Elle s’assoit entre les deux arabes et Moussa en face. Ils ne tardent pas à lui passer les mains sous la jupe, c’est pratique les jupes portefeuille ça s’écarte bien ! Les mains des arabes remontent le long de ses cuisses, qu’elle a déjà bien écartées. Une main sur chaque cuisse. Je la vois fermer les yeux alors, ses salauds lui fouillent la chatte avec leurs doigts, ils se mélangent dans sa chatte et lui caressent le clito.
Les deux arabes lui demandent de toucher leur bite : – Touche nous la bite salope, devant ton mari, montre lui quelle chienne tu es, dis lui que tu as envie de nos grosses queues, qu’on te baise la chatte et qu’on t’encule ? Belle me regarde droit dans les yeux et me dit toute excitée la voix tremblante d’excitation :
– Ils ont d’énormes queues dures comme je les aime, je veux qu’ils me baisent comme la salope de Moussa et que tu me regardes me faire défoncer la chatte et le cul !
Je bande comme un fou en entendant cela. Elle commence à gémir doucement, ils ont commencé à la baiser avec leurs doigts et lui branlent le clito en même temps en la traitant de bonne salope. Elle les caresse à travers leur pantalon et elle regarde Moussa en leur répétant ces mots :
– Je suis une vraie salope, je suis à vous ! Baisez moi j’en peux plus. Je veux sucer vos bites, avoir votre sperme.
Moussa se touche la bite, l’atmosphère est explosive. Puis d’un coup, elle jouit, ça c’est certain, elle est devenue la salope de Moussa. Les trois n’en peuvent plus. Les deux arabes se sucent les doigts pour avoir le goût de sa chatte.
– Elle a bon goût ta chatte la salope, j’ai hâte de te la bouffer ?
Moussa me regarde et me dit :
– Ta femme est trempée, ça promet, on va pouvoir l’enfiler facilement !
Comme, elle est entre les deux, ils baissent leur pantalon et elle sort les queues une à une.
– Merci, mon Moussa chéri, ils ont des bites énormes et trempées comme j’aime, je peux les sucer ?
Il n’a pas le temps de répondre qu’elle suce déjà à fond Rachid et branle Mouloud, je les entends gémir et dire : – Oui, vas y branle moi à fond tire à fond, sur ma bite, suce moi à fond, encore plus profond, dis à ton mari que tu aimes ça ! quelle salope ! une vraie chienne ! Tu aimes sucer toi ! Branle toi la chatte en même temps, enfonce tes doigts dedans, fais nous sucer tes doigts ? A c’est bon putain !
– Elle va me faire jouir tellement elle suce ta salope. Belle s’adresse à Moussa. – Mon chéri, tu vois, j’adore sucer des bites regarde moi et admire ta salope ! Tu veux toujours qu’ils me traitent comme une pute, devant toi ? HEUMMMM ! C’est bon toutes ces bites dans ma bouche ! Elle va d’une bite à l’autre, branle très fort les deux, ils gémissent. Rachid ne peut pas se retenir et lui crache son sperme chaud dans sa bouche, elle l’aspire, l’avale en le regardant droit dans les yeux
Moussa assis devant se branle et quand il sent qu’il va venir, il lui dit de venir l’avaler, ce qu’elle s’empresse de faire, il éjacule au fond se gorge, elle avale aussi tout, ensuite, elle lui nettoie la queue avec sa bouche et sa langue. Ainsi penchée en avant, elle offre sa chatte et son cul au deux arabes, qui la doigtent comme une salope. Elle crie au moment où ils la font jouir et qu’elle gicle en fontaine
Mouloud a aussi joui entre ses lèvres, ça coule entre ses seins qu’ils ont sortis entre temps en lui ouvrant le chemisier, ses seins sont couverts de sperme. Ma femme se branle devant eux et se fait jouir en criant sur le tapis dans le salon.
– Elles sont bonnes vos queues, j’aime le goût de votre sperme.
– On reste dans le salon, si tu veux te faire baiser là ?
– Oui mon chéri, qu’ils me baisent là, je suis votre salope, je l’ai dit et ferais tout ce que vous me demanderez.
Il sait déjà que pour lui, Belle ira jusqu’au bout des dernières turpitudes et abuse clairement de son pouvoir sur elle. Sans l’ombre d’une hésitation, elle accepte la requête. Cette situation redouble l’excitation de Belle qui demande à son amant de lui prendre la chatte sur le champ. Moussa lui intime de se mettre le ventre sur la table basse. Pendant qu’il la besogne, il peut ainsi lui écarter les fesses, blanches, charnues et somptueuses, pour contempler son trou du cul. C’est alors que Mouloud présente sa grosse queue devant les yeux de Belle. Il lui rentre carrément son sexe dans la bouche. Elle lui suce sa bite. La chatte limée, la bouche pleine, elle se sent comme une héroïne de ces vidéos sur lesquelles elle s’est déjà branlée.
– Encule moi ? Qu’elle réclame à son amant en me regardant, bien décidée à me montrer que ça ne lui fait pas peur.
Moussa refuse et demande à Mouloud qui se fait sucer, dont la queue est aussi longue, mais encore plus large que la sienne, de le faire à sa place. Pour qu’elle puisse être correctement sodomisée par son pote, Moussa s’allonge par terre sur le tapis et demande à Belle de se mettre en Andromaque sur lui. Cette fois, elle a l’air d’en mener pas large face à cette queue qui doit faire pas loin de six cm de large. Son anus est tendu et Mouloud commence à s’énerver :
– Ouvre ton trou du cul putain !
Comme il force à la fois les mains sur ses épaules et le gland contre son anus, cela finit par rentrer. Prise violemment dans les deux trous, elle connait l’orgasme le plus puissant qu’elle avait connu jusqu’à présent. A demi-évanouie, sa tête est soutenue par Rachid, qui en profite pour se faire sucer. Pas encore descendue de son septième ciel, réalisant à peine ce qui lui arrive, elle ne songe pas à ouvrir la bouche. Pressé de se vider les couilles, Rachid lui pince le nez, ce qui, l’empêche de respirer, force la chienne à ouvrir sa gueule.
Ainsi, il peut enfourner sa queue. Il éjacule très rapidement dans cette bouche chaude et humide. Elle avale maintenant un mélange de foutre et de salive. Pendant qu’elle suce encore Rachid, Moussa jouit dans sa grotte d’amour. Il se retire alors et cède sa place à Rachid, tandis que lui va se faire sucer pour regagner sa vigueur perdue. Il n’est pas long à rebander. Entre-temps, Mouloud qui est dans le cul de Belle a joui. De façon à ne pas salir la voie pour son copain, il a la délicatesse d’aller se finir dans la bouche de la salope. Ainsi, Moussa peut aller enculer sa maîtresse.
Là encore, il se vide copieusement dans son cul, l’autre dans sa chatte, pendant que le troisième lui remplit la gorge de son jus.
Au bout de trois heures d’incroyable partouze, elle se retrouve seule, allongée sur le tapis, perdue dans ses pensées, les yeux explosés de fatigue, des traces de sperme sur les lèvres et la chatte et le cul défoncés. Elle est épuisée de cette sulfureuse partouze. Je ne l’avais jamais vu atteindre un tel niveau de jouissance.
Au bout de ses trois heures de folle chevauchée, les deux arabes se retirent. Moussa rentre avec eux. Lorsqu’elle tente de l’embrasser pour lui dire au revoir, il la repousse.
En partant, les deux arabes demandent à ma femme s’ils peuvent la revoir avec l’accord de Moussa, elle n’attend pas son accord, elle dit :
– Avec plaisir, vos queues sont extra et j’aimerais encore aller plus loin avec vous ! Je reste votre salope soumise ! Je ferais tout ce que vous voulez. TOUT pour jouir encore plus fort !
Lorsque nous nous couchons le soir que cela devient problématique pour Belle. En effet, après plusieurs mois où je ne l’avais pas touché, je commence à lui donner des baisers sur le dos et le ventre. Elle ne veut plus être prise par son mari. Mon sexe en pleine érection est minable à côté de celui de Moussa. Il est environ trois fois moins long que celui de Moussa. Révulsée à l’idée de faire son devoir conjugal, elle ne peut s’empêcher de me balancer son mépris à la gueule :
– Qu’essayes tu de faire là ?
– Mais ? Chérie ?
– Moussa ne veut pas que tu me touches ! Et tu me dégoûtes quand tu me touches !
– Quoi ?
– Je ne veux plus de ta petite bite dans ma chatte. C’est clair ?
Je suis bien sûr ébranlé par cet aveu, mais j’ai sacrément besoin de me vider les couilles, car cela ne me fait pas débander pour autant. Alors, je lui demande :
– Et dans le cul ?
Elle ne s’attendait pas à cette réplique de ma part, elle fait une moue dubitative, mi hautaine.
– Tu peux toujours essayer petite bite.
Belle est bien décidée à ne faire aucun effort pour me laisser rentrer, elle se doute bien que je n’arriverai pas l’enculer. Je suis complètement dénué de la vigueur des mâles qui l’ont entreprise la veille. Je ne sais comment m’y prendre. Comme elle referme son sphincter, je devrais la forcer, mais je n’ose pas la forcer.
J’ai beau presser ma petite bite contre son anus, ça ne sert à rien. Elle se rend compte que m’humilier lui procure un certain plaisir. Elle daigne donc me laisse faire des va et vient avec son gland sur sa raie pour que je déverse quelques gouttes de sperme. Elle m’ordonne aussitôt de l’essuyer, ce que je fais immédiatement.
Au moment où je regagne le lit conjugal, elle me stoppe net :
– Désormais, je préfère que tu dormes dans l’autre chambre !
– Mais ? Je suis ton mari, c’est aussi ma chambre.
– Tu veux que Moussa te corrige ?
Je m’exécute, je suis content que ma femme m’a laissé me branler contre son cul.
Cependant, Belle, une fois seule dans le lit, retrouve sa raison. Ces derniers jours, elle s’est bien rendue compte qu’elle n’aime absolument plus son mari, qu’elle ne la peut être jamais aimée, elle se dit que ce n’est peut-être pas une bonne idée de lui avouer maintenant. Après tout, rien ne l’empêche d’aller se faire tringler par Moussa en l’absence de son mari tout en continuant de profiter des largesses matérielles de celui-ci. Il n’a de toutes façons jamais eu un gros appétit sexuel. Les rares fois où le taux de testostérone de cet homme a atteint un niveau normal, elle n’a eu, en se forçant un peu, que de rares orgasmes avec lui. C’est ce qu’elle se dit avant de s’endormir.
Sam Botte
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