ta femme ? Qu’elle dit calmement.
Sa chatte barbouillée de sperme est pendante, son clitoris est gonflé, sa vulve est béante, on pourrait entrer la main là-dedans comme dans un sac à main.
Je ne sais encore pourquoi, mais je lèche sa chatte, j’avale les restes de sperme. Ça pue le foutre, la sueur, sa moule pue tout ce qu’ils ont craché là-dedans. J’en ai la nausée.
– Non ! Lèche-tout et avale ! Qu’elle exige soudainement.
Je secoue la tête négativement. Putain, je déteste ça. – Je te déteste. SALOPE !
– Avale ! Cocu !
J’avale.
Elle saisit ma tignasse à pleine main et plaque mon nez contre sa chatte :
– Renifle, sens-le, humes le fumet du mâle dominant !
J’inhale, j’inspire, je manque d’air, je suis sur le point de m’évanouir. L’odeur brute de leur copulation est forte et enivrante. Je chavire et je m’assois sur mes talons.
– Tète mes lèvres !
Alors, je les aspire, les suce. Je sens l’épaisseur du muscle, gorgées de sang, gonflées par le plaisir. Je les imagine étroitement accrochées à la bite de ce salaud.
Discrètement, le loquet de la porte tourne et Moussa entre dans la pièce. Un chuchotement :
– Il se comporte bien le cocu ?
– Ouais ! Il déteste ça, mais c’est ça où rein, il s’y fera, le cocu.
Il vient se coller contre elle, ils s’embrassent lentement, bouche grande ouverte. Une douce caresse sur ses seins, puis sa main descend, le ventre, les plis de sa jupe, sa chatte. Devant mon visage, il écarte ses lèvres avec ses doigts bruns, moi, le cocu soumis, je lèche plus profondément dans sa chatte. Un bouchon de sperme se brise et tout s’écoule dans ma bouche. J’avale.
Elle frissonne déjà de plaisir.
– Tu l’utilises quand tu veux. Comme tu veux. Un problème, tu m’appelles hein ?
Elle hoche la tête en réponse à ses directives. Elle désire encore sa putain de bite. Elle a encore envie d’être baisée. Je la regarde s’accroupir et ouvrir la braguette de Moussa. Elle glisse sa main dans l’ouverture de son pantalon et ensuite, elle sort sa bite.
Je regarde fixement.
Sa queue est épaisse, plus grosse que la mienne, avec un énorme gland rose au sommet d’un tronc brun. Les veines saillissent, gorgées de sang. C’est un truc menaçant.
Elle caresse son mandrin comme si c’était un jeune enfant, le regard fixe, la bouche ouverte. Elle sort sa langue pour s’humecter les lèvres, enfiévrée de désir.
– S’il te plaît Moussa ? S’il te plaît ? Quémande-t-elle.
C’est affreux. Ma femme minuscule face à ce baobab. C’est comme si elle allait être baisée par un cheval.
C’est trop gros, ça ne peut pas renter son truc dans sa moule ?
Quand il met son gland contre sa chatte, je vois les lèvres s’ouvrir. Dès que le gland rentre, les lèvres se referment sur la poutre. Sa chatte l’agrippe, l’aspire, ses cuisses tremblent. Je suis fasciné par le spectacle, c’est plus beau que du porno.
– S’il te plaît, Moussa ? Gémit-elle et il pousse nonchalamment.
Il la soulève de terre comme une plume, elle se pend à son cou, ses jambes font le tour de la taille de Moussa.
Il commence à la baiser. Et l’odeur, sa putain d’odeur, explose de nouveau devant mon visage.
Sa queue coulisse facilement dans sa vulve mouillée. Chaque fois qu’elle ressort, le jus de ma femme coule sur la branche massive jusqu’à ses couilles. Elle râle doucement:
– Oh ! mon chéri !
Elle ressent d’instinct le besoin d’offrir profondément sa féminité. Elle doit être baisée de cette façon. Toutes les femmes blanches sont censées prendre une bite noire comme celle-ci pour se sentir femelle.
Il glisse les mains sous ses fesses, il la promène à travers la pièce ainsi, il la fait monter et descendre sur sa branche. Il lui donne un sacré putain d’orgasme. Elle ne peut plus l’arrêter, clouée sur sa saloperie de bite.
Bien sûr, elle ne veut plus de moi. Le choc de les voir s’accoupler ainsi, avec l’odeur capiteuse de leur couplage, m’écœure. Chaque pas accompagné d’une poussée brutale la fait couiner de plaisir.
Elle baisse les yeux vers moi : – Tu es battu ? Tu comprends maintenant ? Tu te rends compte ?
Il me regarde méchamment, mais je ne suis pas une menace. Je ne peux plus être une menace.
Là, devant moi, il se fige un instant, ses couilles se crispent. Elle se blottit contre lui, alors qu’une frénésie les fait se cogner à l’unisson pendant qu’il éjacule son plaisir en elle.
– Putain, prends-ça, ma salope ! Râle-t-il, tandis que la chatte de ma femme se verrouille pour que rien ne lui échappe.
Le visage enfoui dans son cou, elle gémit : – Je t’aime !
Je regarde ma femme embrocher sur cet étalon noir. Pas étonnant qu’elle me regarde de cette manière hautaine à présent.
Il est incroyablement brutal, animal, c’est le mâle dominant pour elle. Je sais à cet instant que je l’ai perdu, elle a terriblement besoin de lui, à présent.
Sam Botte
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