Déjà depuis quelques jours j’avais planifié une deuxième rencontre avec mon régulier de Varilhes, Philippe, faisant suite à nos retrouvailles depuis que je suis revenu en Ariège. Jeudi matin avait été prévu. Mais comme le rendez-vous n’était annoncé que pour dix heures, j’avais décidé d’aller rouler au moins une heure en laissant ma voiture près du domicile de Philippe comme je l’avais fait l’autre fois. Ce serait le Col de Py qui serait monté . Oh, pas tellement haut 525m. 10 kms d’ascension. Mais j’allais très vite rencontrer la pluie lors de cette montée car le plafond était bas.
Une fois en haut je faisais demi-tour. Et au retour à ma voiture, je rangeais mon vélo et je changeais de chaussures. J’appelais Philippe pour savoir si je pouvais le retrouver, vers 9H 30. Il venait de rentrer de sa tournée. Il allait se doucher. Je lui demandais de m’attendre pour m’ouvrir sa porte , ce qu’il fit. Et bien sûr comme à chaque fois que je le retrouve, je lui promulguais un délicieux baiser et mes premieres caresses. Hummmm que c’était bon de me retrouver avec lui. Lui aussi me rendait ma fougue toute aussi forte. Nous nous connaissons depuis si longtemps alors la chaleur entre nous est toujours aussi intense. Il allait me préparer un café que je boirais pendant qu’il prendrais sa douche. Moi j’avais pris une douche chez moi avant de partir mais moins intense pour éviter que je sois pris du même incident que j’avais vécu après avoir vu Gilles. Et de ça , je vais m’en méfier sérieusement car j’avais déclenché les foudres de mon épouse l’autre fois sans pouvoir lui donner une cause de cet incident. Et j’allais regagner la couche de Philippe après m’être déshabillé de mes vêtements de cycliste. Donc c’est nu comme un vert que je l’attendais. Et quelques minutes après, il me retrouvait tout aussi nu que moi , se couchant avec douceur sur moi, frottant nos deux queues l’une contre l’autre et m’offrant ses lèvres, comme sa langue qui retrouvait la mienne . Je lui caressais la tête comme nous aimions tant. Le baiser fut long comme d’habitude et chaleureux . Et nos bouches se séparèrent pour nous offrir des baisers doux dans nos cous respectifs. Il commençait à pousser des petits grognements de plaisir comme un homme amoureux et fougueux. D’ailleurs qui sera le plus de nous deux. Match nul! Mais toujours dirigiste, j’allais lui demander de se mettre sur le dos pour que je puisse le posséder comme j’aime tant. Et j’allais l’embrasser en frottant toujours nos queues l’une contre l’autre. Mais coquin comme toujours , j’allais glisser ma main entre nos deux corps pour saisir nos deux queues ensemble et les branler d’une seule main pour nous exciter un peu plus.
Sa queue était vraiment grosse mais il ne bandait pas. La mienne était déjà humide de ce câlin. Alors j’allais les lâcher, pour parcourir son corps de délicieux baisers , s’arrêtant toutefois à ses seins pour les sucer langoureusement. Hummm j’adore. Et j’allais ensuite arriver à son sexe que j’allais mettre en bouche comme un délicieux bonbon que j’allais susurrer , passant ma langue sur son gland . Il avait envahi toute ma bouche. Et je lui malaxais ses testicules pour accélérer son plaisir. J’allais m’attarder sur ce bonheur pour ma plus grande satisfaction. Et j’allais à nouveau retrouver sa bouche pour une délicieuse pelle. Et j’allais lui demander de faire un 69. Hummmm j’adore. et très vite nous allions prendre la position harmonieuse pour prendre notre plaisir commun. Ce fut long et délicieux. Il était couché sur moi mais faisant attention de ne pas m’écraser. Alors après ces délicieuses minutes; Je lui demandais de se mettre sur le ventre pour qu’il m’offre sa chatte et ses fesses délicieuses. J’écartais celles-ci pour gagner son ouverture où je glissais ma langue avec volupté . Nous adorions. Le plaisir s’affichait sur son visage. Il était couché comme un gros chat qui savourait mes caresses. Et j’allais le doigter pour augmenter le plaisir commun. Et je frottais mon gland comme si j’avais envie de le pénétrer, d’ailleurs chose qu’il me demandait. Oh comme j’aimerai mais je ne bandais pas assez dur comme à chaque fois pour mon plus grand désespoir . Dieu que j’en avais envie.
Alors j’allais lui offrir ce qu’il aime particulièrement, c’est de se mettre à genou face à moi, pour que je le suce tout en le doigtant d’un ou deux doigts. Il poussait des petits grognements comme tout le temps de notre relation. Ca accélère nos plaisirs mais ils étaient silencieux ou presque. Je savourais ce plaisir commun mais sa queue ne grossissait pas pour autant, comme s’il avait envie de me prendre, ce que j’allais lui proposer. Je me mettais en position pour qu’il me prenne au bord du lit, en levrette comme il aime. Mais en vain, il n’arrivait pas à me pénétrer pourtant il l’espérait. Alors je lui proposais de prendre une de mes pilules, que j’ai toujours dans mon sac à dos ou je transporte mon gel et des préservatifs. Mon baise en ville, quoi! Je lui disais que cela faisait effet 15′ après. Et il allait s’étendre sur le lit en travers à côté de moi. Je lui offrais les caresses comme il le souhaitait, passant de sa bouche; à ses seins, tout comme à son sexe. Et 15′ après comme prévu , il bandait généreusement. La pilule avait fait son effet . Je lui proposais de venir comme il le souhaitait, en levrette bien sûr. Je me mettais du gel comme je l’avais fait l’autre fois, pour que la pénétration soit plus facile. Et il arrivait facilement et ma chatte réagissait avec bonheur. Dieu que c’était bon et il savourait tout autant, se couchant de temps à autre sur moi pour me savourer un peu plus. Il avait envahi mon corps et ce n’était qu’un plaisir commun. Hummm quel délice de le sentir en moi.
Le temps passait si vite. C’était le première fois qu’il se contentait pleinement. Et il allait se retirer pour aller se nettoyer son sexe à la salle de bain. Au retour, il s’écroulait tout contre moi, satisfait de ce qu’il m’avait offert . Nous étions ravis de ces instants de bonheur . Son visage rougi reflétait la jouissance totale qu’il avait eu. Heureux d’avoir retrouvé sa puissance. J’allais le caresser à nouveau comme il adore tant. Passant de sa bouche à sa queue et le doigtant encore . Il était heureux tout comme moi, vous vous doutez. Il bandait à nouveau et je lui proposais de revenir , ce dont il avait envie, satisfait de retrouver sa vigueur. Hummm le bonheur était total. Et il revenait après quelques minutes en moi, tout près de moi pour les dernières caresses avant que je ne parte . Et oui cela faisait presque deux heures qu’on s’offrait de telles caresses. Il me fallait repartir à mon grand regret comme toujours. Je me rhabillais en cycliste comme il se devait et je le retrouvais au rez de chaussée pour savoir quand je pourrai le revoir la semaine suivante comme je lui avais promis de lui offrir un de mes contacts. Et pendant qu’il compulsait son agenda car il avait un RDV avec son dentiste la semaine prochaine, je lui offrais encore des câlins qu’il me répondait en cherchant ma bouche. Sa verge était bien tendue! Lol! je lui précisais que la pilule avait été indiqué par mon médecin . Bon il fallait bien que je parte , l’heure avançant comme toujours. Ah si parfois on pourrait arrêter les aiguilles de l’horloge du temps.
Vite j’allais disparaître sans oublier de lui redonner des baisers comme il aime tant. Et je regagnais ma voiture pour filer rapidement vers ma vie courante et sage….
Bonplan1
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