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Un dimanche du mois de mai, nous avons décidé de nous offrir cette journée découverte de l’Alsace du Nord au sud des principaux lieux touristiques.

La veille, je laissais le soin à Philippe d’organiser tant l’itinéraire que les multiples édifices, châteaux, villages situés sur la route des vins, en passant par la cathédrale de Strasbourg et les différentes curiosités à visité dans Strasbourg.

Philippe se rendit compte qu’il ne pourra pas en une journée visiter les deux départements du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, il décida alors que pour ce dimanche ce sera uniquement le Bas-Rhin et un autre dimanche le Haut-Rhin.

Philippe m’appela :

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« Brigitte chérie, voilà que je viens d’établir le programme pour la journée de demain, il se limitera à la visite du Bas-Rhin, j’ai fixé le départ à six heures. Nous prendrons le petit déjeuner ici et pour le déjeuner nous trouverons bien un restaurant, car n’ayant aucune notion du temps que nous allons rester dans un endroit ou un autre, je préfère ne pas réserver. »

Julie et Damien, nos enfants décidèrent de ne pas nous accompagner, cette fois.

Dimanche matin, après le petit déjeuner, nous sommes remontés dans notre chambre nous habillés, Philippe s’habilla d’un t-shirt et d’un short, quant à moi indécise je me suis rendue dans la salle de bain pour me maquiller avant de m’habiller.

De retour dans la chambre, j’ai fait le choix de mettre une mini robe moulante décolletée à fines bretelles, sans soutien-gorge. Pour une fois n’est pas coutume j’ai enfiler un string blanc. Je me demande vraiment pourquoi j’ai mis un string, car j’avais comme une intuition que je n’allais pas le porter toute la journée. J’ai décidé de ne rien dire à Philippe et de voir combien de temps ça ira jusqu’à ce qu’il s’en aperçoit.

Après avoir embrassé Julie et Damien, je rejoins Philippe qui s’impatientait dans la voiture. Dès qu’il m’aperçut, il s’écria :

« Chérie j’adore quand tu portes cette robe, que tu es belle ! »

« Merci, mon chéri, je t’aime ! »

J’espérais qu’il ne va pas de suite mettre sa main sous ma robe en m’asseyant à ses côtés alors que nous sommes encore chez nous.

Il m’a fait une bise sur la bouche et a posé sa main sur ma cuisse, mais il n’est pas monté plus haut. J’essayais de garder mon string le plus longtemps possible et m’arrangeant que ma robe ne remonte pas de trop pour ne rien lui dévoiler.

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Nous voilà partis, et après une bonne heure de route nous atteignons la route du vin. J’avais déplié sur mes jambes la carte routière ou il avait souligné au crayon les lieux où un arrêt s’impose. La carte routière me protégeait aussi de ses tentations à vouloir me toucher ou exceptionnellement aujourd’hui je ne voulais du moins pas encore qu’il accède.

Lui indiquant que la première étape Riquewihr était en vue, j’ai replié la carte en tirant un peu sur ma robe qui s’était troussée. Puis il se gara sur le parking extérieur et notre première visite débuta. Tantôt main dans la main, tantôt bras dessus bras dessous nous arpentons les pavés de cette magnifique ville.

Une soudaine envie de me soulager, je demande alors à Philippe :

« Chéri viens installons nous sur cette terrasse, commande-moi un café pendant que je vais aux toilettes. »

Je revins et pour qu’il ne remarque rien en m’asseyant j’ai posé devant moi mon sac à main. En m’asseyant, une fine bretelle de ma robe a glissé de mon épaule, libérant un sein comme Sophie Marceau au Festival de Cannes. Cet incident n’est pas passé inaperçu aux yeux de Philippe ni aux autres clients ou passants. Je remis la bretelle en place.

La première étape se termine, nous rejoignons la voiture et partons vers la seconde étape Ribeauvillé tous en redépliant la carte routière sur mes cuisses. Philippe me dit :

« Ne cache pas tes jolies jambes s’il te plait je veux les admirer ! »

« Admire ta route mon chéri, mes jolies jambes tu auras l’occasion de les voir plus tard. »

« Je te signale que nous arrivons à Ribeauvillé, seconde étape de notre sortie. »

Parking, puis petite promenade en ville, sans trop nous attardez. Ensuite nous remontons en voiture et reprenons la route, mais cette fois-ci Philippe n’avait plus marqué les étapes. Il me dit :

« Tu n’as plus besoin de la carte routière maintenant, je n’ai plus rien marqué, nous allons au pif. »

J’ai rangé la carte dans le vide-poche et pour cacher mon entrejambe j’ai posé mon sac à main sur mes cuisses.

« Il va bientôt falloir chercher un endroit pour se restaurer, je vais quitter les quatre voies et trouver un petit restaurant dans les petits villages que nous allons traverser. »

Après avoir traversé un premier village sans restaurant, à l’entrée du second village, nous demandons à un passant, s’il connaît un petit restaurant dans le coin. Il nous dit :

« les plus près sont fermés, à moins d’aller sur la grande ville. »

« La grande ville nous l’avions passée et ne voulions pas retourner sur nos pas. »

Il nous dit alors :

« Que si c’est pour déjeuner, il y a un repas champêtre, organisé par la commune, réservé aux gens du village, mais vu le peu de monde, ça arrangera le comité des fêtes, si des personnes extérieures venaient. »

Il nous indique comment s’y rendre, c’était à la sortie du village, sur un petiot chemin, une pâture servait de parking pour ceux À l’extérieur du bourg, nous trouvons facilement.

On se gare, et nous voyons arriver notre passant, nous le recontactons pour qu’il demande pour nous, si nous pouvons nous restaurer. Ils acceptent, car beaucoup n’étaient pas venus, le temps n’était pas terrible, du vent frais et le soleil plus que timide, voire caché.

Les tables : des tréteaux avec des planches dessus, alignées bout à bout, pour s’abriter, des tubes comme sur les marchés avec une bâche plastic qui se déplie en roulant sur les côtés, des bâches transparentes pour couper le vent qui, sans être violent, était frais.

Cinq tables sur dix étaient mises et seulement quatre étaient remplies, ce qui fait quarante plus deux personnes déjà installées sur la cinquième table, le passant et nous, nous étions quarante-cinq en tout, des bancs étaient autour des tables, inconnus de tous, on nous regarde avec curiosité.

Apparemment je suis la seule femme portant une mini robe décolletée. En me déplaçant, mes seins ballotent de droite à gauche et de haut en bas, mes tétons percent excités par le frottement du tissu du décolleté.

Passant derrière les bancs, les hommes qui le peuvent matent mes cuisses, les femmes matent mon allure, les hommes ‘’bavent’’, certaines femmes critiquent en sourdine, la plupart nous sourient, il y a tous les âges, mais majoritairement des retraités.

Cela me rappelle les critiques des commères du village lorsque je vais chercher mon pain en me voyant vêtue ainsi

« Regarde l’autre, ce n’est plus de son âge de porter des tenues pareilles, c’est bien pour une jeune de dix-huit ans, mais pas pour elle qui a une cinquantaine d’années »

Dernier arrivé, nous allons à la suite, je m’installe au fond, à ma gauche, mon mari et face à lui, le passant, à ma droite, la toile qui descendait sur la table pour couper le vent venant de côté.

Un petit apéritif est servi, je dis non, mon mari, qui s’entend avec tout le monde, discute avec le passant qui est en face de lui et avec le type à sa gauche, le repas commence, il est vrai qu’il ne fait pas bien chaud, mais ça va encore, je sens un peu de courant d’air sur mes jambes.

Les bâches ne sont pas très hermétiques, à un moment donné, j’ai même senti une rafale plus forte qui m’a fait froid aux jambes.

J’étais dans cette mini robe et les jambes nues, suffisant pour la saison, mais un peu juste pour le temps qu’il faisait.

Après l’entrée, le plat arrive et on se sert tous, on me laisse me servir la première, ce que je fais en me levant du banc.

Les autres font pareil, mon mari me bouscule un peu et je me tache la bouche. Je fouille dans mon sac laissé derrière, je prends un mouchoir pour m’essuyer, je me penche donc en arrière-côté droit.

Je prends le mouchoir et en me remettant à droite, il m’a semblé apercevoir quelque chose ou quelqu’un, dessous la table, intriguée, je jette un coup d’oeil sur les gens des autres tables.

Je ne vois personne qui manque, toutes les places sont occupées, à part ceux qui servent, mais ceux-là, je les ai en visuel, ils sont debout.

Je reprends un mouchoir dans mon sac, et en me redressant, je fais plus attention… effectivement, alors que je m’essuyais la bouche, je vois une main posée à terre, ainsi que le début d’une manche de chemise.

Je n’ai pas fait de geste brusque ni lancé de cri, je contrôle encore les places, mais personne n’a l’air de manquer.

Je regarde ceux de ma table qui discutent entre eux et mon mari avec son voisin de gauche, ils parlent de tracteur, ce qui ne m’intéresse pas du tout, je me demande ce que fait ce type là-dessous. Quand je dis, « je me demande » c’est une façon de parler, car je me doute.

Je reprends un autre mouchoir sauf que là, je le fais tomber à terre à côté du sac, ce qui m’oblige à me baisser plus et je découvre plus aussi, le type était assis à terre, les jambes vers le bout de la table, là ou il n’y a personne et avec sa main, il tenait l’équilibre.

Quand je dis, je le voyais, j’aurais du dire qu’au vu de son bras et de ses genoux, il était facile d’imaginer sa Position, je me rappelle du courant d’air dessous, il devait avoir soulevé la bâche pour passer et c’est à ce moment-là que j’ai senti l’air frais.

Je me dis que ce type est gonflé, mes jambes et cuisses étaient serrées, quand je revenais de prendre les mouchoirs, mais être là, manger en sachant un type dessous, je n’ai pas envie de me ridiculiser en criant « y a quelqu’un dessous ! », surtout que je déteste me faire remarquer, déjà qu’ont étaient tolérés et étant étrangers, on nous regardait par curiosité.

Je mange comme si de rien n’était, mais à force, quand on sait que quelqu’un prend un risque et qu’il a sa tête à quelques centimètres de son intimité, un effet commence à se faire sentir, j’ai beau résister, mais chassez le naturel, il revient au galop !

Bien sûr, petit à petit, mes genoux se desserrent, ensuite, mes jambes qui étaient dessous sur le banc viennent à être droites, me mentant à moi-même je me dis :

« voilà que ça suffit, il en a assez à voir ! ».xfr.fr-histoire-erotique-de-brigitte-qui-savoure-un-repas-champetre

Mais à force l’envie revient plus forte, et ce que j’ai l’habitude de faire dans ces cas-là, je me lève pour attraper une bouteille d’eau en levant le bras, je me dis, je ne suis pas censé savoir qu’il y a quelqu’un dessous.

En me rassoyant sur le banc, ma robe remonte plus haut, le temps passe et petit à petit, mes cuisses se sont de plus en plus écartées, je fais celle qui se détend les jambes, en les mettant droites complètement et mettant aussi ma jambe droite à droite par moment, je me recule un peu et vois sa main plus vers moi, il s’est mis ainsi pour mieux voir.

Je fais attention à ne pas lui marcher dessus, ni à le frôler, mes gestes sont lents pour qu’il a le temps de se pousser, je suis tout excitée, toute mouillée aussi d’être matée intimement, je reste comme ça un moment et remet mes jambes sous le banc afin de faire celle qui ne se rend compte de rien et aussi pour me détendre réellement.

Le plateau de fromages arrive vers nous, peu de choix, mais à volonté et en quantité. Notre passant me le passe, je le prends en me penchant vers l’avant, mais le poids me déséquilibre un peu et pour me rattraper, prestement, je mets un pied plus en avant, et évidemment je marche sur la main du type sous la table.

Par réflexe, je retire mon pied des dessus sa main en même temps que je ramène le plateau vers moi, je serre mes jambes et je me rends compte de ma boulette, le type se dit a raison : ‘’elle me marche sur la main et ne crie pas, donc elle sait que je suis dessous, elle n’est pas surprise, donc elle le sait depuis un moment’’.

Mon cerveau travaille à toute vitesse, si je crie maintenant, en plus du ridicule, le type dira :

« Elle sait depuis le début puisqu’elle m’a marché dessus, elle avait donc les jambes écartées exprès ».

Mon mari lui saurait que le type a surement raison, mais pour sauver la face, il devra l’esquinter, en lui tapant dessus.

Pas de solution miracle du fait que ma réaction était trop tardive, si je criais à ce moment-là, et puis la honte, honte d’être en spectacle et honte si le type parle, je fais donc l’autruche en espérant qu’il se dise :

« Elle m’a découvert, il faut que je m’en aille ».

Enfin on peut rêver, car comme je m’y attendais, le type n’en reste pas là. Fort de ce qu’il sait, il m’attrape une jambe, j’essaye de la reprendre, mais, ne voulant pas qu’on me voie gesticuler et le découvre, je capitule vite fait, opposant une résistance insignifiante pour ne pas avoir des gestes repérables.

Il caresse sans exagérer, je me dis, si ce n’est que cela, ça va, mais je rêve encore, il m’attrape les chevilles, s’appuie sur celle de gauche et m’écarte de toutes ses forces celle de droite, la soulevant de terre.

Si je veux forcer, il faudrait que je me tienne à la table, ce qui se verrait de tous, j’ai les chevilles écartées et je sens des baisers sur mes genoux qui se touchent encore, il ne fait rien de plus, mais il n’arrête pas non plus, il me caresse les jambes jusqu’aux genoux.

Au bout d’un moment, l’excitation reprend le dessus, ma pression des genoux diminue, le type avait gagné.

Je les écarte de plus en plus, il passe sa main entre mes genoux. Par réflexe, je les resserre et les desserre aussitôt, un frisson me parcourt, je lui offre mon intimité, il me caresse les cuisses jusqu’au moment où, en bougeant sur le banc, petit à petit, je viens me mettre au bord.

J’écarte encore plus qu’au début, la cuisse droite, je sens qu’il vient plus près, lui donner ce qu’il cherche en fera mon complice, il gardera cela pour lui.

Mais il ne fait que caresser mes cuisses, ce qui m’excite de plus en plus, j’ai envie qu’il abuse, je fais des jeux de jambes pour lui indiquer qu’il peut oser, mais rien, alors je mets ma main droite dessous pour l)e guider.

Mais il me l’attrape, la retenant, il est juste devant moi, il a attrapé ma main droite dessous la table et avec l’autre, il m’attrape mon string en faisant des gestes qui signifie qu’il veut le retirer.

Je regarde la tablée, personne ne s’occupe de moi, mais ne pouvant pas mettre mes deux mains dessous, sa main attrape mon string, je dus lever ma fesse gauche pour que ça glisse, puis la droite et ainsi de suite.

Voyant que je laisse faire, il me lâche, je remets aussitôt ma main sur la table et prends une fourchette. Il continue à baisser mon string, de temps à autre, on me pose une question ; j’y réponds évasivement par oui ou par non, c’est tout.

À sentir baisser mon string, j’ai eu une montée d’excitation, quand j’ai écarté mes genoux, j’appartenais déjà à ce type, ensuite je n’attendais plus que ces caresses.

Peu importe qu’il m’ait retiré mon string, j’en ai toujours un de rechange dans mon sac, en cas d’incident, alors qu’il le garde si ça lui chante !

Il est treize heures trente, je ne porte plus mon string, et mon mari ne sait toujours pas que j’en portais un, en plus c’est un inconnu qui me l’enlève. Il croit toujours que je suis sans culotte comme c’est mon habitude. Peut-être que je lui dirais en rentrant tout dépend de mon humeur.

Ses mains enfin me caressent l’intérieur des cuisses, et arrivent enfin là où c’est l’extase ? J’inonde d’entrée ses mains, si bien que son doigt glisse tout seul en moi, afin de ne pas me trahir, je reprends du fromage afin d’avoir la bouche pleine pour ne pas bouger sans raison.

Je jouis presque aussitôt qu’il m’a enfilé le doigt, ensuite, il me masturbe sur le bouton, l’excitation revient, il le sent à mes jambes qui l’enserrent, je suis au bord du banc, au maxi, il ne peut pas mettre sa langue… Hélas.

Il tente de me mettre un doigt dans l’anus, mais il ne peut que le frôler, restant ainsi, il revient à me masturber le clito, je repars encore une fois, il a ressenti mes orgasmes, il m’attrape les pieds, retire mes chaussures.

Je me laisse faire, et entre mes deux pieds, je sens son sexe, il se masturbe avec.

Excité lui aussi, cela a été très vite, il m’a éjaculé dessus, j’ai laissé tomber à terre mes mouchoirs que j’avais utilisés pour m’essuyer la bouche.

Il m’a essuyé les pieds avec, il les a ensuite embrassés, il a voulu me remettre mon string.

Je lui ai fait comprendre que non, il me l’a mis sur les genoux, je l’ai pris et mis dans mon sac, j’ai essayé de voir plus.

Mais sans succès, il m’a embrassé les jambes tendrement et est parti, je l’ai senti au courant d’air, je n’ai pas pu courir après, sans risquer de me découvrir.

J’ai ensuite surveillé ceux qui arriveraient, mais rien, personne, parmi les personnes présentes aucune n’avait de chemise verte comme le type de dessous la table.

J’ai alors soufflé aux oreilles de Philippe que j’ai à lui révéler quelque chose, mais pas ici devant tout le monde.

Après avoir régler l’addition, nous avons dit au revoir à la tablée et en partant pour faire baver les hommes et jaser les commères je me suis arrangé pour faire glisser la fine bretelle de mon décolleté et libéré un sein, faisant fi de ne pas m’être aperçu, la remontant juste avant la sortie.

Une fois à l’extérieur j’ai enlacé Philippe et je lui est tout raconter de A à Z. Il me dit :

« Chérie je t’avoue que je n’ai rien remarqué d’anormal, sauf que je comprends mieux maintenant, tu ne mangeais pas, tu t’empiffrais au fromage, je me suis dit, il doit être drôlement bon »

Je lui ai alors répondu :

« Chéri je n’ai pas envie de continué la promenade, j’ai envie de faire l’amour avec toi, j’ai envie de continué la ou le type s’est arrêté ».

« Moi aussi ma chérie, tu me fais bander, tu peux vérifié si tu ne me crois pas ! »

Tout en l’embrassant à pleine bouche, ma main se faufile entre nos deux corps et se pose sur sa bosse que je masse un moment.

Nous avons rejoint ensuite la voiture et nous avons cherché un endroit isolé où nous avons fait l’amour, j’ai imaginé que c’était le type en chemise verte qui me baisait et qui m’a amené à avoir un orgasme.

Nous avons pris le chemin du retour et je lui révélais alors le coup du string. Alors nos mains ont été baladeuses pendant tout le trajet retour.

Nous espérons qu’une telle sortie va se répéter, mais cette fois-ci en informant mon mari.

Brigitte.

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