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Histoire érotique j’ai été humiliée au bar Partie 2

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Je reprends donc mon histoire au sex-shop. Je viens de vider les couilles du vendeur à la demande de Marc.

Je trouve que celui-ci devient de plus en plus vicieux, Daniel est plus effacé, je l’entends rarement, mais il vaut bien son collègue quand il le faut. Je m’égare, vous allez me demander pourquoi vicieux? Ce cochon profite de toutes les occasions pour me mettre la honte et m’exhiber devant des personnes ou dans des lieux où je suis connue.

Bien sûr, vous allez me demander pourquoi je l’écoute.
Je lui laisse croire qu’il a certains moyens de pression sur moi, mais en fin de compte c’est psychologique. Le fait de me mettre dans certaines situations par obligation m’enlève tout sentiment de honte et de morale, il ne reste que la jouissance que m’apporte l’humiliation d’être vue, reconnue, utilisée, dirigée. Je ne sais pas jusqu’où ça ira et je m’en fous.

Pendant que j’essuie toutes les traces de son jus, ce coquin de vendeur finit d’emballer tous les achats. Je rentre, chargée de deux poches au logo du sex-shop. En chemin je reçois un appel de Marc :

– Salut ma belle, comment ça s’est passé?

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Je lui raconte donc les anecdotes. Il me demande comment je suis habillée. Je lui explique que je suis toujours avec ma robe.

– A partir de demain tu sais quoi faire!

– Oui c’est bon!

– Tu réponds très mal!

– Oups désolé Monsieur!

Je te contacte ce soir vers 21h00.

Il me reste pratiquement trois heures, je vais en profiter pour m’occuper de moi. Je rentre dans le spa, humm que c’est bon l’eau chaude! Je me sens revivre, je m’endors très rapidement, je suis tellement bien.

Je me réveille et je regarde l’heure. Ça fait pratiquement 45 minutes que je suis dans l’eau, j’en ai la peau toute marquée. Il est temps de grignoter quelques bricoles avant de me préparer

A 20h50, je reçois un message :

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– Tu es chez toi?

– Oui Monsieur!

– Ce soir je vais te faire découvrir certaines choses, tu es habillée comment?

– Je ne suis pas encore habillée.

– Tu mets ta robe, celle qui s’ouvre devant.

– La noire! d’accord!

– Tu descends ta rue à pied et tu m’appelles quand tu arrives au niveau du petit parking.

Je me demande ce qu’il a encore inventé. Le parking en question est tout petit, avec dans un coin un wc public et un arrêt de bus. il se situe à la jonction de ma rue et du boulevard à une centaine de mètres de ma maison. C’est très fréquenté pendant la journée, le soir beaucoup moins, mais avec la proximité d’un bar il y a quand même du passage.

C’est bon je suis arrivée, la nuit commence à tomber. J’appelle Marc qui me répond presque immédiatement. Au son de sa voix, je le sens tout excité. Il me dit :

– Regarde la terrasse du bar!

Je vois qu’il me regarde, qu’est-ce qu’il fait là? Il ajoute :

– Tu restes là un moment.

Je suis comme une conne, j’attends, il fait nuit maintenant. Heureusement, un lampadaire dans un angle éclaire l’endroit. Il y a une bonne trentaine de minutes que j’attends et ça commence à bien faire. Je vois les phares des voitures m’éclairer brièvement lors de leurs passages. Je reçois un appel, c’est Marc.

– Tu sais que tu es très jolie. Tu t’ennuies?

– Oui, j’en ai marre d’attendre bêtement, je serais mieux chez moi.

– Tu vas faire quelque chose pour moi, tu veux bien?

– Oui Monsieur!

– Ouvre ta robe que je te vois!

Le cochon! Je m’en doutais qu’il allait s’amuser à mes dépends. Il me connait bien, il sait que mon corps commence à réagir.

– Alors salope, tu mouilles?

– Oui.

– Tiens ta robe ouverte que l’on te voit.

Les voitures ralentissent soudainement .

– Si une voiture s’arrête, tu te montres et tu te fais palper. S’ils veulent plus, tu les fais garer à côté des pissotières.

– Je fais la pute alors?

– Oui, mais toi tu vas le faire gratis! Quand on te demande combien tu prends, tu réponds : « Je suis une salope gratuite, servez-vous ».

Quelques minutes plus tard, une voiture s’arrête. La personne est assez âgée. j’écarte mon vêtement, il me félicite et me demande combien pour une pipe. J’ai presque honte de dire que je suis une salope gratuite. Il se gare vite fait, descend de la voiture tout en me montrant son sexe. C’est à genoux dans l’entrée des wc que je le fais jouir.

Quelques clients plus tard, tout se passe bien. Je prends mes marques, je me fais prendre fréquemment sur le siège arrière des voitures.

Je vois Marc arriver je lui demande ce qu’il veut. Je le suce vite fait.

Au moment de partir il me demande les clés de la maison pour me faire une surprise, ainsi que ma robe en me disant que je n’en ai plus besoin.

– Tu restes encore un quart d’heure et tu rentres chez toi à poil comme une bonne petite pute que tu es! Je te laisse les clés là ou tu sais…

Quelques minutes plus tard, une voiture ralentit, je me penche et vois plusieurs de mes voisins qui me regardent avec de grands yeux étonnés, (je me demande qu’est-ce qu’ils font à cette heure-là dehors).

– Bonsoir Lyliane, heureusement que nous avions une réunion ce soir. On entend beaucoup de choses sur toi et je vois que finalement c’est vrai. Tu fais la salope dans ta rue, toute nue en plus, c’est osé. C’est une prise de risque énorme!

J’attends la prochaine question.

– Tu prends combien voisine?

Et voilà je l’attendais.

– Je suis une salope gratuite, vous pouvez vous servir.

– Non merci, pas ce soir. Tu n’es plus de première fraîcheur, par contre recule-toi toi un peu que l’on te prenne en photo pour montrer aux copains.

Je m’exécute. Au point ou j’en suis, je prends docilement les poses demandées. Avec ces deux-là tout le quartier va être au courant, j’imagine la suite.

– Nous allons nous revoir rapidement, salope, t’inquiète pas!

Je décide d’arrêter là les bêtises et rentrer chez moi. j’ai beau habiter au bout de la rue, je croise quand même plusieurs véhicules qui ralentissent pour mieux me regarder et m’humilier verbalement.

Je suis dans tous mes états. Je prends une bière, j’ai la gorge sèche de tout ce jus avalé précédemment. Je suis tellement sous tension. Je sens mes tétons tellement dur que je me pince cruellement. Le plaisir est immédiat, je ressens le besoin de me punir violemment. Je prends la bouteille et je l’introduis de toutes mes forces dans mon cul. Je suis tellement dilatée que je ne sens presque rien, c’est frustrant. Je me caresse violemment, je pince mon clito jusqu’à hurler de plaisir.
C’est totalement défaite que je tombe littéralement dans mon lit.

Je me réveille tard comme d’habitude. Je reprends mes esprits, je me sens mal à l’aise comme si j’avais fait une grosse bêtise. Tout me revient d’un coup : la soirée, les voisins, toutes ces personnes, les photos de moi, nue dans la rue.

L’excitation est retombée, il ne me reste que la vérité qui me saute aux yeux. Je fais vraiment n’importe quoi. Depuis que je suis seule je n’ai plus de limites!

Je me regarde dans la glace de la salle de bain. J’ai du mal à me reconnaître tellement je suis sale. Mon maquillage a coulé en laissant de longues traces noires sur mes joues, je suis recouverte de plaques séchées, mes cheveux emmêlés sont collés par le sperme. Je me fais honte et pourtant je mouille de me voir ainsi. Ma main descend d’elle-même, mes doigts pénètrent mon sexe dégoulinant, je ne peux pas m’empêcher de me regarder dans la glace tout en me caressant. Les yeux dans les yeux de mon reflet, je jouis de contempler ma déchéance…

Le téléphone sonne, c’est Marc.

– Salut Lyliane, tu es déjà debout?

– Oui ça ne fait pas longtemps, je descends à la cuisine pour déjeuner.

– Tu es comment?

– Sale! Je vais prendre une bonne douche, ça ira mieux.

– Tu as trouvé ma surprise?

– Non : Tu l’as mise où? C’est quoi?

– Tu verras, t’inquiète! Quand tu seras prête, descends me voir à pied, ça te fera du bien de te promener.

– D’accord c’est gentil, bisous!

Ahhh c’est trop bon une bonne douche, c’est génial. Il ne reste plus qu’à finir de me maquiller, je m’habille et c’est bon.

Je sors de la salle de bain et je me rends dans la pièce qui me sert de dressing. Un papier est scotché sur la porte. Il y a marqué SURPRISE. C’est le cas de le dire, je ne m’attendais pas à ce style de cadeau. Pourtant il m’a acheté hier plusieurs robes. Je rentre dans le dressing et là… C’est le choc. Les étagères sont vides, il ne reste plus que mes chaussures à talon. Un papier est posé sur une étagère. Je l’attrape et je lis : « Ça ne sert à rien que tu essaies de m’appeler. Tes vêtements sont sous clé et ils le resteront. Tu feras uniquement avec ceux que je t’ai acheté hier. Il me tarde de te voir! »

Je comprends mieux maintenant sa supposée gentillesse style « Viens me voir à pied, ça te fera du bien ». Et en plus comme une conne je lui dis qu’il est gentil.

C’est bien joli de choisir des vêtements dans une boutique spécialisée. On se laisse entraîner, elles sont toutes belles, mais pour les porter au quotidien c’est autre chose!

Je commence les essayages (il va falloir que je rajoute des lumières dans ce dressing, ce n’est pas assez éclairé). Ces tenues ont toutes quelques choses de trop sexy. C’est soit le décolleté, la longueur de la jupe, ou le dos nu trop profond. Je vais essayer de choisir au mieux. De toute manière, elles sont toutes au raz du cul. Je vais donc choisir la moins dénudée. J’essaie une très jolie robe que j’adore déjà, dans les marrons, imprimée avec des motifs léopard, très légère avec un joli dos nu et de fines bretelles. Je me regarde dans la glace, elle est trop belle, je craque, le choix est fait.

Quelques minutes plus tard je suis dans la rue. C’est très agréable, il fait beau, je sens l’air à travers ma robe, j’ai l’impression d’être nue, je suis toute excitée. Il me tarde d’être sur la place pour retrouver le soleil, les rues sont trop à l’ombre à mon goût. J’aime le regard des hommes je me sens belle, c’est une bonne journée.

Enfin du soleil, je commence à traverser la place d’un pas décidé. Je vois Daniel en train de servir en terrasse. Pratiquement au même moment il se retourne, je le vois me regarder avec une drôle de tête, je suis contente de lui faire cet effet. Je fais allègrement les quelques mètres pour le rejoindre, je lui fais un « smac », il me dit :

– Tu es vraiment une salope toi!

Je hausse les épaules et entre dans le bar. Marc vient me retrouver. Tout en discutant il me ramène sur le pas de la porte où il m’installe pour prendre l’apéro debout devant une table haute. Je lui demande pourquoi, c’est jamais arrivé que je prenne l’apéritif à l’entrée du bar.

– Quand on a une jolie salope on la montre, c’est bon pour le commerce!

– Ah merci! C’est juste pour le commerce, j’aurais préféré autre chose!

– Je te laisse seule un moment, tu vas voir, tu vas avoir du monde!

Effectivement plusieurs hommes s’approchent :

– Bonjour! On peut se joindre à vous?

– Oui avec plaisir!

– Non le plaisir est pour nous. Vous nous régalez, on peut vous offrir à boire?

– Merci c’est gentil.

Marc vient nous servir et avant de repartir il leur dit :

– Amusez-vous bien les jeunes!

Quelques verres plus tard, l’alcool aidant, je me retrouve dans les bras d’un homme. Il m’embrasse. Je sens son désir contre mon ventre. Un de ses collègues se colle derrière moi, je le sens dur contre mes fesses. Je commence à ne plus pouvoir me retenir. David vient alors nous dire de passer derrière et d’arrêter de nous donner en spectacle devant la porte.

Une fois dans l’arrière salle, je vois qu’il y a eu des aménagements. Un rideau occulte l’entrée et un matelas en Skaï est posé au centre de la pièce. David me dit doucement avant de partir :

– C’est pour toi, amusez-vous bien!

A partir de ce moment, j’ai perdu le compte. Il y a un va-et-vient permanent de personnes dans la pièce. Certains regardent uniquement, d’autres viennent assouvir leurs envies. Je suce à me décrocher la mâchoire, mon sexe et mon cul ne désemplissent pas. Je suis complètement folle de plaisir, je hurle ma jouissance excitant d’autres personnes qui viennent se joindre aux hommes déjà présents.

Vers le milieu de l’après-midi, Marc vient me chercher pour me ramener à la maison. Il me porte dans le canapé où je m’endors immédiatement.

Plusieurs heures plus tard je me réveille, mon téléphone vient de sonner. Je viens de recevoir des photos, je commence à les visualiser. Certaines sont prises dans l’entrée du bar et là j’hallucine. Avec le contre-jour, ma robe est transparente. Je montre tout et personne ne m’a fait de remarque même en ville.

Je reçois un message de Marc : « tu es superbe, je n’aurais jamais cru que tu viendrais avec cette robe, tu es vraiment une putain dans l’âme. Pour le bar, suite a l’aménagement, nous nous sommes mis en conformité, l’arrière est libertin, tu peux venir gratuitement c’est légal »

Je ne vois pas les jours passer. Je me présente ponctuellement au bar à partir de 16h00 jusqu’à 19h00 environ. Depuis une dizaine de jours je me suis offerte à tous ceux qui ont voulu me rencontrer. Mais maintenant je fais une coupure, il n’y a plus grand monde. Je suis devenue la bête noire de ces dames. Je fais attention de ne pas croiser certaines femmes en ville pour éviter les soucis. L’une d’elle a même marqué à la bombe sur le portail de ma maison le mot « SALOPE ».

Je l’ai fait enlever et il est revenu dès le lendemain. Du coup je l’ai laissé, ça fait jaser, mais après tout si ça leur fait plaisir…

Nous sommes jeudi en début d’après-midi. Je suis allongée sur la terrasse et je somnole. Mon téléphone sonne, je ne réponds pas, je ne connais pas ce numéro. Mais comme ça insiste, je finis par répondre.

– Bonjour ce sont tes voisins! On peut venir te voir?

– Oui bien sûr, avec plaisir!

– Même immédiatement?

– Je vous attends…

Je n’ai pas le temps de bouger que la sonnerie du portail retentit. Je me rapproche de la palissade pour regarder, ce sont eux. Je me dépêche d’ouvrir.

L’un d’eux s’exclame, bien la déco de ton portail!

J’aime beaucoup voir leurs regard.

– Tu ouvres toujours à poil

– Oui quand je connais je ne m’embête pas c’est plus rapide, vous venez pour Vous amuser?

– Oui tu nous as trop excité l’autre soir

Alors si c’est comme ça je suis toute à vous!!

Lyliane

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