Le mari se soumet
En rentrant de déplacement un jour plus tôt, je vois sa voiture dans la cour. Je rentre discrètement et je les trouve en train de baiser dans notre chambre. Je reste là, à les regarder baiser. Il la baise depuis une heure, alternant les périodes viriles et les périodes plus tendres. Il lui prend la chatte, la bouche et le cul… Je suis impressionné par sa résistance à la jouissance, car il la prend copieusement. Elle couine comme une chienne, surtout quand il lui prend le cul sans ménagement. Je suis fou de jalousie en voyant ma femme se faire enculer par sa grosse queue dure.
L’entendre lui dire encore, m’est un véritable calvaire, mais en même temps, ça me fait bander et mon regard ne peut se détacher de cette queue qui la pénètre. Elle lui suce la queue, lui gobe les couilles, une vraie salope. Quand ils ont bien baisé, il se vide en elle en grognant comme un porc. Elle l’accompagne pour une dernière jouissance.
C’est là que j’interviens en la traitant de salope. Il se lève, à poil, la queue encore grosse et me dit : – Oh le cocu, tu vas nous faire chier encore longtemps ? La bagarre est inévitable. J’essaie de lui démolir les couilles en lui balançant un coup de pied dans les burnes. Il esquive et me cueille au menton et à l’arcade.
Résultat : K O et l’arcade ouverte avec un œil au beurre noir. Quand je me remets de mes émotions, il me flanque une bonne paire de claques et me dit : – Maintenant, tu dégages ! Alors, je sors.

Quelques semaines après que je les ai vus baiser, il m’appelle au bureau. Sans me donner d’explications, il me demande : – J’ai à te parler, je passerai chez toi lundi à quinze heures. Je me demande bien ce qu’il me veut. Jusqu’au lundi, je me pose mille questions, mais je ne trouve aucune réponse satisfaisante. Je décide d’être là le lundi à l’heure prévue et de ne pas en parler à mon épouse.
Le lundi à quinze heures, il arrive, comme prévu. On s’installe au salon et il commence à me parler. – Ta petite Belle est adorable et je compte bien continuer à la baiser longtemps ? J’essaie de l’interrompre, mais il me balance un : Ta gueule ! Qui n’admet pas la réplique. Je reste face à lui à l’écouter.
– Tu sais ta femme, ce qu’elle aime, c’est ma grosse bite, il ne faut pas te faire d’illusions. Elle est accro à ma queue et aussi longtemps qu’elle restera jeune et jolie, je lui prendrais sa bouche, sa chatte et son petit cul. Quoi que tu lui dises, quoi que tu lui fasses, tu seras cocu mon vieux. Ces propos sont choquants et blessants.
Je lui dis alors : – Si c’est tout ce que tu as à me dire, tu peux te casser de chez moi.
– Ah non, ce n’est pas tout. Elle m’a parlé de ta petite queue et de tes éjaculations précoces. J’ai peut être une solution pour toi ?
Connement, je lui demande : – Quelle est ta solution ?
Il se lève, s’approche de moi et me dit : – Cette petite discussion m’a excité et j’ai vraiment envie que tu me suces ?
– Ça va pas ta tête ? Que je lui réponds fermement. Il m’affirme : – Si, si, ça va très bien. Et il défait sa ceinture, puis ouvre sa braguette et sort sa bite noire, qui est en semi-érection.
Il m’ordonne de le pomper. Je regarde cette queue déjà bien grosse et j’imagine ma petite Belle suçant ce mandrin. Il me prend les cheveux et me dit : – Allez ! Cocu, suce moi et comme il faut, tu seras récompensé ?
Je me dégonfle et je le suce comme une nana, lui lèche les couilles et lui aspire la queue, la lèche sur toute la longueur pour ensuite l’enfourner.
Il me domine et se fait pomper en me traitant de petite chienne. Ça dure une éternité avant qu’il me balance trois énormes giclées de sperme, qu’il me force à avaler. Ensuite, il me fait nettoyer sa queue avec ma langue avant de me dire : – Bon allez ! Je vais aller travailler un peu, voir si ta petite femme a pris des commandes.
Il se dirige vers la porte et me dit : – Tu suces presque aussi bien que Belle ? Encore quelques pipes et tu devrais être une bonne pompeuse ? Allez bye, à la prochaine.
Il part, me laissant seul avec mes questions et le goût de son jus dans la bouche.
Après m’avoir baffé, puis être venu chez moi se faire sucer, il prend ses aises. Ce gros connard ne prend même plus la peine de téléphoner, il passe à l’improviste pour se vider les couilles.
J’essaie de résister les premières fois, mais très vite, je me soumets à ses désirs. C’est à peu près chaque fois le même scénario, il me fait sucer sa grosse queue et ses boules avant de me décharger son sperme dans la bouche.
Plus ça va, plus il m’humilie en me disant : – Tu vois ce qu’elle prend ta petite femme, tu imagines ma bite dans son petit cul serré, ça t’excite pédé de savoir que je la baise quand je veux, où je veux, qu’elle soit toujours d’accord pour m’offrir tous ses orifices, allez lopette avoue que ça t’excite ? Et moi, je réponds connement, que oui, ça m’excite.
Je dois d’ailleurs avouer que ça m’excite de la savoir prise comme une chienne. Je l’imagine, couinant sous ses assauts, lui réclamant de la baiser encore et encore, l’entendant lui répondre qu’elle est sa chose, sa femelle.
Je l’imagine lui dire, on a un gros contrat avec ce gros salaud de Durand, il faudra que tu uses de tes charmes pour le convaincre.
Tout ceci tourne dans ma tête, tandis qu’il me baise la bouche comme un porc en haletant avant de m’inonder de sa semence.
La fois suivante, il me baise la bouche comme d’habitude, il me largue son impressionnante quantité de sperme dans la gorge. Après, il me demande : – Ça t’as plu salope ? Sans attendre ma réponse, il m’a dit : – J’ai une idée pour la prochaine fois. Je lui réponds : – Si c’est une de tes idées à la con, tu peux aller te faire foutre ?
– Oui ! C’est bien une histoire à se faire foutre, mais pas celle que tu penses. Tu te rappelles des deux mecs que tu as insultés le jour où tu es venu au bureau ?
– Non ? Je ne me souviens pas.
– Mais si. Tu les as traités de sale bicot et tu leur as dit d’aller se faire enculer. Je me demande toujours comment ils ont fait pour pas te défoncer la gueule. Sûrement parce que j’étais là ?

– Pourquoi tu me parles de ces deux connards ?
– Parce qu’ils sont revenus pour passer une autre commande et ils m’ont parlé de toi. Je leur ai dit que tu es le mari de Belle.
– J’en ai rien à foutre de ces bicots.
– Je comprends bien, mais on a pas mal discuté et par mégarde, je leur ai dit que je saute régulièrement ta femme. Et ça les a beaucoup intéressés. Je leur ai donné des détails sur ta femme et sur toi.
– Quels genres de détails ? Salaud !
– D’abord sois poli et ouvre bien tes oreilles de cocu. Ils veulent savoir si c’est une vraie salope, si elle avale, si je l’encule, si je lui décharge mon sperme dans sa chatte, dans sa bouche ou dans son cul. Enfin tous les détails. Et aussi, si tu le sais ? Quand je leur ai dit que tu es au courant, ils sont morts de rire. Et quand j’ai rajouté que je vais régulièrement me faire sucer par le cocu, ils n’en pouvaient plus.
– Salaud, pourri, tu n’es vraiment qu’une ordure. Tu vas bien avec ces racailles.
– Tu vas pouvoir leur dire bientôt, ils veulent absolument venir avec moi pour te baiser la bouche. Je leur ai promis que je les préviendrais de ma prochaine visite. Allez ! salut lopette, à bientôt.
Et il prend la porte, sans oublier de me dire un à bientôt rigolard.
Comme vous vous en doutez, ce connard de Moussa vient de plus souvent pour sauter ma Belle. Au moins deux à trois fois par semaine.
Ils m’obligent à les regarder en train de faire l’amour, le plus souvent, nu à moins de deux mètres du lit conjugal. Ce gros connard exige que je sois nu pour voir si ça me fait bander de le voir saillir Belle. Ce qui est le plus souvent le cas, quand je l’entends hurler sa jouissance, quand il la défonce comme un chien démonte sa chienne.
Elle hurle aussi bien, quand il lui prend la chatte que quand il la sodomise. Il la fait magnifiquement jouir avec son énorme engin qui ne débande jamais. Parfois, je croise le regard de Belle et je vois dans ses yeux de l’amour et de l’envie pour ce salaud qui la démonte. Elle est accro à sa grosse queue et réclame encore et encore des coups de boutoir qui la défonce.
Deux jours après être venu baiser ma femme, il revient alors que je suis seul. Lui par contre n’est pas seul, il est accompagné par les deux arabes que j’ai insultés. Comme il me l’a promis, il m’amène ces deux salauds qui veulent se faire sucer pour m’apprendre la politesse.
Quand je les vois arriver, je refuse d’ouvrir le portail. Mais ils ne partent pas et ils commencent à crier. – Ouvres où tes voisins vont entendre des histoires qui vont beaucoup les intéresser ? Devant la menace et connaissant la grossièreté de ces salauds, je suis contraint d’ouvrir le portail et de les laisser entrer chez moi.
Dès leur entrée, je me fais copieusement insulté pour ne pas les avoir accueillis. Ils me traitent de cocu, de petite merde, de petite salope, de vides couilles et autres saletés. Les deux arabes ne sont pas en reste et se foutent de moi en me rappelant ce que Moussa leur a dit au sujet de Belle.
Ils s’installent dans le salon comme s’ils sont chez eux et ils commencent à être désagréable à mon égard.
Le plus grand des deux arabes, Rachid me rappelle que je les ai traités de bicot et leur ai dit d’aller se faire enculer. Posément, il me dit : – Ce n’est pas convenable de nous traiter de bicot petit cocu. Il va falloir t’excuser, et vite !
J’essaie de faire bonne figure en déclarant : – OK ! J’étais énervé, excusez moi ?
– Oui, mais ce n’est pas suffisant petit cocu ? Pour te faire pardonner, il va falloir que tu nous fasses ce que tu fais à notre ami ? Intervient le second. Je rétorque : – Ah ! Ça, non, il n’en est pas question ?
Alors, le Mouloud dit : – Toi, le cocu, tu n’es pas en mesure de discuter nos ordres. Tu vas nous sucer et vite ! – Non ! Que je redis. Là, je reçois inévitablement une méchante claque. Je me retrouve à genoux, à moitié sonné. Karim a déjà sorti sa bite pas encore très bandée, mais déjà impressionnante. L’ordre de sucer, arrive immédiatement après la seconde baffe.
Je suis donc contraint de sucer ce salaud. Il est monté plutôt gros et a une grosse paire de couilles poilues. Il m’ordonne de bien lui lécher les boules avant qu’il baise la bouche comme une chatte. Le passage du gland est un peu délicat et il se met à me baiser la bouche en me tenant la tête. Il me lime la bouche une éternité, entre et sort, comme il le fait avec une chatte ou un cul. Il se met à râler en grognant, il râle qu’il va juter dans ma gueule de cocu et lâche une première giclée de sperme suivie d’une seconde ensuite d’une troisième. Je suis inondé de jus et il me dit de bien lui nettoyer la queue pour qu’elle soit parfaite pour Belle.
Mouloud s’approche alors et me dit – Allez cocu à mon tour ! Il sort une bite encore plus grosse que celle de Rachid. – Tu m’as excité salope et je vais te baiser la bouche moi aussi. Il me force la bouche avec son gros vit et attaque à me limer en m’insultant. Au bout d’une dizaine de minute, il m’inonde la gorge de sperme en me traitant de grosse chienne videuse de couilles.
Moussa se lève et me dit – Mais non cocu, tu ne vas pas me sucer, enfin peut être pas, on va attendre ta salope de femme et je vais la baiser en premier avant que Rachid et Mouloud ne me rejoignent pour qu’on la baise à trois. Tu vas voir, tu vas aimer la voir et l’entendre gueuler ta salope avec de vrais hommes. Vas te laver, tu pues le foutre. Je vais à la salle de bains pour me laver et je vois ma gueule maculée de sperme, il y en a jusque dans mes cheveux.
En sortant de la salle de bain, je découvre que Belle est déjà rentrée du travail.
Elle a un haut blanc, pas de soutien-gorge dessous ce qui laisse voir ses tétons gonflés d’excitation à travers. Une petite jupe portefeuille très moulante où l’on peut apercevoir le dessin de ses fesses nues, des escarpins noirs haut talon très fins. Un petit blouson de cuir noir, ainsi la voilà prête à se faire baiser par ces mecs.
Les deux arabes n’en reviennent pas de sa beauté et de son côté très allumeuse en la voyant.
Moussa leur dit qu’ils peuvent faire d’elle ce qu’ils veulent, elle ajoute même :
– Tout ce que vous désirez ! Je suis votre pute soumise aujourd’hui !
Sam Botte
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